Permutatio (1173)
Date | 1173 |
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Lieu | Lyon (Saint-Empire) |
Entre | Guichard de Pontigny, archevêque de Lyon et Guy II, comte de Forez |
Effet | Redistribution des possessions du comte et de l'Église en Lyonnais et en Forez - Accession de Renaud de Forez à la fonction épiscopale (1193). |
Lire en ligne | Bulle pontificale de 1174 confirmant l'échange |
Bulle d'or - Permutatio - Traité de Vienne - Philippines - Charte Sapaudine
La permutatio ou permutation de 1173 est une transaction conclue entre l'archevêque de Lyon Guichard de Pontigny et le comte de Forez Guy II. Elle clôt plus d'un siècle de conflit entre les archevêques de Lyon et les comtes laïcs de Lyon pour le pouvoir sur le Lyonnais, qui reste dans les mains de l'archevêque, en organisant l'échange (permutation) de terres entre les deux protagonistes. Une bulle du pape Alexandre III confirma la permutation en 1174[1].
Contexte
[modifier | modifier le code]Dès 1156, l'empereur Frédéric Barberousse, qui avait épousé l'unique héritière des comtes de Bourgogne Béatrice Ire, entreprit une reprise en main de l'ancien royaume bourguignon et s'appuyant sur les antagonismes locaux[2]. Depuis le début du XIe siècle, les comtes de Lyon et de Forez (héritiers du titre de comtes de Lyon depuis Artaud) étaient en conflit chronique avec les archevêques de Lyon pour les droits féodaux sur le chapitre installé sur la rive occidentale de la Saône. En 1157, l'empereur trancha opportunément pour l'archevêque en délivrant à Héracle de Montboissier une bulle d'or qui lui accordait la souveraineté totale sur la ville et la partie du Lyonnais situé à l'Est de la Saône, instituant ainsi la ville en seigneurie épiscopale dépendant du Saint-Empire, évinçant explicitement toute ingérence du comte dans les affaires de la cité par la formule : « Que nul comte ou juge ne s'avise de faire la loi sur ces terres, sinon l'archevêque et primat de Lyon ».
Durant l'été 1158, le comte Géraud Ier de Mâcon et l'archevêque Héracle, appuyés dans leur entreprise par le chancelier impérial Raynald de Dassel, tentèrent de marcher contre Guigues de Forez, ami du roi Louis VII, en s'en prenant en particulier à la clef de voûte du système défensif du comte, la forteresse d'Yzeron, sur la route de Lyon à Montbrison[3], Guigues fut victorieux et prit Lyon en mars 1162[4].
En pleine crise du schisme pontifical l'ensemble de la région se retrouva entrainée dans le conflit entre le pape et l'empereur[5] :
- Le parti de l'anti-pape Victor comptait ainsi dans ses rangs le comte Géraud Ier[6] (parent de l'empereur), l'archevêque Héracle et une partie du chapitre lyonnais.
- Alexandre III apporta son soutien au comte de Forez et, réfugié en France en 1162, appela à la paix[7]. Il parvint à rallier à sa cause une partie des chanoines lyonnais. Il prit la défense de Cluny () et obtint l'appui de l'ensemble des établissements religieux du Mâconnais. Les partisans du pape ne furent ensuite rejoints que tardivement par Humbert III de Beaujeu.
Ainsi sous la pression des partisans du pape, le successeur de Héracle élu par le chapitre en 1163, Dreux de Beauvoir, proche de l'antipape Victor IV ne fut jamais consacré par Alexandre III. Ce fut finalement Guichard de Pontigny imposé par le pape et Louis VII[8],[9] qui lui succéda en 1165 comme archevêque, mettant ainsi fin à la crise.
Première transaction en 1167
[modifier | modifier le code]En 1167, un premier accord, conduit par l'archevêque Pierre de Tarentaise, annula la bulle impériale et rétablit les anciens droits du comte sur la ville de Lyon. La transaction traduit le retour de l'influence française et papale sur la ville[10].
La paix revenue après la soumission de Gérard de Mâcon à Vézelay en 1172, Louis VII ne désirait probablement pas que le conflit chronique dégénère à nouveau en guerre contre le Saint-Empire[1]. Il imposa (vraisemblablement sous l'influence du pape Alexandre III et des cisterciens) un nouvel accord disposant de la vente des terres lyonnaises et des anciens droits du comte de Forez contre onze cents marcs d'argent et de la rétrocession des biens temporels de l'Église de Lyon en Forez. Le traité, qui prit la forme d'une permutation (permutatio), fut conclu en 1173.
Contenu de la Permutation de 1173
[modifier | modifier le code]Par cet acte, le comte de Forez renonça à la majeure partie de ses droits sur le Lyonnais qui releva dès lors de la juridiction temporelle de l'archevêque. L'Église de Lyon abandonna ses possessions temporelles dans la vallée de la Loire (tout en gardant son pouvoir spirituel sur le Forez qui restait alors dans le diocèse de Lyon). Le comte gardait l'ensemble des places-fortes contrôlant la grande route du Puy mais prêtait hommage pour une partie d'entre elles. Afin, sans doute, d'éviter une éventuelle reprise future du conflit, les deux parties s'engageaient à une « démilitarisation » de l'actuelle région stéphanoise.
D'une part, l'archevêque et l'Église de Lyon cèdent au comte tout ce qu'ils possédaient[11] :
- au-delà de la Loire, les obédiences de Nervieu et de Souternon, jusqu'à Amions et Urfé ainsi que Cervières, Thiers et le domaine du château de Rochefort (Saint-Laurent-Rochefort) ;
- les possessions du château de Saint-Romain-le-Puy jusqu'au Puy et l'Auvergne ;
- le territoire du Roannais, au-delà et « autant que le domaine des Seigneurs du Roannais s'étend, l'Église ne pourra ni acquérir de place forte, ni en fortifier aucune, à moins de la remettre au Comte » ;
- de Balbigny à Pouilly-lès-Feurs, tout ce qui dans les mandement de Donzy, de Cornillon et de Saint-Symphorien-sur-Coise laissait Maringes et Meys dans les limites du comté;
- Saint-Héand et Chevrières ;
- Châtelus et Fontanès (sauf l'obédience de Grammond);
- Saint-Priest-en-Jarez ;
- Le château de Feugerolles, le château de Grangent.
Les droits tant de l'Église que du comte à Sorbiers restent inchangés. Saint-Jean-Bonnefonds, Saint-Genest-Lerpt, Villars et Saint-Victor sont laissés à la liberté de l'Église[12].
D'autre part, le comte Guy II et son fils abandonnent à l'Église :
- tout ce que le comte avait de droit sur Lyon, ou un autre possédait en son nom, et ce qui en dépendait ;
- tout ce qu'il possédait au-delà du Rhône, ou un autre en son nom, de Vienne jusqu'à Anthon et Bourgoin (hormis la succession par droit d'héritage);
- au-delà de la Saône, « le château de Pérouges que Guichard d'Anthon possédait de lui en fief, la moitié de Montaney que Pierre de Mont Luel avait de lui, et aussi Giry, qu'Hugues Le Déchaussé tenait de lui en fief, il les a cédés avec leurs fidélités » ;
- les châteaux et les mandements de Châtillon, d'Oingt, de Chamousset et d'Yzeron ;
- Saint-Symphorien-sur-Coise ;
- Grézieu-le-Marché, Sainte-Foy-l'Argentière ;
- Le château de Riverie ;
- Changy ;
- le mandement et les deux forts de Saint-Chamond, sauf la route de la Croix du Mont-Violay[13] à Feurs;
- une partie du mandement de Rochetaillée jusqu'à Malleval;
- le château de Montagny et Félines.
Enfin, le texte indique :
- « quiconque aura le château de Saint-Priest, ou de Rochetaillée, ou le Château-Roche, ou de Fougerolles, ou de Grangent, doit hommage lige et fidélité au Comte » ;
- « que le Comte doit foi et hommage lige à l'Archevêque, et qu'il est tenu à l'hommage et fidélité pour ce fief-ci : le Château de Fougerolles, la moitié de Grangent, le Château de Saint-Priest, Saint-Héand, Chambost-Longessaigne, Poncin, Ville-Dieu, Nervieu, avec les dépendances » ;
- qu'entre Saint-Chamond, La Tour-en-Jarez et Saint-Priest-en-Jarez, ni l'un ni l'autre ne peuvent faire de fortification ;
- que l'Église verse onze cents marcs d'argent au comte.
Effet
[modifier | modifier le code]Alexandre III adressa une bulle (3 ou 5 juin 1175)[14] aux archevêques de Vienne et de Clermont leur enjoignant de prévenir le comte qu'il encourait l'excommunication en cas de reprise des hostilités[15][source insuffisante].
Le payement de la somme de onze cents marcs d'argent par l'Église de Lyon se révéla problématique et cette dernière dut engager ses terres du Monts-d'Or et fournir trente quatre otages aux abbés de Savigny et l'Ile-Barbe afin qu'ils se portent garants du payement de la somme[16][source insuffisante].
La somme permit à Guigues de racheter les seigneuries de Forez et de s'assurer 10 à 12 000 livres viennois de rente annuelle (une fortune par rapport à celle du roi) qui lui garantissait désormais une vraie stature de « seigneur féodal »[17].
Lucius III confirma la transaction au chapitre et au comte en janvier 1182[18][source insuffisante].
Par la permutatio, la limite méridionale du royaume de France et du Saint-Empire se voyait ainsi repoussée de la rive ouest de la Sâone aux confins de l'actuelle région stéphanoise[19]. L'influence politique des cisterciens y resta notable après la mort de Guichard. Ainsi en 1184, Hugues de Bonnevaux en présence de Jean Belles-mains obtint la protection de Guy II pour l'abbaye de Valbenoîte[20],[21],[22], implantée à proximité de la voie des pèlerins de Lyon au Puy.
Le successeur de Guichard, Jean Belles-mains, fut tout autant soucieux d'éviter un retour du comte que de réduire le rôle des chanoines du chapitre qui avaient joué un rôle central dans le conflit. Il obtint de Frédéric Barberousse une confirmation de la bulle d'or en 1187 confortant le rôle prédominant de l'archevêque au détriment des chanoines. De même, l'accord sur la vacance des évêchés de Lyon et d'Autun accordé par Philippe Auguste évinçait définitivement le chapitre en cas d'intérim[23]. Jean introduisit dans les statuts du chapitre une nouvelle clause : le serment de respecter les termes de la permutation, préparant probablement l'arrivée de son successeur.
En effet, en 1193, ce fut finalement le fils du comte Guy II, Renaud de Forez qui devint archevêque de Lyon. Cette accession (peut-être organisée en même temps que la permutation) confirma le retour de l'influence française sur la région. À la mort en 1203 de son frère Guy III, il exerça alors conjointement la fonction épiscopale et la régence du Forez.
Les comtes de Forez ne renoncèrent au titre de « comte de Lyon » qu'en 1202, soit neuf ans après l'accession au trône épiscopal de Renaud de Forez[1],[24][source insuffisante],[25][source insuffisante].
Références
[modifier | modifier le code]- Dufour 1946, p. XXII.
- « En 1156, après son mariage avec l'héritière des comtes de Bourgogne, Frédéric Barberousse souhaita rendre effective l'autorité impériale dans l'ancien royaume rodolphien, l'année suivante il tint à Besançon une diète solennelle qui devait manifester sa puissance jusqu'aux frontières de l'Empire. Pour certains seigneurs de France, qui avaient des intérêts outre-Saône, crurent, en s'attachant étroitement à l'Empereur, pouvoir triompher plus facilement à l'ouest de leurs rivaux. (...) Tel aussi l'archevêque de Lyon qui pour défendre les droits régaliens de son église contre les entreprises de comtes de Forez, se rapprocha de l'Empereur ; Héracle de Montboissier fut le premier à Besançon et en revint revêtu du titre pompeux d'exarque du palais de Bourgogne et porteur d'une bulle d'or qui conférait au siège archiépiscopal les regalia et le pouvoir comtal à l'est de la Saône ». Voir Duby 2002, p. 485.
- Lettre de Gui II, comte de Lyon et de Forez (ap. 1136 et av. 1158 -1206), à Louis VII, roi des Francs (1137-1180) au sujet de l'entrée de ce dernier en Auvergne, puis à propos de l'agression perpétrée par le comte Gérard Ier, comte de Vienne et de Mâcon (1157-1184), et les schismatiques visant à le dépouiller et à remettre son comté, dépendant de la Couronne, à l'Empereur germanique, Lire en ligne.
- [Tijet 2011] Jean-Jacques Tijet, Les batailles près de Lyon, , 22 p., sur slideshare.net (lire en ligne), « XIIe siècle », p. 5.
- Duby 2002, p. 485.
- « Le comte de Mâcon en la puissance de qui nous sommes est lié à l'Empereur par des serments, aussi tient-il le glaive suspendu sur nos têtes ». Lettre de l'abbé Hugues de Cluny à Gibert Foliot, évêque de Londres.
- Epistola Alexandri papæ III, ad Humbertum de Belloioco et ad Forensem et Matisconensem Comites aliosque nobiles viros, qua gratulatur de pace jurata inter eos et Cluniacensem ecclesiam, atque indulgentias concedit. Cart. de Cluny, no 4214.
- « C'est une lettre de Thomas Becket à Louis VII qui nous l'apprend ». Voir M. Rubelin, Église et société chrétienne d'Agobard à Valdès, PUL, 2003, p. 485.
- Thomas Archiepiscopus Cantuarensis ad Ludovicium Francorum Regem. Voir J.-C. Robertson et J.-B. Sheppard, Materials for The History of Thomas Becket, t. V, p. 199-200.
- « Guichard de Pontigny put enfin en 1167 s'installer sur son siège ; il conclut aussitôt avec le comte de Forez un accord heureux pour le royaume, puisqu'il reconnaissait les droits du vassal de Louis VII dans la cité de Lyon. Le danger qui venait de l'Empire était décidément conjuré; le roi de France avait désormais toute liberté d'agir. » Voir Duby 2002, p. 489.
- Bulle d'Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174.
- « L'Église de Lyon s'était en outre réservé, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprenait Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars. Mais ces paroisses furent assez vite restituées au Forez. En 1278, c'était fait accompli. » Voir Dufour 1946, p. XXII.
- « Croix-de-Montvieu : hameau, à la limite des communes de Pélussin et de La-Terrasse-sur-Dorlay - Strata (qua itur) a Cruce Montisvioli versus Forisium, 1173 (Chart. du Forez[source insuffisante], no 4, p. 7) (...) Cette croix était placée sur des voies antiques importantes ». Voir Dufour 1946, p. 266. Actuelle commune de Doizieux.
- [Brial 1878] Michel-jean-Joseph Brial, Recueil des historiens des Gaules et de la France, t. 15 (originellement éd. par Dom Martin Bouquet ; nouvelle éd. dirigée par Léopold Delisle), Paris, éd. Victor Palmé, , 1030 p., sur gallica (lire en ligne), p. 950, bulle CCCLXXXI : Ad Viennensem archiepiscopum et Claromontensem
episcopum[à vérifier]. - Ut sub excommunicationis compellant Guigonem comitem Forensem ad observandam transactionem a papa confirmatam inter ipsum et Lugdunensem ecclesiam. (Ferentini, Maio-Iun.) - Chartes du Forez[source insuffisante], no 7.
- Cart. Lyonnais[source insuffisante], p. 69.
- [Neufbourg 1954] Guy de Neufbourg, « Puissance relative du comte et des seigneurs en Forez au XIIIe siècle » (séance du 17 septembre 1954), Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, t. 98, no 3, , p. 342-344 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
- Chartes du Forez[source insuffisante], n°9-10.
- Recueils de mémoires & documents sur le Forez publiés par la société de la Diana, vol. 8, Saint-Étienne, 1874, p. 72-73.
- Charte de sauvegarde perpétuelle octroyée et de plusieurs donations faites à l'abbaye de Valbenoîte, de l'ordre de Citeaux, en Forez, aussitôt après sa fondation par le comte Guy et son fils, en présence et sous le sceau de Jean IIe de ce nom, archevêque de Lyon (1184)- Tirée des archives de ladite abbaye et communiquée par Arnoul du Rozier, premier et plus ancien conseiller au bailliage de Forez.
Voir [Testenoire-Lafayette 1902] Claude-Philippe Testenoire-Lafayette (ill. Félix Thiollier), Histoire de Saint-Étienne des origines à la Révolution, Saint-Étienne, impr. Théolier, , 282 p. (BNF 42352464, présentation en ligne), p. 251. - « Cet acte constate que l'abbaye existait déjà, le titre primitif de la fondation ne nous est pas parvenu. Beneyton, sans le citer, donne l'année 1066 comme date du premier établissement du monastère (Histoire de l'abbaye de Valbenoîte[*], p. 17.), mais il est probable que la bulle pontificale était de la même année 1184 ». Dans Testenoire-Lafayette 1902, p. 22.
- [*] [Testenoire-Lafayette 1893] Claude-Philippe Testenoire-Lafayette, Histoire de l'abbaye de Valbenoite de l'ordre de Cîteaux, à Saint-Étienne de Furan en Forez (1184-1791), Saint-Étienne, impr. Théolier & Cie, , 218 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 17.
- « Abbaye de Valbenoîte. 1184 », Chronologie de Valbenoîte proposée par le musée du diocèse de Lyon, sur museedudiocesedelyon.com (consulté en ).
- [Galland 1989] Bruno Galland, « Le rôle politique d'un chapitre cathédral : l'exercice de la juridiction séculière à Lyon, XIIe – XIVe siècles », Revue d'histoire de l'Église de France, t. 75, no 195, , p. 273-296 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
- Chartes du Forez[source insuffisante], n°18.
- Huillard-Bréholles, n° 14.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [Dufour 1946] Jean-Étienne Dufour et Marguerite Gonon (tables des formes anciennes et des matières), Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire, Mâcon, impr. Protat frères, (réimpr. 2006), LI-1186 p. (OCLC 406721067, BNF 34198540, présentation en ligne), (notice Bml n° 154886-42)
- [Galland 1994] Bruno Galland, Deux archevêchés entre la France et l'Empire : les archevêques de Lyon et les archevêques de Vienne, du milieu du XIIe siècle au milieu du XIVe siècle, Paris, De Boccard, , 848 p. (ISBN 978-2-7283-0299-4, BNF 03038701).
- [Duby 2002] Georges Duby (préf. Dominique Iogna-Prat), Qu'est-ce que la société féodale ?, Paris, Flammarion, (réimpr. 2011), LXXVIII-1754 p. (ISBN 978-2-0812-7222-4, OCLC 49396332). .
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- « Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 », traduction en ligne, bibliographie et notice, Musée du diocèse de Lyon (consulté en ). .