Aéroport de Dinard-Pleurtuit-Saint Malo
Aéroport de Dinard - Bretagne | ||||||||||||||||
Logotype de l'aéroport de Pleurtuit. | ||||||||||||||||
Localisation | ||||||||||||||||
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Pays | France | |||||||||||||||
Ville | Pleurtuit | |||||||||||||||
Coordonnées | 48° 35′ 18″ nord, 2° 04′ 48″ ouest | |||||||||||||||
Altitude | 67 m (219 ft) | |||||||||||||||
Informations aéronautiques | ||||||||||||||||
Code IATA | DNR | |||||||||||||||
Code OACI | LFRD | |||||||||||||||
Nom cartographique | DINARD | |||||||||||||||
Type d'aéroport | civil | |||||||||||||||
Gestionnaire | Société d'exploitation des aéroports de Rennes et Dinard (SEARD) et Vinci Airports | |||||||||||||||
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L'aéroport de Dinard-Bretagne anciennement Dinard-Pleurtuit-Côte d'Emeraude et Dinard-Pleurtuit-Saint Malo (code IATA : DNR • code OACI : LFRD) est situé pour partie sur la commune de Pleurtuit et sur celle de Saint-Lunaire en Ille-et-Vilaine à 5 km au sud-sud-est de Dinard et 8 km au sud-sud-ouest de Saint-Malo, et dessert principalement les villes de Dinard, Dinan, Cancale et Saint-Malo.
Il appartient au Conseil régional de Bretagne qui en a confié la gestion à la Société d'Exploitation des Aéroports de Rennes et Dinard (SEARD), groupement constitué de la chambre de commerce et d'industrie d'Ille-et-Vilaine (51 %) et du groupe Vinci Airports (49 %)[1],[2],[3],[4].
Historique
[modifier | modifier le code]Le est inauguré le premier terrain d'aviation de Dinard sur le champ de courses hippiques du lieu-dit le Bois Thomelin. Roland Garros, vient s'y entraîner en 1910, ainsi que Charles Nungesser, en 1923[5]. Le , Marcel Brindejonc des Moulinais (1892-1916) en provenance de Marseille atterrit à Dinard[6].
Le , la ville fait l'acquisition des 60 hectares appartenant à la Société des courses hippiques pour la somme de 150 000 francs.
De 1933 à 1938, l'hippodrome et le terrain d'aviation continuent à partager en côte à côte leur activité. La Ville de Dinard héberge sur place le responsable de sa base aéronautique. Elle lance également un projet de construction d'un aérodrome en 1933, auquel répondent les architectes Eugène Beaudouin (1898-1983), grand prix de Rome, et Marcel Lods (1891-1978).
En 1935, un premier hangar est construit, puis un nouveau concours est ouvert pour la réalisation de constructions. En 1936-1938 l'aérodrome est établi avec l'ouverture à la circulation aérienne en date du . De communal ce terrain devient aérodrome d'État le sur décision du ministre de l'Air, Guy La Chambre (1898-1975), et le suivant, le premier avion de la compagnie Air France assurant la liaison Paris-Dinard se pose sur ce terrain. Une liaison Jersey-Dinard est inaugurée le .
Durant la Seconde Guerre mondiale, l'occupant allemand va transformer ce terrain en le modernisant avec la construction de pistes, de hangars pour leurs bombardiers avec murs pare-éclats en sacs de sable recouvert de filets de camouflage, l'ensemble étant desservi par des chemins en béton. Les Allemands, gênés par le clocher de l'église de Pleurtuit situé dans l'axe de la piste de décollage des bombardiers Heinkel He 111, le feront abattre en 1941[7].
En 1948, est construit un hangar provisoire pour accueillir les 14 000 passagers qui passent à 40 000 en 1950. En 1951, le commandant Jacques Martin (1920-2018)[Note 1] prend en mains les installations aéroportuaires avec son ami et adjoint Claude Rousseau, mécanicien hors-pair, qui va dans les années 1960, monter sa propre compagnie aérienne, ainsi qu'une entreprise aéronautique, ancêtre de l’actuelle Sabena Technics[Note 2].
En 1953, l'architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux également architecte de la Ville de Dinard, Patrice Simon (1917-2013) réalise la construction d'une résidence pour loger le personnel de l'aérodrome au lieu-dit Maladreries. C'est à nouveau Patrice Simon qui est chargé de la réalisation de la tour de contrôle et de 1961 à 1963 de l'aérogare dont il confie la décoration picturale à Geoffroy Dauvergne (1922-1977), dont le projet ne sera pas réalisé faute de crédit[8].
L'inauguration de la nouvelle aérogare intervient le 26 Mai 1963 par Marc Jacquet, Ministre des Transports de l'époque, il s'agissait alors de l'aéroport de Dinard-Pleurtuit-Côte d'Emeraude[9].
En 1964, les équipes de Claude Rousseau-Aviation mettent au point la DS volante qui donne l'illusion de décoller de la piste de d'aviation de Dinard dans le film Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle[10]. Charles de Gaulle, président de la République française, inaugure l’usine marémotrice de la Rance le [11]. Il est accueilli sur le tarmac de Dinard par le commandant Jacques Martin.
Parmi les personnalités ayant fréquenté l'aérodrome de Dinard figure celle de Jacques Brel, chanteur, acteur et metteur en scène, venu dans son propre avion présider en le festival du film francophone de Dinard.
En 1985, le commandant Martin part en retraite, laissant le place à Daniel Gorin qui fut son second de 1980 à 1982. La surface totale de la zone aéroportuaire couvre alors une superficie de 300 hectares.
Projets en cours
[modifier | modifier le code]L'aéroport étant considéré comme sous-exploité[12] et dans un objectif d’accroissement de son activité, le rebaptiser sous le nom « Saint-Michel-la-baie-du-Mont » permettrait aux touristes voulant visiter le Mont-Saint-Michel, de considérer l'aéroport comme accès au monument via des vols charters[13], l'aéroport ayant la possibilité avec sa piste de 2 200 mètres, d'accueillir des appareils comme des A320, A321, B737[14], etc.
Ce projet a aussi pour but de sauvegarder l'activité et l'emploi de 465 personnes employés de l'entreprise de maintenance aéronautique Sabena Technics, située au nord-ouest de l'aéroport[15].
L'aéroport attend un second rapport de la Cour des comptes et un financement de 7,2 millions d'euros qui était initialement destiné à l'aéroport du Grand Ouest par la part de la contributive de la région Bretagne[16].
Compagnies aériennes et destinations
[modifier | modifier le code]La compagnie anglo-normande Aurigny Air Services qui exploitait la liaison vers Guernesey a mis fin à cette ligne le 6 janvier 2019[17] en raison d’un manque de demande[18].
Début , la compagnie irlandaise Ryanair annonce que l'unique vol régulier au départ de l'aéroport et à destination de Londres-Stansted est définitivement abandonné[19]. Ryanair avait porté son dévolu sur Dinard en 1999[20].
Aucun vol régulier au départ de l'aéroport de Saint-Malo-Dinard-Pleurtuit en 2021[21].
La compagnie L’Odyssey avait proposé une liaison vers Genève de juillet à octobre 2022 le samedi avec un Saab 340B de 27 places[22],[23],[24] affrété à la compagnie lettone Raf-Avia[18]. Le succès n'a pas été au rendez-vous[25]. La ligne n'a donc pas été reconduite.
Par le passé, Dinard a vu passer plusieurs compagnies aériennes desservant différentes lignes comme:
- Air France avec la ligne Paris-Dinard-Jersey à la fin des années 1930,
- Eagles Aviation vers Londres (Central Airport) en 1956, devenue la compagnie Eagle Airways vers Londres (Blackbusch Airport) en Vickers Viking en 1958, devenue Cunard Eagle Airways, vers Londres (Central Airport) en DC-6C en 1960, puis Viking en 1961 et 1963, devenue British Eagle International Airlines, vers Londres (Heathrow)-Dinard-La Baule en Vickers Viscount en 1964, en Britannia et BAC 1-11 en 1966, en Bristol Britannia en 1968 entre Londres-Dinard-La Baule[26],
- Air Inter avec la ligne Paris-Dinard-Quimper en DC-3, Paris-Dinard-Brest dans les années 1960[27],[28] ou Paris-Dinard en direct comme en 1966[29],
- Cambrian Air Services (CAS) devenue Cambrian Airways effectuait Liverpool-Cardiff-Dinard (en De Havilland Dove en 1953), Southampton à partir de 1956, Liverpool en 1958, Swansea via Jersey en 1958, Cardiff-Bristol-Dinard dès 1960 (en Vickers-Viscount ou Dakota Pionair en 1966)[30],
- Jersey Airlines dans les années 1960 vers Jersey continuant sur Manchester ou Exeter en De Havilland Heron (15 passagers) ou DC-3 (16 passagers), vers Guernesey (avec un Dakota en 1962)[31],
- British European Airways (BEA) vers Londres (Central Airport ) en 1956 puis Londres (Heathrow) dans les années 60[32] (en appareil Viscount-Vickers en 1963 ou 1966,
- Bretagne Air Services avec Guernesey à la fin des années 70 et début des années 1980[33],
- Rousseau Aviation avec la ligne Dinard-Rennes-Paris (Orly) au début des années 1970 ou Jersey, Londres, Saint Brieuc-Dinard-Paris et Lannion-Dinard-Paris (Orly) dans les années 1970,
- TAT (Touraine Air Transport) vers Paris au milieu des années 1970[34] (en Hawker Siddeley 748 de Rousseau Aviation en 1974[34], en Fokker 27 en 1976)[35],
- Air Paris sous la marque TAT vers Jersey,
- Taxi-Avia-France entre Londres-Dinard-Saint Nazaire en Beechcraft 99 avec équipage TAT.
- Rockhopper (anciennement Le Cocq’s Air Linker[36], baptisée Blue Islands en 2006), vers Jersey en Britten-Norman BN-2 depuis 2004[37],[38],
- Ryanair desservait également Nottingham au milieu des années 2010[39], tout comme dans les années 2000-2010, Leeds (Bradford), East Midlands (lancement en 2005)[40], Bristol[41] et Londres-Luton (1er vol le 11 octobre 2004)[42].
Situation
[modifier | modifier le code]Fréquentation
[modifier | modifier le code]Voir la requête brute et les sources sur Wikidata.
Année | Passagers | Dont compagnies à bas prix | Mouvements | Fret (t) |
---|---|---|---|---|
2023 | 1 096 | - | 4 524 | - |
2022 | 1 237 | - | 4 009 | - |
2021 | 724 | - | 5 675 | - |
2020 | 18 518 | 17 574 | 5 194 | - |
2019 | 95 814 | 94 296 | 7 421 | - |
2018 | 108 103 | 104 813 | 7 318 | 2 |
2017 | 121 690 | 116 943 | 6 633 | 2 |
2016 | 110 455 | 105 511 | 6 796 | 3 |
2015 | 129 935 | 125 468 | 8 258 | 3 |
2014 | 114 474 | 108 949 | 22 200 | 3 |
2013 | 130 771 | 125 121 | 24 748 | 7 |
2012 | 138 478 | 131 545 | 26 610 | 8 |
2011 | 134 197 | 124 496 | 28 289 | 9 |
2010 | 122 254 | 112 486 | 29 073 | 10 |
2009 | 136 942 | 123 045 | 28 883 | 11 |
2008 | 201 174 | 191 225 | 31 532 | 12 |
2007 | 178 615 | 168 175 | 26 202 | 14 |
2006 | 164 280 | 154 149 | 30 667 | 13 |
2005 | 180 165 | 168 308 | 28 709 | 9 |
2004 | 144 123 | 119 012 | 26 742 | 18 |
2003 | 112 893 | - | 25 548 | 15 |
2002 | 96 613 | - | 33 757 | 14 |
2001 | 87 795 | - | 42 788 | 12 |
2000 | 55 581 | - | 36 057 | 13 |
Équipements
[modifier | modifier le code]L'aéroport, ouvert de 7 h 30 à 21 h 30, est équipé de trois pistes[46],[47] :
Numéro | QFU | Dimensions | Nature | TODA | ASDA | LDA | Aides à l'atterrissage | Balisage lumineux |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
17 35 |
171 351 |
2 200 m × 40 m | Revêtue | 2 200 m 2 200 m |
2 200 m 2 200 m |
2 200 m 2 200 m |
GNSS | HI/BI - PAPI - Rampe d'approche - Feux à éclats |
12 30 |
116 296 |
1 445 m × 45 m | Revêtue | 1 290 m 1 445 m |
1 445 m 1 445 m |
1 445 m 1 290 m |
- | - |
17R 35L |
171 351 |
200 m × 20 m | Non revêtue (herbe) | 200 m 200 m |
200 m 200 m |
200 m 200 m |
- | - |
L'aérogare, d'une superficie de 1 400 m2, peut traiter jusqu'à 250 000 passagers par an.
Aéroclub de la Côte d'Émeraude
[modifier | modifier le code]L'aéroclub se situe au nord-est de la piste 12/30, à côté de la caserne de pompiers de l'aéroport.
Il dispose de six avions[48] dont :
- trois avions de voyages habilités au vol de nuit : un Robin DR400-180cv NM, un DR400-160cv HK, un DR400-160cv VZ ;
- trois avions destinés aux promenades locales ainsi qu'aux vols d'instruction : un DR300-108cv OR, un DR221-100cv ZO et un ULM Tecnam P2002JF CE ;
- occasionnellement l'aéroclub met à disposition un avion de voltige CAP10 TJ pour ses membres.
L'aéroclub permet également de faire des vols de découverte par exemple au-dessus[49] :
- du Cap Fréhel[50] ;
- de l'archipel des Ébihens[51] ;
- de la Rance[51] ;
- des villes de Cancale et d'Erquy ;
- du Mont-Saint-Michel (en ULM).
Accès
[modifier | modifier le code]L'aéroport se situe, en voiture :
- à 15 minutes du centre-ville de Dinard ;
- à 20 minutes de Dinan ;
- à 25 minutes de Saint-Malo intra-muros ;
- à 55 minutes de Rennes par la voie rapide N137.
L'aéroport n'est pas desservi par les transports en commun, mais il existe une offre importante de taxi sur place. De plus des agences de location de voiture sont disponibles à l'intérieur de l'aérogare.
.
Station météorologique
[modifier | modifier le code]Comme dans de nombreux aéroports français, une station météorologique appartenant à Météo-France est attenante à l'aéroport.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,6 | 3,3 | 4,9 | 5,9 | 9,1 | 11,7 | 13,7 | 13,8 | 11,8 | 9,4 | 6,3 | 3,9 | 8,1 |
Température moyenne (°C) | 6,2 | 6,3 | 8,4 | 9,9 | 13,2 | 15,8 | 17,8 | 17,9 | 16 | 13 | 9,2 | 6,6 | 11,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,8 | 9,3 | 11,9 | 13,9 | 17,2 | 19,9 | 22 | 22 | 23,3 | 16,4 | 12,1 | 9,2 | 15,3 |
Précipitations (mm) | 63 | 49 | 51 | 37 | 62 | 38 | 40 | 35 | 47 | 75 | 77 | 64 | 644 |
Divers
[modifier | modifier le code]- Les compagnies aériennes Rousseau Aviation et Bretagne Air Services, aujourd'hui disparues, étaient basées à l'aéroport de Dinard.
- Un bombardier B25 n° de série 44-86701, récupéré pour des tournages de film dont "Catch-22" ou "Hanover Street", resta longtemps pensionnaire sur l'herbe de l'aérodrome avant d'être désossé pour rejoindre le musée de l'Air du Bourget.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Né dans une famille originaire de Poitiers dans le département de la Vienne, il fait des études de droit, et devient inspecteur des Domaines. Il passe 44 concours, notamment un en 1944, et opte pour celui de commandant d'aéroport. Il fait ses premières armes à celui de Bourget, puis en 1945 à Tunis, pour atterrir à Dinard en 1951[réf. nécessaire]
- À l'aéroport de Saint-Malo-Dinard-Pleurtuit, les installations de l'entreprise s'étendent sur 35 000 m2, mobilisant un effectif de 650 personnes. Ce site accueille également sa coentreprise (Hydrep) avec Messier-Bugatti-Dowty, qui entretient, répare et révise les trains d'atterrissage d'avions régionaux et corporate, ainsi que d'hélicoptères. En , Messier-Bugatti-Dowty a racheté ses parts d'Hydrep à Sabena technics afin d'en prendre le contrôle à 100 %
Références
[modifier | modifier le code]- La région Bretagne confie les aéroports de Rennes et de Dinard à un groupement CCI/Vinci.
- Vinci décolle avec le développement aéroportuaire.
- Vinci prend de l'altitude.
- Marie LENGLET, « Aéroport de Dinard-Pleurtuit. « On a mis des bâtons dans les roues de cet aéroport » », sur Ouest-France.fr,
- Marie Lenglet, dans Ouest-France, [réf. incomplète].
- « Épisode 2. Histoire de Dinard, suite » sur daniel-un-militant.pagesperso-orange.fr.
- « Église. Pourquoi a-t-elle perdu son clocher ? », letelegramme.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Alain Valtat, Catalogue Raisonné du peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), Sceaux, 1996, Lévaña (auto-édition), p. 390.
- « Aéroport de Dinard-Pleurtuit-Saint-Malo, le Bois Thomelin (Pleurtuit), Livret d'inauguration, 26 mai 1963, jacquette, dessin Dan Lailler, la tour de contrôle et l'aérogare (IVR53_20193505336NUCA) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh
- Marie Lenglet, op. cit.
- De Gaulle y déclare : « Comme la Rance coule vers la mer parce que sa source l'y envoie, ainsi la France est fidèle à elle-même lorsqu'elle marche vers le progrès », cité in : « Visite dans les entrailles de l'usine marémotrice », Ouest-France, 19-.
- « Aéroport : Dinard rebaptisé Mont Saint-Michel ? », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'après-NDDL donnera-t-il des ailes à Dinard ? », article, (lire en ligne).
- « Annexe 10 DGAC - Récapitulatif des longueurs de piste nécessaires par type d'avion »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur mediation-aeroport-du-grand-ouest.fr, (consulté le ).
- « Sabena Technics Dinard. L'activité peinture transférée à Toulouse », Le Telegramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Notre-Dame-des-Landes : la région Bretagne veut récupérer ses 8 millions d'euros », France Bleu, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre MOMBOISSE, « Aéroport de Dinard. La liaison vers Guernesey supprimée », sur Ouest-France.fr,
- Ouest-France, « Un nouveau vol qui relie Dinard à Genève », sur Ouest-France.fr,
- « Fermeture de la ligne Dinard Londres, un coup dur pour l'aéroport Dinard Pleurtuit Saint-Malo », sur Agendaou.fr
- Marie LENGLET, « 112 ans d’histoire planent sur l’aéroport de Dinard », sur Ouest-France.fr,
- actu.fr
- « Bretagne. Cet été, une ligne vers la Suisse va réveiller l’aéroport de Dinard », sur saint-malo.maville.com (consulté le ).
- Marie Lenglet avec Christel Marteel, « Bretagne. Une compagnie aérienne veut relier Dinard à Genève, cet été » , sur Ouest France, (consulté le ).
- « Deauville reliée à Genève et Londres cet été | Air Journal », (consulté le ).
- Marie LENGLET, « Les vols d’affaires Dinard – Genève ont déjà du plomb dans l’aile », sur Ouest-France.fr,
- Timetableimages, « Haires Eagles Airways/Cunard Eagle Airways/British Eagle International Airlines 1953-1968 »
- Timetableimages, « Horaires AIR INTER 1960 »,
- Timetableimages, « Horaires AIR INTER 1963 »,
- Timetableimages, « Horaires AIR INTER 1966 »,
- Timetableimages, « Horaires de 1949 à 1973 de Cambrian Air Services et Cambrian Airways »
- Timetableimages, « Horaires de Jersey Airlines International devenue British United CI Airways entre 1953 et 1968. »
- Timetableimages, « Horaires BEA Summer 1963 »,
- Timetableimages, « Horiares BRETAGNE AIR SERVICES 1979 et 1980 », 1979-1980
- Timetableimages, « Horaires TAT (Touraine Air Transport) 1974 »,
- « COMPAGNIES 'S' à 'Z' », sur Aeroport-Paris-Orly
- (en) « The history of Blue Islands », sur Blue Islands
- (en-GB) Newsdesk, « Rockhopper step in on Dinard route », sur Jersey Evening Post,
- (en-GB) BBC, « Rockhopper to fill rival's routes », BBC News, (lire en ligne)
- Ouest-France, « L’aéroport de Dinard affiche ses nouvelles ambitions », sur Ouest-France.fr,
- « Ryanair et easyJet reprennent l'offensive en France », sur Les Echos,
- « Aéroport : une nouvelle ligne entre Dinard et Bristol avec Ryanair », sur saint-malo.maville.com
- « Ryanair lance Luton (Londres)-Dinard », sur L'Echo Touristique,
- « Union des Aéroports Français », sur aeroport.fr (consulté le ).
- « /// Rennes progresse de +18.2% et Dinard recule de 11% en 2018 », sur aero.fr (consulté le ).
- « Statistiques annuelles - Aéroport de Dinard - Pleurtuit - Saint-Malo », sur Union des aéroports français (consulté le ).
- « AIP FRANCE (section AD-2.LFRD) valide à partir du »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur sia.aviation-civile.gouv.fr, document du (consulté le ).
- « AIP FRANCE (section AD-2.LFRD) valide à partir du »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur sia.aviation-civile.gouv.fr, (consulté le ).
- L'Aéroclub de la Côte d'Emeraude, « Le Club, Les avions (bandeau à gauche) »
- AéroClub de la Côte D'Emeraude, « Vols de découverte, exemples de vols (bandeau de gauche) »
- Inès SAUVAGET, « EN IMAGES. La Côte d’Émeraude vue du ciel au départ de l’aéroclub de Dinard », sur Ouest-France.fr,
- Ouest-France, « Pleurtuit. 193 baptêmes de l’air en un jour, une déferlante venue de Belgique », sur Ouest-France.fr,
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Ollivier, Gilles Billion, « Le Bois-Thomelin. Le champ de courses et d'aviation. Pays de Pleurtuit en Poudouvre », L'écho de la Cohue, no 6.
- Gilles Billion, « L'aérodrome militaire allemand de 1940 à 1942. Pays de Pleurtuit en Poudouvre », L'écho de la Cohue, no 7.
- Henri Fermin, Dinard à la Belle-Époque, Bruxelles, Éditions Libre Sciences, SPRL.
Liens externes
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