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Swiss Space Office

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Le Swiss Space Office (en abrégé SSO ; littéralement « Bureau spatial suisse ») est l'agence spatiale nationale suisse, c'est-à-dire l'agence responsable du programme spatial national de la Suisse[1],[2]. Il a été environ la 16e agence spatiale publique la plus financée avec un budget de 110 millions de dollars au début des années 2000. Selon Jane's, le SSO est « l'unité administrative chargée de la planification et de la mise en œuvre de la politique spatiale suisse », définie par le Conseil fédéral suisse[3]. Le SSO est membre de la Commission fédérale des affaires spatiales (CFAS) et du Comité interdépartemental des questions spatiales (IKAR)[3]. La Suisse est également membre de l'Agence spatiale européenne, fournissant 3,30 % du budget de l'ESA en 2005.

En plus du SSO, il y a aussi le Secrétariat d'État à l'Éducation et à la Recherche (SER). Le SER et le SSO sont les organismes publics pour les activités spatiales en Suisse.

Claude Nicollier est un astronaute suisse qui a participé à plusieurs missions du programme spatial américain dans les années 1990. Il est également membre du Corps des astronautes européens. En 2007, il a pris sa retraite des missions spatiales suisses pour devenir professeur à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL)[4]. Le Suisse Marc Bertschi (en) a été nommé à la tête du programme de lanceurs de l'ESA en 2007[5].

Claude Nicollier effectuant de la maintenance sur STS-46 en 1992

Domaines d'intérêt[6]:

  • Observation de la Terre
  • Industrie et technologie spatiales
  • Navigation spatiale
  • Science spatiale
  • Vols habités, exploration et microgravité
  • Lanceurs
  • Activités d'éducation

Missions spatiales habitées

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Participations de la Suisse aux missions de la Navette spatiale américaine :

Technologie suisse et spatiale

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Après les tests élaborés, la montre suisse Omega Speedmaster Professional est devenue certifiée pour les missions spatiales de la NASA en 1965 et a été utilisé par les premiers humains sur la lune

Quelques exemples de contributions de la Suisse à l'exploration et à la technologie spatiales[7].

Swiss Space Office[10].


En 2006, la Suisse a contribué pour un montant total de 140 millions CHF (142 millions de dollars), soit environ 3,4%, au budget de l'ESA[8]. En 2005, le chiffre d'affaires de l'industrie spatiale suisse était de 170 millions CHF[8].

Références

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  1. « The Swiss Space Office of the SER » (consulté le )
  2. « Swiss Space Office SSO Switzerland », Worldofaerospace.googlepages.com (consulté le )
  3. a et b « Defense & Security Intelligence & Analysis: IHS Jane's - IHS », sur janes.com (consulté le )
  4. EPFL press release: Claude Nicollier nommé professeur ordinaire de technologies spatiales, 28 mars 2007.
  5. http://www.swissinfo.ch/eng/top_news/detail/Swiss_takes_over_as_space_agency_s_rocket_man.html?siteSect=106&sid=7508137&cKey=1171208585000 February 11, 2007 - 10:34 AM Swiss takes over as space agency's rocket man
  6. Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation SBFI, « Im Brennpunkt », sur admin.ch (consulté le )
  7. http://www.swissinfo.ch/eng/multimedia/picture_gallery.html?siteSect=15075&sid=7323105 Swiss in space swissinfo.ch
  8. a b et c « Swiss technology travels to outer space - SWI swissinfo.ch », sur swissinfo.ch (consulté le )
  9. Swiss technology powers Mars mission swissinfo.ch 20 February 2002
  10. « ESA Telecommunications », sur esa.int (consulté le )

Liens externes

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