U-Space Nanosatellites’ Post

Un #podcast depuis l’édition 2024 de la Paris Space Week ! Il y a deux semaines, avec Simon Leveque nous avons arpenté les couloirs de la Paris Space Week afin de rencontrer les #professionnels du #spatial de demain. À cette occasion, nous avons réalisé de courtes interviews afin d’en apprendre davantage sur certaines entreprises françaises et leurs objectifs. Nous remercions Numa Isnard de SPACEAVOCAT, qui nous a présenté une spécialité méconnue du secteur : le droit spatial. ⚖ Nous avons aussi eu un échange passionnant avec Aurélie Baker, PhD de AIKO - Infinite ways to autonomy, autour de l’intervention de l’IA dans les activités quotidiennes des acteurs de l’orbite terrestre. 🛰 Puis nous avons eu le plaisir de discuter avec Florian Randriamahaleo de Latitude. Qui nous a parlé des nombreuses actualités de la compagnie et de ses objectifs. Les ambitions de l’entreprise Rémoise viennent d’obtenir un soutien massif de l’État français via sa récente annonce de financements dans le secteur des micro et mini-lanceurs, dont Latitude est co-lauréate. 🚀 Enfin, nous avons rencontré Amaury Solignac, d’ORBITAL VIEWS. Une bonne occasion de comprendre les atouts de la réalité virtuelle dans le spatial. 🛫 Vous pouvez retrouver la totalité de ces échanges dans notre dernier podcast d’Odyssée_gmt, disponible sur toutes les plateformes !

NewSpace : Pyxalis standardise des capteurs d’images « prêts à l’emploi » pour décoller plus vite Dans une approche NewSpace, la PME iséroise Pyxalis porte un projet de capteurs d’images « prêts à l’emploi » répondant aux enjeux actuels du marché spatial, tournés vers les constellations de satellites. Elle a été retenue dans la dernière relève de l’appel à projets « Constellations », lancé en octobre 2022 dans le cadre de France 2030, pour soutenir le développement de systèmes et briques technologiques françaises destinées aux constellations de satellites. A lire dans la Tribune 👇🏼

Comment mieux comprendre les mécanismes de l'anémie par hémolyse pour sécuriser les voyages de longue durée dans l'espace ? 🚀 🩸 Zoom sur les travaux de nos chercheurs IMRB - Institut Mondor de Recherche Biomédicale dans le cadre de la mission SpaceX Polaris Dawn 🔬 👇 Faculté de Santé - UPEC Université Paris-Est Inserm EFS European Space Agency - ESA Academie de Créteil France Universités Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche University of Ottawa SpaceX

L'instrument MIRS est officiellement entre les mains de l'Agence spatiale japonaise ! Ce spectromètre imageur d'une dizaine de kilos a été développé collectivement par le CNES et 5 laboratoires français : le LESIA - Observatoire de Paris, le #LAB, le LATMOS Laboratoire Atmosphères, Observations Spatiales, l'Observatoire Midi-Pyrénées et l'IRAP - Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie. MIRS jouera un rôle majeur dans la mission d'explorations des lunes de #Mars. Son objectif ? Identifier les minéraux présents à la surface de Phobos et de Deimos 🔍 Il contribuera notamment à la sélection des 2 sites de collecte des échantillons sur la surface de Phobos. Le lancement de cette mission spatiale est prévu en octobre 2026 vers le système martien. Elle sera la 1ère à rapporter sur Terre des échantillons du satellite Phobos ! ttps://https://lnkd.in/e32KK5Vr

🚀 Bienvenue à Perspectives Spatiales 2024 !     Euroconsult et le GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales sont honorés de vous accueillir pour discuter des enjeux et des opportunités qui façonnent l'industrie spatiale en France et en Europe.    Prêt à lancer ensemble cette 12e édition ? Restez à l'écoute pour les insights et les moments forts de l'événement !  .  .  . #PerspectivesSpatiales #EvenementSpatial #EspaceEuropeen #FuturDeLespace #DefenseSpatiale #SouveraineteSpatiale #CollaborationSpatiale #PS24   

Réaliser des millions de milliards d’opérations en une seconde ? ⏱🧮 C’est le quotidien d’Anaïs et de ses collègues. 📍 En immersion au Très Grand Centre de Calcul du CEA, découvrez les supercalculateurs hébergés sur notre centre de Bruyère le Chatel. 💻 Ces superordinateurs sont des outils indispensables aux chercheurs pour simuler, étudier et comprendre des phénomènes complexes, et aux industriels pour favoriser et accélérer l’innovation. 🌍 Joliot-Curie, supercalculateur de GENCI, est utilisé par les chercheurs français et européens, aussi bien en astrophysique, climatologie ou santé… C’est lui qui produit certaines simulations pour le GIEC par exemple. À côté, Topaze, propriété du CEA, permet à nos partenaires industriels d’innover dans une grande variété de domaines, de l’aéronautique à l’énergie, en passant par les cosmétiques ! Le CEA et Genci préparent également l’avenir avec l’installation prochaine au TGCC d’ordinateurs quantiques et d’un supercalculateur exaflopique européen, capable d’exécuter un milliard de milliards d’opérations par seconde. De quoi espérer de nouvelles avancées et découvertes ! Suivez Anaïs pour découvrir ce centre de calcul unique. 🥼 👋 EuroHPC Joint Undertaking (EuroHPC JU), @PRACE, Nicolas Lardjane, Jacques-Charles Lafoucriere, Christophe Calvin, Jean-Philippe Nominé.

Comment la réutilisation a changé l’accès à l’espace, et comment s’en inspirer.🚀 Le 30 mars 2024, SpaceX réussissait la 260ème réutilisation d’affilée de sa fusée Falcon 9, le jour anniversaire de sa première réutilisation réussie en 2017. Le Falcon 9 a bouleversé le monde des lanceurs, démontrant que la réutilisation n’est pas seulement réalisable mais aussi économiquement viable, notamment en permettant à SpaceX d’accroître le nombre de lancements sans pour autant devoir augmenter ses capacités de production. Une réussite qui soulève plusieurs interrogations : Comment la réutilisation est-elle devenue un pilier du succès de SpaceX ? Pourquoi peu y on cru avant ? Quels défis techniques, économiques et environnementaux la réutilisation implique-t-elle ? Et comment l’Europe peut-elle adopter cette technologie révolutionnaire ? 📖 Rédigée avec l’aide d’experts reconnus du secteur spatial, je vous propose de découvrir notre dernière analyse, “Les lanceurs réutilisables : enjeux économiques et perspectives pour l’Europe” de Way4Space. Ce document explore ces questions en profondeur et propose une stratégie européenne pour les lanceurs réutilisables, devenus un standard incontournable pour l’avenir. Grâce à son expertise et à une approche collaborative, l’Europe peut tirer parti de cette technologie pour restaurer sa compétitivité sur le marché spatial mondial. 🧑💻 Découvrez et téléchargez la note ici : https://lnkd.in/eSh7eJaJ ✒️ Pour obtenir une version PDF, veuillez contacter [email protected] 🇺🇸 Également disponible en anglais, sur demande à [email protected] Bonne lecture ! J'attends avec impatience vos réflexions et idées sur ce sujet fascinant. #innovation #technologie #reutilisable #space Illustration : deux boosters latéraux de Falcon Heavy reviennent sur Terre ensembles. Des vidéos toujours impressionnantes. (Crédit : SpaceX)

À l'occasion de la visite de la directrice scientifique de l'ESA, Barbara Symeon et Jarrett Dillenburger de l'Université du Luxembourg ont pu présenter leurs microsatellites qui ont vocation à se poser à la surface du satellite de la Terre. L'objectif? Comprendre la composition du sol sur la partie sud de la Lune, riche en eau et lumière. Obtenir de la data de la surface lunaire est très rare. Sélectionnés dans le cadre d'un programme étudiant en partie financé par l'agence spatiale américaine, les pensionnaires de l'Uni sont convaincus que le nouveau statut du Luxembourg dans le domaine spatial a été l'élément décisif. Interrogée par la presse lors de sa visite à l'Uni, la professeure Professor Carole Mundell, directrice scientifique de l'European Space Agency - ESA s'est montrée enthousiaste: «Le Luxembourg a atteint ses objectifs. Le pays a développé une ambition unique en la matière, avec de nouvelles idées et des talents qui n'ont plus besoin de s'expatrier». L'enjeu est également financier, et le soutien de l'ESA se révèle souvent indispensable pour mener des projets d'envergure. Après des années à travailler dans l'ombre, en particulier à la fin des années 2000, le Luxembourg avait émergé comme un acteur de premier plan dans l’exploration et l’utilisation des ressources spatiales au milieu des années 2010.

🚀 Les nommés dans la catégorie « mini lanceur français » sont…  Hier, l’Elysée a dévoilé le nom des quatre projets de mini lanceurs sélectionnés par le CNES qui se partageront une enveloppe de 400 millions d'euros. Permettez-moi de vous les présenter : ➡️ Du haut de ses 50 mètres, Maia, conçu par MaiaSpace se distingue par sa réutilisabilité, sa performance variant de 500 à 1500 kg en orbite basse selon que le premier étage est récupéré ou pas (et jusqu’à 3 tonnes avec un troisième étage optionnel), ➡️ Sirius 1, avec ses 25 mètres de haut, est développé par Sirius Space Services pour emporter 175 kg en orbite basse, préparant une future Sirius 13 elle aussi réutilisable, ➡️ Zéphir, le lanceur de Latitude de 19 mètres de haut, sera capable d’emporter 200kg en orbite basse et a déjà passé le cap de la production industrielle, ➡️ Avec ses 16 mètres, Orbital Baguette 1 (OB-1), le lanceur d’HyPrSpace, est capable d’emporter 250 kg en orbite basse et se distingue par sa motorisation. Seul lanceur à propulsion hybride du lot, il utilise du polyéthylène recyclé comme carburant. Ces quatre projets, par leur diversité et leur créativité, témoignent de la vitalité de l'innovation spatiale en France 🚀. Les lancements se feront entre 2026 et 2027 à Kourou, et c’est presque le souffle des pionniers ayant propulsé la France au rang des puissances spatiales en 1965 que l’on sent les porter. Félicitations à tous les quatre, et bonne continuation, car la prochaine étape, dès 2025, sera la sélection par l’Agence spatiale européenne des participants à la préparation de l'avenir de l’accès à l’espace européen !🏆 #innovation #space #technology Illustration : les quatre projets sélectionnés, à coté d’Ariane 6 pour donner l'échelle. L’infographie est de Andrew Parsonson. J’ai juste un peu allongé Zephyr pour le porter à 19 mètres.