Aguttes
Aguttes | |
Création | 1974 |
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Dates clés | 1995 : ouverture de bureaux en région Parisienne
2002 : immatriculation au RCS |
Fondateurs | Claude Aguttes |
Forme juridique | Société par actions simplifiée |
Siège social | Neuilly-sur-Seine France |
Président | Claude Aguttes |
Directeurs | Philippine Dupré la Tour |
Actionnaires | Claude Aguttes, Philippine Dupré la Tour, Charlotte Aguttes-Reynier, Maximilien Aguttes, Sophie Perrine, Gautier Rossignol |
Activité | Opérateur de ventes volontaires aux enchères |
Produits | Œuvres et objets d'art, de collection, d'antiquité et bijoux |
Filiales | Paris, Lyon, Aix-en-Provence, Bruxelles, Genève |
Effectif | 60 |
SIREN | 442 812 301 |
Site web | https://www.aguttes.com/ |
Fonds propres | 2 281 100 € (2017) |
Chiffre d'affaires | 86,5 millions d'euros (2022) |
Résultat net | 517 500 € (2017) |
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La maison de ventes aux enchères Aguttes est une maison de ventes indépendante, reconnue dans le domaine des enchères d'objets d'art et de collections[1]. Fondée en 1974 à Clermont-Ferrand par Claude Aguttes[2], la maison s'est développée au fil des décennies pour devenir l'une des principales maisons de ventes sur le marché de l'art français[3], au quatrième rang en termes de chiffre d'affaires[4] et au premier des maisons indépendantes[1].
Restée indépendante et familiale[5], sans actionnaire extérieur, avec trois enfants actifs au sein de la maison, elle se compose d’une équipe de 60 personnes aujourd’hui[6] qui constitue sa qualité première et lui permet d'organiser une centaine de ventes par an[7]. Sa croissance s’articule autour des valeurs primordiales de transparence dans l’intermédiation, de discrétion, de rigueur et d’audace[8]. Riche d'une clientèle française et prestigieuse, elle a su acquérir des importants clients du monde entier et une position de leader européen[9] au fil des années[5]. Avec sa force de frappe en communication et ses acheteurs à 50 % internationaux pour une clientèle globale à 75 % internationale[10], la maison atteint régulièrement des records mondiaux[6]. Dotée d'une salle des ventes internationale située dans l’ouest parisien et des bureaux de représentation à Paris, Lyon, Aix-en-Provence, Bruxelles et Genève, la maison se distingue par son service personnalisé et sa réactivité[11]. Consciente de la confiance que lui accordent ses vendeurs, elle reste au service de ces derniers avant tout. Les experts internalisés dans 15 départements permettent la valorisation et la vente de grandes collections de tableaux et d’objets d'art ancien et contemporain, d'arts premiers et asiatiques, de bijoux, d'objet de collection et d’automobiles exceptionnels[7]. En plus d'organiser des ventes, la présence des experts et commissaires-priseurs volontaires et judiciaires lui permettent d'offrir des services d'inventaires et d'estimations[11].
Histoire
[modifier | modifier le code]Claude Aguttes, né à Bourges en 1948, est diplômé[12] en 1971 à 22 ans[6], pour devenir plus jeune commissaire-priseur de France en 1973[11]. Il fonde une maison de vente à Clermont-Ferrand en 1974 , spécialisée dans les objets d'art ancien[6].
En 1986, la maison Aguttes réalise la vente de l’Autoportrait aux bésicles, peint en 1771 par Jean-Siméon Chardin, l'un des plus grands peintres français et européens du XVIIIe siècle, pour 6,6 millions de francs, soit environ un million d'euros actuels[13]. Cette vente exceptionnelle qui a propulsé la maison sur le marché international de l'art avait attiré l'intérêt des grands Musées de France dont le Louvre s'est finalement porté acquéreur bien que l'objet réside aujourd'hui au Musée d'Orléans[6].
Au début des années 1990, Claude Aguttes rejoint Paris et rachète en 1995[6] l'étude de maître Gabrielle Ionesco à Neuilly-sur-Seine[12].
En 2008, Claude Aguttes rachète à Jean-Claude Anaf son département "peintures et objets artistiques" et la Gare des Brotteaux[14], ancienne gare SNCF, et ouvre une implantation à Lyon[7].
Le succès de la maison grandit à travers la dispersion des diverses collections particulières prestigieuses, dont les suivantes :
- La vente du mobilier de l'hôtel de la Mamounia à Marrakech, environ 5 000 lots et 3 millions d'euros en 2009[15].
- La collection Kenzo Takada, 2 millions d'euros en 2009[16].
- La collection Roger Vivier, en 2011[17].
- La collection Thierry et Christine de Chirée, 3,4 millions d’euros en 2011[18].
- La vente du mobilier de Valéry Giscard d’Estaing à Chanonat, 683 000 euros en 2012[19].
En 2012, la maison Aguttes fera l'objet d'une enquête qui révèle l'existence d'une transaction douteuse à l'occasion de la vente, en 2007 pour 37 000 euros, du tableau "Le Vacher" attribué au peintre russe Ivan Chichkine[20]. Après une première condamnation disciplinaire de la maison, et non pas du commissaire-priseur individuellement[21], à deux mois de suspension d'activité, celle-ci sera finalement ramenée à quinze jours avec sursis en raison de l'absence d'antécédents marquant la bonne foi de l'entreprise[22].
Selon les acteurs du marché de l'art parisien, la maison n'était pas la véritable responsable de l'affaire dont elle a simplement été la victime collatérale[23]. Reconnu dans le milieu de l'art pour sa compétence[24], Claude Aguttes a par ailleurs été élu président de Drouot Enchères en 2011 par le président Georges Delettrez[25] et ce rôle ne sera pas remis en question à l'occasion de cette affaire[24]. Ce ne sera qu'après des années à la présidence du Conseil de Surveillance de Drouot que le Claude Aguttes abandonne en 2015 ce poste afin de se consacrer pleinement au succès de son étude[11].
Peu après une extension du département bijoux aux perles fines dans lesquelles la maison développera une expertise particulière[6], Aguttes est ensuite désignée en 2016 par le Tribunal de grande instance de Paris[26] pour l'inventaire, la conservation et la dispersion des Collections Aristophil, alors considérée comme le plus bel ensemble de manuscrits et autographes au monde[6]. Au fil des ventes, toujours en cours[27], des 130 000 manuscrits[28] autrefois détenus par Aristophil via un pool de 18 000 actionnaires[29], trois lots ont été classés Trésor national et 335 préemptions ont été exercées par des établissements publics français[6].
En 2017, la maison adjuge le squelette entier d'un mammouth pour la somme de 550 000 euros, emporté par Pierre-Etienne Bindschedler, président de la société Soprema[30]. La même année, elle devient le plus gros adjudicataire de Drouot, en adjugeant une peinture chinoise de l'artiste Sanyu pour la somme de 8,797 millions d'euros[31].
En 2018, le squelette d'un dinosaure allosauridé âgé de 150 millions d'années a été adjugé, au premier étage de la Tour Eiffel, pour 2 millions d'euros à un particulier français, lors d'une vente aux enchères organisée par Aguttes[32].
Cette même année, la maison de vente devient première maison indépendante en France à dépasser la barre des 50 millions d'adjudications, avant de s'implanter un an plus tard à Aix-en-Provence[10], Genève et Bruxelles[6].
En 2021, Aguttes fera du bruit avec la vente du premier SMS de l'histoire sous forme de NFT pour 132 600 euros, en vendant la tablette sur laquelle le SMS apparaît et contournant ainsi le vide juridique concernant la vente des biens immatériels aux enchères subsistant à l'époque[33]. Au début de 2022, elle devient ensuite la première maison de vente au monde à traiter une adjudication d'un NFT dans le métavers, toujours par le biais de la vente d'un support physique accessible à partir d'un monde virtuel[6].
En novembre 2022, Aguttes devient vendeur du premier tableau de Pierre Soulages après sa mort[6] pour un montant record[34] de 960 000 euros, soit 1,228 millions d'euros tous frais compris, alors que l'œuvre ne fait que 102 x 81 cm[35].
En 2023, la maison de ventes annonce rouvrir son département historique « Instruments et archets »[5], inactif depuis 2005, dont la direction est confiée à Hector Chemelle, ancien violoniste professionnel qui a notamment joué à l'Opéra National de Paris et l'Orchestre de Chambre de Paris[36]. Dans la même année, Aguttes ouvre un département "Cartes de collection"[37] sous la direction de François Thierry[38] qui sera suivi par l'ouverture prochaine d'un département "Sport" en novembre 2024[39].
Des six enfants de Claude Aguttes, trois travaillent aujourd'hui au sein de l'entreprise dont ils portent le nom et épaulent le succès[6].
Spécialités
[modifier | modifier le code]Aujourd'hui, la maison Aguttes rayonne avec 15 département spécialisés[6] dont : peintres d’Asie ; tableaux & dessins anciens ; arts d’Asie et russes ; automobiles de collection ; collections particulières ; bijoux & perles fines ; montres de collection ; livres rares & manuscrits ; art post-war & contemporain ; art moderne & impressionniste ; design ; mobilier, sculptures & objets d’art ; grands vins & spiritueux ; instruments & archets[40].
La force de frappe d'Aguttes est particulièrement réputée à l'international dans les domaines des Arts d'Asie, des Arts Classiques, des Voitures de collection et dans le Luxe et l'Art de vivre[41]. C'est l'une des filles de Maître Aguttes, Charlotte Aguttes-Reynier qui est responsable du pôle Arts Classiques et experte en Art Moderne asiatique en plus d'occuper le poste de directrice générale associée de la maison[12]. Dans le département de l'art asiatique, Aguttes se hausse au leader du marché avec les peintres Vu Cao Dam et Le Pho. En 2024, le tableau "En plein air" du peintre Mai Trung Thu a été adjugé pour 828 000 euros[42]. A la même vente, l'œuvre "Portrait de Madame Ngujên Nguyêt Nga" du peintre Mai Trung Thu a été adjugé pour plus de 410 000 euros[42].
La deuxième fille du fondateur, Philippine Dupré la Tour est experte en bijoux et colliers de perles fines dont elle dirige le département[43] en plus d'occuper le poste de directrice de la société[44]. Enfin, le fils du commissaire-priseur, Maximilen Aguttes, est directeur[45] du département "Transformation et Développement"[44] de l'entreprise[46].
Le récent département "Cartes de collection" sous la direction de François Thierry a rayonné à son lancement en 2023 avec la vente de cartes Pokémon dont un Pokémon box scellée, set de base 1re édition datant de 1999 qui a atteint un prix de 46 789 euros[47].
Ventes emblématiques
[modifier | modifier le code]En 2007, la maison adjuge l'œuvre "Etoile Bleue" de Joan Miro pour 11,6 millions d'euros, soit le troisième record mondial pour l'artiste côtoyé, contribuant à l'incroyable somme de 21'767'786 euros tous frais inclus pour la vente du 21 décembre[48].
En 2012, une sculpture d'Edme Bouchardon du XVIIIe siècle est vendue par la maison Aguttes pour 3,7 millions d'euros, occasion à laquelle le musée du Louvre fait valoir son droit de préemption afin de permettre à l'œuvre de rejoindre ses collections[6].
Dans le département des peintres d'Asie, Aguttes réalise en 2015 la vente de trois toiles de l'artiste chinois Sanyu pour un montant de 9,69 millions d'euros et en 2017 une quatrième pour 8,8 millions d'euros[6].
En 2021, la maison relève un record mondial avec la vente du Manuscrit d'Albert Einstein et Michele Besso sur la Théorie de la Relativité pour 11,6 millions d'euros[49], soit le plus haut prix jamais obtenu en enchères pour un document scientifique autographe d'Einstein[49].
En 2022, un rarissime violon Guarnerius "del Gesù"[6] de 1736 s'est vendu pour 3,4 millions d'euros dans le département "instruments et archets" au profit du violoniste et acteur David Garrett (qui a campé Paganini dans "Le violoniste du diable")[5]. Le 9 décembre 2022, Aguttes vend pour 78 000 euros une Guitare de Trianon réalisée vers 1775 ayant vraisemblablement appartenue à Marie-Antoinette[50].
En 2022, la maison réalise le record mondial de l'artiste Louyse Moillon avec la vente d'une nature morte inédite adjugée à 1,6 millions d'euros[51].
Résultats
[modifier | modifier le code]En 2019, la maison Aguttes réalise plus de 66 millions d'euros en chiffre d'affaires, y compris ses ventes privées[52]. En 2021, elle totalise 77,5 millions d'euros, ce qui représente une évolution de 64 % par rapport à 2020[53]. Sa croissance fulgurante continue en 2022 pour un chiffre d'affaires de 86,5 millions d'euros, soit 11,6 % de plus que l'année d'avant[54]. Cette année record pour la maison a pu se réaliser grâce à une forte hausse du nombre de lots vendus au-dessus de 100 000 euros (152 contre 90 en 2021)[54].
Références
[modifier | modifier le code]- Centre France, « La belle histoire - La renaissance du château médiéval de Tournoël (Puy-de-Dôme) : un coup de foudre et vingt ans de travaux », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
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- « La Maison Aguttes à Paris : d’inoubliables ventes aux enchères entre art et suspense – Paris ZigZag | Insolite & Secret », sur pariszigzag.fr (consulté le ).
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