Ersilia Soudais résume à elle seule la LFI, ses compromissions et surtout sa bêtise crasse. Les seules compétences de cette députée consistent à glousser des massacres de juifs et à tenir la main d’islamistes en GAV. #LFIlahonte pic.twitter.com/16085PqlDe
— Charlotte Rocher🎗️ (@ChaRocher) January 9, 2025
Avocat de la famille d’#IlanHalimi je vous dénie le droit d’utiliser son martyre. Votre haine d’Israël conduit à la haine des juifs. Vous qui avez osé parler de déportation au sujet de l’expulsion du terroriste Salah Hamouri que vous avez accueilli en grandes pompes. https://t.co/Ff7e5OwC2o
— Francis Szpiner (@fszpiner) February 13, 2023
encore une personne qui n est pas digne
d apparaître dans tribune juive
A l’assemblée nationale de mon pays non plus. Courage à Israël et à sa glorieuse armée.
Et dire que cette femme est enseignante de français. Comment l’Education Nationale a pu recruter une telle personne pour avoir la responsabilité d’enfants, et tenir de tels propos? Cela déshonore cette institution. L’idiote utile du gourou Mélenchon comme tous les députés de LFI. Quand je vois la photo d’Ilan Halimi « paix à son âme », son histoire m’avait bouleversée et le film d’Alexandre Arcady, très difficile qui montre l’innomable et la barbarie qu’a endurée ce pauvre jeune homme. Et déjà à l’époque, je ne comprenais pas que tous les français ne soient pas descendus dans la rue, tout comme le 7 octobre, pour dénoncer tout cet antisémitisme et être solidaires des victimes et de leurs familles. La France d’aujourd’hui est pleine de barbares islamisants et antisémites. Un petit espoir que Bruno Retailleau et Gérald Darmanin puissent ramener de la sécurité et de la justice pour tous les français.
@Nathalie
permettez-moi cette simple remarque pour répondre à la question initiale que vous posez. Ersilia Soudais n’est pas une erreur de recrutement de l’Éducation nationale, elle en est le pur produit, l’émanation, la quintessence. Jusqu’à ce sourire de ravie de la crèche qu’elle montre en permanence et qu’il faut afficher désormais devant les élèves pour paraître « sympa » et leur donner, comme dit l’Inspection, « l’envie de travailler » pardon « les moyens de leur réussite ». D’ailleurs qui échoue désormais à l’École ou, pour le dire autrement, qui y réussit vraiment ? Pour preuve : ceux qui veulent vraiment réussir préfèrent se tourner vers le rap ou le football, où la réussite n’est pas payée en monnaie de singe.
L’Éducation nationale se dégrade par simple entropie. C’est une loi de la physique. Elle produit une élite qui se garde bien de devenir enseignants – regardez le plan de carrière des Normaliens –, de sorte qu’elle retient en ses rangs les plus moyens qui produiront à leur tour d’encore plus moyens, disons même en toute fin de vraiment médiocres. On est loin par conséquent de la reproduction bourdivine, dont on pourrait même s’estimer contents. Ce que l’Éducation nationale produit ce sont d’abord des militants ou des missionnaires, et plus du tout des hussards. Les plus tenaces d’entre eux finiront maîtres de conférence, et pourront espérer devenir « consultant » sur France Info afin de nous mettre en garde contre Trump, Poutine, Netanyahou et le danger de l’extrême droite et de l’islamophobie. Ce n’est donc plus le savoir, l’héritage de la civilisation qu’ils ont mission de transmettre mais une idéologie wokiste faite de bêtise verbale et de haine de soi. J’aurai eu la chance personnellement de quitter l’Éducation nationale avant l’accomplissement de ce naufrage qui produit des Soudais en pagaille. Peut-on remettre à flots un bâtiment qui a sombré entièrement et qui gît par grands fonds ? J’en doute.
Amitiés
@Alain Bienaimé. Bonjour, je vous félicite de cette analyse qui est à la fois claire, synthétique et qui a de la valeur venant de quelqu’un issu de ce milieu de l’éducation. J’avais entendu ce qui se passait dans l’Education nationale, notamment d’après un professeur d’histoire (Barbara Lefebvre) qui dans son livre sous la direction de Georges Bensoussan fait le constat, depuis les années 2000 où elle a enseigné en banlieue, des incidents à caractère sexiste, raciste, antisémite, homophobe. Le rapport Obin de 2004 relate tous ces faits et la passivité de l’Etat.Ma naiveté certainement, c’est de ne pas avoir mesuré l’infiltration politique de la pensée par LFI. Je n’imaginais pas que les écoles et les universités étaient autant gangrénées par le wokisme. Tout cela est aussi une affaire d’éducation parentale. Certains parents ne jouent plus leur rôle et n’éduquent plus leurs enfants (respect, politesse, soif d’apprendre, la lecture etc).
C’est la différence avec l’école des années 1970. Nous étions respectueux de l’autorité des adultes, pas de discours politique, que ce soit les élèves ou les professeurs. Dans la cour de récréation, nous jouions tous ensemble; athées,catholiques, juifs, musulmans, etc. On parlait peu de religion, mais cela ne posait aucun problème.
Quant à l’histoire de France, elle n’est plus enseignée à l’école, que ce soit la Shoah ou la guerre d’Algérie, cela fait polémique. Georges Bensoussan, un historien lucide et brillant, analyse très bien la situation de la France. Pour moi c’est une référence, contrairement à Benjamin Stora dont je ne partage pas la vision de l’histoire. Chaque camp doit assumer les excès dont il a fait preuve: de la torture, il y en a eu des deux côtés. Ne pas oublier le massacre du 5 juillet 1962 à Oran où des européens seront enlevés, torturés et enterrés dans des fosses communes. La réconciliation c’est aussi respecter la mémoire des pieds-noirs, des harkis et de tous les soldats français. Cela est mon avis personnel et n’engage que moi. Peut-on malgré tout se résoudre à ce que l’Education nationale soit une cause perdue? Je vous souhaite une bonne journée. Cordialement.
Benjamin Stora est l’historien officiel du FLN.
@Alain Bienaimé Une question me taraude. Comment se fait-il que les professeurs de votre génération intellectuellement solides aient produit des décérébrés en masse ? Il n’y a pas que la télévision et internet qui soient en cause. Le niveau veau de l’enseignement était déjà très médiocre il y a trente ans.
@Essen Et même catastrophique ! La crétinisation de masse de la société ne date pas d’hier. Accuser internet est le poncif le plus éculé : sans le net, le niveau d’inculture serait encore plus profond. L’accès à de nombreuses œuvres d’art cinématographiques et musicales serait beaucoup plus difficile. L’accès à des informations fiables serait purement inexistant. L’Europe et l’Amérique seraient comme la Chine.
@Sylvain
« Sans le net (…) l’accès à de nombreuses œuvres d’art cinématographiques et musicales serait beaucoup plus difficile. »
A une condition, mon cher Sylvain, que vous soyez éduqué à « l’ancienne » par le moyen bienveillant et sévère d’un maître qui vous conduise – sans le recours au net pour cela, incapable de vous offrir cet accompagnement essentiel, fondé sur le transfert –, afin d’aller chercher ce que vous dites, et qui s’y trouve en effet, puisque sur le net tout existe et y est à disposition. Mais le problème, hélas, est que les élèves vont sur le net sans savoir l’usage qu’ils peuvent faire de ce qu’ils y trouveront. Les choses sont disponibles, mais où aller les chercher et surtout quel usage en faire quand on reste seul, avec le net lui-même pour seul compagnon ? Ils tomberont, en effet, peut-être sur « la Dolce Vita », sans être en mesure de la regarder, d’en supporter la vision plus d’une minute. Que du noir et blanc et personne de violé ou de décapité à la fin : de l’ennui donc ou du temps perdu ! Il est bien vrai que quand on ne sait pas ce qu’on cherche, on ne sait pas non plus ce qu’on trouve.
La très grande majorité d’entre eux, sans ce préalable culturel capable de les orienter vers ces trésors et surtout de leur permettre de les apprécier, se perdront plutôt dans des jeux vidéos, des tchats avec ceux de leur tribu à persécuter un malheureux en surpoids ou ayant un patronyme juif, dans la vision en boucle d’images pornographiques ou de lynchages filmés en direct, captivés par les propos d’influenceurs les plus absurdes ou les plus criminels qui sévissent sur Youtube plutôt que par ceux de leurs enseignants qui leur disent de s’en méfier. Car l’esprit critique que l’on veut cultiver chez les élèves se retourne d’abord contre ceux qui s’efforcent de le faire prospérer !
Plus de deux mille ans de civilisation pour donner raison à Platon et être ces prisonniers enfermés dans leur caverne à regarder toute la journée et parfois la nuit, l’incessant défilé de ces ombres qui se donnent non plus sur une paroi de pierre mais sur un smart-phone, écran 5 pouces. Quand les hommes, jadis, ne regardaient pas des images du monde en permanence, littéralement des idoles, ils faisaient travailler leur imagination, c’est-à-dire leur capacité mentale à fabriquer eux-mêmes des images : cela a fait naître toute une civilisation, un imaginaire, un art, un monde intelligible. Ces images, fabriquées en permanence par des machines ou des gens qui le sont devenus, sont bien la marque de notre « décivilisation » ou de notre nouvelle barbarie, cette barbarie « civilisée », née au sein même de la civilisation, et qui n’est un oxymore qu’en apparence. Ah, le progrès !
@Essen
C’est en effet une très bonne question.
Le changement ou pire le basculement dans l’horreur s’est fait selon moi en deux temps.
Il y a eu tout d’abord les année 80 avec l’arrivée de la gauche au pouvoir. L’élève s’est vu placé au centre du système et le savoir détrôné. Il était devenu le client-roi de l’École. De sorte que ce qui était important, c’était qu’on réponde d’abord à ses désirs, qu’il soit satisfait d’être un élève. Il ne fallait pas lui imposer des savoirs abstraits et constitués dans le cadre de cours magistraux mais qu’il apprenne lui-même à apprendre, selon le mot d’ordre de Philippe Meirieu ou qu’il mette la main à la pâte, confondant sciences et cuisine. Bref c’était l’âge de l’autonomie à tous les étages. Plus de maîtres mais des apprenants. Apprendre était devenu un verbe intransitif. Mais on avait conscience encore, malgré tout, qu’il fallait que l’élève se transforme, qu’il acquière non pas du savoir mais des compétences. On ne demandait plus à l’élève de connaître ses classiques dans le fond et à fond mais de savoir en parler (compétence) ou de savoir en analyser des extraits (autre compétence). Et ainsi de suite. On garantissait à la fin de ce parcours dit de « réussite », à tous la réussite de tous. Résultat : le bac fut progressivement donné comme un droit subjectif de chacun à la réussite, indépendamment du travail qu’il pouvait fournir pour l’obtenir. Les copies devinrent progressivement indigentes. Et en parallèle l’évaluation (?) devint progressivement généreuse. Nous étions chaque année à battre des records dans l’indulgence, même si certains avaient des doutes. Il fallait mentir pour produire ces statistiques « soviétiques ». On ne se demandait plus si une copie était conforme à un modèle idéal qui traduisait des exigences de bon sens, mais simplement si cette copie avait du sens quand visiblement elle n’en avait parfois aucun. Mais qu’importe, si le sens n’était pas lisible à la simple lecture c’était au correcteur de l’y mettre. On appelait cela « noter avec bienveillance » ! Quant aux Inspecteurs, véritables commissaires politiques, ils nous surveillaient attentivement afin de s’assurer que nous étions tous bienveillants sans aucune réserve. L’URSS survivait rue de Grenelle. Quant au SNES, il demandait toujours plus de moyens, sans se demander jamais pour faire quoi, pour les employer au service de la transmission de quel héritage.
Trente ans après nouvelle évolution ou révolution. Il ne s’agit plus d’apprendre à apprendre, mais de « désapprendre », c’est-à-dire de suspecter tout apprentissage en tant qu’il serait une adultération de soi, une altération illégitime de soi, puisqu’on chercherait à obtenir qu’un enfant soit autre que ce qu’il est naturellement, parfait de tous ses préjugés familiaux, surtout quand ils sont ceux de cultures opprimées, et qu’il ne s’agit plus de combattre, mais de respecter scrupuleusement ou de valoriser – l’excision, le voile, le mariage forcé, la superstition, l’homophobie, les femmes qui servent les hommes, et autres particularismes folkloriques. On vient à l’École comme on est, mais surtout pour le rester et rester rivé à sa communauté. Plus de transfuge ethnique ou de classe. La question posée qui délégitime tout apprentissage est alors : de quel droit ? Les compétences elles-mêmes deviennent suspectes. A quoi bon, dans quel but apprendre ? Pourquoi conformer la diversité des jeunes à un élève unique. Car les compétences en question sont là pour reproduire un homme qui est, somme toute, la figure de occidental mâle de race blanche. Le wokisme, dans les années 2010, est donc passé par là et commence son œuvre propre de destruction pour liquider ce qui pouvait encore rester d’ambition pédagogique, si l’on peut oser l’expression.
L’évolution est donc relativement claire, on passe de l’acquisition des savoirs aux compétences, puis des compétences à plus rien du tout. A l’idée que tout ce qui vient de l’École est aliénant et que l’élève doit être, vis-à-vis de l’École, au même titre que l’enseignant, un insoumis, toujours dans la critique et le refus de ce qu’on aurait l’inconvenance de vouloir lui imposer du dehors, pour prolonger un monde occidental masculiniste, raciste, et hétérosexué.
Un exemple entre mille, pour finir. Macron décide de remettre les clés du camion à Sciences Pipo et à l’infâme Pierre Mathiot, liquidateur et éradicateur en chef, autrement dit sociologue. C’est parcours sup et la fin de l’enseignement des mathématiques pour tous. Le wokisme est passé par là. Fort des statistiques qui montrent une forte distorsion de genre dans les classes de mathématiques, on décrète les mathématiques suspectes. Elle ne respectent donc pas la plus élémentaire parité. Dès lors plutôt que de trouver le moyen de pallier ce scandale, on préfère à Sciences Pipo s’attaquer aux mathématiques elles-mêmes, le corps du scandale, en les faisant disparaître de l’enseignement commun avec les résultats mirifiques que l’on sait et qu’on peut mesurer chaque année. Non, décidément la nature n’est pas écrite en langage mathématique comme dirait l’autre : elles ne seraient que le produit du cerveau malade de l’homme blanc. Je peux vous assurer que j’ai assisté de l’intérieur à cette révolution cuculturelle qui s’étendait partout comme un cancer. La résignation de certains, l’enthousiasme d’autres, l’insondable lâcheté de l’administration toujours prête à préférer un parent d’élève à un enseignant tout en proclamant le contraire. Cette révolution cuculturelle avait elle aussi ses gardes rouges, les Inspecteurs, ce qui se traduisait pour certains professeurs récalcitrants en stages forcés de « remise à niveau », véritable entreprise de rééducation dans le plus pur style maoïste.
Le problème de la « décérébration » vient de plus haut, me semble-t-il. Les enseignants ne sont pas les décisionnaires.
J’ai déjà écrit le nom de Ersilia Soudais bien qu’elle ne le mérite pas; dés le 8 octobre 2023 elle a déversé sa haine, se moquant des enfants massacrés et de leurs familles en Israel, désormais, sa misérable vie est consacrée à cette vindicte. son incitation à la haine à caractère anti-juif son appel à l’intifada, sa complaisance et son admiration sans borne envers les terroristes Hamas font qu’elle mérite d’être jugée, condamnée et se retrouver en prison.
Incroyable, révoltant, que cette femme haineuse soit députée et enseignante. C’est clairement la démonstration d’une chute vertigineuse de la France sur tous les plans et notamment moral et sociétal.
Ilan Halimi. Lors de la sortie du film d’Alexandre Arcady, j’avais déposé une critique courte et élogieuse du film sur Allociné, laquelle m’a valu une majorité de « pouces en bas » : comme pouvait le laisser envisager la grande majorité de critiques négatives et pire du public Allociné sur ce film.
Je me suis désabonnée d’Allociné.
@Carole. Je suis entièrement d’accord avec vous et vos propos, »c’est clairement la démonstration d’une chute vertigineuse de la France sur tous les plans et notamment moral et sociétal ».En même temps, je ne suis pas surprise par les critiques négatives du film d’Alexandre Arcady. Il y a toujours eu des gens haineux et certainement antisémites. Ce genre de personnes, ce sont les mêmes sur les réseaux sociaux, certains influenceurs etc. C’est la déshumanisation croissante de la société, c’est à désespérer de l’espèce humaine. Il faut résister et se préserver, être dans son petit cocon avec sa famille, amis, et s’entourer de gens bienveillants.Je profite de cet échange pour vous souhaiter une très bonne année 2025. Amicalement.
@Carole @Nathalie Et encore vous n’avez pas vu YouTube. Les pages forum sont prises d’assaut par les fachos mélenchonistes (beaucoup de Nord-africains également). Non seulement les propos antisémites sont légion, mais cela va jusqu’à l’apologie du Hamas, l’apologie du terrorisme. YouTube ne censure pas, bien évidemment. La Fachosphère islamonazie y est toute puissante.
@Sylvain. Je ne regarde pas les pages forum sur You Tube, c’est accorder de l’importance à tous ces débiles, et je ne veux pas m’abîmer la vue. C’est le danger d’internet, il faudrait un contrôle plus strict sur tous ces réseaux sociaux, fermer ou bloquer les sites litigieux.Tout cela est encore une question de volonté.
Il s’agit des Forums de Liberation, du Monde etc…Il faudrait en effet interdire ces medias immondes, hélas majoritaires et porte-paroles du pouvoir.
Merci Nathalie. Je vous souhaite également une très bonne et sereine année 2025, ainsi qu’à tous les intervenants de ce précieux site. (à ceux qui les dirigent aussi – je ne sais plus si je l’ai déjà fait).
Merci beaucoup Carole pour vos voeux, sérénité et une bonne santé pour cette année 2025 pour tous,je me joins à vous pour souhaiter pareillement à tous les lecteurs et les dirigeants de ce site, où il y règne une grande liberté d’expression.Ce petit poème d’une internaute avec le pseudonyme « chez madame Pavlova », que j’ai trouvé très beau.
Que la Paix revienne dans tous les coeurs
Que les armes se taisent enfin
Que notre terre, notre maison à tous soit honorée et respectée
Que la fraternité devienne notre force
Que l’amour soit notre guide
Que cette année soit le témoin de tous ces miracles, pour vous, vos proches, pour tous.
L’éducation nationale et le système universitaire n’ont nullement besoin de se dégrader. Car ces machines à fabriquer des illettrés et des fascistes sont en parfaite adéquation avec le système politique. A la fois cause et effet. Un système politique devenu totalitaire a en effet besoin d’une population et d’une « » »élite » » » (veuillez prendre en compte les guillemets) soumises et dociles, donc incultes et dépourvues d’esprit critique. L’école et les universités doivent former des individus qui serviront l’idéologie dominante sans réfléchir, bien qu’à long terme leur stupidité risque paradoxalement de provoquer la chute du système. C’est le phénomène de stupidité structurellement induite. Le nivellement culturel et intellectuel par le très, très, bas est voulu et planifié par le pouvoir qui en est lui-même issu (c’est le serpent qui se mord la queue).
Or nous avons le malheur de vivre dans la France (européiste et) indigéniste. Donc une dictature d’extrême-droite islamonazie. Une province de l’UE pro-islamiste et surtout une vitrine du parti néo-nazi des indigènes de la République. Donc rien d’étonnant à ce que l’EN et les universités soient gangrenées, tout comme les médias aux ordres, par la peste brune islamonazie et indigéniste. C’est dans la logique des choses, et en cela @Alain Bienaime a raison : cette dégénérée raciste et antisémite est un pur produit de ce système. Un beau symbole.
La Nazification (car la FI est un parti Nazi, ce que les Français sauraient s’ils n’étaient pad aussi politiment incultes) de l’EN et des universités est donc un phénomène logique : on pourrait parler de « Nazification structurellement induite ».
Son nom est Ilan Elie Halimi, sa vie s’est arrêtée quand il avait 24 ans parce que des criminels ont cru qu’il était riche et qu’ils obtiendraient une rançon alors avec à leur tête Youssouf Fofana, ils l’ont torturé pendant 3 semaines mais Ilan et sa famille n’étaient pas riches,alors la bande de Fofana a jeté Ilan dans un fossé ,il était encore en vie quand il a été retrouvé, il est mort avant d’arriver à l’hôpital . Il repose à Yeruchalaim ou une plaque, dans une foret, porte son nom. Ilan signifie arbre en hébreu .
Ersilia Soudais n’est rien. La mort d’Ilan Halimi est le triste constat d’un monde à la dérive .
@Alain Bienaimé « éduqué à l’encienne par le moyen bienveillant et sévère d’un maître »…(!)
Vous surestimez le rôle de votre profession, ou ex-profession. Le naufrage de l’EN a été précédé du naufrage universitaire qui remonte au moins à Mai 68. Et le naufrage universitaire a été précédé par le commencement du naufrage littéraire et intellectuel de la France. Lequel a débuté avec St Germain des Prés, Jean-Paul Beauvoir & Simone Sartre…
Aucune personne intelligente n’a besoin de « maîtres » et le parcours autodidacte a autant produit de grands écrivains que le parcours universitaire _ même à l’époque très lointaine où les universités étaient synonymes de culture et de savoir. Loin de moi l’idée de nier le phénomène de crétinisation de masse, mais il a commencé bien avant les années 80 et concerne toutes les générations en vie : la vôtre, la mienne et les plus jeunes.
Les soixante-huitards qui buvaient la propagande de Sartre comme du petit lait, vénéraient Mao puis sont devenus européistes étaient tout sauf des génies.
@Sylvain Il est bon d’avoir des initiateurs qui vous donnent accès aux écrivains, artistes et oeuvres de l’esprit, bref qui vous donnent des repères. Personnellement issu d’un milieu prolétaire, ce sont quelques professeurs pas trop deconstruits qui me les ont fournis. Cela ainsi que les cours de musique au conservatoire et la fréquentation des bibliothèques m’ont permis de sortir la tête de l’eau.
@Essen Je n’ai pas eu de tels initiateurs et je n’en ai jamais eu nul besoin. La plupart de mes profs étaient aussi incultes qu’humainement détestables. Mais j’avais directement accès aux enseignements de maîtres d’une toute autre nature : André Breton, Sade, Lautréamont, Nietzsche, Hugo, La Rochefoucauld etc etc
@Essen
Pas mieux
@Alain Bienaimé Quel ton pédant et prétentieux 🤓 Est-ce que vous vous lisez ? Vous lire me concainc (ou plutôt me rappelle) que l’EN n’a pas attendu le wokisme pour être cette chose…qu’elle est aujourd’hui. Votre post lunaire (14 janvier 2025 11h18) m’a fait rire _ mais sa drôlerie est sans doute involontaire.
Pour n’avoir rien vu de « pédant, prétentieux », et encore moins « lunaire » dans ledit post que nous avons fait l’effort de relire pour savoir d’où vous venait cette fureur empreinte d’aigreur et de faiblesse argumentaire, nous déduisons ici que vous êtes, cher(e) Louise, si habitué(e) de la chose, un être fort mal embouché. Allez, nous vous publions une dernière fois.
@Louise
Vous avez raison de m’inclure dans la cause de l’effondrement de l’Éducation nationale, si je parle sans le savoir depuis la lune.
Enfin nous voilà quittes : vous, pour m’avoir éclairé sur ma responsabilité, moi, pour vous avoir fait rire bien qu’involontairement.
@Alain Bienaimé Alors tout est au mieux dans « le meilleur des mondes possibles ». 😉
@Alain Bienaimé « éduqué à l’ancienne par le moyen bienveillant et sévère d’un maître qui vous conduise »…
Mon cher Alain, vous surestimez grandement le rôle de votre profession ou ex-profession. La Rééducation Nationale était déjà dans un piteux état bien avant 1980 et ne fait que poursuivre son irrésistible chute.
Je n’aurais pas employé les termes de : éducation à l’ancienne … mais je suis totalement persuadée qu’un bon professeur qui sait intéresser et motiver ses élèves peut beaucoup pour eux. Ce n’est en rien surestimer son rôle.
Cela existe certainement. Sans nul doute. Mais plus un élève est doué, a fortiori s’il est doté d’un HPI, et plus il apprend à devenir son propre maître. Le Rééducation Nationale ne m’inspire que peu d’estime : entre harcèlement scolaire (près d’un élève sur dix touché, avec la complicité tacite de l’EN) pouvant entraîner des séquelles irréversibles (y compris le suicide), discriminations envers les handicapés, et bien sûr niveau effroyablement crétinisant de l’enseignement lui-même…
Mais qu’il existe des enseignants compétents et dévoués ne fait aucun doute : personne ne le nie.
@Sylvain
« Mais plus un élève est doué, a fortiori s’il est doté d’un HPI, et plus il apprend à devenir son propre maître »
Ce n’est pas la même chose qu’avoir besoin d’un maître. Ce n’est qu’à la fin qu’on devient son propre maître, dans le meilleur des cas. Pas au commencement. Il faut que quelqu’un qui nous précède nous introduise quelque part. Maîtres et élèves voire disciples, cela forme une chaîne dans le temps. Les maîtres sont partout : dans le sport, dans les études (sciences, Talmud, etc.) Je ne crois pas comme vous aux autodidactes. Vous surestimez trop les surdoués. L’intelligence ne fait pas tout même avec un potentiel HPI.
C’est bien pour cela que j’ai écrit plus haut que mes maîtres se nommaient André Breton, Lautréamont, Sade, La Rochefoucauld etc etc (et tous ceux que je n’ai pas cités). Il faut tout lire avant de répondre. L’autodidacte est quelqu’un sachant sa passer d’intermédiaires (le plus possible) pour avoir accès aux livres et au savoir : Guillaume Apollinaire et Robert Desnos, à titre d’exemples, étaient autodidactes. Donc je reformule, « apprend à devenir son propre maître d’école ».
Je ne sais pourquoi vous vous en prenez tous ou presque, à l’éducation nationale . Il y a de trés bons professeurs à l’Education Nationnale mais ils se trouvent confrontés souvent à des élèves difficiles. Ce n’est pas un »métier »,- je devais dire un sacerdoce- facile.