Rue Lord-Byron
Apparence
8e arrt Rue Lord-Byron
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Situation | |||
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Arrondissement | 8e | ||
Quartier | Faubourg-du-Roule | ||
Début | Rue de Chateaubriand | ||
Fin | Avenue de Friedland | ||
Morphologie | |||
Longueur | 263 m | ||
Largeur | 11 m | ||
Historique | |||
Création | 1825 | ||
Dénomination | 1825 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 5692 | ||
DGI | 5751 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 8e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Lord-Byron est une voie du 8e arrondissement de Paris.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Elle commence rue de Chateaubriand et se termine avenue de Friedland.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle porte le nom du poète anglais George Noël Gordon, Lord Byron (1788-1824).
Historique
[modifier | modifier le code]La voie a été ouverte, sous sa dénomination actuelle, comme voie privée en 1825 sur les terrains de l'ancienne folie Beaujon par la Société du quartier de la chartreuse Beaujon, formée entre trois spéculateurs : Fortunée Hamelin (1776-1851), l'une des plus fameuses Merveilleuses sous le Directoire, et MM. Cottin et Rougevin.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- No 1 : Félicité de Lamennais (1782-1854), philosophe et écrivain y a demeuré en 1848)[1].
- No 12 : ancien siège de l'ambassade du Zimbabwe en France.
- No 14 : Union sociale pour l'habitat.
- No 16 : le poète anglais Lord Byron (1788-1824) aurait habité, ainsi que Théophile Gautier, une maison située à cet emplacement[1]
- No 17 : église luthérienne danoise de Paris, inaugurée en 1955 et membre de l'Église du Danemark.
- No 18 :
- hôtel de Jules Comte, membre de l'Institut, directeur de la Revue de l'Art ancien et moderne (en 1910)[1] ;
- ambassade du Pakistan en France.
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No 6.
-
No 18.
-
No 17.
Bâtiments détruits
[modifier | modifier le code]- No 1 : hôtel de M. Durieu de Lacarelle (en 1910)[1].
- No 4 : dans « un petit hôtel d'aspect élégant et mystérieux[2] », Blanche Delacroix rencontra en 1889 le roi des Belges Léopold II, dont elle deviendra la maîtresse jusqu'à la mort du souverain.
- No 5 : hôtel de style néo-Renaissance (en 1910)[1].
- No 21 : portiques des Champs-Élysées, construits en 1928 pour relier la rue Lord-Byron aux nos 144-146 avenue des Champs-Élysées et au no 4, rue Arsène-Houssaye[3].
Au cinéma
[modifier | modifier le code]Une scène du film Le Samouraï (1967) de Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon, est tournée au no 1 de la rue[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Rochegude, op. cit., p. 97.
- Baronne de Vaughan, Presque reine : mémoires de ma vie, Paris, Le Livre de Paris, , 255 p., p. 21.
- Robert Caplain, « Les Portiques des Champs-Élysées », in La construction moderne, Paris, mai 1928, no 35, pp. 409-419 [lire en ligne].
- « Le Samourai | 1967 », movie-locations.com, consulté le 23 août 2024.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Félix de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris. VIIIe arrondissement, Paris, Hachette, 1910.