Condat-sur-Vienne
Condat-sur-Vienne | |||||
L'église. | |||||
Logo | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine Limoges Métropole | ||||
Maire Mandat |
Émilie Rabeteau 2020-2026 |
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Code postal | 87920 | ||||
Code commune | 87048 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Condatois | ||||
Population municipale |
5 158 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 333 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 47′ 38″ nord, 1° 13′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 210 m Max. 351 m |
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Superficie | 15,47 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Limoges (banlieue) |
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Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Condat-sur-Vienne (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Condat-sur-Vienne (Condat, en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Condatois[1].
Commune initialement rurale, elle devient progressivement banlieue résidentielle de Limoges, à travers la construction ou l'extension de nombreux lotissements (la Sapinière, les Hauts-de-Condat, etc.) qui partant de Limoges et de Isle, s'étendent jusqu'à Chambon, sur les hauteurs de Solignac.
L'agriculture condatoise repose en grande partie sur l'élevage à viande (vaches limousines, agneau baronné du Limousin), à l'instar de la majeure partie du Limousin. Des horticulteurs et maraîchers se sont cependant développés dans les années 2010, en particulier dans les zones de Veyrinas et du grand pré.
Géographie
[modifier | modifier le code]C'est une ville de l'agglomération de Limoges, sur la Vienne. Elle est également bordée par la Briance (qui tire son nom de ses eaux aurifères).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Condat-sur-Vienne est limitrophe de cinq autres communes.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Cette ville est desservie par la ligne STCL 12.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 034 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 6,38 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Condat-sur-Vienne est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), zones urbanisées (20 %), forêts (14 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), terres arables (1,8 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Condat-sur-Vienne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne, la Valoine et la Briance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993 et 1999[18],[16]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais des plans de prévention des risques inondation (PPRI) « Briance aval », approuvé le , « Vienne du Palais à beynac », approuvé le et « Valoine », approuvé le [19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 16,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[21].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Condat-sur-Vienne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]"Condat" tire ses origines du mot latin d'origine gauloise "Condate" désignant la confluence de deux cours d'eau. En effet, la commune se situe à la confluence de la Briance et de la Vienne).
Le mot "condate" dérive de l'indo-européen *kom, « avec », et *da, « fluide », « rivière ». On le retrouve dans le nom du Danube, du Dniestr ou du Don.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 5 158 habitants[Note 7], en évolution de +1,38 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Pont au-dessus de la Vienne[31] constitué de quatre arches et construit en 1832.
- Église Saint-Martin. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[32].
- La croix du Méchant.
-
Église Saint-Martin de Condat avec, sur le côté à droite, la chapelle funéraire de Paulin Talabot.
-
Mairie de Condat vue de l'arrière.
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La croix du Méchant.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Paulin Talabot[33] (1799-1885), né à Limoges, mort à Paris. Polytechnicien (promotion 1819), corps des ponts et chaussées. Il a contribué au développement du chemin de fer en France, en particulier dans le Sud-Est. On peut lire dans les archives de l'école polytechnique : « Une compagnie financière le choisit pour améliorer le canal Beaucaire - Aigues-Mortes (1829-34). Au cours de voyages en Angleterre, il se lie avec Stephenson et pressent comme lui l'importance du chemin de fer. Constructeur des premières lignes dans le Sud-Est de la France, il étudie la jonction de la Méditerranée à la mer Rouge (1844-1847), forme la Compagnie Lyon-Méditerranée et s'emploie par des fusions à former la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée, dont il devient le directeur général (1862-82). En Algérie, il réalise des projets de chemins de fer et de transports maritimes, et d'exploitations minières. Il participa également au développement des chemins de fer italiens et autrichiens. » Bienfaiteur de la commune, une plaque lui rend hommage dans l'église de Condat qui lui doit son inauguration à la fin du XIXe siècle. Il repose dans une chapelle qui jouxte l'église.
- Guillaume Dupuytren (1777-1835), anatomiste et chirurgien, né à Pierre-Buffière (à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges), il passa son enfance jusqu'à l'âge de douze ans à Condat.
- Charles Giroux (1861-1940), graveur d'interprétation et aquafortiste, né à Limoges il est le fils de Pierre Giroux, né à Condat.
- Pierre Parot (1894-?), créateur de vitraux et pédagogue, naquit à Poulouzat, village de la commune de Condat. Ses œuvres illuminent de très nombreuses églises, cathédrales, monuments historiques ou publics en France et à l'étranger. Quelques-uns de ses vitraux sont exposés à l'espace Confluences, à Condat. D'autres sont visibles à Limoges au Sacré-Cœur, à la gare des Bénédictins et à la Maison du Peuple.
- Robert Job (1907-1995), résistant et militaire français et une des personnalités principales de l'Œuvre de secours aux enfants (OSE), il dirigea en 1942 la maison d'enfants de Poulouzat à Condat.
Jumelages
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Limoges comprend une ville-centre et neuf communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sur Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Condat-sur-Vienne et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Condat-sur-Vienne ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Condat-sur-Vienne », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « Les maires de la commune » (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Mérimée : », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Biographie de Paulin Talabot