Wissembourg
Wissembourg | |
Hôtel de ville de Wissembourg. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Haguenau-Wissembourg |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Wissembourg (siège) |
Maire Mandat |
Sandra Fischer Junck (DVD) 2020-2026 |
Code postal | 67160 |
Code commune | 67544 |
Démographie | |
Gentilé | Wissembourgeois |
Population municipale |
7 516 hab. (2021 ) |
Densité | 156 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 02′ 18″ nord, 7° 56′ 49″ est |
Altitude | Min. 131 m Max. 527 m |
Superficie | 48,18 km2 |
Type | Petite ville |
Unité urbaine | Wissembourg (partie française) (ville isolée) |
Aire d'attraction | Wissembourg (partie française) (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Wissembourg (bureau centralisateur) |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.ville-wissembourg.eu/ |
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Wissembourg [visɑ̃buʁ] (prononcé Waïssebouaïsch[pas clair][réf. souhaitée] en francique méridional, le dialecte germanique local, en allemand Weissenburg) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Wissembourgeois.
Elle avait le statut de sous-préfecture jusqu'au , date du rattachement de l'arrondissement avec celui de Haguenau pour former l'arrondissement de Haguenau-Wissembourg[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Wissembourg est située à l'extrême nord de l'Alsace, à la pointe nord-est de la France. Elle possède une frontière commune avec l'Allemagne (Land de Rhénanie-Palatinat). La commune est traversée par la Lauter, affluent gauche du Rhin, qui prend sa source en Allemagne.
Wissembourg est aussi éloigné à vol d'oiseau de Kaliningrad (ancienne Königsberg) que de Hendaye dans les Pyrénées-Atlantiques, soit 987 km.
Le centre-ville, ainsi que la partie ouest du ban communal, sont rattachés au parc naturel régional des Vosges du Nord, ce qui confère à la commune le titre de « ville-porte du parc ».
Wissembourg administre également la forêt du Mundat, située en territoire allemand[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Riedseltz, Cleebourg, Climbach, Oberhoffen-lès-Wissembourg, Seebach, Rott, Salmbach, Schleithal, Steinseltz, Schweigen-Rechtenbach, Schweighofen, Kapsweyer, Steinfeld, Bobenthal et Scheibenhardt.
Écarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Altenstadt, un village à part entière de 1 012 habitants et qui a fusionné avec Wissembourg en 1974 ;
- Geisberg, avec implantation mennonite ;
- Geitershof ;
- Weiler ;
- Welschdorf.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Lors de l'effondrement du fossé rhénan, les terrains jurassiques ont été érodés. Au sud des Vosges, l'érosion s'est poursuivie, s'attaquant également aux terrains triasiques, mettant le socle hercynien à nu, alors qu'au nord des Vosges, les terrains triasiques recouvrent encore le socle.
Seuls des affleurements de granite à Windstein, et des affleurements de grauwacke à Weiler, lieu-dit de Wissembourg, laissent entrevoir le socle[3].
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Lauter, le ruisseau le Seebach, le ruisseau Hasselbach, le ruisseau Kuchenbaechel, le ruisseau le Hardtbach, le ruisseau le Klein Lauterbach, le ruisseau Pfeifersberg et le ruisseau Steinbachhohl[4],[Carte 1].
La Lauter, d'une longueur de 39 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Rhin en rive gauche en Allemagne, peu après Lauterbourg[5]. Les caractéristiques hydrologiques de la Lauter sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 2,41 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 16 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 18,4 m3/s, atteint le même jour[6].
Le Seebach, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Seltzbach à Buhl, après avoir traversé cinq communes[7].
Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : les étangs de la Walk (0,4 ha) et l'étang Saint-Rémy (0,9 ha)[Carte 1],[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 10,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Preuschdorf », sur la commune de Preuschdorf à 15 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 834,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,9 °C, atteinte le [Note 2],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[16].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Wissembourg est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Wissembourg (partie française)[Note 3], une agglomération internationale constituant une ville isolée[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Wissembourg (partie française), dont elle est la commune-centre[Note 4],[19]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,1 %), terres arables (22,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), cultures permanentes (3,4 %), prairies (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Commune couverte par le plan local d'urbanisme intercommunal de la Communauté du Pays de Wissembourg[23].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- D 264 vers Schweigen-Rochtenbach[24].
- D 77 vers Rott > D 3 vers Climbazch.
- Traversée par l'itinéraire cyclable de la Lauter (Lauterbourg – Dahn) et par un des chemins de Compostelle en provenance de Rhénanie-Palatinat, elle est ville départ du sentier de grande randonnée 53 (rectangle rouge) qui, par les crêtes des Vosges, rallie Masevaux, à l'extrémité sud.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]- La gare de Wissembourg se trouve sur l'axe ferroviaire Strasbourg – Landau in der Pfalz via Haguenau.
- Gare de Riedseltz.
- Gare de Hunspach.
- Gare de Hoffen.
- Gare de Soultz-sous-Forêts.
Transports aériens
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]- Le nom latin, utilisé dans les sources ecclésiastiques, était Sebusium[25].
- D'un nom de personne germanique Wizzo(n) + burg[26].
- Anciennes mentions : Wizunburg (774)[26], Wizenburg (780)[26], Wissembourg (1793)[27], Vissembourg (XIXe siècle).
- Au XVIIIe siècle, les Allemands, pour distinguer ce Wissembourg de plusieurs autres lieux du même nom, l'appelaient Kronweissenbourg[28].
- Waisseburch ou Weisseburch en francique méridional, Wisseburi en alémanique, Weißenburg en allemand.[réf. nécessaire]
Histoire
[modifier | modifier le code]- L'abbaye Saint-Pierre-et-Saint-Paul est fondée sur le site au VIIe siècle par des nobles austrasiens sur une île de la Lauter. Saint Pirmin y a introduit la règle de saint Benoît. Elle s'éleva bientôt à la tête d'un vaste domaine de plus de 200 km2, et s’enrichit au point de devenir l’abbaye la plus riche d’Alsace et d'obtenir le rang de principauté en 974.
- Le XIe siècle est marqué par la construction d’une église romane, dont il subsiste le clocher-beffroi.
- Pendant le XIIe siècle et le XIIIe siècle, le village qui naît autour de l'abbaye s'étend rapidement et cherche à s'émanciper de sa tutelle, d'où de nombreux conflits.
- La ville obtient d'avoir des membres au conseil et atteint alors son apogée. Sa richesse lui vient de la production de draps, de vins et de châtaignes.
- Au XIVe siècle, Wissembourg accentue son indépendance vis-à-vis de l’abbaye, et la ville devient membre de la Décapole en 1354. Ses dirigeants refusent alors de prêter allégeance au nouvel abbé.
- À la mort de l'abbé Philippe d'Erpach, en 1469, il laissa l'abbaye considérablement endettée. Le nouvel abbé, Jean de Bruck, essaya de relever l'abbaye. Cependant le comte palatin Frédéric Ier le Victorieux, landvogt de Haguenau, décida d'intervenir en tant que préfet de la Décapole. Il envoya dans l'abbaye des inspecteurs et des moines de la congrégation de Burckfeld. Mais l'abbé décida de se retirer au château de Drachenfels avec le prieur Antoine de Linange. Les interventions des moines remirent en cause les biens-fonds que possédaient des bourgeois de Wissembourg qui se révoltèrent et chassèrent les hommes du comte palatin. Ils demandèrent alors à l'abbé de revenir à Wissembourg. Les dégâts importants qui en résultèrent sur les biens poussèrent les deux partis à discuter en . Cependant l'empereur Frédéric III attisa le conflit. En décembre 1471, la paix fut conclue. L'abbé Jean de Bruck et son prieur restèrent en place, mais aussi les moines réformateurs.
- Ces différents conflits mènent au XVe siècle à la destruction de la ville par le comte Palatin, allié de l’abbaye. Le comte palatin décida d'assiéger la ville et de la bombarder.
- De 1485 à 1503, le chevalier Hans von Trotha, grand maréchal du comte palatin Philippe l'Ingénu, tyrannisa les habitants de Wissembourg. Il est à l'origine de la légende de Hans Trapp.
- Au XVIe siècle, la Réforme fait son apparition dans la ville et connaît un grand succès. Arrive alors une période sombre : Guerre des paysans en Alsace et en Lorraine (1525), guerre de Trente Ans et les passages des multiples armées. En 1648, il ne lui reste plus alors que 140 habitants.
- À la signature du deuxième traité de Westphalie en 1648, qui clôt cette guerre de Trente Ans, la France considère que les villes de la Décapole, dont Wissembourg, passent sous sa domination (avec les possessions des Habsbourg en Alsace, et non toute l'Alsace comme on le voit souvent écrit). Ce traité de Münster, en effet, est ambigu et sujet à interprétation. Cependant, la Décapole n'entend nullement se soumettre aux Français, et ses villes refusent de reconnaître Louis XIV comme leur souverain. Il s'ensuivra une sévère campagne militaire de mise au pas, et Wissembourg sera prise, incendiée et pillée le . Elle finira alors, avec ses consœurs de la Décapole, par se soumettre à la France en 1680, le Saint-Empire romain germanique n'ayant pas pu les secourir.
- Stanislas Leszczynski, roi de Pologne en exil, séjourne à Wissembourg de 1719 à 1725, avec sa famille, notamment sa fille Marie. Ils sont hébergés dans une maison prêtée par le bailli Weber, ensuite appelée palais Stanislas. Protégé par le duc de Bourbon, principal ministre depuis la mort du Régent, Stanislas envisage de lui faire épouser Marie. Mais, en 1725, le duc d'Antin arrive de Paris et annonce que c'est Louis XV, le roi de France (âgé de 15 ans), qui a pour se marier fixé son choix sur Marie (22 ans).
Un mariage par procuration (le roi est représenté par Louis d'Orléans) a lieu à la cathédrale de Strasbourg le (Marie devient dès cette date la reine), avant la cérémonie définitive, le , à Fontainebleau. - À la Révolution, les moines sont expulsés et les biens de l’abbaye sont vendus.
- La bataille de Wissembourg (décembre 1793) fut une bataille de la Révolution française. Elle est inscrite en hommage sur l'Arc de Triomphe.
- La bataille de Wissembourg (1870), qui fut la première des batailles de la guerre de 1870, a lieu sur les hauteurs au sud de la ville, le , sur le Geisberg. À l'issue de la guerre et de la défaite de la France, l’Alsace et la ville deviennent allemandes[29]. Son histoire suit depuis lors celle du reste de l’Alsace.
- Pendant l'hiver 1944-1945, Wissembourg a été endommagée par les tirs d'artillerie et les combats qui se sont déroulés dans la région. Libérée une première fois le , puis reprise par les Allemands, la ville n'a été définitivement reconquise que le , par l'opération Undertone de la 7e armée du général Patch.
Histoire postale
[modifier | modifier le code]Un bureau de poste a été créé à Wissembourg en 1648[30].
À partir de 1792, ce bureau utilise des marques postales linéaires qui sont libellées avec le numéro 67 (par exemple 67 WISSEMBOURG - on trouve également des marques un peu plus rares avec l'orthographe 67 WEISSEMBOURG)[30]. Les premiers cachets à date apparaissent en 1831[31].
En 1852, la poste affecte le numéro de cachet petit chiffre 3693 à Wissembourg. En 1862, ce numéro est remplacé par le cachet « Gros Chiffres » 4345 (voir figure). En 1872, à la suite de l'annexion par l'Allemagne, ce numéro est affecté à la commune de Saint-Just-la-Pendue[32].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[38] :
- total des produits de fonctionnement : 10 756 000 €, soit 1 397 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 9 541 000 €, soit 1 239 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 289 000 €, soit 427 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 3 100 000 €, soit 403 € par habitant ;
- endettement : 8 343 000 €, soit 1 084 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 23,73 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,11 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 73,62 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,11 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,53 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 370 €[39].
Taux de chômage 2016 : 6,4 %[40]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2021, la commune comptait 7 516 habitants[Note 5], en évolution de −1,91 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[44] :
- Écoles maternelle et primaire,
- Collèges,
- Lycées.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[45] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Centre Hospitalier Intercommunal de la Lauter de Wissembourg.
- Hôpitaux à Niederbronn-les-Bains, Haguenau.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte protestant, Paroisse protestante de Wissembourg[46].
- Culte catholique, Paroisse de Wissembourg[47], Diocèse de Strasbourg.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Agriculteurs, éleveurs[48], viticulture (Cave de Cleebourg).
- Sylviculture et exploitation forestière.
- Culture et production animale.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hôtels[49]
- Restaurants[50]
- Chambres d'hôtes
- Randonnée pédestre :
- Départ du sentier de grande randonnée 532
- Départ de l'HexaTrek
- Chemins de Compostelle
- Sentiers de randonnée locaux et régionaux
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité[51].
- L'entreprise Bruker fabrique des spectromètres et des appareils de résonance magnétique.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments classés monuments historiques
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre-et-Paul, ancienne abbatiale et dernier vestige de l'abbaye du XIIIe siècle, classée en 1930[52]. Cette église est le deuxième plus grand bâtiment de style gothique original en Alsace après la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg. On y a trouvé le Christ de Wissembourg, plus ancien vitrail figuratif connu, exposé au musée de l'Œuvre Notre-Dame à Strasbourg. La tour carrée côté ouest est datée de 1075. Côté nord se trouvent les restes du cloître de l'abbaye, jamais achevé, qui permet d'accéder à une chapelle romane du XIe siècle. L'église contient également une monumentale peinture murale de 11 mètres de haut, datant probablement du XIVe siècle et représentant saint Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras. D'autres fresques anciennes et vitraux sont également visibles.
- La chapelle Saints-Pierre-et-Paul et le passage vouté reliant la chapelle à l'église sont inscrits depuis 1973[53].
- Église Saint-Ulrich, située à Altenstadt (à l'est de Wissembourg). Classée depuis 1898[54], elle date des XIe et XIIe siècles.
- Église Saint-Jean, où la Réforme a été prêchée par Martin Bucer en 1522 (clocher roman du XIIIe siècle). Classée en 1898[55].
- L'hôpital Stanislas, 7 rue Stanislas, classé en 1929[56].
- L'hôtel de ville, classé en 1932[57].
- La maison Kobold, 26 rue de l'Étoile, classée en 1929[58].
- Une maison du XVIe siècle, située 20 et 22 rue de la Laine, classée depuis 1929[59].
Monuments inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques
[modifier | modifier le code]- L'ancien doyenné, actuellement sous-préfecture de Wissembourg, inscrite en 1994[60].
- La maison du Sel (XVe siècle), bâtiment qui servait à la collecte de la gabelle, inscrite en 1998[61].
- L'ancien hôtel du prêteur royal Von Neubeck, inscrit en 1987[62].
- L'ancienne maison Bürgerhof, inscrite en 1935[63].
- L'ancienne maison des Tanneurs, inscrite en 1929[64].
- L'ancienne église des Dominicains, inscrite en 1982[65].
- Le canal de la Lauter, inscrit partiellement en 1997[66].
- Le château Saint-Rémy d'Altenstadt, inscrit en 1989[67].
- Le château du Geisberg, inscrit en 1990[68].
- Une maison du XVIIe siècle, située 27, rue Neuve, inscrite en 1935[69].
- Une maison du XVIe siècle, située 2 rue Nationale, inscrite en 1935[70].
- Une maison du XVIIe siècle, située 35 rue de la Laine, inscrite en 1935[71].
- La maison Vogelsberger, située 2 quai Anselmann, inscrite en 1929[72].
- La maison Wagenführer, située 5 quai Anselmann, inscrite en 1938[73].
- La maison dite maison des Chevaliers, 1 avenue de la Sous-Préfecture, inscrite en 1990[74].
- La maison dite Stern, 28 rue de l'Étoile, inscrite en 2008[75].
- Le musée Westercamp, inscrit en 1935[76].
- L'obélisque du roi de Rome, inscrit en 1989[77].
- Les restes des fortifications de la ville (XIIIe siècle), bien conservés par endroits, inscrits en 1933[78].
- Château fort Saint-Paul[79]. Des 4 châteaux qui défendaient l'abbaye (aux points cardinaux), seul subsiste, au Nord, le château Saint-Paul. Antérieurement au château se situait au même emplacement une ferme abbatiale avec chapelle, plus tard transformée en prieuré puis en château fort.
- L'intersection du 49e parallèle nord et du 8e méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).
- Synagogue la première datée de 1805, remplacée par une nouvelle en 1872 et détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale. Une troisième fut construite après la guerre[80].
- Cimetières : cimetière de l'église paroissiale Saint-Ulrich, cimetière chrétien, cimetière juif[81],[82],[83].
-
Église Saints-Pierre-et-Paul. -
Tour romane de l'église Saints-Pierre-et-Paul. -
Fresque Saint Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras (XIVe siècle). -
Église Saint-Jean. -
La maison du Sel. -
Hôtel Stanislas. -
Maison dite de « l'ami Fritz ». -
Maison Vogelsberger construite en 1540. -
Détail de la maison Vogelsberger. -
La grange aux Dîmes. -
Sous-préfecture, ancien doyenné. -
Musée Westercamp.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Le moine Otfried de Wissembourg (790–870), écrivain. Le collège de la ville porte aujourd'hui son nom.
- Stanislas Leszczyński, roi de Pologne de 1704 à 1709, s'exila à Wissembourg et y vécut de 1719 à 1725. Le lycée de la ville porte aujourd'hui son nom.
- Pierre-Paul Botta, général né à Wissembourg en 1741 et mort à Vannes en 1795.
- Jacob Job Elie (1746-1825), général ayant participé à la prise de la Bastille.
- Jean-Gotthard Grimmer (1749-1820), pasteur à Wissembourg puis député à la Convention nationale le 10 ventôse an III () en remplacement de Philibert Simond.
- Ferdinand Daniel Marx (1761-1839), général de cavalerie français et baron du Premier Empire.
- Frédéric Michel Lajolais, général né à Wissembourg en 1765 et mort au château d'If en 1809.
- Georges Michel Léopold Labbé de Waudré, général né à Wissembourg en 1766 et mort à Toulouse en 1815.
- Louis Apffel (1777-1847), avocat, maire, conseiller général et amateur d'art, né à Wissembourg.
- Charles Westercamp (1799-1871), député du Bas-Rhin, né à Wissembourg.
- Jean Frédéric Wentzel (1807-1869) et l'Imagerie de Wissembourg.
- Louis Moll, agronome né à Wissembourg en 1809 et décédé en 1880.
- Joseph Guerber, écrivain et député protestataire, né à Wissembourg en 1824 et décédé en 1909.
- Philippe Gaspard Gauckler (1826-1905), ingénieur en génie civil, officier de la Légion d’honneur auteur de la formule de Gauckler-Manning-Strickler.
- Auguste Dreyfus (1827-1897), grand financier et homme d'affaires français.
- Joseph von Stichaner (1838-1889), Kreisdirektor à Wissembourg (monument au sud de la ville), président du Bas-Rhin.
- Ludwig Bossler (1838-1913), philologue allemand, botaniste alsacien et directeur de gymnasium Wissembourg 1871-1874.
- Charles-Emile Matthis travailla comme lithographe dès 1863 pour l'imprimerie Wentzel de Wissembourg[84].
- Charles Marbach (Karl Marbach) (1841-1916), évêque de Paphus et membre du clergé de Strasbourg de 1891 à 1901.
- Charles Mewès (1858-1914), architecte.
- Charles de Foucauld (1858-1916), explorateur et religieux, habita quelques années de son enfance à Wissembourg.
- Alexander zu Hohenlohe-Schillingsfürst, (1862-1924) député du Reichstag pour la circonscription électorale du Reichsland Elsaß-Lothringen 10 (Alsace-Lorraine) de 1893 à 1903, diplomate, éditeur, nommé citoyen d'honneur de Wissembourg en 1903.
- André Bloch (1873–1960), compositeur français.
- Heinrich Boell (1890–1947), musicien allemand organiste et chef de chœur.
- Oskar Joost (1898–1941), musicien allemand.
- Marie Gross née Krebs (1899-1964), résistante ayant permis l'évasion d'une soixantaine de prisonniers de guerre français pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Götz Harbsmeier (1910–1979), théologien protestant allemand. Voir : Götz Harbsmeier.
- Paul Collowald (né en 1923 à Wissembourg), journaliste français.
- Jean-Pierre Hubert, écrivain et musicien né à Strasbourg en 1941 et décédé à Wissembourg en 2006.
- Gérard Collin-Thiébaut (né en 1946), artiste plasticien, vécu à Wissembourg de 1969 à 1975, au 5 rue Saint-Jean.
- Valérie Mischler, actrice et chanteuse française.
- Christophe Bouisse, acteur.
- Christophe Kern (né en 1981), cycliste français.
- Jean-François Kornetzky (né en 1982), gardien de but français.
- Pokey LaFarge, de son vrai nom Drew Heissler (né en 1983), chanteur de Bluegrass américain dont la famille est originaire de Wissembourg.
- David Ulm (né en 1984), footballeur français.
- Lydie Lescarmontier (née en 1985), glaciologue et auteure française.
- Ophélie Cyrielle Etienne (née en 1990), médaillée de bronze aux Jeux Olympiques de Londres en 2012 (natation).
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au château coulissé d'argent, ouvert du champ, ajouré et maçonné de sable. |
|
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Détails | ||
Alias |
D'argent à un fer à cheval de sable. Blason du village d`Altenstadt qui a fusionné avec Wissembourg en 1975. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Communes du Bas-Rhin
- Forêt du Mundat
- Festival international de musique de Wissembourg
- Andreas Cellarius (théologien)
- Musée Westercamp
- Aire urbaine de Wissembourg
- Gare de Wissembourg
- Liste des monuments historiques de Wissembourg
- Décapole (Saint-Empire)
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Aspects culturels de Wissembourg et de sa région à travers les âges : exposition, 14-, Relais culturel régional, Wissembourg, 1981, 60 p.
- Fritz Eyer, Wissembourg, art et histoire, Éd. de la Tour blanche, Wissembourg, 1980, 65 p.
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Wissembourg, pp. 637 à 649
- Charles-Laurent Salch, Nouveau Dictionnaire des Châteaux Forts d'Alsace, Ittlenheim, alsatia, Conception et réalisation Lettrimage, , 384 p. (ISBN 2-7032-0193-1)Wissembourg, p. 358-359, Dessins de relevés et d'illustration sont de Walter Herrmann, André Lerch, Christian Rémy. Images de synthèse de Fabien Postif et Photos de Dominique Martinez
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Wissembourg, Donjon, p. 1258
- Les possessions en Alsace avant la Guerre de Trente Ans. 3.7 Les villes impériales de Obernai, Rosheim, Haguenau, Wissembourg et Landau - 3.21 Le Mundat de Wissembourg (évêché de Spire)
- Michel Hérold, Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 330 p. (ISBN 2-271-05154-1)Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Wissembourg, pages 255 à 260. Voir aussi : Vitraux déplacés et vitraux disparus après la révolution p.265
- Parc naturel régional des Vosges du Nord. Les châteaux forts, Clermont-Ferrand, A.R.P.E.G.E, , 223 p.Itinéraires 20 : L’ouvrage fait partie de la collection des guides naturels de France et présente 33 châteaux-forts (sur les 35 du parc) qui vous accueillent, avec en introduction : L’histoire, L’architecture, La vie quotidienne, Jardins et plantes cultivées, Le démantèlement des châteaux, Le château fort dans notre environnement : Saint-Paul, p.206
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à l'architecture :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
- Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 580 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1976 au 01/04/2024.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Wissembourg » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- le décret 2014-1722 du 29 décembre 2014 voit la suppression de l'arrondissement de Wissembourg fusionné à celui de Haguenau à compter du 1er janvier 2015.
- Les frontières de la France, par François Alabrune. Dans Pouvoirs 2018/2 (N° 165), pages 51 à 64]
- Alsace, des fossiles et des hommes. Jean-Claude GALL. p. 66. (ISBN 2-7165-0655-8).
- « Fiche communale de Wissembourg », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Lauter »
- « Station hydrométrique A3800200 », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- Sandre, « le Seebach »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Wissembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Wissembourg ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Wissembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- PLUi de la Communauté du Pays de Wissembourg
- Itinéraires
- Jaucourt, L'Encyclopédie, édition 1re, (1751), Vol. XVII, pp. 595-96.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2 (1996)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Géographie Universelle traduite de l'Allemand de M. Büsching, tome 4, contenant la France (première partie), Strasbourg, Bauer & Cie, 1770
- La France perd l’Alsace-Lorraine : 10 mai 1871 (traité de Francfort), par Adrian - Publié le 25/04/2019
- Jean et Vincent Pothion, Catalogue des marques postales linéaires France 1792-1832. La poste aux lettres Paris 1987
- Jean Chevalier, Catalogue des cachets à date, types 11-12-13-14-15, Bureaux de direction, Départements français et Algérie, 1829-1869, Jean Chevalier, Paris, 1995
- Vincent Pothion, Nomenclature des bureaux de poste français 1852-1876, La poste aux lettres, Paris, 1998
- Notice NetBDA ARBOGAST Charles, sur alsace-histoire.org
- Notice NetDBA de BERTRAND Pierre, alsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace.
- [PDF] Liste des maires sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- Christian Gliech a été candidat du mouvement La République en marche aux élections législatives des 11 et 18 juin 2017 dans la 8e circonscription du Bas-Rhin [1]
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Emploi, chômage : les contrastes du Grand Est » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- https://www.ville-wissembourg.eu Paroisse protestante de Wissembourg / UEPAL]
- Paroisse de Wissembourg
- Annuaires
- Hôtels
- Restaurants
- Commerces et services de proximité
- Notice no PA00085247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085249, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085251, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085252, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085256, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00132524, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA67000023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [Notice no PA00085250, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085258, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA67000021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085275, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085288, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085260, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085259, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085257, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085254, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085255, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [Notice no PA00085287, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA67000080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort Saint-Paul », notice no IA67008232, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA67008057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue
- Notice no IA67008250, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière de l'église paroissiale Saint-Ulrich
- Notice no IA67008058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière chrétien
- Notice no IA67008059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière juif
- François Lotz, Artistes-peintres alsaciens décédés avant 1800 : Avec un complément concernant des artistes-peintres alsaciens ayant œuvré après 1800 (Artistes-peintres alsaciens.), Printek, , 383 p., p.223.
- Wissembourg
- Commune dans le Bas-Rhin
- Commune du parc naturel régional des Vosges du Nord
- Ville titulaire de la croix de guerre 1939-1945
- Ville adhérant à l'association Les Plus Beaux Détours de France
- Unité urbaine de Wissembourg (partie française)
- Aire d'attraction de Wissembourg (partie française)
- Frontière entre l'Allemagne et la France
- Ville frontière
- Ville fortifiée en Alsace