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Armoiries des Seychelles

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Armoiries des Seychelles
Image illustrative de l'article Armoiries des Seychelles
Détails
Adoption
Cimier Phaéton à bec jaune de l'océan Indien (Phaeton lepturus lepturus) volant au naturel[1]
Timbre Heaume d'acier tourné à dextre, sommé d'un tortil de cinq pièces d'azur, d'or, de gueules, d'argent et de sinople surmonté d'une mer ondée d'azur et d'argent, bloquant des lambrequins partis de gueules et d'azur, doublés d'argent[1]
Écu D'azur chargé à dextre d'une île et à senestre d'une goélette à deux mâts issant toutes deux d'une mer mouvant de la pointe, un cocotier de mer femelle (Lodoicea maldivica) brochant sur le tout, issant d'un monticule herbeux mouvant de la pointe et chargé d'une tortue géante des Seychelles (Testudo gigantea[2]) ; le tout au naturel[1]
Supports Deux voiliers de l'Indo-Pacifique (Istiophorus gladius[3]) au naturel[1]
Devise Finis coronat opus (« La fin couronne le travail ») en lettres de sables sur listel d'or à revers de gueules

Les armoiries de la république des Seychelles figurent dans leur partie inférieure une tortue géante des Seychelles sur un monticule herbeux, surmonté d'un cocotier de mer femelle reconnaissable à ses fruits. Derrière lui émergent d'une mer d'azur une île et une goélette navigant sur les flots. L'écu, surmonté d'un heaume couronné des couleurs nationales et d'un paille-en-queue survolant le tout, est supporté par deux voiliers de l'Indo-Pacifique. Sous le blason est inscrite la devise latine des Seychelles, en lettres de sable sur listel d'or : Finis coronat opus (« La fin couronne le travail »).

Notes et références

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  1. a b c et d Service du protocole du ministère des Affaires étrangères (Seychelles), Nouveaux symboles nationaux de la république des Seychelles, 18 juin 1996 (lire en ligne), p. 6.
  2. En réalité Aldabrachelys gigantea, le terme Testudo employé par le service du protocole seychellois (singulier de Testudines) désignant l'ordre, et non le genre auquel appartient la tortue géante des Seychelles.
  3. Ce nom, évoqué par l'acte de 1996, ne correspond à aucune espèce et semble donc être le fruit d'une confusion entre Istiophorus platypterus (voilier de l'Indo-Pacifique) et Xiphias gladius (espadon), tous deux membres de la famille des Istiophoridae.