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Margival

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Margival
Margival
Église de Margival.
Blason de Margival
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Soissons
Intercommunalité CC du Val de l'Aisne
Code postal 02880
Code commune 02464
Démographie
Gentilé Margivalois
Population
municipale
369 hab. (2022 en évolution de −1,07 % par rapport à 2016)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 07″ nord, 3° 24′ 09″ est
Altitude 81 m
Min. 66 m
Max. 164 m
Superficie 5,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Soissons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fère-en-Tardenois
Législatives 5e circonscription de l'Aisne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Margival
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Margival
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Margival
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Margival
Liens
Site web https://www.margival.fr/

Margival est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Margival, village situié dans l'ancien Soissonnais est située à 10 km de Soissons, à 14 km de Coucy-le-Château-Auffrique et à 26 km de Laon. Le village est desservi par la gare de Margival.

Sur son territoire se trouve un complexe de bunkers datant de la Seconde Guerre mondiale.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Crouy, Laffaux, Nanteuil-la-Fosse, Neuville-sur-Margival, Terny-Sorny, Vregny et Vuillery.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Jocienne, le cours d'eau 01 des Gostins[1], le cours d'eau 01 des Grand-Fontaines[2], le ru Pierrot[3] et un autre petit cours d'eau[4],[Carte 1].

La Jocienne, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Laffaux et se jette dans l'Aisne dans la commune de Soissons, face à Villeneuve-Saint-Germain, après avoir traversé huit communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Margival[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Braine à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Margival est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soissons, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), forêts (37,2 %), zones urbanisées (6,4 %), prairies (2,2 %)[15].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 163, alors qu'il était de 153 en 2015 et de 136 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 92,5 % étaient des résidences principales, 3,1 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Margival en 2020 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,1 %) inférieure à celle du département (3,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,4 % en 2015), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Margival en 2020.
Typologie Margival[I 2] Aisne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 92,5 86,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,1 3,4 9,7
Logements vacants (en %) 4,4 10,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la route nationale 2 (France métropolitaine).

La gare de Margival, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière), est desservie par un aller-retour en train TER Hauts-de-France, omnibus, qui effectue une mission entre les gares de Crépy-en-Valois et de Laon uniquement le samedi.

Le village est cité pour la première fois sous l'appellation latine de In territorio Margivallis en 1158 dans un cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-des-Vignes. L'orthographe du nom variera encore Mongival, Magival, Margival-en-Laonnois pour s'arrêter à l'orthographe actuelle Margival au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini[16].

Les habitants de Margival sont affranchis en 1247 par Jean, comte de Soissons[17].

Temps modernes

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Margival sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle".

La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Margival est une paroisse située dans la vallée du ru le Pierrot.

Au nord-ouest, Montgarny était à l'époque un hameau avec ses chaumières regroupées autour d'une ferme.

Au sud-est, le ferme de Montpigeon a aujourd'hui complètement disparu.

Avant la Révolution française, la localité relevait de l'intendance, du bailliage, élection et diocèse de Soissons[17].

Époque contemporaine

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Première Guerre mondiale

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Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Margival[18].

Dès lors commence l'occupation allemande qui durera jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres au sud vers Soissons, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants (dans chaque maison, les habitants n'avaient droit qu'à une pièce pour vivre, le reste de la maison étant réservé aux troupes d'occupation et aux soldats en repos) et à l'approvisionnement en nourriture des soldats (hommes, femmes et enfants étaient forcés de travailler dans les champs, à l'entretien des routes, etc.).

En , le général Hindenburg décide de la création d'une ligne de défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, l'école et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[19].

Le village, vidé de ses habitants, est resté occupé par les Allemands. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et n'est que le que Margival est définitivement libéré par la 5e Armée française[20]. La ferme de Montgarny est également détruite.

Deux cimetières militaires provisoires sont implantés dans le village.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[21] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22]. Il ne compte plus alors que 180 habitants contre 286 avant la guerre.

Seconde Guerre mondiale

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Au nord de Margival (et sur les communes voisines de Neuville-sur-Margival et Laffaux) se trouve l'un de la vingtaine de quartiers généraux du Führer (Führerhauptquartiere ou FHQ) disséminés à travers l'Allemagne et l'Europe occupée : le Wolfsschlucht II[23].

Sa planification date de 1940, et il devait servir à abriter le quartier général allemand pour l'|invasion programmée de la Grande-Bretagne, l'Opération Seelöwe[24], mais sa construction commence seulement en afin de servir de quartier général en cas de débarquement allié sur les côtes françaises.

Il est constitué de 465 ouvrages bétonnés sur un périmètre de 90 km2, construits en 18 mois par 22 000 ouvriers qui ont coulé 250 000 m3 de béton (Sources : Documentaire vidéo "Champs de bataille - Les bunkers oubliés d'Hitler"), mais son cœur se trouve dans une tranchée ferroviaire, à proximité d'un tunnel destiné à éventuellement abriter le "Führersonderzug", le train spécial du Führer.

L'emplacement étant déclaré terrain militaire, la population de Margival doit quitter la commune en . Les 16 et , Adolf Hitler, accompagné d'Alfred Jodl et de son état-major, s'y rend pour faire un point avec les maréchaux von Rundstedt et Rommel sur l'évolution du front en Normandie[24].C'est sa dernière sortie en dehors du Reich[24].

En août 1944, le site est occupé une dizaine de jours par le maréchal Model et son état-major après sa prise de commandement allemand sur le front de l'Ouest mais celui-ci l'évacue assez vite face à l'avancée alliée. Plus tard, une base de l'armée française et de l'OTAN s'installent dans l'ancien complexe militaire allemand.

En particulier, le 129e régiment d'infanterie occupe cette base, transformée en Centre d'entraînement commandos 129, accueillant des régiments, notamment le 3e RIMa, le 67e RI et le 102e RCC, avec leurs nombreux appelés.

Aujourd'hui, une association essaye de restaurer ce site historique sur bien des points.

Accident du tunnel ferroviaire de Chézy

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Dans la nuit du 23 au , vers h ou h du matin, huit soldats du centre commandos, dont beaucoup d'appelés du contingent, trouvent la mort en étant fauchés par un train alors qu'ils traversent le tunnel de Chézy-sur-Marne. Cet accident suscite une très vive émotion dans le pays et relance le débat sur la sécurité, les stages commandos et le « droit aux 7 % de pertes » en vies humaines. Dans les deux années qui suivent, les « huit de Margival » reviennent régulièrement à la mémoire des militants à l'occasion des morts survenant dans l'armée[25].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Margival est membre de la communauté de communes du Val de l'Aisne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Presles-et-Boves. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fère-en-Tardenois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].

Administration municipale

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Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1820   M. Lacour (ainé)    
         
         
janvier 1881 après mai 1835 Clovis Jozet[28]   Ancien géomètre-expert, médaillé de 1870
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'instruction publique
         
         
mars 2001 mars 2008 Martine Vivaux    
mars 2008[29] fin 2011 Daniel Tant   Démissionnaire à la suite de son départ de la commune
janvier 2012 février 2024[30] Bruno Marcellin[31] SE Profession libérale
Mort en fonction

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2022, la commune comptait 369 habitants[Note 3], en évolution de −1,07 % par rapport à 2016 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
243325314312295286324329312
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
276296313273256305275292274
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
307315286284329288269248363
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
296258264321321325323323369
2018 2022 - - - - - - -
366369-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Margival Blason
D'argent à la croix d'azur chargée de cinq coquilles d'or[37].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Blason officiel adopté par la municipalité en 1954.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Margival » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Margival » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Margival - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Margival - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Aisne » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Sandre, « le cours d'eau 01 des Gostins »
  2. Sandre, « le cours d'eau 01 des Grand-Fontaines »
  3. Sandre, « le ru Pierrot »
  4. « Fiche communale de Margival », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. Sandre, « la Jocienne »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Margival et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Soissons », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  17. a b et c « File:Margival Cassini.jpg », Communes, sur genealogie-aisne.com (consulté le ).
  18. « Carte des positions 31 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. « M comme Margival », sur dictionnaireduchemindesdames.blogspot.com (consulté le ).
  21. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  22. Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685.
  23. Les bunkers oubliés d'Hitler sur dailymotion
  24. a b et c Antony Beevor, D-Day - la bataille de Normandie, éd. Calmann-Levy, 2009, page 243.
  25. « L'apparition et l'extension des comités de soldats en France dans les années 1970 (mai 1974-mars 1976) » Mémoire d'Antoine Rauzy, université Paris I, 1999
  26. « communauté de communes du Val de l'Aisne - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  28. « Cote 19800035/105/13145 », base Léonore, ministère français de la Culture
  29. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  30. « Le maire de Margival, Bruno Marcellin, est décédé à l'âge de 53 ans : Elu depuis 2012, Bruno Marcellin est décédé des suites d'une maladie ce jeudi 15 février 2024. Ses obsèques auront lieu le mercredi 21 février », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Municipale à Margival, Bruno Marcellin entame son second mandat de maire », L'Union,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  36. Le Point.fr, « Le bunker oublié d'Adolf Hitler », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  37. « 02464 Margival (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).