Pihem
Pihem | |||||
Mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lumbres | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Coyot 2020-2026 |
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Code postal | 62570 | ||||
Code commune | 62656 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pihémois | ||||
Population municipale |
942 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 41′ 02″ nord, 2° 12′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 70 m Max. 134 m |
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Superficie | 7,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lumbres | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairiepihem.com | ||||
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Pihem [pi.ɑ̃] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Pihémois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 187 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune se situe à dix kilomètres au sud de Saint-Omer.
La commune est formée de trois localités : Pihem, Bientques et Petit-Bois. Le « ravin de Pihem » est un ancien lit d'un cours d'eau tari formant une excavation de 15 à 29 mètres de profondeur sur 3 km de long. Ce ravin se situe aux deux tiers sur la commune d'Hallines et se prolonge jusqu'à l'Aa.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 7,13 km2 ; son altitude varie de 70 à 134 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par et un autre petit cours d'eau[2],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Audomarois ». Ce document de planification concerne un territoire de 662 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Aa et sa zone d'étalement : le marais audomarois. Le périmètre a été arrêté le 4 février 1994 et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le , puis le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'aménagement et la gestion des eaux de l'Aa (SmageAa)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espace protégé
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d'une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[11].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : Les ravins de Pihem et Noir Cornet et coteau de Wizernes. Cette ZNIEFF s'étend le long de la rive droite de l'Aa où elle forme un ensemble des plus remarquables tant d'un point de vue paysager qu'écologique[12].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :
- la moyenne vallée de l'Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l'Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[13] ;
- la haute vallée de l'Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l'Aa se rattache à l'entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d'eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[14].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pihem est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,8 %), prairies (24,7 %), zones urbanisées (3,5 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Pithem (1114 - 1190), Pithen (1139), Piehem (1192), Pihem (1206), Pihan et Pitthan (XIVe siècle), Pitthem (1618), Pihen-Biengue (1720)[20].
Pihem est un nom composé de deux syllabes celto-teutoniques : « Pi » et « Hem ». « Pi » vient de Pit, Put, Putja, signifiant « puits » et « Hem » de Hem, Heim, Haim signifiant « domaine, demeure ou village ». Ce qui donne le « village du puits ». À signaler l'installation de ce village sur une hauteur, d'où la nécessité d'un puits pour accéder à l'eau.
Le nom flamand de la commune est Pittem[21].
- Hameaux
- Bientques : est un nom gallo-germanique avec un suffixe latin (-inal-inas(, et de Bekko/Bikko, nom d'homme germanique.
- Lespinoy : « espinoy » (époque médiévale). À partir de spinetum qui signifie « lieu planté d'épines ». Indique sans doute un défrichement.
- Petit-Bois : appelé en 1412 « Bus d'aval », le bois d'amont signifiant hameau installé près (ou à la place) du petit bois de Pihem.
Histoire
[modifier | modifier le code]Des silex néolithiques furent découverts dans le lœss, laissant penser que le territoire était déjà occupé à la fin de la préhistoire (de 6000 à 2 500 av. J.-C.).
À l'époque gallo-romaine, le territoire fait partie de la cité des Morins, dont le siège se trouvait à Tarvanna (Thérouanne).
En 1072, on retrouve la trace du fief de Bienquennes, qui faisait partie de la banlieue de Saint-Omer, sous le comte d'Artois.
En 1273, Baudouin sire de Piehem est un des treize barons du comté de Guînes[22].
En 1944, le village est la cible de nombreux bombardements anglo-américains, avant et après la construction du site de lancement de missiles V1 d'Esquerdes. Le 19 juin quatre civils sont tués et une dizaine de maisons détruites. Le 23 juin, en deux vagues différentes, à nouveau de nombreuses victimes civiles sont faites[23].
Quartiers
[modifier | modifier le code]Un quartier du village s'appelle le Tonkin, parce que, dit-on, il y eut des querelles de femmes pendant la guerre d'Indochine.
À l'extrémité du village, près de la route départementale 928 allant à Wizernes, au fond d'un vallonnement, se trouve un endroit connu sous le nom de Haies de Cambennes, plus communément appelé Le Coupe-Gorge, probablement dû au fait qu'en 1769, un inconnu hollandais, Nicolas Lacroix, étranger au pays, fut retrouvé tué dans un champ de blé à cet endroit[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lumbres.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 942 habitants[Note 5], en évolution de −2,28 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 457 hommes pour 491 femmes, soit un taux de 51,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre-aux-Liens de Pihem, dont les origines remontent à 1112 ; le chœur et la tour sont du XVIe siècle. Dans l'église une statue de la Vierge à l'Enfant du XIVe siècle.
- Le monument aux morts.
- Le calvaire entre Pihem et Bientques.
- Le château d'eau à Bientques, datant de 1936.
- La motte féodale à Bientques.
- Les ravins de Pihem.
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L'église Saint-Pierre-aux-Liens.
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Le monument aux morts.
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Le calvaire entre Pihem et Bientques.
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Le château d'eau à l'entrée de Bientques.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La famille de Fiennes, longtemps seigneur du hameau de Bientques.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Pihem » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Pihem », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Audomarois », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pihem et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013677 - Les ravins de Pihem et Noir Cornet et Coteau de Wizernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallée de l'Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007271 - La haute Vallée de l'Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pihem ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 297.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981, lire en ligne.
- Pihem sous l'Occupation
- Extrait du registre d'état-civil de Pihem de 1769
- « Les projets des maires : Jean-Claude Coyot, soucieux du cadre de vie à Pihem : Conseiller en 1983, deuxième adjoint en 1989, Jean-Claude Coyot a été élu maire en 2008. Il entame son deuxième mandat. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Pihem : Jean-Claude Coyot réélu maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pihem (62656) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).