Leimbach (Haut-Rhin)
Leimbach | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes de Thann-Cernay |
Maire Mandat |
Philippe Ziegler 2020-2026 |
Code postal | 68800 |
Code commune | 68180 |
Démographie | |
Population municipale |
923 hab. (2021 ) |
Densité | 259 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 47′ 37″ nord, 7° 06′ 07″ est |
Altitude | Min. 326 m Max. 663 m |
Superficie | 3,57 km2 |
Type | Petite ville |
Unité urbaine | Thann-Cernay (banlieue) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cernay |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Leimbach (prononcé [laimbak] Écouter ; en alémanique Laimbàch) est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Leimbachois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Leimbach est située à 350 m d'altitude, elle fait partie du canton de Cernay et de l'arrondissement de Thann-Guebwiller. Le village est situé au sud-ouest de Thann dans un petit vallon, au pied d'une colline, le Kürenburg, sur le ruisseau du Leimbaechle.
C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 967 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 10,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 309,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Leimbach est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thann-Cernay[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[12]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), terres arables (12,9 %), zones urbanisées (11,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]- Kurrenweg ;
- Jesuitgut ;
- Mülhberg ;
- Birken ;
- Gabels ;
- Jungeberg.
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Leymbach, 1323 ;
- Leimbach, 1361 ;
- Leinpach, 1520 ;
- Leimbach, 1544.
L'origine du nom du village semble provenir de l'ancien haut allemand (althochdeutsch)[16] Leim = argile et de Bach = ruisseau. La première mention du village remonte à l'année 1182.
Histoire
[modifier | modifier le code]Leimbach fit partie jadis des terres des comtes de Ferrette, puis des Habsbourg et était inféodé à la commune de Hohenrodern de la seigneurie de Thann avec les villages qui la composaient - Leimbach, Rammersmatt, Hohenrodern et Otzenwiller. Le village fut incorporé à Thann en 1361 et 1368 du point de vue juridique et fiscal. Ses habitants furent élevés au droit de bourgeoisie. Les couvents d'Oelenberg, Lucelle, Saint-Ursanne et Granvalle y possédaient des biens[17].
La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Finances communales
[modifier | modifier le code]En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :
- total des produits de fonctionnement : 457 000 €, soit 533 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 364 000 €, soit 425 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 370 000 €, soit 432 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 561 000 €, soit 655 € par habitant ;
- endettement : 71 000 €, soit 83 € par habitant.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 923 habitants[Note 6], en évolution de +7,33 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]La viticulture se développe dans la commune à partir du Moyen Âge et représente 48% des revenus de la commune en 1826. La surface dédiée à la viticulture atteint son maximum en 1899 avec 42 ha. Elle est réduite à 20 ha à la fin du XXe siècle, mais le vignoble de Leimbach bénéficie depuis le d’un classement en appellation d’origine contrôlée et est attesté depuis le comme étant la limite sud du vignoble alsacien. En 2004, il restait sept vignerons en activité dans la commune[27].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2015, les taux de fiscalité sont les suivants[22] :
- taxe d'habitation : 9,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,91 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 101,16 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Blaise
[modifier | modifier le code]Située à la sortie du village en direction de Rammersmatt, il ne subsiste juste encore que quelques vestiges épars, dont le portail de style roman[28]. Citée officiellement dans un document de l'année 1302, l'église semble en tout cas plus ancienne, comme l'attestent des fouilles archéologiques faites sur place et la présence du portail ouest de style roman. Vers 1468, les Suisses saccagent le village et l'église, mais celle-ci sera reconstruite. Lors du soulèvement paysan en 1525, l'église est de nouveau détruite. Avec la guerre de Trente Ans, l'église est à nouveau détruite, puis reconstruite. À la veille de la Révolution, l'université de Fribourg qui a pris la suite des Jésuites du couvent de l'Oelenberg, fait quelques travaux dans le chœur et la tour de l'église. Mais ces travaux furent entravés par la Révolution. En 1835, l'église est équipée d'un orgue installé par le facteur d'orgue Herissé qui sera remanié quelques années plus tard par Callinet. Durant la Première Guerre mondiale, le , l'église est touchée par plusieurs obus[29] et détruite par un incendie[30]. Reconstruite dès 1920, l'église est finalement implantée sur un autre lieu puis consacrée le sous le patronage de saint Blaise[31].
L'orgue de la nouvelle église a été réalisé en 2000 par Claude Jaccard[32].
-
Nouvelle église de Saint-Blaise.
-
Ruines de l'ancienne église de Saint-Blaise.
-
Chapelle Notre-Dame.
Chapelle de Notre-Dame de la Heiden
[modifier | modifier le code]Sur la carte Cassini, cette chapelle est connue sous le nom de Notre Dame sur la Haite. La date exacte de sa construction n'est pas connue[33]. Un inventaire de l'abbaye d'Oelenberg daté de 1666 signale cette chapelle. L'édifice est de taille modeste et est de forme rectangulaire terminée par une abside semi-circulaire. Pendant la Révolution, la chapelle fait l'objet de menaces car des prêtres réfractaires y célébraient la messe en dépit de l'interdit des autorités de l'époque. Finalement, la chapelle ne sera pas détruite. La commune ayant préféré à l'époque, pour préserver cette antique chapelle, la céder pour servir d'abri au garde-champêtre de la commune.
Autres sites et monuments
[modifier | modifier le code]- Monuments commémoratifs[34].
- Fontaine de 1624 et 1754[35].
- Bornes du XVIIIe siècle[36].
- Abbaye de Leimbach, monument historique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
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Les armes de Leimbach se blasonnent ainsi : |
Les armoiries ont été créées en 1980. Le portail rappelle l'ancienne église détruite pendant la guerre 1914-1918. La crosse est en relation avec l'appartenance au couvent d'Oelenberg.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Leimbach : village du Gottesthal : en hommage à Auguste Bruckert (1864-1953) à l'occasion du 40ème anniversaire de sa mort..., Leimbach, Société d'histoire et d'archéologie, , 198 p. (BNF 35589422, SUDOC 107398419).
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Leimbach, pp. 211
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des monuments historiques du Haut-Rhin
- Liste des communes du Haut-Rhin
- Lembach, commune du canton de Wissembourg dans le Bas-Rhin
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Leimbach sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thann-Cernay comprend deux villes-centres (Cernay et Thann) et sept communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- « Fiche communale de Leimbach », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Leimbach et Bitschwiller-lès-Thann », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thann-Cernay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Leimbach ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Leimbach (Adenau) Leimbach (bei Adenau)#Namensherkunft
- « Village cité en 1181 parmi les biens du couvent d'Oelenberg », notice no IA00024298, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
- [lien Fiche généalogique Jean-Adam FALLECKER], sur le site Geneanet
- Fiche généalogique Adolphe Joseph KIEFFER, sur le site Geneanet
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Albert Ehret, « Le vin et le vignoble de Leimbach », Annuaire de la Société d'histoire des régions de Thann-Guebwiller, vol. 21, , p. 19-21 (ISSN 1146-7371, lire en ligne, consulté le )
- Les ruines de l'église de Leimbach. L’un des sanctuaires des plus vénérés d’Alsace.
- La réparation des dommages de guerre. La doctrine du service des Monuments historiques en 1919 : L’exemple de l'église Saint-Blaise de Leimbach
- « Ancienne abbaye », notice no PA00085504, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Blaise », notice no IA00024169, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Leimbach, St Blaise Claude Jaccard
- « Chapelle Notre-Dame », notice no IA00024170, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument aux morts, Stèle commémorative
- « Fontaine », notice no IA00024186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Bornes », notice no IA00024301, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Archives Départementales du Haut-Rhin
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Leimbach » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).