Un « brouillard cognitif » peut perdurer après la fin de traitements de chimiothérapie ou hormonothérapie contre le cancer. Des prises en charge se mettent en place pour faire face à ces troubles.
Lucien Grados, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Le cancer colorectal tue chaque année plus de 20 000 personnes en France. Un chiffre qui pourrait être largement revu à la baisse si le dépistage était davantage suivi. Explications.
Didier Vinot, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3; Canolle Fabien, Université Grenoble Alpes (UGA), and Nathalie Bernard, Université Jean Moulin Lyon 3
Une recherche menée dans un centre de lutte contre le cancer apporte un éclairage intéressant sur la pratique de l’art-thérapie à l’hôpital. Destinée aux patients, elle bénéficie aussi aux soignants.
Laure Marivain, une fleuriste exposée sans le savoir aux pesticides pendant sa grossesse, a pu être indemnisée suite au décès par cancer de sa fille. Deux sociologues retracent son parcours.
Après un cancer du sein, la plupart des femmes reprennent le travail. Mais leurs trajectoires depuis le diagnostic jusqu’au retour dans l’emploi varient. On fait le point à l’occasion d’Octobre rose.
Les lipides issus du milieu marin se révèlent prometteurs contre les cancers. Soit en prévention à l’image des oméga-3 présents dans certains aliments (sardines, maquereaux…). Soit pour développer des agents thérapeutiques.
Pratiquer de l’activité physique adaptée (APA) est recommandé pour gérer la fatigue liée au cancer aux différentes étapes de la maladie. Un exemple dans le cancer du sein à l’occasion d’Octobre rose.
Ingrid Marcq, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) and Anoïsia Courtois, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
On le sait, la consommation d’alcool est dangereuse pour la santé. Mais on sait moins qu’il s’agit aussi d’un important facteur de risque de cancer du sein.
Amali Cooray, WEHI (Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research) ; John (Eddie) La Marca, WEHI (Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research) , and Sarah Diepstraten, WEHI (Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research)
Même lorsque les traitements contre le cancer ont bien fonctionné, les praticiens préfèrent généralement dire que leurs patients sont « en rémission » plutôt que « sans cancer » . Pourquoi ?
Pourquoi certains fumeurs développent-ils des cancers du poumon, tandis que d’autres sont épargnés par la maladie ? Au-delà du hasard, des facteurs génétiques pourraient expliquer en partie la situation.
Le gras influence certains cancers fréquents. Le rôle préventif des acides gras oméga-3 est bien documenté. Mais l'impact de la graisse en excès dans les situations d'obésité reste mal compris.
Le nouveau plan Écophyto, qui vise à réduire l’emploi des pesticides, fait débat. En cause, notamment, le remplacement de l’indicateur évaluant l’usage de ces substances toxiques pour la santé.
Cancers, Covid-19, Parkinson, hypoglycémie diabétique… Certains animaux sont capables de détecter de nombreuses affections. Entraînés, ils peuvent parfois constituer de précieuses aides au diagnostic.
S’assurer d’avoir une bonne hygiène bucco-dentaire peut limiter le risque de développer des maladies beaucoup plus graves, ailleurs dans son organisme.
Les gros animaux développent moins de cancers que l’humain, alors qu’ils possèdent beaucoup de cellules, chacune pouvant éventuellement évoluer en tumeur. Comment expliquer ce paradoxe ?
Anna N. Wilkinson, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Jean Seely, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Moira Rushton, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Suleena Duhaime, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La détection précoce est cruciale dans la lutte contre le cancer du sein. Pourtant, les nouvelles lignes directrices du Groupe d’étude canadien ne préconisent pas le dépistage chez les femmes de 40 ans.
Les produits pharmaceutiques modernes ont sauvé des millions de vies, mais on craint de plus en plus que ces médicaments posent un problème écologique pour la vie humaine et non humaine.
Clara Charlet, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Pionnier méconnu de la santé environnementale, Percival Pott établit dès 1775 un lien entre le cancer du scrotum et le métier de ramoneur qui fut prouvé plus de 100 ans plus tard.
Nesrine Kaaniche, Télécom SudParis – Institut Mines-Télécom and Aymen Boudguiga, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Les IA s’imposent comme des outils de diagnostic, mais comportent souvent des biais en défaveur de certaines populations. Comment développer des IA équitables sans sacrifier la vie privée des patients ?
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Maître de Conférence des Universités et Praticien Hospitalier à AP-HP.Sorbonne Université, spécialiste des prédispositions génétiques au cancer, Sorbonne Université
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)