Le groupe de semi-conducteurs a publié des résultats supérieurs aux attentes au titre du troisième trimestre et livré des perspectives un peu en dessous du consensus pour la fin d'année. Le groupe a surtout prévenu anticiper une baisse du chiffre d'affaires entre le dernier trimestre de 2024 et le premier de 2025.
La major pétrolière a livré des comptes trimestriels un peu justes au niveau du résultat net ajusté et de la génération de trésorerie. L'action accuse la deuxième plus forte baisse du CAC 40.
L'indice parisien évolue en net repli à la mi-séance de ce jeudi, journée très chargée en résultats d'entreprises. Si Airbus et Société Générale tirent leur épingle du jeu, ce n'est pas le cas de BNP Paribas et de Totalenergies.
La Commission européenne a validé ce jeudi les droits exclusifs accordés par l'Etat à l'opérateur de jeux d'argent après que la France se soit toutefois engagée à ce que FDJ ajoute un complément de prix de 97 millions d'euros.
Les deux banques ont publié ce jeudi leurs résultats trimestriels. La banque de La Défense a livré des performances supérieures aux attentes et a rassuré sur la trajectoire de ses revenus nets d'intérêt dans la banque de détail en France. C'est plus mitigé du côté de BNP Paribas.
Le chiffre d'affaires du constructeur automobile est tombé à 33 milliards d'euros au troisième trimestre, en baisse de 27%, en raison des difficultés sur les stocks aux Etats-Unis.
Les deux sociétés ont livré des comptes supérieurs aux attentes. Mais Microsoft a communiqué des perspectives décevantes pour Azure, sa division de cloud, tandis que Meta a prévenu que ses dépenses dans l'IA continueraient d'augmenter, ce qui rend les investisseurs sceptiques.
Le rival de Boeing a dévoilé des revenus et un résultat opérationnel assez nettement au-dessus du consensus. L'ensemble de ses perspectives pour 2024 sont réitérées.
Le spécialiste des matériaux et de la chimie de construction a livré des revenus en ligne avec les attentes au troisième trimestre et table sur une poursuite de l'amélioration séquentielle de son activité. La société entend désormais faire progresser sa marge d'exploitation en 2024, après les 11% atteints en 2023.
L'indice parisien évolue en net repli à la mi-séance, plusieurs valeurs ayant soit publié de mauvais résultats, soit été entraînées par les mauvais chiffres d'un comparable.
L'entreprise de services numériques a vu ses revenus reculer de 2,1% en données comparables au troisième trimestre, plus qu'attendu pour les analystes. La société a révisé à la fois ses perspectives de croissance et de marge opérationnelle pour l'année en cours.
La maison-mère de Google a nettement dépassé les attentes au troisième trimestre, que ce soit au niveau des revenus et que du bénéfice par action. Sa division de services cloud a accéléré, avec une croissance de 35% au troisième trimestre.
Cette expression renvoie aux comportements et aux anticipations de marché à l'aune du programme du candidat républicain à la Maison Blanche. Ce "Trump trade" a récemment gagné en puissance dans la mesure où les investisseurs intègrent de plus en plus une victoire de l'ex-président.
L'Autorité de la concurrence a validé ce mardi le rachat de cette activité par Trigano et ce sans conditions. En conséquence, la transaction sera finalisée d'ici à la fin de l'année civile, ont annoncé les deux entreprises cet après-midi.
Le CAC 40 avance à la mi-séance de ce mardi, alors que les investisseurs se préparent à analyser la prochaine vague de résultats.
Trump Media and Technology Group, entreprise qui chapeaute le réseau social Truth Social, a bondi de plus de 20% lundi et a quasiment triplé son cours de Bourse en l'espace d'un mois. L'action de la société est désormais perçue comme un indicateur avancé des paris sur une victoire du candidat républicain.
La banque canadienne a initié sa couverture à "surperformance" sur la société spécialisée dans les services aux collectivités, mettant en avant ses performances sur les coûts mais aussi ses avancées technologiques.
L'avionneur américain va émettre pour environ 19 milliards de dollars de titres afin de préserver une note de crédit qui est actuellement dans le viseur des agences de notation.
Le CAC 40 avance un peu ce lundi à la mi-séance, à l'aube d'une nouvelle semaine chargée en publications.
Le pétrole recule fortement ce lundi après que des frappes israéliennes ont épargné les infrastructures iraniennes, écartant le risque de perturbations de l'offre dans la région. Les compagnies aériennes bondissent, soutenues par la chute du brut.
Le plus grand indice de la Bourse de Francfort signe une progression remarquable depuis le début de l'année, alors que la conjoncture de la première économie de la zone euro s'avère maussade. Ce qui s'explique par sa forte internationalisation et la performance de certains de ses grands pensionnaires, comme SAP.
Le titre du spécialiste des services de VTC et de la livraison alimentaire a été porté par l'amélioration conséquente de ses résultats financiers. Plus récemment, la présentation pas folichonne des robotaxis de Tesla a réduit les craintes du marché quant à une intensification de la concurrence.
Le groupe pharmaceutique a dégagé des résultats très nettement supérieurs aux attentes au troisième trimestre et a confirmé sa cible de bénéfice net récemment relevée.
L'équipementier automobile a publié des revenus inférieurs aux attentes, abaissé sa cible de revenus pour 2024 et a retiré ses perspectives pour 2025 invoquant une "forte incertitude" autour des volumes de production de ses clients.
L'indice phare de la Bourse de Paris évolue en très légère hausse à la mi-séance de ce vendredi continuant à décortiquer une salve de résultats.
Le groupe de BTP et de concessions a livré des revenus inférieurs aux attentes au troisième trimestre, pénalisés par une dynamique plus faible chez Cobra IS, une filiale espagnole dédiée à la construction et l'ingénierie de grands projets énergétiques. L'entreprise a par ailleurs chiffré le coût de la surtaxe d'impôt sur les sociétés à environ 400 millions d'euros.
Le groupe agroalimentaire a livré une croissance supérieure aux attentes, grâce notamment à sa division de produits laitiers. Les objectifs 2024 sont confirmés.
Le spécialiste des pneumatiques a vu ses revenus reculer de 5,4% au troisième trimestre, plombés par une chute violente de plus de 7% des volumes de ventes. Le groupe a révisé à la baisse son objectif de résultat opérationnel des secteurs pour 2024.
L’indice parisien retrouve un peu d'entrain ce jeudi à la faveur de plusieurs résultats de sociétés bien accueillis.
Le spécialiste des solutions de paiement dans le monde du travail a, chose rare, livré une croissance assez nettement inférieure aux attentes. La société a par ailleurs donné des informations sur le risque réglementaire en Italie.
Radio 
