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Boubers-lès-Hesmond

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Boubers-lès-Hesmond
Boubers-lès-Hesmond
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Blason de Boubers-lès-Hesmond
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des 7 Vallées
Maire
Mandat
Francis Tetard
2020-2026
Code postal 62990
Code commune 62157
Démographie
Gentilé Boubersois
Population
municipale
73 hab. (2021 en évolution de −13,1 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 34″ nord, 1° 57′ 00″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 132 m
Superficie 1,74 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Boubers-lès-Hesmond
Géolocalisation sur la carte : France
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Boubers-lès-Hesmond
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Boubers-lès-Hesmond
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Boubers-lès-Hesmond

Boubers-lès-Hesmond est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Boubersois.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Map
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Boubers-lès-Hesmond
Embry
Saint-Denœux Boubers-lès-Hesmond Lebiez
Hesmond

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 1,74 km2 ; son altitude varie de 46 à 132 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par l'Embrienne, cours d'eau naturel 6,19 km, qui prend sa source dans la commune de Rimboval et se jette dans la Créquoise au niveau de la commune d'Hesmond[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Boubers-lès-Hesmond[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 951 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[11].

Milieux naturels et biodiversité

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Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Cette ZNIEFF est constituée de bois, de cultures, de prairies bocagères et de villages, représentation typique des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais[12].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Au , Boubers-lès-Hesmond est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56 %), prairies (23,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), forêts (3,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par les routes départementales D 149 et D 149e1[18].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 9 km de la gare de Beaurainville, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Budberz et Buberch en 1079[20].

Albert Dauzat et Ernest Nègre ont vu dans Boubers un nom de personne germanique en -bert fixé absolument[20],[21]. Albert Dauzat suggère *Bud- en tant qu'élément d'anthroponyme non attesté en l'état des sources. Ernest Nègre évite l'écueil d'un nom de personne non attesté en proposant Baldebertus[21], cependant il faut supposer préalablement que Balde- soit devenu Baude- réduit à Bod- postérieurement, ce qui affaiblit cette hypothèse.

Ils rapprochent Boubers-lès-Hesmond de Boubers-sur-Canche (Pas-de-Calais, Budberz et Bobert en 1079, Botbercii en 1099, Buberch en 1129) dont les formes anciennes ne comportent pas non plus un élément Balde- devenu Baude-, mais le même élément Bud-. Ils omettent le toponyme Mons-Boubert (Somme, Boberc en 1176, Bobers en 1187, Bouberc de 1209, Bouberch régulièrement de 1220 à 1616) qui partage vraisemblablement la même étymologie. Maurits Gysseling rapproche Boubers-sur-Canche des Budberg allemands, qui sont manifestement des toponymes en -berg[22].

Le germanique berg signifie « élévation, colline, mont », il est précédé d'un substantif ou d'un adjectif germanique, plusieurs étymologies étant possibles. Maurits Gysseling ne se prononce pas sur sa nature, montrant par là qu'il bute sur son identification[22]. Le recours à l'appellatif berg se justifie également par le dénivelé de 90 m sur le territoire de la commune, de même pour Boubers-les-Hesmond avec 86 m et Mons-Boubert qui domine une profonde vallée correspondant à une cassure du plateau et dont Mons « mont(s) » anciennement associé à Boubert est la traduction romane de berg.

Le déterminant supplémentaire Lès-Hesmond signifie « près de Hesmond », En français, la préposition « lès » signifie « près de ». D'usage vieilli, elle n'est guère plus rencontrée que dans les toponymes, plus particulièrement ceux de localités. Il convient de noter que la première mention de Hesmond est Hethenesberg en 826 et est constituée du même appellatif berg, conjointement attesté avec l'appellatif roman mont (Hethenasmont en 838)[23]. En outre, Humbert (Umberche en 1170, Unguebert vers 1214) situé au nord est considéré comme un toponyme en -berg[24].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin.

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[25].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1796 Pierre François Baudelet   Agriculteur
1796 1823 Antoine François Noeuveglise   Agriculteur
1823 1835 Constantin Tétu   Maréchal-Ferrant
1835 1844 Charles Louis Bonvarlet   Propriétaire
1844 1864 Liévin Godin   Prpriétaire
1864 1881 François Bodécot   Agriculteur
1881 1908 Alexandre Maquaire   Agriculteur
1908 1959 Eugène Maquaire   Agriculteur
1959 mars 1977 Roger Maquaire   Agriculteur
mars 1977 mars 2008 Francis Maquaire DVD Agriculteur
mars 2008 En cours
(au 2 février 2022)
Francis Tétard   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[26],[27],[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[32].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Boubersois[33].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 73 habitants[Note 4], en évolution de −13,1 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
969893117122113110115112
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
949796938782777691
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
898687908673658487
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
809085717177696872
2015 2020 2021 - - - - - -
847573------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 41 hommes pour 43 femmes, soit un taux de 51,19 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,6 
10,8 
75-89 ans
15,8 
21,6 
60-74 ans
26,3 
40,5 
45-59 ans
23,7 
8,1 
30-44 ans
13,2 
8,1 
15-29 ans
5,3 
10,8 
0-14 ans
13,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
  • La commune ne possède pas de monument aux morts, mais une plaque de marbre apposée sur le mur de l’église[39].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Boubers-lès-Hesmond Blason
D'argent au sautoir de gueules, chargé en coeur d'une molette d'or et cantonné de quatre crosses abbatiales contournées de gueules[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Embrienne (E5400900) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Boubers-lès-Hesmond et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Boubers-lès-Hesmond ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare de Beaurainville », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
  21. a et b Ernest Nègre, TGLF (lire en ligne) [1]
  22. a et b (nl) Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), (lire en ligne), p. 170-201 [2]
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 351b.
  24. Ibid., p. 358a.
  25. « Liste des communes composant le canton d'Auxi-le-Château (6206) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. « Le bilan des maires : à Boubers, Francis Tétard était loin d’imaginer « que le rôle de maire était si prenant » : D'une population d'à peine 80 habitants et d'une superficie de 174 hectares, le village boubersois, niché au cœur de la vallée de l'Embryenne, est le plus petit du canton de Campagne-les-Hesdin. À sa tête, Francis Tétard, 54 ans, agriculteur qui va terminer son premier mandat de maire. Bilan. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Boubers-les-Hesmond : un deuxième mandat pour Francis Tétard », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598919
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boubers-lès-Hesmond (62157) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  40. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).