Hamonville
Hamonville | |||||
Église Saint-Mansuy. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mad et Moselle | ||||
Maire Mandat |
Patrice Velle 2020-2026 |
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Code postal | 54470 | ||||
Code commune | 54248 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hamonvillois, Hamonvilloises[1] | ||||
Population municipale |
101 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 49′ 43″ nord, 5° 48′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 234 m Max. 267 m |
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Superficie | 6,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Toulois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | mairiehamonville.fr | ||||
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Hamonville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Le village est situé au nord de la forêt de la Reine, à 38 Km de Nancy, 19 Km de Toul,
D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 673 hectares comportait en 2011, 43.5 % de zones agricoles, 22 % de forêts 31,5 % de prairies et 3,5 % de surfaces en eau.
Le territoire est arrosé par les cours d'eau suivants : Ruisseau d'Esche (0,771 km), Ruisseau de Berupt (1., km), Ruisseau de l'Etang de la Grande Naue (0,762 km), Ruisseau de l'Etang Fion (1,36 km), Ruisseau du Grand Etang (1,178), Ruisseau du Pre St-Martin (1,378 km) [2].
communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Lieux et écarts
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Berupt, le ruisseau de l'Étang de la Grande Naue, le ruisseau de l'Étang Fion, le ruisseau d'Esche, le ruisseau du Grand Étang et le ruisseau du Pre St-Martin[3],[Carte 1].
Quatre plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le Grand étang, d'une superficie totale de 22,6 ha (20,4 ha sur la commune), l'étang de Bausse (8,3 ha), l'étang de Naue Monterme (0,8 ha) et l'étang Fion (5,7 ha)[Carte 1],[4].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[5].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Hamonville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,9 %), prairies (29 %), forêts (21,7 %), eaux continentales[Note 3] (3,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village apparaît dans la seconde moitié du XIIe siècle sous deux noms : Hamunviler en 1155/1172, et Hamunvilla en 1184 (cartulaire de l'abbaye de Rangéval[18]).
Le toponyme est formé de l'anthroponyme germanique Hamo et du terme latin villa, grand domaine latifundiaire puis village, ou de son dérivé villare, domaine propice à l'implantation d'une villa puis hameau. Ce type de toponyme est caractéristique du haut Moyen Âge[19]. A cette époque la forme latinisée Haimonisvilla était utilisée[20].
Histoire
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Dans sa statistique, l'abbé Grosse, n'ayant pas trouvé d'archives très anciennes, estime que le village serait de fondation récente[21], néanmoins le Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle (Beaupré) mentionne la découverte de reste d'habitations aux lieux-dits Braquois et à la Grande Corvée[Note 4] avec tuiles et tessons de poteries qui pourrait être l'indice d'un occupation ancienne (romaine ?) du territoire communal[22].
Le bourg existait depuis le haut Moyen Age comme en témoigne H. Lepage dans sa notice :
« Une charte de Bertrand, évêque de Metz, de l'an 1184, fait mention de la donation qui avait été faite à l'abbaye de Rangéval par Alexandre, chevalier d'Apremont, de l'usage et du pâturage d'Hamonville »[23].
Il semble donc que ce territoire, comme Beaumont et Mandres aux quatre tours appartenait aux comtes d'Apremont qui le confiaient en gestion à des seigneurs, dont la famille de Beauvau, par exemple :
«... le , Jean, sire de Beauvau, chambellan du Roi de Sicile (le duc de Lorraine) et seigneur d'Hamonville en partie, permet à une nommée Sibille Woirin, dudit lieu, de se marier avec Didier, fils du maire de Sambumont (Beaumont), et renonce à sa postérité... »[23].
- En effet, pour éviter la fuite de main-d'œuvre en dehors de leurs possessions, les seigneurs pouvaient donner autorisation (ou non) de mariage en dehors de la commune, et donc renoncer à bénéficier pour eux-mêmes du travail de la descendance du marié qui quittait la commune.
D'autres seigneurs prélevaient un impôt sur les productions de la commune, les archives historiques en font la liste entre 1325 et 1755 :
- Jean de Bar, échevin de Verdun (1325) ;
- Alof de Beauvau et Christophe d'Ourches (1524) ;
- Jeanne de Ville, dame de Neuville en Verdunois, veuve de François Warin, lieutenant général au bailliage de Saint-Mihiel (1575) ;
- Charles Blanchard, sous-lieutenant d'une compagnie de chevau-légers pour le service du duc de Lorraine (1707) ;
- les sieurs du Chesnois et de Thouvenin, lequel vendit sa portion, en 1765 ;
- M. François-Joseph marquis de Clermont-Tonnerre qui en avait acquis un autre droit auprès du sieur Tardif, en 1755
Les habitants d'Hamonville possédaient toutefois en commun un droit d'usage de 70 arpents dans un bois de haute futaie ; un même droit dans un paquis de cinq arpents, dans cent jours de terres labourables, dans 50 arpents de prés, biens qui deviendront communaux à la révolution[23].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]- Dommages au cours de la guerre 1914-1918.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 101 habitants[Note 5], en évolution de +10,99 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole au XIXe siècle :
« Surf. territ. : 750 ha, dont 175 hect. en terres lab., 19 en prés, 87 en bois. L'hectare semé en blé peut rapporter 10 hectol., en avoine 18. Chevaux, vaches, moutons et porcs »[30],[21].
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[31]), la commune de Hamonville était majoritairement orientée[Note 6] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 771 hectares (égale à la surface cultivable communale) en légère augmentation depuis 1988. Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 861 à 787 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 (6 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 9 unités de travail[Note 8] 14 auparavant.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La Maison de Clermont-Tonnerre avait un fief dont les bâtiments ont été transformés en ferme.
- Église Saint-Mansuy, reconstruite après 1918.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La famille de Clermont-Tonnerre[32] ;
- Jean-Louis Ainard de Clermont-Tonnerre, abbé de Luxeuil au XVIIIe siècle.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la croix ancrée de gueules cantonnée de quatre étoiles de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
- Mgr de Beauséjour, évêque de Carcassonne, de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon. Les Clermont-Tonnerre comtois. A Vauvillers. A Luxeuil. A Hamonville, Besançon, Impr. Jacques et Demontrond, 1929, In-8°, 204 p.
Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Lieux-dits inconnus au fichier FANTOIR pour la commune 54248.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Hamonville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Hamonville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hamonville et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Hamonville ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, réd. sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, (lire en ligne), p. 64.
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
- Pouillé ecclésiastique du diocèse de Toul, B. Picart, 1711 - "HAMONVILLE"
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne).
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes / par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne).
- Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département...., vol. 1, (lire en ligne), p. 463.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 235.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- Paul de Beauséjour, Clermont-Tonnerre comtois. A Vauvillers. A Luxeuil. A Hamonville, (lire en ligne), •TROISIEME PARTIE Les Clermont-Tonnerre à Hamonville (154).