Monarchie cambodgienne

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Le roi du Cambodge (en khmer : ព្រះមហាក្សត្រនៃកម្ពុជា) est le chef de l'État du Cambodge. L'actuel royaume est le lointain héritier des royaumes pré-Angkoriens comme le Fou-nan et le Chenla. Il a connu sa plus grande expansion à l'époque de l'Empire khmer, constitué autour de sa capitale Angkor avant d'entrer au XIVe siècle dans une période de déclin et d'être progressivement amputé de ses dépendances extérieures puis de nombreuses provinces par ses puissants voisins du nord, le Lan Xang, et de l'ouest, le Siam, et enfin de l'est, l'Annam.

Roi du Cambodge
(km) ព្រះមហាក្សត្រនៃកម្ពុជា
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Armes royales du Cambodge.

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Étendard royal du Cambodge

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Titulaire actuel
Norodom Sihamoni
depuis le
(20 ans et 15 jours)

Création Ier siècle
(rétablissement)
Titre Sa Majesté
Mandant Conseil du Trône
Durée du mandat Permanent
Abrogation Du au
Premier titulaire Soma
Résidence officielle Palais royal (Phnom Penh)
Site internet norodomisihamoni.org

Liste des chefs d'État du Cambodge

Avec l'indianisation de la péninsule Indochinoise à partir du IIe siècle, le monarque, jusqu'alors considéré comme l'incarnation sur terre des génies du sol, devient l'intermédiaire entre ses divinités et ces sujets. À ce titre, c’est lui qui affecte les terrains vacants et gère en dernier recours les conflits fonciers. Il en va de même dans les domaines juridiques où il représente la plus haute instance et législatif où ses déclarations ne font pas seulement office de lois mais aussi de textes sacrés consignés dans des Véda. Toutefois ce pouvoir absolu ne s’applique aux royaumes périphériques inclus dans l’empire khmer que de manière épisodique en fonction du charisme et de la puissance du souverain[1].

L'avènement du bouddhisme theravāda au XVe siècle introduira un volet moral aux prérogatives royales. Mais contrairement à la doctrine prêchée par Siddhartha Gautama qui veut que les erreurs commises par un mortel soient expiées dans ses vies ultérieures, les actes d’immoralité des souverains déclenchent des cataclysmes dans le royaume. Les monarques doivent alors procéder à des cérémonies de contrition pour calmer la colère des dieux et faire revenir la prospérité sur les territoires où ils règnent s’ils ne veulent pas être déposés[2].

Le roi occupe de ce fait une place prééminente pour garantir l’harmonie entre les divinités et ses sujets qui en retour lui vouaient, il y’a encore moins d’un siècle, une totale obéissance. Toutefois, si le souverain s'avère incapable de protéger son royaume contre les fléaux de toutes sortes, la dévotion s’estompe rapidement et des prétendants au trône affirmant avoir l'oreille des dieux ne tardent pas à s’affirmer. L'histoire du Cambodge est ainsi émaillée de dépositions de souverains que des observateurs occidentaux pourraient assimiler à des périodes de troubles alors que pour les Cambodgiens il ne s'agissait que de changer un monarque qui, en ne pouvant plus intercéder en leur faveur auprès des dieux, ne remplissait plus son rôle. Pour eux les désordres étaient plus liés aux périodes de vacance du trône qu'à celles où ses titulaires étaient remplacés[3].

Même si de nos jours la Constitution de 1993 fait du Cambodge une monarchie constitutionnelle où le roi « règne mais ne gouverne pas »[4], ce dernier continue de jouer un rôle prépondérant dans ces croyances populaires héritées des époques anciennes qui avec le temps se sont superposées sans vraiment s'annihiler et qui sont encore bien vivaces, notamment dans les campagnes[1].

Toutefois, si le roi conserve une totale immunité, aussi bien sur le plan civil que pénal[4], il se doit de remplir son rôle dans le respect de la constitution[5].

Ainsi, s'il doit être informé de la conduite des affaires publiques et convoque en audience deux fois par mois le gouvernement[6], la composition de ce dernier incombe au Premier ministre et doit être approuvée par au moins la moitié des membres de l’Assemblée nationale. Le chef de l’exécutif est bien pour sa part désigné par le souverain, mais la Constitution impose qu'il soit choisi parmi les députés du parti ayant remporté les élections[7]. Le roi doit également signer tous les Kret (« décrets »), mais ils doivent émaner du Conseil des ministres[8], de même que la nomination des hauts fonctionnaires[9].

Concernant l'Assemblée, c'est lui qui la convoque au début de chaque législature[10] et il est le seul mandaté à prononcer sa dissolution sur proposition du Premier ministre et après accord de son président[11]. Il signe également les Kram (« lois ») votés[8] et peut adresser des messages au Parlement qui ne peut faire l’objet d’un débat[12].

Il peut aussi saisir le Conseil constitutionnel pour vérifier la conformité d’une loi en projet[13] ou déjà adoptée[14] ou consulter cet organe – dont il nomme trois des neuf membres[15] – pour tout projet de réforme des institutions[16], qu’elle soit initiée par le Premier ministre, le président de l’Assemblée nationale ou de son propre chef[17].

En tant que commandant suprême des forces armées[18], il préside le haut conseil de la défense nationale. À ce titre, il est le seul habilité à déclarer la guerre – après toutefois approbation des deux chambres du Parlement[19] – ou l'état d'urgence, après avis du Premier ministre et des présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale[20].

En politique étrangère, c'est lui qui a la charge de recevoir les lettres de créance des ambassadeurs[21] et de signer les traités internationaux une fois ceux-ci ratifiés par les deux chambres[22].

Sur le plan judiciaire, en tant que président du Conseil supérieur de la magistrature[23], il signe tous les actes « de nomination, de mutation ou de révocation » des juges et procureurs[9]. Il bénéficie également du droit de grâce ou de commutation des peines prononcées par les tribunaux[24].

Le roi décerne également les titres honorifiques (Samdech)[25] et préside le congrès national qui se réunit une fois par an à l’invitation du premier ministre[26], permettant « aux citoyens de s'informer directement des diverses affaires d'intérêt national, de soulever des problèmes et de soumettre des vœux aux autorités de l'État »[27].

Parmi ses rôles de monarque constitutionnel figure aussi celui d'être l'arbitre « suprême pour garantir le fonctionnement régulier des pouvoirs publics »[28]. C’est à ce titre qu’il intervient par exemple après chaque élection législative, lorsque la contestation des résultats crée une crise qui bloque les institutions[29].

La couronne cambodgienne quant à elle n'est pas héréditaire mais élective. Le nouveau roi est désigné par le Conseil du trône, de nos jours constitué du Premier ministre, des chefs des ordres Maha Nikaya et Dhammayuttika Nikaya ainsi que des président et vice-présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat. Le Conseil se réunit dans la semaine suivant la mort ou l’abdication du roi pour en désigner un nouveau parmi des candidats d’ascendance royale. Durant ce laps de temps, ou en cas de maladie grave du roi attestée par des médecins nommés par le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale, la régence est assurée par le président du Sénat ou, si celui-ci est également dans l’impossibilité d'exercer cette mission, par le président de l'Assemblée nationale[30].

Royaume du Fou-nan

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Dynastie founanaise, Ire dynastie (Vayadhapura)

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Ordre Roi Nom personnel Règne
01 Soma Liǔyè 柳葉
(Neang Neak)
Tôt au Ier siècle
02 Kaundinya I Hùntián 混塡
(Preah Tong)
68- fin du Ier siècle
03 Inconnu Hùnpánkuàng 混盤況 IIe siècle
04 Inconnu Hùnpánkuàng (km) IIe siècle
05 Inconnu Pánpán (km) 盤盤 début du IIIe siècle
06 Srei Meara Fàn Shīmàn 范師蔓 205–225
07 Inconnu Fàn Jīnshēng (km) 范金生 225
08 Inconnu Fàn Zhān (km) 范旃 225-240
09 Inconnu Fàn Xún (km) 范尋 240-287
10 Inconnu Inconnu après 287
11 Inconnu Tiānzhú Zhāntán 旃檀 IVe siècle
12 Inconnu Inconnu IVe siècle
13 Kaundinya II (km) Qiáochénrú 僑陳如 Ve siècle-434
14 Srindravarman I (km) Chílítuóbámó 持梨陀跋摩 434–435
15 Inconnu Inconnu Inconnu
16 Inconnu Inconnu Inconnu
17 Jayavarman Kaundinya Shéyébámó 僑陳如闍耶跋摩 484–514
18 Rudravarman Liútuóbámó 留陁跋摩 514–550
Guerre Fou-nan-Chenla: 550–627
19 Sarvabhauma Inconnu 550-?
20 Inconnu Inconnu 550–627

Ses successeurs deviennent vassaux du Royaume du Chenla. Ils fuient vers l'Indonésie où ils établirent la dynastie Sailendra.

  • À Java : la famille issue des Sailendra, les Sanjaya régna sur Java en fondant le Royaume de Mataram au VIIIe siècle, après avoir renversé la famille régnante à Kalingga pour régner, de 674 jusqu'à sa chute. S'ensuit la fuite de la famille pour fonder Mataram en 732.
  • À Sumatra : Balaputra, prince héritier du royaume de Mataram accède au pouvoir du royaume de Sriwijaya. La dynastie Sailendra de Sriwijaya va subsister jusqu'en 1025, date à laquelle les Chola d'Inde méridionale capturent Sriwijayapura.
  • À Bali : de 914 à 947, menacés par la famille Isyana, les Sanjaya partent pour Bali et fondent la dynastie Warmadewa où ils instaurent l'Hindouisme religion d'état. En 914, Sri Kesari Warmadewa proclame le royaume à Bali. Les Warmadewa deviennent les Jaya en 1133, nom dynastique conservé jusqu'à la mort de Sri Astasura Ratna Bumi Banten en 1337, et la conquête par l'empire de Majapahit en 1343.

Royaume du Chenla

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Dynastie du Chenla, IIe dynastie (Sambor Prei Kuk)

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Le royaume du Chenla correspond à la domination chinoise de la péninsule indochinoise. (En khmer, chen, chinois, et la, départ).[réf. nécessaire]

En 800, le Cambodge est occupé par les Malais de Java.

Empire khmer

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Dynastie du Chenla de Terre, continuité de la dynastie précédente (Vat Phou)

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Dynastie de Mahidharapurâ, IIIe dynastie (Phnom Rung)

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Angkor est officiellement abandonnée comme résidence royale en 1431.

Royaume du Cambodge

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La liste des souverains du royaume du Cambodge ci-après a été établie à partir des « Chroniques Royales » souvent compilées tardivement jusqu’au XVIIIe siècle[note 1]. Si les versions des événements qu’elles rapportent sont globalement cohérentes les chronologies enregistrent des différences parfois notables d'une dizaine d'années.

Par ailleurs les rois sont nommés; par leur nom personnel « Cau Bana Tan », « Ang Em » , leurs noms de règne sous sa forme khmère « Preah Thommo Reachea V » « Barom Reacha V » ou sanskrite « Sri Dharmaraja V », « Paramaraja V ». De plus des membres de la famille royale soutenus par les cours voisines et rivales du Siam ou du Viêt Nam sont considérés par les divers documents comme des prétendants, des régents ou même de véritables souverains. Les rois et reines suivants sont tous issus de la IIIe dynastie.

Monarque Dates Personnelles Dates de Règne
Ponhea Yat 1396-1471 1417-1462
Noreay Ramathuppdey ????-1468 1462-1468
Reachea Ramathuppdey ????-1484 1468-1477
Soriyoteï II ????-1479 1472-1477
Thommo Reachea Ier 1446-1494 1474-1494
Damkhat Sokonthor 1473-1512 1504-1512
Neay Kan (usurpateur) 1476-1529 1512-1529
Ang Chan Ier 1486-1566 1516-1566
Barom Reachea Ier 1510-1576 1566-1576
Satha Ier 1539-1596 1576-1596
Chey Chettha Ier 1575-1596 1584-1596
Preah Ram Ier (usurpateur) ????-1596 1594-1596
Ram II (usurpateur) ????-1597 1596-1597
Barom Reachea II 1579-1599 1597-1599
Barom Reachea III 1554-1600 1599-1600
Kaev Hua Ier 1573-1611 1600-1602
Barom Reachea V 1548-1619 1603-1618
Chey Chettha II 1573-1627 1618-1627
Outey (Régent) 1577-1642 1627-1642
Thommo Reachea II 1602-1632 1627-1632
Ang Tong Reachea 1602-1640 1630-1640
Batom Reachea Ier 1615-1642 1640-1642
Ramathipadi Ier 1620-1659 1642-1659
Barom Reachea VI 1628-1672 1658-1672
Chey Chettha III 1639-1673 1672-1673
Kaev Hua II 1652-1677 1673-1674
Ang Nan (Régent) 1654-1691 1674-1675
Chey Chettha IV (1er règne) 1656-1725 1675-1695
Outey Ier 1672-1696 1695-1696
Chey Chettha IV (2e règne) 1656-1725 1696-1699
Ang Em (1er règne) 1674-1731 1699-1701
Chey Chettha IV (3e règne) 1656-1725 1701-1702
Thommo Reachea III (1er règne) 1690-1747 1702-1704
Chey Chettha IV (4e règne) 1656-1725 1704-1707
Thommo Reachea III (2e règne) 1690-1747 1707-1710
Ang Em (2e règne) 1674-1731 1710-1722
Satha II (1er règne) 1702-1749 1722-1729
Ang Em (3e règne) 1674-1731 1729-1730
Satha II (2e règne) 1702-1749 1730-1738
Thommo Reachea III (3e règne) 1690-1747 1738-1747
Thommo Reachea IV 1706-1748 1747-1747
Ang Tong (Régent) 1692-1757 1747-1749
Satha II (3e règne) 1702-1749 1749-1749
Chey Chettha V 1709-1755 1749-1755
Ang Tong (Régent) 1692-1757 1755-1757
Outey II 1739-1777 1758-1775
Ang Non II 1739-1779 1775-1779
Ang Eng 1772-1796 1779-1796
Pok (Régent) ????-1806 1796-1806
Ang Chan II 1792-1834 1806-1834
Ang Mey 1815-1874 1834-1841
Ang Duong (1er règne) 1796-1860 1841-1844
Ang Duong (2e règne) 1796-1860 1845-1859
Norodom Ier 1834-1904 1859-1904
Sisowath 1840-1927 1904-1927
Sisowath Monivong 1875-1941 1927-1941
Norodom Sihanouk (1er règne) 1922-2012 1941-1955
Norodom Suramarit 1896-1960 1955-1960
Sisowath Kossamak 1904-1975 1960-1970
Norodom Sihanouk (2e règne) 1922-2012 1993-2004
Norodom Sihamoni 1953- 2004-

Notes et références

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  1. Ces Chroniques Royales ont été traduites en français dès le XIXe siècle par Jean Moura (1827-1885), Adhémard Leclère (1853-1914) et Francis Garnier, elles sont publiées par l’École française d’Extrême-Orient

Références

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  1. a et b Jean-Marie Crouzatier, Transitions politiques en Asie du Sud-Est : les institutions politiques et juridictionnelles du Cambodge, Toulouse, Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole, , 182 p. (ISBN 9782361701048, présentation en ligne), partie I, chap. 1 (« Un destin idéalisé - L'empire khmer mythifié »), p. 24-25
  2. Marie-Alexandrine Martin, Le mal cambodgien : histoire d'une société traditionnelle face à ses leaders politiques, 1946-1987, vol. 4, Hachette, coll. « Histoire des gens », , 304 p. (ISBN 978-2-01-012251-4), p. 76-91
  3. Alain Forest, Le Cambodge et la colonisation française : Histoire d'une colonisation sans heurts (1897 - 1920), vol. 1, Éditions L'Harmattan, coll. « Centre de documentation et de recherches sur l'Asie du Sud-Est et le monde insulindien », , 546 p. (ISBN 9782858021390), chap. III (« Le roi, les génies et le Bouddha »), p. 39-42
  4. a et b Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 7
  5. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XV (« De la portée, de la révision et de l'amendement de la Constitution »), article 150
  6. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 20
  7. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. X (« Du gouvernement royal »), article 119
  8. a et b Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 28
  9. a et b Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 21
  10. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. VII (« De l'Assemblée nationale »), article 82
  11. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. VII (« De l'Assemblée nationale »), article 78
  12. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 18
  13. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 140
  14. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 141
  15. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 137
  16. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 143
  17. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XV (« De la portée, de la révision et de l'amendement de la Constitution »), article 151
  18. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 23
  19. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 24
  20. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 22
  21. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 25
  22. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 26
  23. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XI (« Du pouvoir judiciaire »), article 134
  24. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 27
  25. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 29
  26. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XIV (« Du Congrès national »), article 148
  27. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. XIV (« Du Congrès national »), article 147
  28. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), article 9
  29. Jean-Marie Crouzatier, Transitions politiques en Asie du Sud-Est : les institutions politiques et juridictionnelles du Cambodge, Toulouse, Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole, , 182 p. (ISBN 9782361701048, présentation en ligne), partie II, chap. 3 (« Un régime politique ambigu - Un parlementarisme déséquilibré »), p. 105
  30. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008 (lire sur Wikisource), chap. II (« Du roi »), articles 11 à 13

Annexes

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Articles connexes

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Lien externe

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Bibliographie

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  • Chroniques royales du Cambodge de 1417 à 1595. École française d'Extrême-Orient, Paris 1988 (ISBN 2855395372).  
  • Chroniques royales du Cambodge de 1594 à 1677. École française d'Extrême-Orient, Paris 1981 (ISBN 2855395372).  
  • George Cœdès, Les États hindouisés d'Indochine et d'Indonésie Paris 1964.  
  • Achille Dauphin-Meunier, Histoire du Cambodge, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? n° 916 », .  
  • Anthony Stokvis, Manuel d'histoire, de généalogie et de chronologie de tous les États du globe, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, préf. H. F. Wijnman, éditions Brill , Leyde 1888, réédition 1966, Volume I, Part 1: Asie, chapitre XIV §.9 « Kambodge » et tableau généalogique n° 34 p. 336-339.  
  • (en) & (de) Peter Truhart, Regents of Nations, K. G Saur Munich, 1984-1988 (ISBN 359810491X), Art. « Kampuchea », p. 1729-1733.  
  • Bernard-Philippe Groslier avec la collaboration de C. R. Boxer. Angkor et le Cambodge au XVIe siècle d'après les sources portugaises et espagnoles. Presses universitaires de France (Paris) 1958.  
  • Adhémard Leclère Histoire du Cambodge depuis le Ier siècle de notre ère, d'après les inscriptions lapidaires : les annales chinoises et annamites et les documents européens des six derniers siècles. Éditeur P. Geuthner, 1914.
  • Jean Moura Le royaume du Cambodge deux tomes : éditeur E. Leroux Paris 1883.