L'Alcyon (torpilleur)
L'Alcyon | |
Ruban de bachi d'un matelot de L'Alcyon. | |
Type | Navire |
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Histoire | |
A servi dans | Marine nationale Forces navales françaises libres |
Commanditaire | Marine nationale française |
Constructeur | Forges et chantiers de la Gironde |
Quille posée | [1] |
Lancement | [2] |
Armé | |
Statut | 1948 : retiré du service |
Équipage | |
Équipage | 7 officiers 12 officiers mariniers 115 quartiers-maîtres et matelots |
Caractéristiques techniques | |
Longueur | 107,2 m |
Maître-bau | 9,9 m |
Tirant d'eau | 4,24 m |
Déplacement | 1 378 t[3] |
À pleine charge | 1 900 t |
Propulsion | 2 hélices 3 chaudières du Temple 2 turbines à vapeur Zoelly |
Puissance | 34 000 ch |
Vitesse | 33 nœuds (61 km/h) |
Caractéristiques militaires | |
Armement | 4 canons de 130 mm/40 2 canons de 37 mm AA 2 x 2 mit. de 13.2 mm 2 grenadeurs de sillage 2 mortiers 2 × 3 TLT de 550 mm |
Rayon d'action | 2 150 milles marins (3 981,8 km) à 14 nœuds (26 km/h) |
Pavillon | France |
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Le torpilleur L’Alcyon est un torpilleur français de la série des 1 500 tonnes appartenant à la classe L'Adroit. Lancé en 1926, il participe à la Seconde Guerre mondiale avant d'être désarmé en 1948.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Toutes les unités de la classe L'Adroit ont été modernisées à la fin des années 1930 : remplacement du canon de 75 mm/50 et des 2 mitrailleuses 8 mm/80 par 2 canons de 37 mm modèle 1925 et 4 mitrailleuses de 13,2 mm. En 1940 tous, sauf La Railleuse, qui a subi une explosion le , et L'Adroit, coulé le , ont vu la pièce n°3 de 130 mm débarquée. En 1943, L'Alcyon, le Fortuné, le Basque et le Forbin sont modernisés : suppression d'un affût triple de tubes lance-torpilles de 550 mm, ajout d'un canon antiaérien de 40 mm Bofors Mk 1/2 et de 4 à 6 canons antiaériens de 20 mm Oerlikon Mk 4, d'un radar et d'un sonar.
Histoire
[modifier | modifier le code]L’Alcyon est mis en chantier le à Bordeaux, aux Forges et chantiers de la Gironde. Lancé le , il est admis au service actif le .
L’Alcyon combat à Casablanca lors de l'opération Torch et échappe au massacre. Après sa modernisation en Afrique du Nord (artillerie antiaérienne modernisée, installation d'un radar et d'un sonar...) il poursuit le combat pour la libération au côté des Alliés. Il est retiré du service le .
Sources
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Vincent-Bréchignac, Flottes de combat 1940-1942, Paris,
- (en) Robert Gardiner et Roger Chesneau, Conway's All the World's Fighting Ships (1922-1946), [détail de l’édition]
Notes et références
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Présentation Torpilleur L'Alcyon », sur alabordache.fr
- « L'Alcyon », sur le.fantasque.free.fr
- « Casablanca : la fin de l'escadre légère »