Entre spectacle populaire et exhibition capitaliste : les vitrines de Noël des grands magasins sont un héritage ambigu de la culture marchande qui prit son essor au XIXᵉ siècle.
Dans un contexte de guerre de l’attention, toujours plus féroce avec la multiplication des écrans, la tentation de choquer pour marquer existe, notamment pour la publicité. Pour quels résultats ?
Envisagez-vous d’acheter moins de bouteilles en plastique à l’avenir ? Peut-être pas, mais maintenant que la question vous a été posée, vous allez forcément y penser.
Une étude menée en Alsace montre que le changement climatique a des effets sur la quantité et la qualité de malt et de houblon, le brassage et les attentes des consommateurs.
Vous détestez les magasins et encore plus devoir exprimer vos goûts ou mensurations à haute voix à une vendeuse : et si le métavers était la solution ?
Quelle information mettre en avant sur les emballages (et comment) pour que les consommateurs se tournent vers les produits les plus alignés avec des objectifs de développement durable ?
Beaucoup de marques multiplient les contenus éphémères pour fidéliser une audience. Or, en plus de présenter des risques psychologiques, cette pratique ne semble même pas efficace.
Christian Le Bas, ESDES - UCLy (Lyon Catholic University) and Rabia Bayer, ESDES - UCLy (Lyon Catholic University)
Beaucoup de produits avec de petits défauts esthétiques n’en sont pas moins fonctionnels. Et si les entreprises développaient un nouveau marché pour les commercialiser ?
Aurélie Barjonet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
L'exposition « La naissance des Grands magasins » donne à voir l’émergence d’une société bourgeoise du paraître que Zola a su décrire à la perfection dans son Bonheur des Dames.
Entre un client et une marque, la relation n’est pas que marchande. Des liens de confiance se nouent. Aussi, quand un incident survient, il est nécessaire de rassurer mais aussi de rétablir le lien.
Que les jeunes affichent des contradictions entre leurs valeurs environnementales et leurs comportements de consommation, ce n’est pas qu’une histoire de contrainte financière.
Fait maison, viande végétale, « shrink » et « cheapflation »… De nombreux débats sont vecteurs d’opacité quand le consommateur demande de la transparence pour avoir confiance dans les produits.
Une étude révèle que notre volonté de préserver notre autonomie dans nos choix d’achat dépasse le besoin de réduire le temps et les efforts. Sauf, curieusement, quand notre identité entre en jeu.
Avantages conférés à des exploitations qui n’en ont pas besoin, baisse ou report de consommation vers d’autres produits… des prix planchers dans l’agriculture pourraient bien s’avérer problématiques.
Le terme « viande », qui ne pourra plus être accolé à l’adjectif « végétal », n’a pas toujours désigné que des produits faits de protéines animales. Comment commercialiser ces produits dorénavant ?
Le bio est de moins en moins bien mis en valeur dans les supermarchés, et ses promesses de bienfaits pour la santé comme pour l'environnement peinent à convaincre les consommateurs.
Les agriculteurs se mobilisent à nouveau, cette fois contre le Mercosur. La répartition des gains de productivité depuis 60 ans montre une crise qui s'enracine dans l'histoire longue.
Une étude menée aux États-Unis et dans les Émirats arabes unis confirme la perception positive des consommateurs vis-à-vis des publicités mettant en scène des minorités.
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord