« Malmy » : différence entre les versions
→Administration : suite à cette discussion + diverses corrections, remplacement: 1{{er}} → {{1er}} avec AWB |
homonymie |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Voir homonymes|Malmy (Ardennes)}} |
|||
{{Ébauche|commune de la Marne}} |
{{Ébauche|commune de la Marne}} |
||
Version du 21 juillet 2013 à 17:20
Malmy | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Sainte-Menehould |
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton de Ville-sur-Tourbe |
Maire Mandat |
Philippe Courot 2008-2014 |
Code postal | 51800 |
Code commune | 51341 |
Démographie | |
Population municipale |
35 hab. (2014) |
Densité | 7,2 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 10′ 36″ nord, 4° 48′ 43″ est |
Superficie | 4,83 km2 |
Élections | |
Départementales | Ville-sur-Tourbe |
Localisation | |
modifier |
Malmy est une commune française, située dans le département de la Marne et la région Champagne-Ardenne.
Géographie
Économie
Histoire
Le au matin, lors de la bataille de France, Malmy est défendu par les Français du 2e escadron du 12e régiment de chasseurs aux ordres du capitaine Ethuin, ils sont attaqués à 9h30 par les Allemands de la Kampfgruppe Nedtwig (commandée par Johannes Nedtwig, c'est un groupement tactique de la 1. Panzer-Division de Friedrich Kirchner) depuis la rive droite du canal des Ardennes mais parviennent, malgré les importantes forces qui leurs sont opposés, à repousser l'attaque[1]. Les Allemands de la Kampfgruppe Krüger ont néanmoins pris le pont d'Omicourt, et prennent de flanc les Français qui se replient alors vers Vendresse, non sans pertes malgré la couverture de deux automitrailleuses du 5e régiment d'automitrailleuse[1]. Elles décrochent à leur tour, laissant le pont de Malmy en état aux Allemands de Nedtwig, ce qui avec celui d'Omicourt permet à Heinz Guderian (chef du XIX. Armee-Korps (mot.)) de faire attaquer la 1. Panzer-Division vers l'ouest en passant sur la rive droite du canal des Ardennes[1]. La situation n'est néanmoins pas si simple pour les Allemands car les ponts restent soumis au feu des canons français du II/78e régiment d'artillerie depuis Omont pendant quelque temps[1].
Administration
Démographie
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
Sources
Notes
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 314-315
- Liste des maires de la Marne au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008