Située au cœur d’une région dynamique, l’Université d’Angers accueille plus de 24 000 étudiants sur ses trois campus angevins et deux campus délocalisés (à Cholet et Saumur).
Sous l’impulsion du président élu et de son équipe de vice-présidents, quelque 1 800 permanents, enseignants-chercheurs et personnels administratifs ou techniques, assurent le bon fonctionnement de l’institution pluridisciplinaire dédiée à la recherche et à la formation.
Une recherche tournée vers l’avenir
- Plus de 800 chercheur·e·s dans 25 unités, dont 13 labellisées par des organismes de recherche (CNRS, Inserm, Inra)
- 500 doctorant·e·s (40 % de profils internationaux)
- Des axes forts de recherche dans les domaines du végétal, des matériaux, de la santé, des mathématiques et sciences du numérique, et des sciences humaines et sociales
- Une volonté affirmée de transférer les technologies et compétences vers le monde socio-économique (65 brevets, 6 créations d’entreprises issues des résultats de la recherche…)
- Des conférences ouvertes à tous et une plateforme d’open access
1re en France pour le taux de réussite en licence
- Une palette de 400 diplômes, en formation initiale ou continue
- Des cursus dans tous les grands secteurs disciplinaires
- Des liens étroits avec le monde professionnel (50 formations en alternance)
- Des méthodes d’enseignement innovantes
- Des écoles d’été internationales pour apprendre autrement
- La possibilité de partir étudier à l’étranger (via les programmes Erasmus+, Isep ou dans les 170 universités étrangères partenaires)
- Une excellente insertion professionnelle des diplômé·e·s (90 %)
Fondée une première fois au XIe siècle, et recréée au début des années 1970, elle cultive depuis le goût de l’audace, et multiplie, en lien avec son territoire, les projets innovants pour construire le monde de demain.
La démocratie sanitaire ambitionne d’impliquer dans les politiques de santé non seulement les soignants, mais aussi les usagers. Un concept qui a achoppé sur la crise due à la pandémie de Covid-19.
Publiée en ce début février 2023, la première enquête historique sur les pratiques illicites dans l'adoption internationale interroge leur caractère systémique.
Comment permettre à toutes les familles d’avoir accès à un mode d’accueil pour leurs enfants de moins de 3 ans ? C’est l’enjeu des concertations autour d’un service public de la petite enfance.
Contrairement aux idées reçues, le corset continue d’être la solution miracle pour obtenir une silhouette de jeune fille moderne, mince et galbée, valorisée tout au long des années 1920.
L’utilisation de l’IA dans le diagnostic par des experts humains est une révolution en cours qui reste mal comprise. Voici ce dont elle est déjà capable… et ce qu’elle pourrait permettre demain.
Le référendum d’initiative partagée (RIP) peut-il être un véritable outil démocratique ou est-il condamné à n’être qu’une arme de guérilla parlementaire ?
Les moustiques vecteurs de pathogènes sont un problème de santé publique, une nouvelle approche basée sur la chimie permettrait de rendre les traitements plus efficaces.
Monnaie « hélicoptère », annulation des dettes publiques… Pourquoi les approches monétaires hétérodoxes ne parviennent-elles pas à remplacer la doxa monétariste ?
Les violences gynécologiques ou obstétricales ne relèvent pas toujours du pénal. Le droit offre aux victimes d’autres recours, parfois méconnus, pour dénoncer ces atteintes.
Bien identifier un cancer est la clé pour lancer le bon traitement. Les oncologues disposent d’une nouvelle aide génétique : le « méthylome ». De quoi s’agit-il ? Décryptage d’une révolution en cours.
Femme émancipée à l’allure androgyne, la figure de la garçonne fut aux avant-postes de la modernité. Mais elle déchaîna aussi la haine des conservateurs, effarés par cette figure transgressive.
Le bon diagnostic des enfants touchés par un cancer est une priorité mondiale. Au Togo, le développement des services d’oncopédiatrie et d’anatomie pathologique du CHU de Lomé est une étape majeure.