Aller au contenu

Delincourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Delincourt
Delincourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Edith Martin
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60195
Démographie
Gentilé Delincourtois, Delincourtoises
Population
municipale
533 hab. (2022 en évolution de +11,51 % par rapport à 2016)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 38″ nord, 1° 49′ 58″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 144 m
Superficie 8,05 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Delincourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Delincourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Delincourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Delincourt
Liens
Site web http://delincourt.fr/

Delincourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]
Ambiance de la commune : la rue du Mesnil.

Delincourt est un village du Vexin français du département de l'Oise, dans la vallée du Réveillon situé entre Chaumont-en-Vexin et Gisors, à 27 km au sud-ouest de Beauvais, 58 km ausud-est de Rouen, 30 km au nord-ouest de Pontoise et 22 km à l'ouest de Méru.

Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 15 (France) (actuelle RD 915) reliant Pontoise à Dieppe.

Louis Graves indique en 1827 que « le village est traversé par le ruisseau qui divise le territoire de la commune en deux parties presqu'égales ; il se compose de plusieurs groupes d'habitations, tous situés dans le vallon du Réveillon, et dans un petit embranchement au Midi ayant cours d'eau ; l'accès du village est difficile, et à cause de la conformation du territoire partagé par un vallon profond et escarpé toute la culture est éloignée des habitations. Chaque groupe de maisons a un nom particulier ; les principaux sont le Cornouiller et le Mesnil, mais ils sont trop rapprochés du centre pour pouvoir être considérés comme hameaux[1] ».

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

En 1859, la géologie de la commune est décrite comme renfermant « les gisements suivants : bande étroite d'argile plastique avec ses sables, calcaire grossier moyen et inférieur fossilifère servant de fondements au village. Vers Lattainville, sables glauconieux avec nummulites. À gauche de la vallée, sable moyen. Tourbe dans la même vallée. Des carrières sont ouvertes dans le calcaire moyen[2] ».

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Reveillon, le cours d'eau 01 de la commune de Delincourt[3], le Réveillon[4] et le ruisseau de Frangicourt[5],[6],[Carte 1].

Le Réveillon, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Boubiers et se jette dans l'Epte à Gisors, après avoir traversé six communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Delincourt[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le plan d'eau de la commune de Reilly, d'une superficie totale de 1,5 ha (0,1 ha sur la commune)[Carte 1],[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Delincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,2 %), forêts (13,5 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), prairies (1,1 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 258, alors qu'il était de 263 en 2013 et de 273 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 79,1 % étaient des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Delincourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Delincourt en 2018.
Typologie Delincourt[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 79,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 608, 6106 et 6136 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Le nom de la localité est attesté sous les formes super molindinum de Delincort (1237)[18] ; Derincort (1252) ; Derincourt (1252) ; Drincort (XIIIe) ; Elincurt (vers 1300) ; Delincuria (1337) ; de Lincuria (1366) ; Delincourt (1530)[18] ; Elincourt[1] (vers 1530) ; Lincourt[1] (XVIe) ; Délincourt (1840)[18].

Antiquité et Moyen Âge

[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Frion indique en 1859 que « sur le plateau, au-dessus et près d'Egremont, on a trouvé çà et là des restes de fondations de maisons et des puits remplis de briques et de tuiles brisées. On nomme le lieu Tournois. Ou remarque aussi à la porte de la ferme d'Egremont des vestiges d'anciennes fortifications. Il est probable qu'il a existé un château-fort sur ce point, et qu'il aura été détruit, ainsi que la partie du village qui s'étendait de ce côté, lors des guerres avec les Normands ou les Anglais[2] ».

Sous l'Ancien Régime, Delincourt est une seigneurie qui a longtemps appartenu au chapitre de Saint Mellon de Pontoise

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

En 1827, Louis Graves indique que « la commune possède un presbytère et une école à côté de l'église , le cimetière n'a pas été déplacé ; il y a environ 20 hectares de terrains communaux , partie en pâture, partie en friche et partie en marais susceptibles de plantation; il y avait aussi une carrière communale qu'on dit épuisée[1] ». A cette époque, Delincourt compte trois carrières et deux moulins à eau. La population vit essentiellement des activités agricoles[1].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Delincourt est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Roland Fontaine[Note 3] DVG  
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 avril 2014 Philippe Merieau PCF Instituteur spécialisé
2014[20] En cours
(au 2 décembre 2021)
Édith Martin   Ouvrière
Réélue pour le mandat 2020-2026[21]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a favorisé l'installation d'une épicerie dans un local communal[22].

La commune a aménagé près du cimetière un city-stade en 2019[23].

Enseignement

[modifier | modifier le code]
Les écoles.

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Chambors, Lattainville et Reilly dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) des quatre villages de la Vallée du Réveillon.

En 2017, les Petites et Moyennes section de maternelle sont accueillis à l'école de Chambors, les Grande section et CP sont à l'école de Reilly, les CE1-CE2 et CM1-CM2 le sont à l'école de Delincourt, où se trouve égalemebt la cantine et l'accueil périscolaire[24].

Postes et télécommunications

[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune est située en zone blanche pour la réception de la téléphonie mobile. Toutefois, le projet de création d'un pylône relai à proximité d'habituations a suscité des oppositions locales[25].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2022, la commune comptait 533 habitants[Note 4], en évolution de +11,51 % par rapport à 2016 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
488508493525571564549504553
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
553511504503462431455464445
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
447430450383370360343332335
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
296286332447503510542547511
2015 2020 2022 - - - - - -
485514533------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 236 femmes, soit un taux de 51,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
1,6 
4,9 
75-89 ans
8,8 
23,8 
60-74 ans
23,7 
20,0 
45-59 ans
21,3 
16,2 
30-44 ans
14,5 
14,3 
15-29 ans
14,1 
19,2 
0-14 ans
16,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église Saint-Léger, côté sud.

Delincourt compte un monument historique sur son territoire :

L'église actuelle remplace un édifice plus ancien, mais sa nef remonte néanmoins à la fin du XIe ou au début du XIIe siècle. Des remaniements au XVIIIe siècle lui ont enlevé son authenticité, et les arcades de l'exceptionnel porche du début du XIIIe siècle ont alors été bouchées.
Les parties orientales conservent tout leur intérêt, et sont d'une architecture recherchée. Elles ont été bâties par le chapitre de la collégiale royale Saint-Mellon de Pontoise, qui fut le collateur de la cure sous l'Ancien Régime.
Le transept et le chœur sont de style gothique primitif, mais leurs voûtes d'ogives et leurs chapiteaux particulièrement remarquables évoquent le style roman tardif. Ils datent du troisième quart du XIIe siècle. Le clocher en bâtière central, qui s'élève au-dessus de la croisée du transept, n'a été achevé qu'au début du XIIIe siècle, et est plus résolument gothique. Il séduit surtout par ses dimensions très judicieusement définies. Bientôt après son achèvement, l'église a été agrandie par l'adjonction de deux collatéraux au nord et au sud du chœur. Leurs voûtes n'ont été réalisées qu'après coup, ou ont été refaites, vers le début du XIVe siècle, et deux des fenêtres à remplage datent de la même époque. La substance semble toutefois bien plus ancienne. L'église Saint-Léger connaît un dernier agrandissement sous la Révolution française en 1792, quand le chœur est prolongé vers l'est par une abside à pans coupés, dont la voûte a dû être refaite en bois vers 1860[32],[33].

On peut également signaler :

  • la pierre levée (menhir) ;
  • le lavoir couvert, à côté de la mairie ;
  • une motte (un monticule à pentes rapides) surmontée de ruines féodales, avec sous le monticule un souterrain creusé dans le calcaire grossier. L'entrée est situé dans la cave du manoir ; une rampe de 32 marches y donnent accès[34].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Delincourt Blason
De gueules aux trois marteaux d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Abbé Cyrille-Auguste Baticle, Histoire de Delincourt, Pontoise, A. Pâris, coll. « Publications de la Société historique du Vexin », , 195 p. (lire en ligne [PDF])
  • Louis Régnier et J. Le Bret, Épigraphie du canton de Chaumont-en-Vexin, Beauvais, , 284 p. (lire en ligne), p. 79-91 et 178, sur Gallica

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le stade de la commune porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Delincourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 287-288, sur Google Books.
  2. a et b Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Achille Desjardins, , 218 p. (lire en ligne), p. 133-136, sur Google Books.
  3. Sandre, « le cours d'eau 01 de la commune de Delincourt »
  4. Sandre, « le Réveillon »
  5. Sandre, « le ruisseau de Frangicourt »
  6. « Fiche communale de Delincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  7. Sandre, « le Réveillon »
  8. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Delincourt et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Delincourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. a b et c Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 180.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Delincourt », Cartes de France (consulté le ).
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. Guillaume Voisenet, « À Delincourt, l'épicerie est le nouveau point de ralliement : Le commerce de proximité, situé en plein centre du village, permet depuis quelques mois aux habitants de se retrouver pour faire leurs courses ou prendre un verre », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Matthieu Le Tirant, « Le city stade inauguré à Delincourt dans l'Oise : Les sportifs de cette commune picarde peuvent désormais profiter d'un nouvel espace dédié à la pratique de nombreuses disciplines », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Le RPI : Regroupement Pédagogique Intercommunal », Vie scolaire, sur delincourt.fr, (consulté le ).
  25. « L'implantation d'un pylône pour la téléphonie mobile divise Delincourt dans l'Oise : Rien ne va plus entre les habitants de cette petite commune de l'Oise qui se divisent sur l'implantation d'un pylône relais. Celui-ci devrait sortir la commune de sa zone blanche », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Delincourt (60195) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  31. « Église Saint-Léger », notice no PA00114674, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Delincourt, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 111-112.
  33. Dominique Vermand, « Delincourt, église Saint-Léger : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  34. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 352.