Marguerite de Lusignan

Titres de noblesse
Vicomtesse de Thouars; Dame de la Chaize
Naissance	V. 1226
Décès	22 octobre 1288
Autres noms	Marguerite de la Marche
Époque	XIIIe siècle
Période d'activité	1245–1284
Famille	Maison de Lusignan
Père	Hugues X de Lusignan
Mère	Isabelle d'Angoulême
Fratrie	Henri III d'Angleterre ; Richard de Cornouailles ; Jeanne d'Angleterre ; Isabelle d'Angleterre ; Aliénor d'Angleterre Hugues XI le Brun; Guy de Lusignan; Geoffroy Ier de Lusignan; Agathe de Lusignan; Isabelle de la Marche; Guillaume Ier de Valence; Aymar de Lusignan; Alix de Lusignan Inconnu; Guy de la Marche
Conjoint	Raymond VII de Toulouse; Aimery IX; Geoffroy VI de Châteaubriant
Enfants	Guy II de Thouars; Hugues de Thouars
Grands-Parents	Hugues IX le Brun; Inconnue Aymar Taillefer; Alix de Courtenay

Marguerite de Lusignan^[1] ou Marguerite de la Marche^[2] (v. 1226-22 oct. 1288) est une aristocrate de la haute noblesse poitevine, du XIII^e siècle, au sein de laquelle ses parents ont exercé un rôle dominant. Elle est membre de la maison de Lusignan et devient par mariage vicomtesse de Thouars. Plus jeune, elle a été au centre d’enjeux matrimoniaux et politiques entre les comtes de la Marche, de Toulouse, les Plantagenêt d’une part, et les Capétiens, la papauté d’autre part^[3]^,^[4].

Biographie

Famille

Marguerite de Lusignan est le sixième enfant et la troisième fille d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), comte de la Marche (1219-1249) et de son épouse IsabelleTaillefer (v. 1188/92-1246), comtesse d'Angoulême (1202-1246), suo jure, et reine consort d'Angleterre par son premier mariage avec Jean sans Terre (1166-1216).

Marguerite a cinq frères et trois sœurs : Hugues XI le Brun (v. 1221-1250), son frère aîné, qui succède à ses parents comme seigneur de Lusignan, comte de la Marche (1249-1250) et comte d'Angoulême (1246-1250). Guillaume I^er de Valence (v. 1227-1296) et Aymar de Lusignan (1228-1260) deviennent respectivement comte de Pembroke (1247-1296) et évêque de Winchester (1250-1260) en Angleterre^[5].

Outre-manche, Marguerite a cinq demi-frères et sœurs royaux issus du premier mariage de sa mère avec le roi Jean Sans Terre. Elle est par ce fait la sœur utérine du roi Henri III d'Angleterre (1207-1272) et du roi des Romains, Richard de Cornouailles (1209-1272)^[6].

Mariages et descendance

Marguerite de Lusignan épouse successivement le comte de Toulouse, l’héritier de la maison de Thouars, puis le seigneur de Pouzauges dans le bas-Poitou.

Raymond VII de Toulouse

Marguerite épouse, vers le mois de février 1243, Raymond VII (1197-27 sept. 1249), comte de Toulouse^[7]^,^[8]^,^[9]. Après enquête du Siège apostolique^[10]^,^[11]^,^[12], son mariage est invalidé le 3 août 1245 par le cardinal Octavien pour cause de parenté^[13]^,^[14]. Union restée sans postérité^[15].

Aimery IX de Thouars

Séparée, elle épouse par la suite Aimery IX, vicomte de Thouars (av. 1239-1250). Le couple donne naissance à deux enfants :

Guy II (1246/49-21 sept. 1308) vicomte de Thouars ;
Hugues de Thouars.

Geoffroy VI de Châteaubriant

Veuve, Marguerite épouse en 3^e noces, après 1257, Geoffroy VI de Châteaubriant (av. 1248-1284), seigneur de Pouzauges. Sans postérité connue.

Sceau et armoiries

Sceau [1267]

Avers : Navette 70 mm^[16]^,^[17]

Description : Femme debout de face, en robe avec un long manteau vairé, coiffée d'un touret tenant un oiseau au poing gauche. Sa main droite, à plat, est ramenée sur la poitrine.

Légende : ✠ SIGILLVM MARGARITE VICECOMITISSE THOARCII

Légende transcrite : Sigillum Margarite, vicecomitisse Thoarcii

Contre-sceau^[18]^,^[19]

Description : Écu burelé (des Lusignan) de douze pièces.

Légende : ✠ SECRETV MARGARITE VICECOM THOARC

Légende transcrite : Secretum Margarite, vicecomitisse Thoarcii

Armoiries [1267]

Blasonnement :

Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces

Commentaires : Blason de Marguerite de Lusignan, vicomtesse de Thouars, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1267.

Références^[18]^,^[19]

Notes et références

↑ Nom patronymique attesté dans les chartes.
↑ Nom attesté dans une charte.
↑ Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 2941 : Hugo Marchiæ comes sese, pro se ipso et Aragoniæ rege, obligatt ad comitem Tolosæ adjuvandum, p. 457.
1241, 15 octobre : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, atteste d'une alliance défensive, conclue avec Raymond [VII], comte de Toulouse et marquis de Provence et Jacques [I^er], roi d'Aragon.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 6, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), LII : Raimond retourne à Toulouse, se ligue avec le comte de la Marche, p. 734-735.
↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018 (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 20 (« Les enfants d'Hugues X et d'Isabelle d'Angoulême (1221-1296) »), p. 179.
↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018 (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 12 (« Liens de parenté entre Lusignan, Plantagenêt et Montfort »), p. 171.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 6, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), LXXI : Raimond fiance Marguerite de la Marche, p. 756.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 7, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), Note XXXV : Sur les différents mariages de Raimond VII, comte de Toulouse, chap. III, p. 104-105.
↑ Laurent Albaret, « Raymond VII de Toulouse et son engagement dans la défense de l’orthodoxie. D’excommunications en réconciliations (1229-1249) », dans Franck Mercier et Ariane Boltanski, Le salut par les armes, Presses universitaires de Rennes, 2011 (lire en ligne), § 26 :
« Lors de son retour vers Toulouse en février 1243, Raymond VII épouse Marguerite de la Marche, fille du comte de la Marche, sous réserve d’une dispense pontificale (les deux époux étant cousins au quatrième degré canonique) qui… n’arrivera jamais. »
↑ Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 3360, p. 571-572.
1245, 13 juin, Lusignan : Marguerite de Lusignan [fille d'Hugues X de Lusignan] écrit au pape Innocent IV pour nommer Pierre Gualdin procureur dans le procès concernant son mariage avec le comte Raymond [VII] de Toulouse. Elle lui donne le pouvoir de prêter serment en son nom et de choisir un autre procureur si nécessaire.
↑ Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 3361, p. 572.
1245, samedi 17 juin : Hugues [X de Lusignan], comte de la Marche et d'Angoulême, écrit au pape Innocent IV pour nommer Pierre Gualdin procureur dans le procès concernant le mariage de sa fille, Marguerite de Lusignan, avec le comte Raymond [VII] de Toulouse. Il lui donne le pouvoir de choisir un autre procureur si nécessaire.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 8, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), n^o 386 - CCLXX : Enquête sur la parenté qui étoit entre Raimond, comte de Toulouse, & Marguerite de la Marche, sa femme, col. 1176-1183.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 8, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), n^o 387 - CCLXXI : Sentence de la dissolution de mariage entre le comte de Toulouse & Marguerite de la Marche, col. 1183-1184.
↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018, Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 65 (« La consanguinité entre Marguerite de Lusignan et Raymond VII de Toulouse »), p. 224.
↑ Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 7, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), Note XXXV : Sur les différents mariages de Raimond VII, comte de Toulouse, chap. IV, p. 105-106.
↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, 1863 (lire en ligne), n^o 1091 : Marguerite de Lusignan, Femme d'Aimeri VIII (1267) / contre-sceau, p. 440.
Remplacer "Femme d'Aimeri VIII" [de Thouars] par "Femme d'Aimery IX".
↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marguerite de Lusignan - sceau - 1267 », sur sigilla.irht.cnrs.fr, Cnrs / IRHT.
↑ ^{a et b} Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, 1863 (lire en ligne), n^o 1091 bis : Marguerite de Lusignan, Femme d'Aimeri VIII (1267) / contre-sceau, p. 440.
Remplacer "Femme d'Aimeri VIII" [de Thouars] par "Femme d'Aimery IX".
↑ ^{a et b} SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marguerite de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.irht.cnrs.fr, Cnrs / IRHT.

Sources et bibliographie

Sources sigillographiques

SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marguerite de Lusignan », sur sigilla.irht.cnrs.fr. [lire en ligne]

Bibliographie

Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 6, Toulouse, Privat, 1879. [lire en ligne]

Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]

Articles connexes

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Marguerite de Lusignan, sur Wikimedia Commons

[:12-1] Nom patronymique attesté dans les chartes.

[2] Nom attesté dans une charte.

[3] Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 2941 : Hugo Marchiæ comes sese, pro se ipso et Aragoniæ rege, obligatt ad comitem Tolosæ adjuvandum, p. 457.
1241, 15 octobre : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, atteste d'une alliance défensive, conclue avec Raymond [VII], comte de Toulouse et marquis de Provence et Jacques [I^er], roi d'Aragon.

[4] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 6, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), LII : Raimond retourne à Toulouse, se ligue avec le comte de la Marche, p. 734-735.

[:92-5] Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018 (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 20 (« Les enfants d'Hugues X et d'Isabelle d'Angoulême (1221-1296) »), p. 179.

[6] Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018 (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 12 (« Liens de parenté entre Lusignan, Plantagenêt et Montfort »), p. 171.

[7] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 6, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), LXXI : Raimond fiance Marguerite de la Marche, p. 756.

[8] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 7, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), Note XXXV : Sur les différents mariages de Raimond VII, comte de Toulouse, chap. III, p. 104-105.

[:22312-9] Laurent Albaret, « Raymond VII de Toulouse et son engagement dans la défense de l’orthodoxie. D’excommunications en réconciliations (1229-1249) », dans Franck Mercier et Ariane Boltanski, Le salut par les armes, Presses universitaires de Rennes, 2011 (lire en ligne), § 26 :
« Lors de son retour vers Toulouse en février 1243, Raymond VII épouse Marguerite de la Marche, fille du comte de la Marche, sous réserve d’une dispense pontificale (les deux époux étant cousins au quatrième degré canonique) qui… n’arrivera jamais. »

[10] Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 3360, p. 571-572.
1245, 13 juin, Lusignan : Marguerite de Lusignan [fille d'Hugues X de Lusignan] écrit au pape Innocent IV pour nommer Pierre Gualdin procureur dans le procès concernant son mariage avec le comte Raymond [VII] de Toulouse. Elle lui donne le pouvoir de prêter serment en son nom et de choisir un autre procureur si nécessaire.

[11] Layettes du trésor des chartes (éd. Alexandre Teulet), t. II : de l'année 1224 à l'année 1246, Paris, Plon, 1866 (lire en ligne), n^o 3361, p. 572.
1245, samedi 17 juin : Hugues [X de Lusignan], comte de la Marche et d'Angoulême, écrit au pape Innocent IV pour nommer Pierre Gualdin procureur dans le procès concernant le mariage de sa fille, Marguerite de Lusignan, avec le comte Raymond [VII] de Toulouse. Il lui donne le pouvoir de choisir un autre procureur si nécessaire.

[12] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 8, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), n^o 386 - CCLXX : Enquête sur la parenté qui étoit entre Raimond, comte de Toulouse, & Marguerite de la Marche, sa femme, col. 1176-1183.

[13] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 8, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), n^o 387 - CCLXXI : Sentence de la dissolution de mariage entre le comte de Toulouse & Marguerite de la Marche, col. 1183-1184.

[14] Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (X^e – XIV^e siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, 2018, Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 65 (« La consanguinité entre Marguerite de Lusignan et Raymond VII de Toulouse »), p. 224.

[15] Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, t. 7, Toulouse, Privat, 1879 (lire en ligne), Note XXXV : Sur les différents mariages de Raimond VII, comte de Toulouse, chap. IV, p. 105-106.

[16] Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, 1863 (lire en ligne), n^o 1091 : Marguerite de Lusignan, Femme d'Aimeri VIII (1267) / contre-sceau, p. 440.
Remplacer "Femme d'Aimeri VIII" [de Thouars] par "Femme d'Aimery IX".

[17] SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marguerite de Lusignan - sceau - 1267 », sur sigilla.irht.cnrs.fr, Cnrs / IRHT.

[:0-18] {a et b} Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, 1863 (lire en ligne), n^o 1091 bis : Marguerite de Lusignan, Femme d'Aimeri VIII (1267) / contre-sceau, p. 440.
Remplacer "Femme d'Aimeri VIII" [de Thouars] par "Femme d'Aimery IX".

[:1-19] {a et b} SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marguerite de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.irht.cnrs.fr, Cnrs / IRHT.

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