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Paul-Louis Grenier

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Paul-Louis Grenier
L'abbaye de Chambon, dans son village de naissance, est un des lieux ayant inspiré Paul-Louis Grenier pour ses poèmes et est le lieu où se déroule son Arribada.
Fonctions
Majoral du Félibrige
-
Jean Rebier (d)
Conservateur des Archives et de la bibliothèque de la ville de Limoges
-
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Jean Baptiste François Paul Louis GrenierVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Rédacteur à
Lemouzi, Lo Gai Saber (d), Òc (d), L'Âme latine (d), La Vie limousine (d), Revue des provinces de France (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Félibrige
Académie des provinces françaises (d)
Société des félibres de Paris (d)
Académie des Jeux florauxVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Œuvres principales

- Chansó de Combralha,

- La Dama a l'unicorn,

- L'Arribada, etc

Paul-Louis Grenier ou Pau Loís Granier, son nom de plume en occitan, né le à Chambon-sur-Voueize et mort le est un écrivain, historien et philologue limousin de langue occitane originaire de Chambon-sur-Voueize, en Creuse[1].

Historien, il est au début du XXe siècle spécialiste du Limousin au Moyen Âge et plus particulièrement de la ville de Limoges mais aussi des Combrailles.

Grenier est aussi philologue spécialisé dans l'étude de l'occitan, sa langue maternelle. Il est avant tout connu pour ses textes et poèmes rédigés en dialectes limousin et marchois qui font de lui une figure importante de la culture occitane en Limousin[2].

Il est un des premiers auteurs à rétablir la norme classique de l'occitan pour les parlers nord-occitans et est une figure littéraire pour ces derniers[3].

Origines et famille

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Paul-Louis est le fils de François-Auguste Grenier, médecin à Chambon-sur-Voueize, vétéran de la guerre franco-prussienne, et de Berthe Aubergier, qui décède 13 mois après sa naissance.

Les Grenier sont une vieille famille d'artisans et commerçants originaires de Limoges. Ces derniers y étaient inscrits sur les registres consulaires dès 1430 et y tenaient en 1540 une hôtellerie dite de « la Couronne ».

Son grand-père maternel, Louis Aubergier (1820-1884), fut maire de Chambon-sur-Voueize.

Paul-Louis a pour demi-frère l'industriel, peintre et officier de l'Armée de l'air Henri Grenier (1885-1944), ainsi qu'une demi-sœur, Marie, issus du remariage de François-Auguste Grenier avec Marguerite Sallandrouze, fille d'un illustre tapissier d'Aubusson[4].

Paul-Louis Grenier est scolarisé à l'école Saint-Martial de Limoges, puis chez les maristes à Montluçon, où son père s'est installé et occupe le poste de médecin-chef de l’hôpital.

Chartiste, Paul-Louis Grenier soutient une thèse intitulée La cité de Limoges. Son évêque, son chapitre, son consulat (XIIe-XVIIIe siècles)[5] qui est publiée en 1907 aux éditions Picard[6].

En plus de son travail sur l'occitan et sa littérature, il produit aussi des recherches en histoire médiévale[7].

Sa vie professionnelle fut très liée à l'écrit, puisque Paul-Louis Grenier fut longtemps conservateur de la bibliothèque de Limoges et travailla un temps à la Bibliothèque nationale de France[8],[9].

Langue occitane

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Aire linguistique de l'occitan limousin - comprenant à l'intérieur le marchois - selon Paul-Louis Grenier mais aussi Yves Lavalade et Dominique Decomps.

Paul-Louis Grenier écrivait parallèlement des textes littéraires dans plusieurs dialectes occitans sous le nom de plume Pau Loís Granier[10]. D'abord l'occitan limousin[11], mais aussi le marchois[12],[13] très littéraire, très travaillé[14],[15], dans lequel il n'hésitait pas à insérer des tournures plus méridionales (empruntées aux dialectes de Provence et du Languedoc) et un lexique assez « archaïque » voire médiéval. Il possède en effet une prédilection pour l'ancien occitan et les troubadours[16]. Cette langue littéraire et empruntant à différents dialectes occitans lui fut d'ailleurs reprochée par certains de ses contemporains, notamment par des Limousins et des Marchois, qui souffraient de ne pas y retrouver leur parler[17].

Les thèmes qu'il traita sont souvent mythologiques, merveilleux, et il décrit des lieux et des personnages liés au Limousin d'une façon souvent fantastique[18]. Parmi les sujets récurrents dans son œuvre, on trouve l'abbaye de Chambon et les Combrailles[19],[20], la ville de Limoges, celle de Bourganeuf et le mystérieux prince ottoman Zizim qui y vécut[21], les animaux fantastiques comme la licorne[22], etc.

Membre du Félibrige[23], il est en est une des principales figures en Limousin[24] et des auteurs de la revue Lemouzi[25]. Il est élu en 1944 majoral du Félibrige[26] et a reçu la légion d'honneur[27].

Sous-dialectes limousins selon Paul-Louis Grenier.

Ses textes sont réalisés en graphie classique de l'occitan et il est un des premiers à l'adapter et en faire usage dans la vaste aire du nord-occitan[28],[29]. Il l'adapte donc aux dialectes limousin et marchois relativement tôt, l'auvergnat voisin par exemple le sera quelques décennies plus tard notamment avec les travaux de Benezet Vidal, lui aussi originaire des Combrailles[30].

Dans sa grammaire du Limousin, il découpe l'occitan limousin en quatre sous-dialectes que sont le Haut-Limousin (deux tiers sud de la Haute-Vienne, plateau de Millevaches, et pointe nord de la Corrèze), le Bas-limousin (Corrèze), le Périgourdain (deux-tiers nord du Périgord et franges de la Charente), et le Marchois (nord de la Charente, de la Creuse et de la Haute-Vienne, franges sud de l'Indre, du Cher et de la Vienne, puis les Combrailles). Ce découpage ne fut cependant pas approuvé par tous les linguistes qui ont étudié ces parlers après lui.

Il meurt en 1954 dans sa ville natale de Chambon-sur-Voueize[31].

Publications

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Tapisserie de Boussac : Elle a inspiré le poète pour son texte La Dama a l'unicorn.

Il a écrit 93 poèmes remarquables, réunis dans les recueils La chansó de Combralha (1927)[32], La Dama a l'Unicòrn (1933)[33], Imatges (1939), L'Arribada, Vielh Lemòtges (1940), Paisatges (1948) ou encore Los mestres dau fuec[34]. L'ensemble de son œuvre fut réédité en un volume Òbra poetica occitana aux éditions Lo Chamin de Sent Jaume (Meuzac) en 2001[35],[36]. Parmi ces textes d'autres sont intégrés à des recueils généraux de poésie occitane[37].

Ses poèmes furent mis en musique par plusieurs chanteurs occitans, comme Jan dau Melhau[38],[39] et Bernard Combi[40]. Il est aussi l'auteur d'un abrégé de grammaire d'occitan [41] qui comprend les dialectes limousin et marchois qui connaît plusieurs rééditions[42].

Liste non exhaustive établie par ordre chronologique du plan ancien au plus récent.

Littérature

  • L'Archipel enchanté, Société littéraire de France, Paris, 1920.
  • Chansó de Combralha (La chanson de Combraille), éditions Occitania, Paris / Toulouse, 1927, ([lire en ligne] sur le site de la Bibliothèque numérique du Limousin) .
  • La Dame à la Licorne, poèmes en langue d'oc, précédés d'une notice sur le prince Djem, dit Zizim, fils de Mahomet II, 1933.
  • Imatges (Images, poèmes en langue d'oc avec traduction française en regard), éditions Privat, Toulouse, 1939.
  • Vielh Lemòtges (Vieux Limoges : poèmes en langue d'oc), éditions Privat, Toulouse, 1940.
  • Grenier (Préface), Marguerite Genès, Mathilde Peyre Leis d'Amor, édition analytique des Leys d'Amor, 1944.
  • Paisatges (Paysages, poèmes en langue d'oc), éditions occitanes, Castelnaudary, 1948.
  • Òbra poetica occitana (dir. Jan dau Melhau), Edicions dau Chamin de Sent Jaume, Meuzac, 2001.

Recherches en Histoire et linguistique

  • La cité de Limoges, son évêque, son chapitre, son consulat (XIIe – XVIIIe siècles), éditions Picard, Paris, 1907.
  • Abrégé de grammaire limousine (Bas-Limousin, Haut-Limousin, Marchois), première édition dans les Mémoire de la Société des Sciences de la Creuse, vol. 30-2, éditions de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, Guéret, 1950, p. 325-352 ; deuxième édition chez les éditions Lecante, Guéret, 1950.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « Paul-Louis Grenier », sur bn-limousin.fr ; site officiel de la Bibliothèque Numérique du Limousin.
  2. Jean-Charles Varennes, Les Grandes Heures de la Haute-Marche, Paris, Librairie académique Perrin, (ISBN 2-262-00296-7)
  3. Jean Roux, De la renaissance d'une langue occitane littéraire en Auvergne au début du XXe siècle, perspectives et avenir (Thèse en études occitanes sous la direction d'Hervé Lieutard), Montpellier, Université Paul-Valéry, soutenue en 2020 (lire en ligne).
  4. Fernande Bonnemain, « Henri Grenier (1885-1944). Officier de l’Armée de l’Air », sur premiere-guerre-mondiale-1914-1918.com (consulté le ).
  5. Cédric Jeanneau, « Les ducs de Bretagne, vicomtes de Limoges Transferts, installations et adaptations d’une famille bretonne (1275-1316) », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, Rennes, Presses universitaires de Rennes, no 126,‎ , p. 9-34 (ISSN 0399-0826, lire en ligne)
  6. Charles de Lasteyrie, « Paul-Louis Grenier. La cité de Limoges ; son évêque, son chapitre, son consulat (XIIe – XVIIIe siècle) » (Compte-rendu d'ouvrage), Bibliothèque de l'École des chartes, École nationale des chartes, vol. 70,‎ , p. 112-113 (lire en ligne)
  7. Paul-Louis Grenier, « Georges Thomas. Les comtes de la Marche de la maison de Charroux (Xe siècle-1177). Paris, Champion, 1928 », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris, Société de l'École des chartes,‎ , p. 342-343 (ISSN 0373-6237, OCLC 725997094, lire en ligne)
  8. P. J., « Nécrologie - Paul-Louis Grenier », Bulletin de l'Association des bibliothécaires de France, Paris, Association des bibliothécaires de France (en ligne sur le site de l'École nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques),‎ , p. 166 (ISSN 1256-2173, lire en ligne)
  9. « Paul-Louis Grenier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ssnah23.org ; site officiel de la Société des Sciences d'histoire naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse.
  10. Institut d'études occitanes du Limousin, (Mòstra / Exposition) 1800-2000. Des prêtres patoisants aux écrivains contemporains : 200 ans de création littéraire occitane en Limousin, Uzerche. [lire en ligne : [1]
  11. Mathieu Riboulet, « «Entretenir la flamme félibréenne et rendre hommage aux belles lettres de la langue d’oc » (Lemouzi) », Littérature occitane en Limousin, Limoges, Centre Régional du livre en Limousin, no 14,‎ (ISSN 1286-9228, lire en ligne)
  12. Dominique Caubet, Salem Chaker, Jean Sibille, « Le marchois : problèmes de norme aux confins occitans », Codification des langues de France. Actes du colloque Les langues de France et leur codification organisé par l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris, Mai 2000), Paris, Éditions L'Harmattan,‎ , p. 63-76 (ISBN 2-7475-3124-4, lire en ligne)
  13. Jean-Pierre Baldit, « La littérature marchoise », Patois et chansons de nos grands-pères marchois. Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon (dir. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume), Paris, Éditions CPE,‎ , p. 72-77 (ISBN 9782845038271)
  14. Joan Lesaffre, « La leçon limousine et occitane de Paul-Louis Grenier », Lemouzi, Tulle, Société historique et régionaliste du Bas-Limousin,‎ , p. 511-516 (ISSN 0024-0761)
  15. Institut d'études occitanes du Limousin, Mille ans de littérature occitane en Limousin. De Boeci (1020) à Jaume Chauvin (2017), Limoges 2017 [lire en ligne : [2]]
  16. Roberta Capelli, « La voix des troubadours dans l’œuvre de Paul-Louis Grenier », Les Troubadours dans le texte occitan du XXe siècle (dir. Marie-Jeanne Verny), Paris, Éditions Classiques Garnier,‎ , p. 43-62 (ISBN 978-2-8124-3339-9, lire en ligne)
  17. Roger Ténèze, Paul-Louis Grenier : biographie, étude critique et anthologie, Tulle, Lemouzi,
  18. (en) Catherine Parayre, « Occitan Studies: Literature, Modern Period », The Year’s Work in Modern Language Studies, Leyde, Éditions Brill, vol. 77,‎ , p. 94-100 (ISSN 0084-4152)
  19. Georges Cesbron, « Guide de balades littéraires en Limousin », L'imposture dans la littérature, Angers, Rennes, Presses universitaires de Rennes,‎ , p. 279 (EAN 9782915751437, lire en ligne)
  20. Jean Jamot, Chambon-sur-Voueize : à travers les âges, Ahun, éditions Verso, , 377 p. (ISBN 2-903870-75-6, lire en ligne), p. 11
  21. Frédéric Hitzel, « Turcs et turqueries à la cour de Catherine de Médicis », Les Musulmans dans l'histoire de l'Europe. Une intégration invisible, Paris, Éditions Albin Michel,‎ (ISBN 9782226267528, lire en ligne)
  22. « Paul-Louis Grenier », sur geoculture.fr.
  23. Samuel Gibiat, « Le félibrige et l'identité limousine », Le Limousin, pays et identités : enquêtes d'histoire, de l'Antiquité au XXIe siècle (dir. Jean Tricard, Philippe Grandcoing, Rencontre des historiens du Limousin, Robert Chanaud), Limoges, Presses universitaires de Limoges,‎ , p. 239-256 (ISBN 9782842874100, lire en ligne) :

    « Seul le poète Paul-Louis Grenier [...] de Chambon-sur-Voueize aux marges du Limousin historique, sut produire une oeuvre savante remarquée La Chançon de Conbralha. »

  24. Robert Sabatier, Histoire de la poésie française : Poésie du XXe siècle. Volume III : Métamorphoses et Modernité, Paris, Éditions Albin Michel, , 795 p. (ISBN 978-2-226-03398-7, lire en ligne)
  25. (fr + oc) « La revue Lemouzi [Œuvre] », sur occitanica.eu ; site officiel de la bibliothèque numérique Occitanica, Béziers, Centre International de Recherche et de Documentation Occitanes - Institut Occitan de Cultura (CIRDÒC) (consulté le ).
  26. Robert Joudoux, « La langue et les traditions limousines », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, Paris, Les Belles Lettres,‎ , p. 129-132 (ISSN 2275-5160, lire en ligne)
  27. Roger Ténèze (préf. Robert Joudoux), Paul-Louis Grenier, majoral du Félibrige (1879-1954). Biographie, Étude critique et Anthologie, Tulle, Société historique et régionaliste du Bas-Limousin ; Lemouzi vol. 42, (ISSN 0024-0761)
  28. Jean-Pierre Baldit, « Quelle graphie utilisée pour le marchois ? », Patois et chansons de nos grands-pères marchois. Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon (dir. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume), Paris, Éditions CPE,‎ , p. 84-87 (ISBN 9782845038271)
  29. (en) Pierre Bec, Rebeca Posner (trad.), « Occitan », Trends in Linguistics and Philology. Studies and Monographs. Trends in Romance Linguistics and Philology, Mouton Publishers, vol. 3 « Language and Philology in Romance »,‎ (ISBN 90-279-7906-5, lire en ligne)
  30. (fr + oc) Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne, Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 2-7005-0319-8, ISSN 1281-7554, BNF 38860579)
  31. « Décès de Paul-Louis Grenier à Chambon », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Guéret, Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. 23,‎ , p. XXIV (ISSN 2534-1502)
  32. « La Chanson de Combraille », sur geoculture.fr.
  33. Charles Camproux, Histoire de la littérature occitane, Paris, Payot, , 296 p. (ISBN 978-2-402-30718-5, lire en ligne)
  34. Joelle Ginestet, « L'inspiration biblique dans les Psaumes de la Nuit de Max Rouquette », Max Rouquette et le renouveau de la poésie occitane. La poésie d’oc dans le concert des écritures poétiques européennes (1930-1960), Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée (Université Paul-Valéry),‎ , p. 49-73 (ISBN 9782842698812, lire en ligne)
  35. (oc + fr) Òbra poetica occitana de Pau-Loís Granier, Limoges, Chamin de sent Jaume, 2001 (édition de recueil), 329 p. (ISBN 978-2-913238-10-7)
  36. (fr + oc) « Œuvres poétiques complètes, de Paul-Louis Grenier (Edicions dau Chamin de Sent Jaume) », Machine à feuilles. Histoire et mémoire en Limousin, Limoges, Association limousine de coopération pour le livre, no 12,‎ (ISSN 1286-9228, lire en ligne)
  37. (oc) Christine Nougué-Debat, Sylvie Pargade Tournadot, Patrick Ratineaud, Marie-Odile Dumeaux (collectif), Poesias : 45 poesias en occitan, gascon, lemosin e lengadocian, Bordeaux, Centre régional de documentation pédagogique d'Aquitaine, coll. « Cap'oc », , 33 p. (ISBN 978-2-86617-606-8)
  38. « Jan dau Melhau, l’occitan au cœur », La Montagne, Clermont-Ferrand, Groupe Centre France,‎ (ISSN 2109-1579, lire en ligne)
  39. (oc) Jan dau Melhau, Melhau chanta Granier, Limoges, La Voix des Sirènes,
  40. (oc) La capforcha : Chants e musicas en Lemosin – La croisée des chemins : Chants et musiques en Limousin, Limoges, La Voix des Sirènes,
  41. A. Carriat, « Sur l'abrégé de grammaire limousine de Grenier », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Guéret, Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse,‎ , p. XXXV, (ISSN 2534-1502)
  42. « Abrégé de grammaire limousine (bas-limousin, haut-limousin, marchois) », Lemouzi, Limoges, no 208,‎ (ISSN 0024-0761)