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James M. Cain

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James M. Cain
Description de l'image James M. Cain.jpg.
Naissance
Annapolis, Maryland, États-Unis
Décès (à 85 ans)
Hyattsville, Maryland, États-Unis
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Anglais américain
Genres

Œuvres principales

James Mallahan Cain est un écrivain américain né à Annapolis dans l'État du Maryland (États-Unis) le et mort à Hyattsville, dans le Maryland, le à l'âge de 85 ans.

Après avoir enseigné les mathématiques et l'anglais au Washington College, il est mobilisé en 1918 en France et sera rédacteur du Lorraine Cross, journal officiel de la 79e division.

Entre autres métiers, il a été directeur d'édition au journal The New Yorker et scénariste. Il a publié sa première nouvelle à l'âge de 42 ans et obtint un important succès avec de nombreux romans noirs classiques[1].

Il légua son corps à la science[réf. nécessaire].

  • 1934 : Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman Always Rings Twice)
  • 1935 : Double indemnité (Double Indemnity) repris en 1944 dans le recueil Assurance sur la mort
  • 1936 : Sérénade (Serenade)
  • 1941 : Mildred Pierce
  • 1942 : Le Bluffeur (Love's Lovely Counterfeit)
  • 1944 : Assurance sur la mort (Three of a Kind) incluant les nouvelles Career in C Major, The Embezzler et Double Indemnity
  • 1946 : Au-delà du déshonneur (Past All Dishonor)
  • 1947 : Dans la peau (The Butterfly)
  • 1948 : La Perverse (Sinful Woman)
  • 1948 : Coups de tête (The Moth)
  • 1950 : La Femme Jalouse (Jealous Woman)
  • 1953 : Galatée (Galatea)
  • 1958 : The Root of His Evil
  • 1962 : La Belle de la Nouvelle Orléans (Mignon)
  • 1965 : La Femme du magicien (The Magician's Wife)
  • 1975 : Au bout de l'arc-en-ciel (Rainbow's End)
  • 1976 : The Institute (Le Mécène, Manitoba Les belles lettres, 2000)
  • 1984 : Cloud Nine
  • 1985 : The Enchanted Isle
  • 2012 : The Cocktail Waitress
    Manuscrit "perdu" , retrouvé par l’éditeur Charles Ardai au bout de plusieurs années de recherches[2],[3]. Ce manuscrit existait dans de multiples versions mais qui ne satisfaisaient pas à l'époque, James M. Cain. L'éditeur Charles Ardai a remanié plusieurs fois ce manuscrit avant de le publier en septembre 2012, 35 ans après la mort de l'auteur[4]. Ce livre a été publié pour la première fois en français le 20 août 2014, sous le titre Bloody Cocktail[5],[6] aux Éditions de l'Archipel.

Adaptations

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Notes et références

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  1. François Guérif, Le film noir américain, Paris, Denoël, , 413 p. (ISBN 2-207-24557-8), p. 104-118.
  2. (en) Christian DuChateau, « Long-lost noir masterpiece finally found », sur CNN, (consulté le ).
  3. (en) Charles Ardai, « The discovery of James M. Cain's lost novel The Cocktail Waitress », sur Independent, (consulté le ).
  4. (en) Michael Connelly, « Last Call », The New York Times,‎ , BR13 (lire en ligne).
  5. Alexandre Clément, « Bloody cocktail, The cocktail waitress, James M. Cain, L’Archipel, 2014 », sur le blog d'Alexandre Clément, (consulté le ).
  6. « Bloody Cocktail, de James M. Cain », sur Un polar-collectif, (consulté le ).

Liens externes

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