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Airbus A220

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Airbus A220 (Cseries)
Image illustrative de l’article Airbus A220
Initialement connu comme CS300, le 8e avion d'essais en vol effectue un passage bas à l'aéroport de Toulouse-Blagnac le 10 juillet 2018 pour sa présentation au siège d'Airbus sous sa nouvelle appellation.
Initialement connu comme CS300, le 8e avion d'essais en vol effectue un passage bas à l'aéroport de Toulouse-Blagnac le 10 juillet 2018 pour sa présentation au siège d'Airbus sous sa nouvelle appellation.

Rôle Avion de ligne moyen-courrier
Constructeur Airbus Canada Limited Partnership
Airbus (via sa filiale Société en commandite Airbus Canada détenue à 75 % par Airbus, et à 25 % par le gouvernement du Québec)
Statut A220-100 : Certifié
A220-300 : Certifié
Premier vol 16 septembre 2013 (CS100)
27 février 2015 (CS300)
Mise en service 15 juillet 2016 (CS100)
14 décembre 2016 (CS300)
Premier client SWISS
Client principal Drapeau des États-Unis Delta Air Lines : 57
Drapeau de la Lettonie AirBaltic : 44
Drapeau du Canada Air Canada : 31
Coût unitaire A220-100 : 62 millions de dollars
A220-300 : 71 millions de dollars
Production Depuis 2012
Livraisons 56 A220-100
176 A220-300
En service 56 A220-100
176 A220-300
Variantes A220-100, A220-300
Dimensions
Image illustrative de l’article Airbus A220

L'Airbus A220, initialement Bombardier CSeries, est un avion de ligne civil conçu par l'avionneur canadien Bombardier Aéronautique et produit par Airbus depuis 2012.

Entré en service commercial le , la série comporte deux modèles : le BD-500-1A10[1] (CS100) de 110 places et le BD-500-1A11 (CS300) de 135 places. Le but originel de Bombardier était d'élargir sa gamme de jets régionaux CRJ aux appareils de plus de 100 places afin de concurrencer les plus petits modèles de Boeing et d'Airbus.

Le premier vol du CS100 a lieu le à l'aéroport international Montréal-Mirabel et celui du CS300 le au même endroit.

D’importants difficultés financières et de commercialisation amènent l'avionneur canadien à se rapprocher d’Airbus, qui acquiert une participation majoritaire de 50,01 % dans le CSeries en 2017[2] ; par suite de cette prise de contrôle par l’entreprise européenne, les désignations commerciales CS100 et CS300 sont respectivement renommées A220-100 et A220-300 le .

Le , Swiss est le premier client mondial à recevoir l'A220 et le met en service le . En Amérique du Nord, Delta Air Lines est le premier client à le recevoir, plus de deux ans après Swiss, le .

Histoire

Projet préliminaire

Bombardier planifiait un nouvel appareil de 85 à 120 sièges pour les CRJ. Il s'agissait du projet BRJ-X qui a été abandonné au profit du CRJ900, un allongement à 90 places du modèle précédent, et le CRJ-1000 de 100 places a été annoncé le , toujours dérivé du même modèle de base. Le projet BRJ-X renaît sous le nom de projet de CSeries (série C) en , une toute nouvelle famille de jet de 110 à 149 passagers. Avec ce nouvel appareil, Bombardier entrerait dans un nouveau créneau de vente, soit celui occupé par Boeing et Airbus.

La compagnie espérait introduire ce nouveau produit en 2010 et a donc commencé à sonder le marché pour des clients potentiels en . En , Bombardier obtenait un accord de financement par les gouvernements du Québec, du Canada et du Royaume-Uni pour ce projet. Les pièces seraient produites chez Canadair de Montréal et Short Brothers de Belfast. Le lieu de l'assemblage final n'était pas encore déterminé mais la compagnie avait déjà des installations de ce type près de l'aéroport international Montréal-Mirabel, au nord de Montréal, rendant ce lieu le plus probable.

Grandes lignes

Après des années de suspens et d'hésitation, Bombardier a annoncé le , au Salon aéronautique de Farnborough, que les avions de la CSeries verraient le jour et que l'assemblage final des appareils se ferait à Mirabel au Québec, le fuselage de l'appareil sera construit en Chine, tandis que ses installations de Belfast, en Irlande du Nord, se chargeront des ailes. L'usine Canadair de Bombardier de l'arrondissement Saint-Laurent, à Montréal, construira le fuselage arrière et le poste de pilotage.

L’entrée en service était prévue en 2013. La valeur approximative de chaque avion serait de 46,7 millions de dollars US. L'investissement total serait de 2,6 milliards de dollars canadiens dans la mise au point, dont un tiers proviendrait de Bombardier, un tiers des fournisseurs et un tiers des gouvernements. Les retombées prévues au Québec étaient de 1000 emplois d'ici 2013 et 3 500 au maximum lors de la production vers 2017.

Premières commandes et prototype

Lufthansa a signé en une lettre d’intérêt prévoyant jusqu’à soixante avions, incluant trente options[3]. L'annonce de la signature de la première commande ferme a été faite le . Le transporteur allemand Lufthansa y commande trente avions et prend des options sur trente autres appareils, comme dans la lettre d'intention. La filiale de Lufthansa, SWISS, exploitera ces avions. L'entente est d'une valeur de près de deux milliards de dollars US[4]. Bombardier Aéronautique a également annoncé l'adoption de nouvelles désignations de modèles pour cette gamme d'avions : l'appareil de 110 places, connu antérieurement sous le nom de C100 et l'appareil de 130 places devient le CS300[4].

Le véhicule d'essai en vol de la CSeries CS100 (FTV1) hors de l'usine en juin 2013.

Le , la première section de fuselage fabriquée en Chine est arrivée à l'usine Canadair de Saint-Laurent. Elle permettra de tester la résistance des nouveaux matériaux qui seront utilisés dans la construction de l'appareil, dont l'aluminium-lithium (en), produit par Constellium, qui sera utilisé pour le fuselage central. Cet alliage est à la fois plus léger et plus résistant que l'aluminium traditionnellement utilisé. Pour tester sa rigidité, Bombardier simulera l'équivalent de 180 000 vols, trois fois la vie normale d'un appareil[5]. Le , Bombardier Aéronautique lance les travaux de construction de ses nouvelles installations pour ses avions CSeries à Mirabel[6].

En , la société nord-américaine Republic Airways Holdings a décidé d'acquérir quarante CSeries[7]. Cela a porté à 90 le nombre de commandes fermes, avec autant en option.

En , juste avant et durant le Salon du Bourget, Bombardier a annoncé la vente de plusieurs appareils de la CSeries. D'abord le , l'achat de dix appareils et dix options par la compagnie suédoise Braathens Aviation fut annoncé, une commande d'environ 665 millions de dollars US[8]. Puis le , ce fut l'acquisition de trois avions CS100 et la signature de trois options supplémentaires par une société qui a voulu garder l'anonymat[9]. Le , ce fut une commande de dix avions CS100 avec 6 options supplémentaires pour un autre transporteur qui a voulu garder l'anonymat, ce dernier sera le premier à recevoir le nouvel appareil parmi tous les acheteurs[10]. On apprendra le , qu'il s'agit de Gulf Air[11]. Le , Korean Air signa une lettre d'intention d'achat pour dix avions CS 300 avec dix options et dix droits d'achat supplémentaire, toujours pour des CS300[12]. Cette lettre d'intention a été transformée en commande ferme le [13]. Le , une autre commande de dixCS100, par un client qui a désiré garder l'anonymat, fut annoncée[14]. Finalement, le , le transporteur turc Atlasjet Airlines a signé une lettre d'intention portant sur dix appareils CS300 ainsi que sur cinq options supplémentaires[15].

En 2012, le la société aérienne suisse PrivatAir a commandé cinq appareils CS100 ainsi que cinq options[16]. Le , à la veille du salon aéronautique de Farnborough, Bombardier annonça une lettre d'intention d'achat conditionnelle provenant d'un client qui a voulu garder l'anonymat portant sur cinq appareils CS100, dix CS300 accompagnée de quinze options[17]. Le , le transporteur letton AirBaltic a signé un lettre d'intention sur l'achat de dix appareils CS300 assortie de dix options supplémentaires[18]. Cette lettre d'intention est transformée en commande ferme le [19].

Le , Air Canada a annoncé la signature d'une lettre d'entente portant sur 45 commandes fermes de CS300 et 30 options, certaines commandes pourraient être converties en appareils CS100 de plus petite taille. Les livraisons doivent débuter à la fin de 2019 et s'échelonner jusqu'en 2022. Les appareils remplaceront une partie des 45 avions E190 d'Embraer du parc aérien actuel et permettront à Air Canada d'accroître son réseau. La commande est la plus importante jusqu'ici pour la CSeries. C'est aussi la troisième d'une compagnie aérienne d'envergure (après SWISS et Korean Air) et la première d'un transporteur nord-américain majeur[20].

Le , Delta annonce une commande ferme de 75 appareils CS100, assortie d'une option pour 50 de plus, dans le cadre de ce qui est la plus importante commande pour Bombardier à cette date[21].

À la suite de la prise de participation majoritaire d'Airbus en , l'appareil de 110 places, connu antérieurement sous le nom de CS100, devient l'Airbus A220-100 et l'appareil de 130 places CS300 devient l'Airbus A220-300[4].

Le , Air France passe une commande ferme de 60 A220-300, avec une option pour 30 appareils de plus, afin de remplacer les A318 et A319[22]. Elle fait part à plusieurs reprises de son intention d'acheter des A220-500 si le projet est concrétisé [23].

Vol inaugural et essais

Le , Bombardier annonce que l'assemblage final a commencé. Le premier véhicule d’essai s'appelle FTV1[24]. Finalement, le , un client provenant des Amériques, qui a souhaité gardé l'anonymat, a signé une lettre d'intention pour douze appareils CS100 accompagnée de douze options supplémentaires[25]. Le , ce client se révéla être Porter Airlines qui convertit sa lettre d'intention en une commande conditionnelle[26].

Le vol inaugural du premier appareil, qui devait avoir lieu à la fin , a été reporté deux fois. Le , le premier essai de roulement au sol a été exécuté[27] et Bombardier a promis à cette occasion de tenir le premier vol quelques semaines plus tard[28]. Promesse tenue puisque le premier vol du CS100 a finalement eu lieu le lundi à l'aéroport international Montréal-Mirabel[29]. Quant à la version CS300, le vol inaugural s'est déroulé le [30].

Le après 3 000 heures de vol d'essais, le CS100 a reçu sa certification de type des mains de l'autorité canadienne Transports Canada[31]. La certification par la FAA et l'AESA est annoncée le , ouvrant la voie aux premières livraisons.

Problèmes financiers

Le coût du programme de développement de la CSeries a dépassé l'estimation initiale ; les essais se sont prolongés et les commandes ont tardé à se concrétiser face à la concurrence tenace des deux géants Boeing et Airbus. Pour sauver le programme, le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de 1,3 milliard de dollars canadiens (1 milliard $US) le , en échange d'une participation de 49,5 % dans ce programme, après une perte de 4,6 milliards de dollars $US au troisième trimestre 2015 chez Bombardier[32].

Le , le département du Commerce des États-Unis (DOC) imposa des droits compensatoires préliminaires de près de 220 % aux appareils CSeries à la suite d'une requête de l'avionneur Boeing, bien que ce dernier n'ait pas d'appareil dans ce créneau, ni même soumissionné pour la vente de tels appareils à Delta Air Lines, profitant de la ferveur protectionniste créée par le président Donald Trump pour se défaire d'un compétiteur potentiel[33].

Le , Airbus annonça l'acquisition d'une majorité des parts de la Série-C de Bombardier. Airbus détiendra 50,01 % du programme tandis que Bombardier et le gouvernement du Québec auront respectivement environ 31 % et 19 %. L'entente prévoit une garantie pour le maintien au Québec du siège social de la CSeries, jusque-là détenue conjointement par Québec et Bombardier, ainsi que de l'assemblage final réalisé à Mirabel. Une deuxième ligne d'assemblage final serait mise sur pied à Mobile, en Alabama, afin de fournir les clients américains, permettant ainsi d'éviter les droits compensatoires et antidumping que souhaite imposer le gouvernement américain sur le programme[34].

Le , l'USITC (United States International Trade Commission) a unanimement déclaré illégaux les droits compensatoires et antidumping de 292 % que le ministère du Commerce souhaitait imposer[35]. Par ce jugement et son association avec Airbus, les commandes ont pu reprendre et le , Bombardier annonçait qu'AirBaltic avait acheté 30 avions CS300, et pris 30 options, au prix catalogue de 2,9 milliards de dollars US[36].

En février 2020, Airbus annonce l'acquisition de la participation restante de 25 % de Bombardier dans le programme A220, passant sa participation à 75 %, pour 591 millions de dollars canadiens, le reste demeurant la possession de la province de Québec[37].

Acquisition par Airbus

Le , Bombardier vend la famille CSeries à Airbus pour la somme de 600 millions dollars canadiens. Dès lors, Airbus détient 75 % de la compagnie et le gouvernement du Québec en détient 25 %. Cette vente libère Bombardier de ses dettes avec Boeing. Consolidé, le programme retrouve le succès.

Fin 2021, il est envisagé le lancement d'une nouvelle version allongée (-500) d'environ 180 passagers proche de l'A320neo[38]. Bombardier avait déjà prévu le coût de faire un avion similaire. L’avion devait s’appeler CS500, 165 places serait le total pour le modèle -500. Une différence de 15 places entre Bombardier et Airbus.

Commandes et livraisons

Le , Bombardier livre le premier CS100 à la compagnie de lancement SWISS après un convoyage depuis le Canada. Il est entré en service le entre l'aéroport international de Zurich et Paris Charles de Gaulle[39] puis vers d'autres destinations européennes[40].

Commandes et livraisons par année[41],[42]

Type Commandes fermes 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023 2024* Total livrés Reste à livrer
A220-100 102 5 3 4 25 10 3 6 3 1 60 42
A220-300 812 2 14 29 23 28 47 47 65 11 266 546
Total 914 7 17 33 48 38 50 53 68 12 326 588

*au 31.03.2024

Commandes fermes[42]
Compagnies aériennes A220-100 A220-300
Air Austral 3
Air Baltic 80
Air Canada[20] 60
Air France 60
Air Niugini 6
Air Tanzania 4
Air Vanuatu[43] 2 1
Breeze Airways 90
Delta Airlines[44] 45 100
Egyptair 12
Ibom Air 10
Iraqi Airways 5
ITA Airways 7
JetBlue Airways 100
Korean Air 10
Lufthansa 40
Odyssey Airlines 10
Qantas Airways 29
Swiss International Air Lines 9 21
Loueurs d'avions A220-100 A220-300
Air Lease Corporation 9 67
Aviation Capital Group 20
Azorra Aviation 22
Carlyle Aviation Partners 1
Griffin Global Asset Management 6
GTLK 6
Ilyushin Finance Co. 14
Macquarie AirFinance 26
Nordic Aviation Capital 5 15
Divers A220-100 A220-300
Gouvernements et privés 9 2
Acheteur non dévoilé 8
Total 102 812

Caractéristiques

CSeries CS100 (HB-JBA) de SWISS.
Exemple d'aménagement de cabine.
A220-100 A220-300
Passagers 108 (mixte)
120 (standard)
133 (haute densité)
130 (mixte)
140 (standard)
160 (haute densité)
Intervalle entre rangées (cm) 81 à 91 (mixte) - 81 (standard) - 71 (haute densité)
Largeur des sièges (cm) 46 et 48 (5 sièges de front) et 53 (4 sièges de front)
Équipage 2 (commandant de bord, copilote)
Longueur (m) 34,9 m 38,7 m
Envergure 35,1 m
Surface des ailes (net) 112,3 m2
Hauteur 11,5 m
Diamètre du fuselage 3,70 m
Masse maximale au décollage 60 781 kg 67 585 kg
Masse maximale à l'atterrissage 50 576 kg 58 740 kg
Volume de fret 23,7 m3 31,6 m3
Distance franchissable 5 741 km 6 112 km
Volume des réservoirs 22 038 l 21 277 l
Vitesse de croisière maximale Mach 0,82 (870 km/h)
Vitesse de croisière typique Mach 0,78 (828 km/h)
Distance de décollage au poids maximum 1 463 m 1 890 m
Longueur d'atterrissage 1 387 m 1 509 m
Plafond 12 497 m
Moteurs 2 x Pratt & Whitney PW1500G
Poussée par moteur 103,6 kN

Selon le site de Bombardier Aéronautique[45] :

Type d'appareils
  • Avion moyen courrier avec les réacteurs double-flux sous les ailes principales.
Architecture
  • Ailes fixes
  • Commande de vol électronique
  • Réacteurs double-flux
  • Allée centrale simple
Autonomie et consommation de carburant
  • Consommation de carburant réduite de 20 % par rapport à la moyenne des appareils de même format en 2009 ;
  • 20 % moins de CO2 et 50 % moins de NOx ;
  • Autonomie de 1 800 à 2 950 milles marins, soit 3 330 à 5 460 km.

Principaux fournisseurs

L'appareil CSeries de Bombardier devenu l'A220 est comme un énorme puzzle dont les pièces sont fabriquées dans une dizaine de pays selon les prévisions de 2009 données ici. Le fuselage central est fabriqué par Shenyang Aircraft Corporation à Shenyang en Chine. Le poste de pilotage et l'empennage seront fabriqués par Bombardier à Saint-Laurent. Les ailes sont fabriquées par Bombardier à Belfast. Pratt & Whitney fournit les moteurs et l'assemblage final de l'avion se fait à Mirabel[5] dont Airbus s’est engagé à maintenir les activités au moins jusqu’en 2041. En , l'usine Airbus de Mobile (Alabama) aux États-Unis commence à produire des A220 destinés au marché de ce pays. La chaîne de montage compterait 400 personnes et les livraisons débuteront en 2020 selon les prévisions de 2018[46]. Le , Airbus inaugure la ligne d'assemblage final de l'A220 de Mobile qui étaient auparavant réalisés dans un bâtiment initialement destiné à la famille A320[47].

Voici la liste des fournisseurs en 2009[5] :

Lieux d'assemblages

Historiquement, ces avions sont assemblés à Mirabel, près de Montréal, au Canada.

Cependant, à la suite du rachat du programme par Airbus, une seconde chaîne a été installée à Mobile, en Alabama aux États-Unis[50],[51].

Notes et références

  1. Transport Canada Aviation Civile, Certificats émis en ligne - A236 diffusion 16 - Transport Canada Civil Aviation, Type Certificate Data Sheet A-236 issue 16
  2. Oliver James, « Airbus intronise dans sa flotte le CSeries, rebaptisé A220 », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Marie Tison de La Presse, « Jusqu'à 3 500 nouveaux emplois grâce à la CSeries », Cyberpresse, (consulté le )
  4. a b et c « Première commande ferme pour la CSeries », Économie, Radio-Canada, (consulté le )
  5. a b et c « Le CSeries, pièce par pièce », Économie, Radio-Canada, (consulté le )
  6. Katia Germain d'ARGENT, « CSeries : Bombardier lance ses travaux à Mirabel »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Canoë (consulté le )
  7. Martin Jolicoeur, « CSeries de Bombardier: tonnerre d'applaudissements des analystes », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. Éric Desrosiers, « Enfin un contrat pour la CSeries! : Bombardier annonce une commande pour au moins 10 appareils », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Bombardier vend trois autres CSeries », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Martin Jolicoeur, « CSeries: 10 nouvelles commandes pour Bombardier », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Bombardier confirme que Gulf Air est un des clients de la CSeries », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. Martin Jolicoeur, « CSeries: Bombardier s'entend avec Korean Air », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « CSeries: commande de Korean Air », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. « CSeries : un 8e client », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « CSeries: commande de 776 M$ US », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Martin Jolicoeur, « Bombardier vend cinq nouveaux CSeries », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. « Bourse: Bombardier en légère hausse après une importante commande », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. « Bombardier: lettre d'intention pour vendre jusqu'à 20 CSeries », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Caroline Burneau, « CSeries : un beau cadeau pour Bombardier », Air et Cosmos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. a et b Sylvain Larocque, « C Series: Air Canada donne une bouffée d'oxygène à Bombardier », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Québecor Média, « Delta commande 75 avions CSeries à Bombardier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur fr.canoe.ca (consulté le ).
  22. « Air France-KLM commande 60 A220–300 à Airbus pour 4,7 milliards d’euros », Sud Ouest, (consulté le ).
  23. « Air France pousse pour un Airbus A220-500 », sur Air et Cosmos (consulté le ).
  24. François Duclos, « Bombardier débute l’assemblage du CSeries », Air Journal,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Martin Jolicoeur, « Bombardier pourrait vendre 30 CSeries de plus », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. « Bombardier confirme l'entente avec Porter », Les Affaires,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. « Site officiel de la C-Series », sur Bombardier Aéronautique, (consulté le )
  28. « Le vol inaugural de l’avion CSeries de Bombardier aura lieu au cours des prochaines semaines », Communiqué de presse, sur Bombardier Aéronautique, (consulté le )
  29. Elodie Vallerey, « Le CSeries de Bombardier s'envole pour la première fois », sur L'Usine Nouvelle, (consulté le )
  30. Marie Tison, « Le CS300 s'envole », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. Joël Ricci, « Le CS100 de Bombardier certifié au Canada », Air Journal, (consulté le )
  32. Maxime Bertrand, « Québec investit 1 milliard $US dans Bombardier », (consulté le ).
  33. Julien Arsenault, La Presse Canadienne, « C Series: décision écrasante contre Bombardier », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Jean-François Codère, « Airbus s'allie à Bombardier pour la C Series », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Jean-François Codère, « Victoire de Bombardier contre Boeing, l'action grimpe de 16% », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Agence QMI, « Une nouvelle commande pour la C Series », Nouvelles, TVA,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. (en) Sudip Kar-Gupta, « Airbus, Quebec to buy out Bombardier's A220 stake », sur Reuters, .
  38. François Duclos, « Airbus A220-500 : très probable selon Airbus* », sur air-journal.fr, (consulté le )
  39. François Duclos, « Le Bombardier CS100 entre en service chez Swiss », sur air-journal.fr, (consulté le ).
  40. Agence France-Presse, « Bombardier remet à SWISS le premier CSeries », Le Journal de Montréal,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. (en) « Orders and deliveries », sur Airbus, (consulté le ).
  42. a et b [1] [PDF]
  43. « Airbus reçoit une commande ferme d'Air Vanuatu pour quatre A220 » (consulté le )
  44. « Delta Air Lines and Bombardier Sign Largest C Series order for up to 125 Aircraft - Bombardier », sur www.bombardier.com (consulté le ).
  45. « Gamme CSeries », Bombardier, (consulté le )
  46. (en) François Desjardins, « Pourquoi Airbus tient-elle autant à l’Alabama? », sur Le Devoir, (consulté le ).
  47. Émile Drab, « Airbus inaugure sa ligne d'assemblage A220 à Mobile », sur Le journal de l'aviation, (consulté le ).
  48. « La passion de la précision : La liste des clients et des produits est impressionnante », Asco (consulté le ).
  49. « Safran », sur ttps://www.zodiacaerospace.com/ (consulté le ).
  50. Alexandre Boero, « Airbus a inauguré une ligne d'assemblage pour ses A220 aux États-Unis », sur Clubic.com, (consulté le )
  51. Arnaud, « Airbus livre le premier avion de ligne A220 fabriqué aux États-Unis. », sur avionslegendaires.net, (consulté le )

Voir aussi

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Article connexe

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