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Vendée Globe 2024-2025

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Vendée Globe 2024-2025
Description de l'image logo vendee globe 2024.svg.
Généralités
Sport course au large
Organisateur(s) SAEM Vendée
Édition 10e
Type / Format tour du monde en solitaire
Lieu(x) Les Sables-d'Olonne
Date départ le
Participants 40
Site web officiel www.vendeeglobe.org

Palmarès
Tenant du titre Yannick Bestaven

Navigation

Le Vendée Globe 2024-2025 constitue la dixième édition de la course autour du monde du Vendée Globe. Le départ des quarante concurrents engagés sera donné le en baie des Sables-d'Olonne. Épreuve majeure du circuit IMOCA, elle est courue en solitaire, sans assistance et sans escale, à bord de monocoques de 60 pieds.

L'avis de course est rendu public le [1]. Le départ sera donné le , au large des Sables-d'Olonne. Le parcours prévoit de garder les caps de Bonne-Espérance, Leeuwin et Horn à bâbord. La distance théorique parcourue est de 24 394 milles.

La course commence par une descente de l'Atlantique entre les Sables-d'Olonne et le cap de Bonne-Espérance, le golfe de Gascogne en hiver est une mise en bouche souvent sauvage et brutale avant d'atteindre des alizés plus stables, des allures plus favorables, des vitesses proches des records de ces bateaux, et des températures tropicales. Le passage d'un hémisphère à l'autre marque un obstacle capricieux : la zone de convergence intertropicale (ZCIT) appelée « Pot au noir ». Suivent les alizés de l'Atlantique sud, et l'anticyclone de Sainte-Hélène.

Après environ deux semaines de course, les bateaux accèdent à la portion la plus longue et difficile, entre le cap de Bonne-Espérance et le cap Horn via le cap Leeuwin. En naviguant autour des quarantièmes rugissants et des cinquantièmes hurlants, les marins traversent l'océan indien et l'océan Pacifique. Pendant près de la moitié du parcours, les concurrents doivent slalomer entre des dépressions et profiter souvent de vents portants et de longues houles propices pour des surfs durant un été austral rafraîchi par l'Antarctique.

Autour du 50e jour de course, le passage du cap Horn est souvent un soulagement, il marque la remontée vers l'arrivée, la délivrance des glaces des latitudes polaires, des températures plus clémentes qui vont aider à affronter les dépressions orageuses du Brésil, puis le passage retour du piège du Pot au noir. Les alizés de l'hémisphère nord sont un dernier cours répit avant d'affronter les dépressions hivernales de l'Atlantique Nord, dernier obstacles avant de franchir la ligne d'arrivée.

Zone d'exclusion antarctique

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Carte de la zone polaire antarctique.
La zone d'exclusion antarctique, interdite aux concurrents.

La zone d'exclusion antarctique (ZEA) est une zone interdite délimitée par 72 points reliés entre eux, distants d'environ 5° de longitude afin d'éviter aux skippers d'éventuelles rencontres avec des icebergs. Les points peuvent presque tous être déplacés avant et pendant la course en fonction de « montée » ou de « retrait » des glaces. Toutefois, la direction de course informe du déplacement d'un point avant qu'un concurrent ne soit à 1 500 milles de ce point. La fonte de la calotte glaciaire antarctique, toujours plus importante chaque année, a amené la direction de course, en accord avec les marins, à étendre cette zone depuis sa création. Le réchauffement climatique provoque inéluctablement une multiplication des glaces dérivantes, il est probable que la zone d'exclusion Antarctique deviendra de plus en plus étendue, rallongeant le parcours, et limitant les options de routage. Déjà en 2024 lors de l'Arkéa Ultim Challenge, il s'en est fallu de peu pour que le passage au cap Horn soit rendu trop dangereux par les glaces dérivantes[2].

Autres zones réglementées

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Les concurrents sont tenus de respecter le dispositif de séparation du trafic (DST) entre le cap Finisterre et les Canaries. Ils sont également tenus d'éviter une zone présentant des risques de piraterie, le long des côtes mauritaniennes.

Type de bateau

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Les bateaux admis à participer à cette course sont des voiliers monocoques d'une longueur comprise entre 59 et 60 pieds (environ 18 mètres). Ils doivent répondre aux règles actualisées de la classe 60 pieds IMOCA[3].

Énergie à bord

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Un bateau International Monohull Open Class Association (IMOCA) est réglementairement équipé d’un moteur électrique ou d’un moteur Diesel de minimum 35 ch emportant au minimum deux fois dix litres de gasoil, qu'il doit conserver jusqu’à l’arrivée pour pouvoir aller porter assistance à une personne en mer avec l'assistance du moteur. La réglementation impose d'avoir une autonomie de cinq heures à cinq nœuds grâce au moteur, qu'il soit Diesel ou électrique.

Comparaison des générateurs
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Les progrès des batteries (gains en densité énergétique donc en poids) sont en passe de donner un avantage compétitif au moteur électrique complété de batteries par rapport au moteur Diesel au gasoil, outre l'intérêt au niveau décarbonation[4].

Chaque compétiteur est libre de définir la quantité de carburant optimale qu'il emporte (200 à 300 L environ). À raison d'une à deux heures de fonctionnement quotidien, le moteur thermique associé à un alternateur est l'une des solutions qui permettent de faire face à la demande croissante d'énergie électrique des IMOCA (pilote automatique, ordinateur du bord, centrale de navigation, capteurs divers, dessalinisateur, quille pendulaire, communications, vidéos et photos réalisées à bord). La consommation électrique d'un Imoca lors du Vendée globe 2021 était de l'ordre de 3 kWh/24h. Le fait que le générateur thermique permette un peu de chauffage/séchage des vêtements est, outre la sécurité et la redondance également améliorées, l'une des raisons pour lesquelles il n'a pas disparu des voiliers de course, apportant un confort souvent très apprécié des navigateurs, surtout dans le Grand sud.

Dans l'édition 2020, 90 % des bateaux sont équipés d'hydrogénérateurs, 30 % de panneaux solaires, plus coûteux en poids que l'hydrogénérateur (il faudrait 20 à 30 m2 de panneaux pour faire face a la consommation quotidienne typique avec une marge de sécurité raisonnable pour les jours gris) et peu efficaces du fait des conditions d'ensoleillement difficilement maîtrisables en navigation, et 10 % d'éoliennes, moins avantageuses par leur traînée aérodynamique, leur poids et encombrement (mat de déport) et leur fiabilité (éoliennes endommagées voire arrachées par des vagues ou lors de gîtes extrêmes)[5].

L'hydrogénérateur confirme et s'impose
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La solution de référence est donc l'hydrogénérateur. Fonctionnant dans l'eau avec un écoulement plus laminaire et moins turbulent que dans l'air sous le vent du bateau, à production comparable, il présente moins de traînée que l'éolienne (traînée limitée à haute vitesse par variation du pas de l'hélice), un poids et un encombrement nettement plus faibles, un meilleur rendement et une meilleure fiabilité que les autres sources d'énergies[6]. Yannick Bestaven a ainsi fondé en 2009 Watt&Sea, société de conception et de fabrication d’hydrogénérateurs, pour viser l’autonomie énergétique totale sur un tour du monde[7]. Les solutions Watt&Sea permettent de faire face aux besoins quotidiens d'un IMOCA en générant une trainée minime environ 5h par jour (2021), pour un poids de 8 kg. Le fait que les hydrogénérateurs soient escamotables est un autre argument pour les compétiteurs qui souhaitent optimiser leurs performances dans les moments critiques. Les autres sources d'énergie (moteur thermique, solaire, éoliennes), même si elles présentent de moins bons compromis poids/encombrement/rendement/fiabilité/prix face aux hydrogénérateurs, conservent l'avantage de la redondance (les hydrogénérateurs produisent peu les jours très rares ou le bateau n'avance pas, dans le poteau noir par exemple), facteur de sécurité important sur une course autour du monde sans escale et sans assistance.

L'utilisation réversible hydrogénérateur/moteur électrique, solution légère, simple, compacte et fiable, déjà mûre dans la voiture électrique avec le freinage régénératif, a déjà été explorée mais nécessitait en 2020 encore des évolutions et des développements (compromis complexes nécessaires au rendement des hélices dans les deux situations, mais aussi poids des batteries de stockage de l'énergie), pour satisfaire les objectifs de sécurité de la classe IMOCA[8]. Le gain de poids de la solution électrique est dors et déjà déterminant sur les multicoques de la classe Ocean Fifty. Ceux-ci sont moins amenés à trainer dans les froideurs du grand sud où les déperditions d'énergie des moteurs thermiques deviennent des calories précieuses pour le séchage du matériel et le confort du marin. Les courses moins longues de la classe Ocean Fifty sont également moins exigeantes en matière de redondance de différentes solutions de production d'énergie. La solution électrique réversible hydrogénérateur/moteur électrique installée en 2020 sur l'Ocean Fifty Primonial, allège le voilier en le rapprochant un peu plus de la jauge minimum de 3 200 kg[9]. Dans cette classe où les contraintes de poids en sont plus aiguës qu'en IMOCA, la batterie retenue fait 20 kWh et pèse environ 150 kg. Il suffit en moyenne de l'ordre de 5 h de recharge quotidienne au-delà de 15 nœuds pour compenser la consommation des appareils de bord, la capacité de la batterie assure quatre jours d'autonomie en cas d'avarie d'hydrogénérateur. Un IMOCA équipé pour un tour du monde nécessite déjà en 2020 plus d'énergie, et l'évolution prévisible des équipements énergivores (comme l'asservissement du réglage des voiles et des foils, gage de performances optimisées avec l'évolution des pilotes auto, mais aussi de sécurité en permettant des manœuvres d'évitement rapides d'OFNI), exige des solutions plus endurantes donc plus lourdes pour les batteries de stockage.

Vendée globe 2024 sans énergie fossile
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L'adoption de cette solution électrique en IMOCA est en harmonie avec la transition énergétique rendue nécessaire par l'épuisement des gisements pétroliers et par l'impératif de réduction des émissions de CO2. Le rythme de cette transition dépendra des compromis arbitrés collégialement entre la liberté d'exploration de ce gisement de gain de performances, et le bridage technologique permettant de maitriser des budgets et donc l'accessibilité de la classe IMOCA.

En attendant une réglementation concertée et généralisée, certains concurrents font déjà le choix d'un tour du monde sans énergie fossile en 2024, c'est le cas de Conrad Colman[10]. Pour réaliser cet objectif, il utilisera uniquement des panneaux solaires et un hydrogénérateur Watt&Sea, ainsi qu'un parc de batterie quasiment doublé, lui assurant plusieurs jours d'autonomie pour les jours sans (Pot-au-Noir sans hydrogénération faute de vitesse). Conrad Colman a réduit ses consommations (moins d'écrans, mode économie d'énergie, avec stockage d'eau douce supérieur, dont le surcoût en poids s'ajoute à celui des batteries, et qui oblige à anticiper les périodes sans en faisant fonctionner le dessalinisateur en amont).

Le manque d'énergie peut devenir très pénalisant voire rédhibitoire sur les IMOCA, tandis que les premiers voiliers de course autour du monde voguaient des semaines sans électricité[11]. Isabelle Joschke (MACSF) explique qu’elle était « en restriction d’énergie » lorsque son hydrogénérateur est tombé en panne et qu'elle devait se satisfaire du gasoil. À l’inverse, Benjamin Dutreux, en avarie de moteur, ne pouvait compter que sur ses hydrogénérateurs[12]. François Gabart estimait qu'en dehors des risques d'avaries, il était d'ores et déjà possible en 2013 de boucler un tour du monde en assurant la totalité de l'autonomie énergétique avec les hydrogénérateurs[13].

Le dessalinisateur est notamment un gros consommateur d'énergie. Pour les courses dont la longueur est supérieure à 5 000 milles, deux dessalinisateurs fonctionnant à la fois manuellement et électriquement doivent être installés à bord, dont un qui doit rester en place ; la pluie peut dans certains conditions assurer l'approvisionnement en eau douce, mais cela nécessite du temps et de l'énergie que le navigateur ne peut plus consacrer au bateau, ainsi que du lest par un stockage d'eau douce qui pénalise la performance[14].

Lorsque la pénurie d'énergie compromet les fonctions les plus importantes du bateau (pilote automatique, ordinateur du bord, centrale de navigation, capteurs divers), les navigateurs doivent abaisser drastiquement le niveau de performance du bateau pour éviter la casse. Les informations météo dont ils ne disposent que depuis les années 2000 sont des éléments de sécurité qui permettent d'esquiver les pires situations. Ce paramètre a permis de réduire certains coefficients de sécurité mécanique, au bénéfice du poids et de la performance des bateaux, les rendant moins versatiles et plus sujets à la casse mécanique lors des tempêtes[15].

Assistance et escales

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Le Vendée Globe est une course en solitaire, sans assistance et sans escale. Entre le départ et l'arrivée, un bateau ne peut accoster aucune autre embarcation ; et personne d'autre que le skipper ne peut se trouver à bord — sauf en cas de sauvetage d'un autre concurrent. Un skipper peut faire escale, mais il a interdiction de poser le pied au-delà de la limite de l'estran. Le routage météo depuis la terre est interdit. Une assistance médicale est fournie à distance par le CROSS Gris Nez, qui met en relation le coureur et le Centre de consultation médicale maritime (CCMM) ainsi que le médecin de la course. Des conseils peuvent être donnés à distance par l'architecte ou par l'équipe technique, mais les réparations sont effectuées par le skipper, avec les moyens du bord. La seule intervention extérieure possible concerne les concurrents revenant aux Sables-d'Olonne dans les dix jours qui suivent le départ, avec l'espoir de repartir.

Participants

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Nombre de participants

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Une partie des bateaux à quai avant le départ.

À la suite de l'augmentation significative du nombre de participants lors des dernières éditions, la direction de course a décidé d'augmenter le nombre de bateaux participants à 40 contre 33 lors de la dernière édition.

Pour définir les 40 concurrents qui seront au départ du prochain Vendée Globe - parmi les binômes IMOCA/skipper remplissant les critères de qualification, une sélection sera réalisée au nombre de milles parcourus par le skipper en solitaire, en double et en équipage depuis la Transat Jacques Vabre 2021[16].

Contrairement à la qualification, les milles sont comptabilisés par le skipper, peu importe l’IMOCA sur lequel il navigue. Si un skipper est contraint à l’abandon sur une course, les milles qu’il a parcourus avant son abandon sont comptabilisés. Cependant, il y a deux exceptions :

  • L’exception des bateaux neufs : les 13 premiers binômes - IMOCA neuf/skipper - à prendre le départ d’une course qualificative n’entreront pas dans le processus de sélection. Ils sont assurés - sous réserve d’être qualifiés - d’être au départ[16].
  • L’exception de la wild card : un autre skipper qualifié sera exempté du processus de sélection : le skipper qui bénéficiera de la wild card (invitation)[16].

Inscription et qualification

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Chaque binôme IMOCA/skipper doit être au départ d'au moins deux courses qualificatives (dont une en 2022 ou 2023 et une en 2024). Le skipper devra terminer au moins l'une d'entre elles et son temps de course ne devra pas être plus d'une fois et demi supérieur au temps du vainqueur. Les courses qualificatives disputées en solitaire, sont les suivantes[16] :

* En cas d'avarie majeure rencontrée sur la Transat Jacques Vabre 2023 rendant impossible la participation à la course (Retour à la Base), l'organisation pourra accorder une dérogation et accepter que le départ de la Transat Jacques Vabre 2023 compte comme course qualificative, bien qu'elle soit disputée en double.

Si plus de 39 skippers remplissent les conditions d’inscription, la sélection s'effectuera selon le nombre de milles parcourus[18]. Les distances seront retenues selon le barème suivant :

  • Une course en solitaire : 1 mille nautique = 1 mille.
  • Une course en double : 1 mille nautique = ½ mille.
  • Une course en équipage : 1 mille nautique parcouru sur une étape = 1/4 mille, avec un total maximum plafonné à 5 000 milles.
  • exception faite pour la dernière course de sélection au Vendée Globe, la New-York – Vendée Les Sables 2024 : 1 mille nautique = 1.5 milles.

Le quarantième participant est le skipper qui bénéficiera de la wild card.

Les 40 candidats sélectionnés

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# Concurrent Nationalité Âge[â 1] Parti
cipa
tions
Nom du bateau Appen-
dices
Architecte Chantier Mise à l'eau
Amedeo, Fabrice Fabrice Amedeo Drapeau de la France France 46 ans 3e Nexans-Wewise dérives
droites
Owen Clarke Hakes Marine (Nouvelle-Zélande) 2007
Attanasio, Romain Romain Attanasio Drapeau de la France France 47 ans 3e Fortinet-Best Western foils Verdier-VPLP Multiplast 2015
Bellion, Éric Éric Bellion Drapeau de la France France 48 ans 2e Stand As One (en) dérives
droites
David Raison Persico Marine (en) (Italie) 2023
Bestaven, Yannick Yannick Bestaven Drapeau de la France France 51 ans 3e Maître Coq V foils Verdier-VPLP CDK Port-la-Forêt 2022
Beyou, Jérémie Jérémie Beyou Drapeau de la France France 48 ans 5e Charal (en) foils Sam Manuard CDK Lorient 2022
Boissières, Arnaud Arnaud Boissières Drapeau de la France France 52 ans 5e La Mie câline foils VPLP-Verdier CDK Port-la-Forêt 2010
Burton, Louis Louis Burton Drapeau de la France France 39 ans 4e Bureau Vallée 3 foils Sam Manuard Black Pepper 2020
Colman, Conrad Conrad Colman Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
Drapeau des États-Unis États-Unis
40 ans 2e MS Amlin dérives
droites
Lauriot-Prévost, Verdier Indiana Yachting (Italie) 2007
Cornic, Antoine Antoine Cornic (d) Voir avec Reasonator[19] Drapeau de la France France 44 ans 1re Human Immobilier Owen Clarck Chris Prior 2006
Cousin, Manuel Manuel Cousin Drapeau de la France France 57 ans 2e Coup de pouce dérives
droites
Farr Southern Ocean Marine (Nouvelle-Zélande) 2006
Crémer, Clarisse Clarisse Crémer Drapeau de la France France 34 ans 2e L'Occitane en Provence foils Verdier CDK Lorient 2019
Dalin, Charlie Charlie Dalin Drapeau de la France France 40 ans 2e Macif santé prévoyance foils Verdier CDK Port-la-Forêt 2023
Davies, Samantha Samantha Davies Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 50 ans 4e Initiatives-Cœur foils Sam Manuard Black Pepper 2022
Dorange, Violette Violette Dorange Drapeau de la France France 23 ans 1re Devenir dérives
droites
Farr CDK Port-la-Forêt 2007
Duc, Louis Louis Duc Drapeau de la France France 41 ans 1re Fives Group-Lantana Environnement dérives
droites
Farr CDK Port-la-Forêt 2006
Dutreux, Benjamin Benjamin Dutreux Drapeau de la France France 34 ans 2e Guyot Environnement-Water Family foils Verdier-VPLP Green Marine, à Hythe 2015
Ferré, Benjamin Benjamin Ferré (d) Voir avec Reasonator[20] Drapeau de la France France 34 ans 1re Monnoyeur-Duo For A Job VPLP-Verdier CDK Technologies 2011
Goodchild, Sam Sam Goodchild Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 34 ans 1re Vulnerable (Advens 1) foils Verdier Persico Marine 2019
Hare, Pip Pip Hare Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 50 ans 2e Medallia foils VPLP-Verdier CDK Port-la-Forêt 2015
Heer, Oliver Oliver Heer (d) Voir avec Reasonator[21] Drapeau de la Suisse Suisse 36 ans 1re Oliver Heer Ocean Racing Farr Yacht Design New Zealand 2007
Herrmann, Boris Boris Herrmann Drapeau de l'Allemagne Allemagne 43 ans 2e Malizia-Seaexplorer foils VPLP Multiplast 2022
Joschke, Isabelle Isabelle Joschke Drapeau de la France France
Drapeau de l'Allemagne Allemagne
47 ans 2e MACSF foils VPLP-Verdier Chantier naval de Larros 2007
Le Cam, Jean Jean Le Cam Drapeau de la France France 65 ans 6e Tout commence en Finistère-Armor-Lux (en) dérives
droites
David Raison Persico Marine 2023
Le Turquais, Tanguy Tanguy Le Turquais Drapeau de la France France 35 ans 1re Lazare dérives
droites
Finot-Conq Multiplast 2008
Lunven, Nicolas Nicolas Lunven Drapeau de la France France 41 ans 1re Holcim-PRB foils Verdier Carrington, à Hythe 2022
Marsset, Sébastien Sébastien Marsset (d) Voir avec Reasonator Drapeau de la France France 39 ans 1re Foussier Farr Yacht Design JMV - Cherbourg[22] 2006
Meilhat, Paul Paul Meilhat Drapeau de la France France 42 ans 2e Biotherm foils Verdier Persico Marine 2022
Mettraux, Justine Justine Mettraux Drapeau de la Suisse Suisse 38 ans 1re Teamwork-Team Snef foils VPLP CDK Port-la-Forêt 2018
Pedote, Giancarlo Giancarlo Pedote Drapeau de l'Italie Italie 48 ans 2e Prysmian Group foils Verdier-VPLP Multiplast 2015
Richomme, Yoann Yoann Richomme Drapeau de la France France 41 ans 1re Paprec Arkéa foils Antoine Koch-Finot-Conq Multiplast 2023
Roura, Alan Alan Roura Drapeau de la Suisse Suisse 31 ans 3e Hublot foils VPLP-Pete Hobson Carrington 2019
Ruyant, Thomas Thomas Ruyant Drapeau de la France France 43 ans 3e Vulnerable (Advens 2) foils Koch-Finot-Conq CDK Lorient 2023
Seguin, Damien Damien Seguin Drapeau de la France France 45 ans 2e Groupe Apicil foils VPLP-Verdier CDK Lorient et Port-la-Forêt 2015
Shiraishi, Kōjirō Kōjirō Shiraishi Drapeau du Japon Japon 57 ans 3e DMG Mori Global One foils VPLP Multiplast 2019
Simon, Sébastien Sébastien Simon Drapeau de la France France 34 ans 2e Groupe Dubreuil foils Verdier CDK Lorient et Port-la-Forêt 2021
Sorel, Maxime Maxime Sorel Drapeau de la France France 38 ans 2e V and B-Monbana-Mayenne foils Verdier Multiplast 2022
Soudée, Guirec Guirec Soudée Drapeau de la France France 32 ans 1re Freelance.com dérives
droites
Farr Offshore Challenges, à Cowes 2007
Van Weynbergh, Denis Denis Van Weynbergh Drapeau de la Belgique Belgique 57 ans 1re D'Ieteren Group dérives
droites
Nándor Fa, Attila Déry Pauger Carbon (Hongrie) 2014
Weöres, Szabolcs Szabolcs Weöres Drapeau de la Hongrie Hongrie 51 ans 1re New Europe dérives
droites
Owen Clarke Hakes 2007
Xu, Jingkun Jingkun Xu Drapeau de la République populaire de Chine Chine 35 ans 1re Singchain Team Haikou dérives
droites
Finot-Conq Multiplast 2007
  1. Les âges sont calculés au départ de la course, le .

Projets abandonnés

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En février 2021, Jörg Riechers (de) lance la conception d'Alva Yachts[23], un Imoca dont la mise à l'eau est annoncée pour juillet 2023. Le projet n'aboutit pas[24].

Le , sur un chantier marseillais, le Demain c'est loin de Nicolas Rouger, renversé par le vent, fait une chute de cinq mètres[25]. Les dégâts sont importants. Rouger doit renoncer à son projet de Vendée Globe[26].

En septembre 2021, Armel Tripon lance le projet d'Imoca Les P'tits Doudous en vue de participer au Vendée Globe 2024. Mais la construction ne débute que le , ce qui est beaucoup trop tard[27].

L'Oceanslab Cleantech Accelerator de Phil Sharp est mis à l'eau le [28]. Il doit impérativement prendre le le départ du Retour à la Base, ultime course permettant de valider la première phase (2022 et 2023) de qualification pour le Vendée Globe. En convoyage vers Fort-de-France, le bateau subit le une casse de bout-dehors qui oblige Sharp à renoncer au Retour à la Base et qui par conséquent lui ôte toute chance de se qualifier pour le Vendée Globe[29], au vu de l'avis de course[30] (la wild card n'est prévue que pour un candidat s'étant qualifié, mais ayant accompli un nombre de milles de sélection insuffisant[31]). « Quand je vois, déplore Jean Le Cam, que Phil Sharp ne pourra sans doute pas être au départ, malgré tout ce qu’il a mis en œuvre, je trouve ça moche[32]. » Mais Alain Leboeuf, président de la course, tranche : « Le règlement de la course, connu depuis 2021, devra être respecté. C’est un déchirement pour moi, mais je veux rester celui qui fait respecter le règlement[33]. »

Le , quatre jours après le démâtage de l'Imoca de Nicolas Troussel, Corum L'Épargne décide de mettre fin à son sponsoring voile et de vendre le bateau[34]. Le , Nicolas Troussel annonce qu'il n'a pas réussi à trouver un nouveau sponsor et qu'il ne sera pas au départ du prochain Vendée Globe[35].

Les organisateurs limitent le nombre de bateaux à 40. En juin 2024, il y a 42 qualifiés[36]. Deux d'entre eux sont donc privés de Vendée Globe[37] :

  • James Harayda (Gentoo) n'a pas pu participer aux trois dernières courses de la saison 2023, à la suite de « difficultés lors de son chantier de réparation[38] ». Ce qui l'a pénalisé dans la « course aux milles » (sélection mise en place pour inciter chaque binôme skipper-bateau à courir dans les trois années qui précèdent le Vendée Globe). Il s'est qualifié, mais on ne lui accorde pas le droit de s'aligner au départ : une wild card a certes été prévue, mais c'est Oliver Heer qui en bénéficie[37].
  • François Guiffant est à la barre de Partage mis à l'eau en 2004, trop vieux de quelques mois au vu du règlement[39]. Il obtient une dérogation de la part des organisateurs, mais il ne peut être retenu au détriment d'un autre qualifié ; s'il n'y a que 39 partants, il pourrait prendre la 40e place[39],[40]. Or, il y a 42 qualifiés, et Guiffant n'est pas autorisé à allonger la liste.
Concurrent Nationalité Nombre de
participations
Nom du bateau Architecte Chantier
Jörg Riechers (de) Drapeau de l'Allemagne Allemagne 0 Alva Yachts[23] Farr-Bertrand-Dupont[23] Trimarine[23]
Nicolas Rouger Drapeau de la France France 0 Demain c'est loin Owen Clarke Southern Ocean Marine
Armel Tripon Drapeau de la France France 1 Les P'tits Doudous VPLP[41] Duqueine Atlantique[41]
Phil Sharp Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 0 Oceanslab Cleantech Accelerator Samuel Manuard Black Pepper
Nicolas Troussel[42] Drapeau de la France France 1 Corum L'Épargne Juan Kouyoumdjian CDK Technologies
James Harayda Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 0 Gentoo Finot-Conq Neville Hutton
François Guiffant Drapeau de la France France 0 Partage Lombard JMV Industries

Une réclamation peut être déposée auprès du jury international, si l'on estime qu'il y a infraction ou manquement aux règles. Les réclamations peuvent émaner d'un concurrent, de la direction de course ou du jury lui-même. Les cinq membres du jury, indépendants du comité d'organisation et du comité de course, sont nommés par la Fédération française de voile[43].

Déroulement

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Préparation

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Classements

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Classement 2024-2025

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Le trophée.
Classement de l'édition 2024-2025
Nom Nom du bateau Arrivé le Temps

accordé par le jury

Temps Écart
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27

Récapitulatif des temps de passage

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Tableau de synthèse des temps de passage. Ces données proviennent du site officiel du Vendée Globe.

  • Record 2024-2025
  • Record Vendée Globe
  • 2e temps
  • 3e temps

Temps de passage de référence

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Skipper Équateur Bonne

Espérance

Cap

Leeuwin

Cap Horn Équateur

retour

Les Sables
Records 09 j 07 h 03[44] 17 j 22 h 58[44]
Bestaven 2021 10 j 19 h 01 min 23 j 19 h 24 min 35 j 01 h 25 min 55 j 00 h 22 min 69 j 13 h 16 min 80 j 03 h 44 min
Le Cléac'h 2017 09 j 09 h 56 min 18 j 03 h 30 min 28 j 20 h 12 min 47 j 00 h 32 min 61 j 12 h 21 min 74 j 03 h 36 min
Gabart 2013 11 j 00 h 20 min 23 j 03 h 43 min 34 j 10 h 23 min 52 j 06 h 18 min 66 j 01 h 39 min 78 j 02 h 16 min
Desjoyeaux 2009 13 j 15 h 41 min 27 j 00 h 34 min 37 j 07 h 23 min 56 j 15 h 08 min 71 j 17 h 12 min 84 j 03 h 09 min
Riou 2005[45] 10 j 12 h 13 min 24 j 02 h 18 min 36 j 11 h 48 min 56 j 17 h 13 min 72 j 13 h 58 min 87 j 10 h 47 min

Récapitulatif des temps intermédiaires des Sables au cap Horn

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Ces données proviennent du site officiel du Vendée Globe

  • Record 2020-2021
  • Record Vendée Globe
  • 2e temps
  • 3e temps

Récapitulatif des temps intermédiaires du cap Horn aux Sables

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  • Record 2020-2021
  • Record Vendée Globe
  • 2e temps
  • 3e temps

Récapitulatif des records intermédiaires

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Parcours Date Temps Skipper Bateau
Les Sables-Équateur 2016 09 j 07 h 03 min[46] Alex Thomson Hugo Boss
Équateur-Bonne-Espérance 2016 08 j 15 h 55 min Alex Thomson Hugo Boss
Bonne-Espérance - Leeuwin 2008 10 j 06 h 49 min[47] Michel Desjoyeaux Foncia
Leeuwin-Horn 2013 17 j 18 h 35 min[47] François Gabart Macif
Cap Horn-Équateur 2021 11 j 18 h 22 min[48] Boris Herrmann Seaexplorer - Yacht Club De Monaco
Équateur-Les Sables 2021 10 j 23 h 24 min[49] Charlie Dalin Apivia

En cumulant les temps records des différents parcours intermédiaires, on obtient un Vendée Globe en 68 jours 18 heures 08 minutes, soit 5 jours et demi de mieux que le record établi en 2017 par Armel Le Cléac'h sur Banque populaire VIII.

Incidents et abandons

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Notes et références

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  1. https://www.vendeeglobe.org/sites/default/files/2024-01/avis-de-course-vendee-globe-2024-2025-avenant-3.pdf
  2. « Arkéa Ultim Challenge. Des icebergs présents sur la route du cap Horn » (consulté le ).
  3. « Nouvelle Jauge IMOCA 2021-25 - « Une évolution et non une révolution » », sur www.imoca.org (consulté le ).
  4. « Vers un Vendée Globe sans énergie fossile ? », sur Bateaux.com, (consulté le ).
  5. « Le tour du monde en autonomie totale », sur imoca.org, (consulté le ).
  6. « Bestaven et Michou, papas de l'hydrogénérateur Watt&Sea »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, (consulté le ).
  7. « Vendée Globe. Les Imoca, laboratoires de technologies pour l’industrie », sur Ouest France, (consulté le ).
  8. « Le point sur les hydrogénérateurs »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, (consulté le ).
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  10. « MS Almin : portrait d'un IMOCA sans énergies fossiles pour Conrad Colman sur le Vendée Globe 2024 », sur bateaux.com, (consulté le ).
  11. « Importante avarie de quille pour Paul Meilhat sur le Vendée Globe 2016 », sur bateaux.com, (consulté le ).
  12. « Quelles sont les sources d’énergie à bord d’un IMOCA autour du monde ? », sur vendeeglobe.org, (consulté le ).
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  25. Nicolas Zarrouk, « Énorme coup dur pour le skipper sétois Nicolas Rouger : un rarissime accident pourrait le priver de son rêve », sur midilibre.fr, 24 août 2023 (consulté le 27 mars 2024). — Margaux Rolland, « Transat Jacques Vabre. Son Imoca à terre, le skipper Nicolas Rouger est incertain pour la suite », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 26 août 2023 (consulté le 27 mars 2024).
  26. « Vendée Globe 2024 », sur histoiredeshalfs.com, 12 mars 2024 (consulté le 27 mars 2024).
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  29. « Vendée Globe compromis pour Phil Sharp qui renonce au Retour à la Base après une avarie », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 21 novembre 2023 (consulté le 26 mars 2024).
  30. « Vendée Globe : le point sur les qualifications et la course aux milles »; sur tipandshaft.com, 18 décembre 2023 (consulté le 26 mars 2024).
  31. Paul Gury, « Vendée Globe 2024 : le point sur les qualifications », sur voileetmoteur.com, 11 janvier 2024 (consulté le 28 mars 2024).
  32. Olivier Bourbon, « Le Cam : « Avec ces règles de qualification, je n’aurais pas fait un seul Vendée Globe », sur voilesetvoiliers.ouest-france.fr, 19 décembre 2023 (consulté le 26 mars 2024).
  33. Thomas Savage, « Phil Sharp : « L’hydrogène dans le maritime ce n’est pas l’avenir, c’est maintenant », sur ouest-france.fr, 6 février 2024 (consulté le 26 mars 2024).
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  38. « Retour à la Base. Ce qu'il faut savoir sur cette grande première », sur imoca.org, 27 novembre 2023 (consulté le 5 juillet 2024).
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  48. « Boris Herrmann, 4e sur la ligne malgré l’incroyable coup du sort », sur vendeeglobe.org, (consulté le ).
  49. « Charlie Dalin (APIVIA), premier sur la ligne d’arrivée ! », sur vendeeglobe.org, (consulté le ).

Articles connexes

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Autour de la Vendée :

voiliers de course

Courses à la voile

Géographie, météo

Records :

En multicoques :

Liens externes

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