Aller au contenu

Prix Max-Jacob

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Prix Max-Jacob
Description Prix littéraire francophone de poésie
Pays Drapeau de la France France
Date de création 1951
Site officiel www.max-jacob.com/prix-max-jacob.html

Le prix Max-Jacob est un prix littéraire qui récompense, depuis 1951, une œuvre poétique française ou étrangère.

Le Prix a été soutenu depuis sa création et jusqu'en 2021 par la Fondation Florence Gould[1]. L'Association des Amis de Max Jacob prolonge ce mécénat en dotant le lauréat.

Les Cahiers Max Jacob, revue de l'Association des Amis de Max Jacob, rendent compte de cette actualité littéraire.

Alors très proche de Florence Jay Gould, Jean Denoël, ami et correspondant de Max Jacob et président de l'Association des Amis de Max Jacob a initié ce prix fondé en 1951 par Florence Frank Jay Gould, pour honorer le souvenir du poète Max Jacob, mort le , au camp de Drancy, deux semaines après son arrestation par la Police allemande lors de la dernière rafle menée dans l'est du département du Loiret.

Jury (en 2021)

[modifier | modifier le code]

Liste des lauréats

[modifier | modifier le code]
Une catégorie est consacrée à ce sujet : Lauréat du prix Max-Jacob.
Années 1950 - 1960 - 1970 - 1980 - 1990 - 2000 - 2010 - 2020

Années 1950

[modifier | modifier le code]

Années 1960

[modifier | modifier le code]

Années 1970

[modifier | modifier le code]

Années 1980

[modifier | modifier le code]

Années 1990

[modifier | modifier le code]

Années 2000

[modifier | modifier le code]

Années 2010

[modifier | modifier le code]
  • 2010 : Bernard Mazo, La Cendre des jours, Voix d'encre
  • 2010 : Breyten Breytenbach : Outre Voix - Voice Over, Actes Sud
  • 2011 : Nimrod, Babel Babylone, Obsidiane
  • 2011 : Wadih Saadeh, Le Texte de l'absence et autres poèmes, traduction d'Antoine Jockey, Sinbad
  • 2012 : Gérard Noiret, Autoportraits au soleil levant, Obsidiane
  • 2012 : Volker Braun, Le Massacre des illusions, L’oreille du loup, traduction Jean-Paul Barbe et Alain Lance
  • 2013 : James Sacré, Le paysage est sans légende, dessins de Guy Calamusa, Al Manar - éditions Alain Gorius
  • 2013 : Thanassis Hatzopoulos (el), Cellule, trad. d’Alexandre Zotos en coll. avec Louis Martinez - bilingue, Cheyne éditeur
  • 2014 : Éric Sarner, Cœur Chronique, éd. du Castor Astral
  • 2014 : Mohammed Bennis, Lieu Païen, traduit de l'arabe par Bernard Noël en collaboration avec l'auteur, éd. L’Amourier
  • 2015 : Paol Keineg, Mauvaises langues, éd. Obsidiane
  • 2015 : Ritta Baddoura, Parler étrangement, éd. L'Arbre à paroles
  • 2016 : Esther Tellermann, Sous votre nom, éd. Flammarion
  • 2016 : Títos Patríkios, Sur la barricade du temps, éd. Le Temps des cerises, préface : Olivier Delorme, traduction : Marie-Laure Coulmin Koutsaftis.
  • 2017 : Guy GoffettePetits riens pour jours absolus, éd. Gallimard
  • 2017 : Ida Vitale, Ni plus ni moins, éd. du Seuil, traduit de l’espagnol (Uruguay) par Silvia Baron Supervielle et François Maspero.(mention spéciale à Ivan Alechine, pour Enterrement du Mexique  éd. Galilée.)
  • 2018 : Béatrice de Jurquet, Si quelqu’un écoute, éd. La Rumeur libre.
  • 2018 : Michèle Finck, Connaissance par les larmes, éd. Arfuyen.
  • 2018 : Salim Barakat, Syrie et autres poèmes, traduit de l’arabe (Syrie) par Antoine Jockey, éd. Actes Sud/Sindbad.
  • 2019 : Étienne Faure, Tête en bas, éd. Gallimard.
  • 2019 : Lasse Söderberg (sv), Pierres de Jérusalem, traduit du suédois par Jean-Clarence Lambert : éd. Caractères, coll. Planètes. Mention spéciale « Découverte » : Gabriel Zimmermann, Depuis la cendre : éd. Tarabuste.

Années 2020

[modifier | modifier le code]
  • 2020 : Aksinia Mihaylova, Le Baiser du temps, Paris, Gallimard, 2019, 84 p. (ISBN 978-2-07-281934-6).
  • 2020 : Mikaël Hautchamp, Le Vol des oiseaux filles, Devesset, Cheyne éditeur, coll. « Collection verte », , 60 p. (ISBN 978-2-84116-271-0).
  • 2020 : Jan Wagner, Les Variations de la citerne, traduit de l’allemand et présenté par Julien Lapeyre de Cabanes et Alexandre Pateau, Arles, Actes Sud, coll. « Lettres allemandes », 2019 (ISBN 978-2-330-12729-9).
  • 2021 : Patrick Laupin, Mon livre, éd. Le Réalgar.
  • 2021 : Réginald Gaillard, Hospitalité des gouffres, éd. Ad Solem.
  • 2021 : Mention "spéciale Découverte" à Raphaël Laiguillée, Reprendre pied, éd. Gallimard.
  • 2022 : Renaud Ego, Vous êtes ici, éd. Le Castor Astral.
  • 2022 : Jila Mossaed, Le huitième pays, traduit du suédois par Françoise Sule, éd. Le Castor Astral.
  • 2022 : Mention "spéciale Découverte" à Célestin de Meeûs,  Cavale russe, Cheyne éditeur.
  • 2023 : Jean-Pierre Otte, Sur les chemins de non-retour, éd. de Corlevour.
  • 2023 : Prix Max Jacob "étranger" : Nouri al-Jarrah, Le sourire du dormeur, anthologie poétique traduite de l'Arabe (Syrie) par Antoine Jockey, éd. Actes Sud / Sindbad.
  • 2023 : Mention spéciale "Découverte" : Benoît Reiss, Un dédale de ciels, éd. Arfuyen.
  • 2024 : Guillaume Decourt, Lundi propre, éd. La Table ronde.
  • 2024 : Prix Max Jacob "étranger" : Miriam Van Hee, Entre bord et quai, traduit du néerlandais (Belgique) par Philippe Noble, éd. Cheyne.
  • 2024 : Mention spéciale "Découverte" : Gaëlle Fonlupt, À la chaux de nos silences, éd. Corlevour.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « Prix Max Jacob », sur www.max-jacob, (consulté le )
  2. Extrait en ligne

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]