Allumer des bougies dans son salon, faire des grillades dans sa cuisine… bon nombre d’activités du quotidien contribuent à l’émission dans l’air de particules fines nocives pour la santé.
Le gras influence certains cancers fréquents. Le rôle préventif des acides gras oméga-3 est bien documenté. Mais l'impact de la graisse en excès dans les situations d'obésité reste mal compris.
Manque de sommeil et couchers tardifs modifient une région du cerveau impliquée dans la gestion du stress et des émotions, ce qui peut avoir des conséquences à long terme.
Fouler de ses pieds nus le sable, l’herbe ou les carrelages d’une piscine est, pour beaucoup, un vrai plaisir estival. Mais gare aux champignons opportunistes, qui aiment aussi la chaleur et d’humidité…
Un médicament révolutionnaire marque un progrès majeur dans la lutte contre le VIH. Toutefois, pour que les taux d'infection baissent, des changements de comportement sont indispensables
Sandra Sinno-Tellier, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
Les produits d’entretien, les médicaments et le monoxyde de carbone sont responsables des intoxications accidentelles de l’enfant les plus fréquentes et les plus graves. Des accidents évitables.
Des travaux de recherche sont menés pour étudier l’impact de la contraception hormonale ou des différentes phases du cycle menstruel sur le métabolisme des sportives afin de les accompagner au mieux.
Chaque kilomètre parcouru à vélo permettrait d’éviter environ un euro de coût de santé en France : c’est ce que montre une analyse récente de la l'enquête décennale de mobilité conduite par l'INSEE.
Bouffées de chaleurs, sueurs nocturnes, « brouillard cérébral »… Les symptômes de la ménopause sont multiples. Comment les détecter et les prendre en charge ? Voici les recommandations scientifiques.
Des travaux de recherche suggèrent que, lorsqu’on prend de l’âge, s’exposer davantage à la lumière naturelle aide à limiter les troubles du sommeil. Des résultats à appliquer, par exemple, en Ehpad.
Aurélie Mathieu-Huart, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
La composition des protections féminines et les risques liés à leur usage sont une question de santé publique, comme en témoigne le récent décret encadrant leur étiquetage. Que faut-il savoir ?
Manger positif et durable pour sa santé et pour la planète, c’est possible. Pour cela, il faut adopter un régime méditerranéen et limiter le sucre non essentiel présent dans les aliments industriels.
Certaines situations de santé, comme les changements hormonaux durant la ménopause, peuvent entraîner une perte osseuse excessive. En prévention, l’alimentation et l’activité physique peuvent aider.
L’aspergillose est une grave maladie causée par une moisissure dont certaines souches résistent aux antifongiques. Or, ces mêmes antifongiques sont utilisés en agriculture, ce qui pourrait participer du problème.
Les effets des pesticides sur la santé des agriculteurs ont été constatés dès la fin du XIXᵉ siècle. Depuis, un lien clair a été établi entre ces produits et certains cancers plus fréquents dans la profession.
On trouve des émulsifiants dans un grand nombre d’aliments industriels. De nouveaux travaux révèlent un lien entre la consommation de ces additifs et une augmentation des risques de cancers.
Le système d’étiquetage nutritionnel Nutri-score a évolué au 1ᵉʳ janvier 2024, afin de tenir compte des recommandations nutritionnelles les plus récentes en vigueur en Europe. Voici ce qui change.
L’augmentation du nombre d’espèces de bactéries résistantes aux antibiotiques constitue une préoccupation de santé publique majeure, qui nous concerne tous, partout sur la planète.
Chercheur en sciences sociales et épistémologie de la santé mentale au Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm