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Fay-les-Étangs

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Fay-les-Étangs
Fay-les-Étangs
La mairie.
Blason de Fay-les-Étangs
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Alain Ridel
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60228
Démographie
Population
municipale
470 hab. (2022 en évolution de +0,21 % par rapport à 2016)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 49″ nord, 1° 56′ 26″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 114 m
Superficie 8,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Fay-les-Étangs
Géolocalisation sur la carte : France
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Fay-les-Étangs
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Fay-les-Étangs
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Fay-les-Étangs
Liens
Site web https://www.mairiefaylesetangs.fr

Fay-les-Étangs est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Fay-les-Étangs est un village du Vexin français dans l'Oise, situé à 5 km au sud-est de Chaumont-en-Vexin, 13 km au sud-est de Gisors, 23 km au sud-ouest de Beauvais, 15 km à l'ouest de Méru.

Le village est accessible par l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923) qui passe tout à proximité, au nord, selon un axe est-ouest.

En 1827, Louis Graves indiquait que « le village est situé à l'extrémité du territoire vers Loconville. Une partie du sol au nord est crayeuse ; le sable domine dans la région intermédiaire, et des marais occupent le midi de la commune dont la surface n'est traversée par aucun cours d'eau. Les maisons sont bâties en bois, et couvertes en chaume[1] »

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Fay-les-Étangs
Boissy-le-Bois
Loconville Fay-les-Étangs Fleury
Liancourt-Saint-Pierre Tourly

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Troesne, le canal de la Garenne[2], le canal Saint-Clair[3] et un autre petit cours d'eau[4],[Carte 1].

La Troesne, d'une longueur de 27 km, prend sa source dans la commune de Hénonville et se jette dans l'Epte à Gisors, après avoir traversé douze communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Fay-les-Étangs[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Fay-les-Étangs est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,6 %), prairies (12,9 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 190, alors qu'il était de 188 en 2014 et de 160 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 96,3 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fay-les-Étangs en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 94,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (95,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Fay-les-Étangs en 2019.
Typologie Fay-les-Étangs[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 96,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 0 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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Les stations de chemin de fer les plus proches sont les gares de Liancourt-Saint-Pierre et de Chaumont-en-Vexin, respectivement à 6,4 et 8,3 km, desservies par les trains du réseau Transilien Paris Saint-Lazare (ligne J), et la gare de Méru, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.

Une navette gratuite est mise en service les vendredi matin tous les quinze jours par la commune pour se rendre à Chaumont[14].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 608, 6106, 6133 et 6136 du réseau interurbain de l'Oise[15].

La prononciation locale de Faye (au XXe siècle) est en API [fajiː][16].

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Faÿ en 1090[16], Fayel les étangs au XVIIe siècle[17], mais au siècle suivant sur la carte de Cassini le Fay (ou *le Faÿ) avec le hameau Faï indiqué immédiatement à l'est[18].

L'origine du nom de Faye vient du latin fagea qui signifie « hêtraie », avec le suffixe collectif -etum[19], ou directement du latin fagus « hêtre » avec le suffixe collectif -etum, ce qui donne la même signification[16].

L'appellation les-Étangs provient de la proximité des étangs de la vallée de la Troesne[16], deux étangs figuraient au sud en bordure du village sur la carte de Cassini, dans une zone actuellement marécageuse en partie drainée[18], aujourd'hui convertie en prairies.

Le , Faÿ prend le nom de Fay-les-Étangs[20].

Louis Graves indiquait en 1827 « Le patronage de la paroisse de Fay, aujourd'hui succursale sous l'invocation de St.-Vaast, fut donné en 1209 par l'archevêque de Rouen à l'abbaye de Gomerfontaine ; ce patronage causa, au seizième siècle, un procès entre cette al›baye et celle de St.-Germer qui fut déboutée .par sentence du 25 mai 1660 ; et..cependant l'abbé de St.-Germer resta gros décimateur[1] ».

En 1827, la commune disposait d'une école. Un moulin à eau fonctionnait, alimenté par le trop plein de pièces d'eau[1].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaumont-en-Vexin[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Fay-les-Étangs est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Élisabeth Mauny    
mars 2008 mai 2020 Thierry Ananos[22]   magasinier
mai 2020[23] En cours
(au 2 décembre 2021)
Alain Ridel    

Équipements et services publics

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L'école.

Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Fleury et de Fresne-Léguillon dans le cadre d'ujn regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Faÿ-les-Etangs accueille la classe de CE1[24].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2022, la commune comptait 470 habitants[Note 3], en évolution de +0,21 % par rapport à 2016 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
267259273233443256268277257
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
273268275263259255235245195
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
221231227232196165163154156
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
151160168258284368395399447
2017 2022 - - - - - - -
471470-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 230 hommes pour 240 femmes, soit un taux de 51,06 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
7,1 
75-89 ans
9,8 
11,4 
60-74 ans
14,4 
23,1 
45-59 ans
18,9 
24,1 
30-44 ans
20,2 
14,2 
15-29 ans
12,1 
20,1 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le château ;
  • L'église Saint-Vaast, située en bordure de l'ancienne zone marécageuse de la Troësne, et caractérisée par son clocher élancé, présente des parties datant des XIe au XVIe siècle. La nef, la base et le premier étage du clocher datent du XIe siècle. La nef — de style gothique — percée de fenêtres plus récentes et soutenue par des contreforts du XIIIe siècle et intéressante par son appareil en arêtes de poisson et sa corniche romane à modillons. La voûte en berceau plein cintre de la travée du clocher a été conservée. Au nord de la nef se trouve une chapelle construite vers 1200, voûtée d'ogives retombant sur des culots et éclairées par trois simples lancettes soulignées par une moulure biseautée. Le deuxième étage du clocher, ajouré sur chaque face de deux hautes et étroites baies géminées que soulignent des colonnettes, date de la même époque.
    Au début du XIVe siècle est construit au sud de la base du clocher une chapelle dédiée à saint Jean Baptiste et sans doute à usage seigneurial, qui est éclairée au sud par une belle fenêtre à deux lancettes surmontées d'une rose à cinq lobes. Le chœur à deux travées et chevet plat date lui du XVIe siècle et dispose de 5 fenêtres en style gothique flamboyant[30]

Personnalités liées à la commune

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Filmographie

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Des scènes du film Magistrate sont tournées en octobre 2024 dans la commune[31].

Héraldique

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Blason de Fay-les-Étangs Blason
Taillé: au 1er de gueules à la feuille de chêne d'argent posée en bande, au 2e de sinople poisson d'argent nageant en bande; à la bande ondée d'argent brochant sur la partition[32].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Faÿ-les-Étangs, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 125-126

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Fay-les-Étangs » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fay-les-Étangs ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fay-les-Étangs » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fay-les-Étangs - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fay-les-Étangs - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 291-292, sur Google Livres.
  2. Sandre, « le canal de la Garenne »
  3. Sandre, « le canal Saint-Clair »
  4. « Fiche communale de Fay-les-Étangs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. Sandre, « la Troesne »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Fay-les-Étangs et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Navette gratuite », sur mairiefaylesetangs.fr (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Fay-les-Étangs », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. a b c et d Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , p. 91.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 2e éd..
  18. a et b « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 280..
  20. Décret du 5 janvier 1965 portant changement de noms de communes, JORF no 7 du 9 janvier 1965, p. 213, sur Légifrance.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Fay-les-Etangs », Cartes de France (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Ecole », Jeunesse / Seniors, sur mairiefaylesetangs.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fay-les-Étangs (60228) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. Dominique Vermand, « Fay-les-Etangs, église Saint-Vaast : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  31. Mireille Cardot, « Louise Bourgoin tourne un film au cimetière », Courrier picard,‎ , p. 2
  32. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).