Bosmie-l'Aiguille
Bosmie-l'Aiguille | |||||
La mairie, château du Boucheron. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Vienne | ||||
Maire Mandat |
Maurice Leboutet 2020-2026 |
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Code postal | 87110 | ||||
Code commune | 87021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bosmiauds | ||||
Population municipale |
2 617 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 327 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 46′ 07″ nord, 1° 13′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 210 m Max. 375 m |
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Superficie | 8,01 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bosmie-l'Aiguille (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aixe-sur-Vienne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | mairie-bosmie.fr | ||||
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Bosmie-l'Aiguille [bɔsmi lɛɡɥij] est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Bosmiauds[1]. Bosmie-l'Aiguille est située à environ huit kilomètres au sud-ouest de Limoges sur la rive gauche de la Vienne et s'étend sur 801 ha.
C'est en 1792 que l'enclave de Bosmie se détacha d'Isle pour devenir une commune à part entière. Son essor commença en 1860 avec la construction de la voie ferrée et de son viaduc, en 1864 avec l'édification du pont de la Vienne et en 1885 avec l'installation des papeteries cartonneries Lacaux. Ce n'est qu’en 1966 que la commune de Bosmie prit le nom de Bosmie-l'Aiguille.
Elle compte aujourd'hui 2 469 habitants et fait partie de la communauté de communes du Val de Vienne. Elle est jumelée avec la ville espagnole de Pedralba. Quatre cours d'eau la sillonnent : la Vienne, la Briance, le Cramouloux et le Boulou.
La mairie est installée depuis 1980 dans le château du Boucheron, construit au XIXe siècle par l'ingénieur Paul-Valentin Amilhau, maire de la commune de 1896 à 1908 dont on peut voir les initiales en marqueterie dans un des bureaux actuels.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune de Bosmie-l'Aiguille est située sur la rive gauche de la Vienne, au confluent de celle-ci et de la Briance, à environ huit kilomètres au sud-ouest de Limoges. Elle est également traversée par le Boulou, affluent de la Vienne.
Son altitude minimale est de 210 m (la Vienne). Son altitude maximale est de 374 m. La mairie se situe à une altitude de 320 m.
Les constructions de la commune sont réparties principalement sur deux zones :
- l'Aiguille, qui accueille la plupart des services, des commerces et des bâtiments (écoles, gare, église, cartonnerie Lacaux, etc.) ;
- les zones qui comprennent les lieux-dits de Charroux, de Viblac, de Lestrade, du Boucheron (qui accueille la mairie de la commune).
- Bosmie, le village qui avec l'Aiguille donne son nom à la commune est un petit village, le plus au sud de la commune.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 9,21 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bosmie-l'Aiguille est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bosmie-l'Aiguille[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), zones urbanisées (29,2 %), forêts (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Bosmie-l'Aiguille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne, la Briance et le Boulou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993 et 1999[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais des plans de prévention des risques inondation (PPRI) « Briance aval », approuvé le et « Vienne du Palais à beynac », approuvé le [18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 27,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bosmie-l'Aiguille est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Bòsc Mian signifie « bois moyen » en limousin[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Bosmie ne formait pas une paroisse et dépendait vraisemblablement de la ville de Beynac. A partir du 24 germinal an IX (14 avril 1801) l'administration de la commune a été assurée, pour quelque temps, par la mairie de la commune de Saint-Martin-le-Vieux.
La commune de Bosmie (Bosmie-l'Aiguille depuis 1967), a été créée en 1792, formée principalement par la partie de la paroisse d'Isle située sur la rive gauche de la Vienne, et par quelques villages démembrés des communes voisines de Beynac et Condat.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2021, la commune comptait 2 617 habitants[Note 6], en évolution de +3,15 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Les bords de Vienne sont occupés par une importante cartonnerie, la société Lacaux, qui s'inscrit dans la tradition papetière de la vallée de la Vienne.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame de l'Aiguille.
- Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[29].
- Le château et le parc du Boucheron (Boisseron en occitan, XIXe siècle) accueille depuis 1980 la mairie de Bosmie-l'Aiguille[30].
- Récemment[Quand ?], la municipalité a entrepris d'importants travaux de réhabilitation de la façade extérieure du château et de la partie intérieure utilisée par les services municipaux. On peut y voir des plafonds peints, toilés, ou sculptés, ainsi que le parc du Boucheron.
- L'installation de la mairie dans un château est une particularité partagée par trois autres communes du département[Lesquelles ?].
- Un chêne centenaire est situé dans le lotissement de Charroux.
- Moulin à pâtes à porcelaine de 1878[31].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La mère de Robert Savy, professeur de droit, homme politique français, ancien député et ancien président du Conseil régional du Limousin, en est originaire.
- Marc Petit (1961), sculpteur vivant à Bosmie-l'Aiguille.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé de gueules et de sable au monogramme BOSMIE en lettres capitales d'or brochant sur la partition, surmonté du nombre romain MDCCLXXXXII[32] d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 23/09/2008.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Bosmie-l'Aiguille et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bosmie-l'Aiguille », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bosmie-l'Aiguille ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Bosmie-l'Aiguille », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « Les maires de la commune » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise paroissiale Notre-Dame », notice no IA00123032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château, actuellement mairie », notice no IA00123039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à pâtes à porcelaine et à émail dit moulin Mausset », notice no IA00123042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- MDCCLXXXXII = 1792, année de sa création.