Montebourg
Montebourg est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 2 001 habitants[Note 1].
Montebourg | |
L'église Saint-Jacques. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Jean-Pierre Mauquest 2020-2026 |
Code postal | 50310 |
Code commune | 50341 |
Démographie | |
Gentilé | Montebourgeois, Cassins |
Population municipale |
2 001 hab. (2021 ) |
Densité | 340 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 29′ 16″ nord, 1° 22′ 46″ ouest |
Altitude | Min. 21 m Max. 116 m |
Superficie | 5,89 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Valognes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mtbg341.jimdo.com |
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Géographie
modifierLa commune est à l'est de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 7,5 km à l'est de Valognes, à 10 km au nord-ouest de Sainte-Mère-Église et à 17 km au sud-ouest de Saint-Vaast-la-Hougue[1].
Montebourg est desservie par la ligne no 301 (Carentan-les-Marais - Cherbourg-en-Cotentin) du réseau de transport en commun de la région Normandie, Nomad.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montebourg est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,1 %), zones urbanisées (17,5 %), terres arables (15,3 %), mines, décharges et chantiers (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe toponyme est attesté sous la forme latinisée Montis Burgi en 1042[14].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -bourg. L'appellatif bourg est issu dans la région du vieux normand burc, borc, semblable à l'ancien français borc (> bourg). Il apparaît dans des noms de lieux régionaux tels que Cherbourg, Jobourg, Cabourg, Vambourg, Caillebourg, etc. dans des formations qui peuvent être d'origine saxonnes ou anglo-scandinaves. Cependant Montebourg est un composé roman, puisque l'élément Monte- remonte ultimement au latin. Il s'agit sans doute d'un déverbal utilisé au sens de « monte bourg », c'est-à-dire « le bourg vers lequel on monte » et non pas un « bourg du mont » comme l'indique la forme latine, qui aurait donné *Montbourg[14].
Le site de Montebourg, dit René Lepelley, s’élève à environ 70 mètres au-dessus du niveau de la mer alors que Valognes, à cinq kilomètres de là, n’est qu’à 35 mètres.
Le gentilé est Montebourgeois. Les habitants sont également couramment appelés « Cassins », ce qui évoque la fondation de l'abbaye sur le modèle bénédictin de Mont-Cassin en Italie[15].
Histoire
modifierOn connaît peu de choses des origines de la paroisse de Montebourg qui apparaît dans les sources médiévales en 1042 dans un acte de Guillaume de Normandie pour l’abbaye Saint-Vigor de Cerisy, dans lequel celui-ci concède des droits dans la forêt de Montebourg[16]. Mais, à cette époque, on n’a pas encore mention d’une communauté d’habitants ni d’une paroisse. C'est Guillaume, qui dans la deuxième moitié du XIe siècle fonde l'abbaye Notre-Dame, qui est du domaine ducal. La paroisse est à nouveau mentionnée dans des actes du duc Robert Courteheuse.
Au début de la guerre de Cent Ans, lors de la chevauchée d'Édouard III qui se terminera par la bataille de Crécy et la reddition de Calais, l'armée anglaise, fraîchement débarquée à la Hougue le , prend et brûle la ville[17].
En 1379, la place est tenue par Guillaume des Bordes, lieutenant du roi de France en Basse-Normandie. Froissart raconte que ce dernier, cette année là, à la Saint-Martin d'été (Saint-Martin le bouillant), le , il part avec ses principaux lieutenant pour marcher sur Cherbourg, dont le commandant Anglais, John Harliston, par hasard sort lui aussi. Les deux troupes se rencontreront dans la forêt de Brix[18].
En juin 1944, Montebourg, qui se situe à quelques kilomètres au nord-ouest d'Utah Beach, sera le lieu de durs combats dès les premiers jours de la bataille de Normandie[19]. Dès leur débarquement sur les plages proches, les Américains essayent de progresser vers le nord pour prendre Cherbourg et son port, vital pour l'approvisionnement des troupes alliées. Ils vont se heurter à hauteur de Montebourg à une forte résistance allemande. Ainsi du au , la 4e division d'infanterie américaine commandée par le général Barton et une partie de la 29e division d'infanterie américaine vont être bloquées devant une ligne Le Ham - Éroudeville - Montebourg - Quinéville par la résistance des 243e Infanterie-Division commandée par le général Hellmich (sur le secteur d'Éroudeville - Montebourg) et de la 709e Infanterie-Division allemandes commandée par la général von Schlieben (secteur de Montebourg - Quinéville)[19].
Montebourg est en grande partie détruite pendant ces combats. Cette résistance poussera le commandement américain à favoriser une attaque vers l'ouest, à travers les zones inondées du Merderet, conduisant à la coupure du Cotentin.
Foires de Montebourg
modifierDepuis le XIe siècle, Montebourg est dans le Cotentin une importante ville de foire, réputée pour les bovins, avec pas moins de onze foires annuelles, drainant des marchands vers la commune.
C'est au cours du XIIIe siècle qu'est créée la foire annuelle de La Chandeleur ()[20]. D'autres foires se déroulaient à Montebourg : les Brandons (en février) ; le se tenait la foire dite de la Maresque ; à la veille des Rameaux, la foire de la Fleurye ; aux Rogations le jeudi après l'Ascension, celle de Rouvaysons ; une autre foire le (ventes de moutons), ainsi que, à une époque plus récente, celle de la Saint-Floxel en septembre (concours de poulinières), sur la place Saint-Jacques[21].
Héraldique
modifierLes armes de la commune de Montebourg se blasonnent ainsi : |
On trouve ce blason dans l’église Saint-Jacques, sur un cartouche au pied du christ en croix sur la « perque » qui marque la séparation du chœur et de la nef entre les deux piliers de l’arc triomphal. L’écu de Montebourg est placé sur deux bourdons (bâtons de pèlerins) posés en sautoir ; en dessous pend une coquille Saint-Jacques, qui rappelle le passage des pèlerins anglais en marche vers le Mont-Saint-Michel et plus loin, Compostelle en Espagne.
La commune est décorée de la croix de guerre 1939-1945 par décret du , avec palme de bronze[23].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierAdministration municipale
modifierLe conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et deux adjoints[25].
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2021, la commune comptait 2 001 habitants[Note 3], en évolution de −3,89 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Montebourg a compté jusqu'à 2 535 habitants en 1836.
Économie
modifierLa commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) beurre d'Isigny et crème d'Isigny[31].
Lieux et monuments
modifier- Oppidum du Mont Castre, antérieur à la conquête romaine[32] et dont la réoccupation militaire du site par les romains peut-être envisagée[33],[Note 4]. Mentionné sous le nom d'« Oppidum Duurunum » dans la Passion de saint Floxel, le site fortifié de hauteur[Note 5] pourrait également avoir abrité un habitat aristocratique. Le retranchement, située au nord-est du bourg, à l'ouest de la maison Vadet, se compose d'une vaste enceinte circulaire enserrant une zone de trois hectares avec à la fois le sommet et le flanc nord d'un relief culminant à 108 m d'altitude. Les talus qui peuvent atteindre 6-8 mètres de hauteur, sont par endroits renforcés de parements résiduels en blocs de grès armoricain[36].
- Église Saint-Jacques du XIVe siècle avec flèche en pierre. Elle est en partie détruite pendant le débarquement, et sur laquelle sont encore visibles des impacts de balles et d'obus. Sa construction avait été décidée par l'abbé de Montebourg au début du XIVe siècle : elle a été consacrée le par l'évêque de Coutances, Guillaume de Thieuville. Un vitrail du XIXe placé dans le bas-côté sud du chœur, détruit en 1944, rappelait cet événement. L'édifice, restauré selon les plans de Yves-Marie Froidevaux et J. Traverse, reste inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [37]. Elle abrite un chapiteau du XIIe servant de fonts baptismaux et deux statues de saint Jacques, l'une en pèlerin, l'autre en apôtre, classés au titre objet[38], et une verrière du XXe de Pierre Potet.
- Abbaye Sainte-Marie fondée par Guillaume le Conquérant dans la deuxième moitié du XIe siècle selon l'ordre de Saint-Benoît observé au Mont Cassin, et confiée par le roi Henri Ier Beauclerc à Richard de Reviers au début du XIIe siècle. L'église a été consacrée seulement en 1152, en présence de l'archevêque de Rouen Hugues d'Amiens, des évêques de Coutances et d'Évreux, et des seigneurs locaux, dont Guillaume de Vernon, patron et protecteur de l'abbaye. Les bâtiments, vendu comme biens nationaux ont été détruits pendant et après la Révolution française (1818), mais l'église a été reconstruite en style néo-roman entre 1892 et 1903. Aujourd'hui, les bâtiments de l'abbaye sont occupés par un collège et lycée agricole privé. Le logis abbatial date du XVIIe siècle.
- Ferme de l'abbaye.
- Statue de Jeanne d'Arc, sculptée par Pierre Le Nordez[39] (cheval) et Mathurin Moreau (Jeanne d'Arc) à la fin du XIXe siècle, inscrite au titre des monuments historiques depuis le [40]. C'est l'évêque Albert Le Nordez, né à Montebourg, qui l'a commandée à son oncle[41].
- Monument dédié aux soldats de la 4e division d'infanterie US morts lors des combats de libération de la commune. Il est érigé avec les pierres d'une échauguette du XVe siècle[32].
- Vieux quartiers de la Foulerie.
- Vestiges d'une muraille du XIIIe siècle à contreforts, dont l'un est coiffé d'une tourelle en échauguette. Dans l'état des connaissances, il n'est pas possible d'attribuer ce pan de mur, qui pourrait être un vestige de l'ancien château fort, ou de l'enceinte de l'abbaye[34].
Activité et manifestations
modifierSports
modifierL'Amicale sportive de Montebourg fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[42].
La Société des amis des écoles laïques de Montebourg (SAEL) propose différentes disciplines (tir à l'arc, boxe française, tennis de table, badminton…).
Manifestations
modifierUne « foire de la chandeleur », dont l'origine remonte au Moyen Âge[43], a lieu chaque année à Montebourg fin janvier ou début février[44].
Jumelages
modifier- Walheim (Allemagne) depuis 1960[45]. Walheim a été intégrée à la ville d'Aix-la-Chapelle (Aachen) en 1972.
- Sturminster Newton (Royaume-Uni).
- Saint-Sauveur (Guernesey).
-
Comité de jumelage Aachen-Walheim.
-
Comité de jumelage Sturminster Newton.
-
Comité de jumelage Saint Saviour, Guernsey.
Personnalités liées à la commune
modifier- François de Carbonnel de Canisy (baptisé vers 1656 - mort en 1723), abbé commendataire de l'abbaye de Montebourg ; en 1718, il fonde l'hôpital de Montebourg.
- Charles-François Tiphaigne de La Roche (Montebourg, - Montebourg, ), médecin et écrivain français.
- Guillaume Besnard-Duchesne (Montebourg, 1747 - 1826), homme politique français, lieutenant particulier du bailliage de Valognes, député du tiers état aux états-généraux de 1789, député de la Manche, en 1815, pendant les Cent-Jours.
- Ernest Le Nordez (Montebourg, 1839 - Marseille, 1905), journaliste-écrivain français ; frère ainé d'Albert Le Nordez.
- Albert Le Nordez (Montebourg, 1844 - Montebourg, 1922), conférencier et prélat catholique français. Il est aussi connu pour l'affaire Le Nordez, simple polémique devenue affaire d'État, précipitant l'adoption de la loi de séparation des Églises et de l'État, en 1905.
- Paul Le Cacheux (Montebourg, 1873 - 1938), historien et archiviste français.
- Edmond-Marie Poullain (Montebourg, - Granville, ), magistrat, peintre-graveur et aquafortiste français.
- Joseph Lecacheux (Montebourg, 1880 - 1952), homme politique français, médecin de profession.
- Maurice Lucas (1896-1988), homme politique français, ingénieur agricole de formation. Il fonde la laiterie de Montebourg en 1935 et en reste président pendant une cinquantaine d'années.
- Michel Hébert, écrivain de romans policiers et d'ouvrages régionaux, y est né en 1933.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 147.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 408.
Articles connexes
modifierLiens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site municipal
- Résumé statistique de Montebourg sur le site de l'Insee
- Site sur Montebourg
Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale 2021.
- Passionné d'aérostation, il construisit un ballon à hélices qui ne volera jamais, et, il multiplia les constructions à Montebourg, et sera déclaré inéligible[26].
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le site aurait assuré la protection de la voie Carentan - Cherbourg[34].
- C'est la même logique qui a conduit au choix des sites de Saint-Lô, Coutances, du village de Brix et du château d'Abilant, dit aussi du Mont-Haguais à Quettehou. Seul le castrum de Cherbourg implanté en fond d'estuaire en position encaissée, s'en distingue[35].
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montebourg et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montebourg ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Éditions Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4), p. 160.
- Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays cassin, 1982, Heimdal, ASIN : B0014KB05O.
- Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Manche attestés entre 911 et 1066 », dans Annales de Normandie, janvier 1951, p. 30.
- André Plaisse, La grande chevauchée guerrière d'Édouard III en 1346, Cherbourg, Éditions Isoète, , 111 p. (ISBN 2-905385-58-8), p. 51.
- Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 15.
- Yann Magdelaine, Atlas du Débarquement, éd. Ouest-France, , 103 p. (ISBN 978-2-7373-5657-5), p. 42.
- Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 20.
- Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 77-79.
- « GASO, la banque du blason - Montebourg »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- [PDF] « Mémorial Dormans - Communes décorées de la croix de guerre 1939-1945 » (consulté le ).
- « Jean-Pierre Mauquest », sur jean-pierre-mauquest.jimdo.com (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Montebourg (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Gautier 2014, p. 211.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
- Gautier 2014, p. 408.
- Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », p. 12.
- Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 102.
- ArchéoCotentin t. 2, p. 32-33.
- ArchéoCotentin t. 2, p. 33.
- « Église », notice no PA00110459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapiteau », notice no PM50000682, « statue : Saint Jacques le Majeur en pèlerin », notice no PM50000684 et « statue (grandeur nature) : Saint Jacques apôtre », notice no PM50000683, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le Nordez | E-monumen », sur e-monumen.net, (consulté le ).
- « Monument à Jeanne d'Arc ou statue de Jeanne d'Arc », notice no PA50000054, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Pierre Le Nordez — Wikimanche », sur wikimanche.fr (consulté le ).
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Am. S. Montebourg » (consulté le ).
- Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 20.
- Marie-Brigitte Leflot, « La Chandeleur 2017 à Montebourg », sur Francebleu.fr, (consulté le ).
- (de) Aachen-Walheim-Montebourg..