Azincourt
Azincourt | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CC des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Nicolas Poclet 2020-2026 |
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Code postal | 62310 | ||||
Code commune | 62069 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Azincourtois | ||||
Population municipale |
305 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 50″ nord, 2° 07′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 142 m |
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Superficie | 8,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Fruges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
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Azincourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Azincourtois.
La commune fait partie, de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021, et du Pays des Sept Vallées.
Elle est connue pour la bataille d'Azincourt qui s'est déroulée sur son territoire le pendant la guerre de Cent Ans et qui a débouché sur une défaite des Français face aux Anglais.
Une partie du territoire de la commune est située sur le site classé de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) des vallées de la Créquoise et de la Planquette.
Géographie
Localisation
La commune, située à une quinzaine de kilomètres au nord-est d'Hesdin, se trouve dans le Pays des Sept Vallées.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 8,46 km2 ; son altitude varie de 100 à 142 mètres[1].
Hydrographie
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Paysages
La commune est située à la jonction de deux paysages tel qu'ils sont définis dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[9] :
- les « paysages montreuillois » qui concerne 98 communes, se délimitent : à l'Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l'Authie, et à l'Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[10] ;
- les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d'attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l'est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d'eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.
- Le territoire d'une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d'Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l'absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
- Au niveau de l'occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[11].
Milieux naturels et biodiversité
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d'Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[12].
Urbanisme
Typologie
Au , Azincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), prairies (21,7 %), zones urbanisées (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale D 71[18].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 7 km de la gare de Blangy-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. C'est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aisincurt en 1165 ; Asincurtis et Aisgincurt au XIIe siècle ; Aisincort vers 1202 ; Asincort en 1208 ; Ainsencourt, Aisencourt en 1375 ; Aisencourt au XIVe siècle ; Arsincourt en 1415 ; Azincourt-delez-Blangy-en-Ternois en 1415 ; Ainsincourt en 1474 ; Asincourt au XVe siècle ; Aizincourt en 1545[19] ; Azincourt depuis 1793[1].
Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. L'appellatif toponymique -court (français moderne cour) est issu du gallo-roman CORTE qui signifie « domaine », lui-même issu du bas latin cortem ou curtis, évolution du latin classique cohors, d'abord « cour de ferme » puis « domaine rural »[20]. Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 5],[21].
Le premier élément Azin- s'explique par un nom de personne germanique, Aizo[22].
Histoire
C'est sur le territoire de la commune que s'est déroulée la bataille d'Azincourt le (pendant la guerre de Cent Ans). Ce fut une défaite française face aux troupes anglaises. En quelques heures, près de 10 000 Français, dont de nombreux membres de la noblesse, y perdirent la vie. Jean d'Azincourt et Walerand d'Azincourt furent du nombre de même que Regnault d'Azincourt, seigneur d'Azincourt et de Rutel (commune actuelle de Villenoy en Seine-et-Marne)[23].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Jumelages
La commune est jumelée avec :
Ville | Pays | Période | ||
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Middleham[29] | Royaume-Uni | depuis |
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[30].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Azincourtois[31].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2021, la commune comptait 305 habitants[Note 6], en évolution de +1,33 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 155 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
En juillet, se déroule, tous les deux ans, la fête médiévale qui replonge le spectateur dans la période de la bataille d'Azincourt. On y voit un campement, un marché avec des artisans qui font des démonstrations autour de la céramique, de la forge, des reconstitutions de batailles, des combats en armure, des spectacles équestres et de rapaces, une échoppe avec l'alimentation de l'époque…[37],[38].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 112 ménages fiscaux qui comprennent 283 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 7] de 20 230 euros, soit supérieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[39],[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nicolas, fin XVIIe-début XVIIIe siècle.
- L'église Saint-Laurent, au hameau de Bucamps, XVIIIe siècle.
- Le site de la bataille d'Azincourt (1415) à mi-distance entre les agglomérations d'Azincourt, de Tramecourt et de Maisoncelle.
- Le monument aux morts[41].
-
L'église Saint-Nicolas.
-
Le monument aux morts.
-
Le mémorial de la bataille d'Azincourt.
Patrimoine culturel
- Le centre historique médiéval d'Azincourt. Dans le musée ouvert en 2001, a été installée une scénographie interactive de la bataille et, depuis, l'Alliance anglo-française d'Azincourt organise annuellement une reconstitution historique (re-enactment) de la bataille d'Azincourt. En 2015, Azincourt fête le 600e anniversaire de la bataille, du 23 au 26 juillet. Le nouveau centre Azincourt 1415 a été inauguré le en présence de l'animateur Stéphane Bern et de Brigitte Macron[42].
-
Chroniques d'Enguerrand de Monstrelet, la bataille d'Azincourt.
-
Chevaliers pendant la reconstitution historique 2012.
Azincourt dans les arts
- Azincourt est le lieu choisi par Georges Perec pour situer une partie de son roman lipogrammique La Disparition.
- Azincourt est le titre d'une chanson de l'album In extremis de Francis Cabrel.
- Azincourt par temps de pluie est un roman de Jean Teulé (2022) qui relate la bataille de 1415.
Personnalités liées à la commune
- Regnault d'Azincourt (v.1358-1415), seigneur d'Azincourt et de Rutel, mort à la bataille d'Azincourt.
- Jean II Le Meingre (1364-1421), dit Boucicaut, maréchal de France, combattit à la bataille d'Azincourt avant d'être fait prisonnier.
- Charles Ier d'Albret (1368-1415), connétable de France, mort à la bataille d'Azincourt.
- Jean Ier d'Alençon (1385-1415), duc d'Alençon, mort à la bataille d'Azincourt.
Héraldique
Blason | D'argent à une aigle bicéphale de gueules, becquée, languée et membrée d'azur[43].
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Détails |
Pour approfondir
Bibliographie
Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[44] :
- A. Curry, The Battle of Agincourt. Sources and Interpretations, Woodbridge, The Boydell Press, 2000.
- O. Louis, La bataille d'Azincourt, Azincourt, Centre historique médiéval d'Azincourt, 2001.
- D. Paladlhe, La bataille d'Azincourt, 25 octobre 1415, Paris, Librairie académique Perrin, 2002.
- V. Toureille, Le drame d'Azincourt. Histoire d'une étrange défaite, Paris, Albin Michel, 2015.
Articles connexes
- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Azincourt » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Hypothèse reprise en 1976 par Maurice Lebègue, professeur de français à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d'unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d'équivalence (dite de l'OCE) tient compte des économies d'échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
- « Réseau hydrographique d'Azincourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale d'Azincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Azincourt et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais, Paris, 1907, p. 25 (lire en ligne sur DicoTopo).
- Marianne Mulon, Origine et histoire des noms de famille : essais d'anthroponymie, Éditions Errance, , p. 162.
- Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, 4 volumes, Genève, Droz, 1990-1998.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- Aline Chartrel, « Azincourt – «On va être de plus en plus obligé de travailler avec les autres communes» : LES PROJETS DES MAIRES. Après trente et un ans passés à la tête de la commune, l'ancien maire Bernard Boulet a tiré sa révérence. Qui pour lui succéder ? Nicolas Poclet, ancien conseiller municipal de 42 ans, dont la conception du rôle de premier magistrat se veut avant-gardiste », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Azincourt - Nicolas Poclet est élu pour la première fois au fauteuil de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Azincourt (62069) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Alexis Degroote (photogr. Édouard Bride), « On remonte le temps ce week-end à Azincourt avec le grand retour de la fête médiévale », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Fête médiévale d'Azincourt les 15 et 16 juillet », sur azincourt1415.com (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Claire de Vregille (photogr. Séverine Courbe), « La bataille d'Azincourt comme si vous y étiez, au centre historique médiéval », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « 62069 Azincourt (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune d'Azincourt », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).