Catalogue de l'exposition "Le Maroc médiéval, 2014
Deux notes présenté dans le catalogue de l'exposition sur le Maroc médiéval. la première est cons... more Deux notes présenté dans le catalogue de l'exposition sur le Maroc médiéval. la première est consacrée à la constitution des collections de musées et la deuxième s'est attelée à retracer le processes de constitution des archives des monuments historiques et des sites du Maroc.
Methodes et techniques d'inventaire du patrimoine architectural et urbain. Présentation méthodolo... more Methodes et techniques d'inventaire du patrimoine architectural et urbain. Présentation méthodologique
Note sur les résultats des fouilles de sauvetage entreprises dans le parvis situé aux abords de l... more Note sur les résultats des fouilles de sauvetage entreprises dans le parvis situé aux abords de la mosquée almohade de la Koutoubiyya à Marrakech
With its origins in the protectorate era (1912-1956), Morocco’s national museum system has strugg... more With its origins in the protectorate era (1912-1956), Morocco’s national museum system has struggled to redefine itself over the last sixty years. Inheriting over a dozen regional museums of art, ethnography, and archaeology established in accordance with the French Protectorate’s ambitious preservationist campaign in Morocco, successive cultural administrations embarked upon varying projects to renovate the country’s museums and integrate them with shifting post-independence notions of national identity and development; and yet, by the beginning of the twenty-first century little had changed in the presentation and content of Morocco’s colonial-turned-national museums. In early 2011, however, King Mohammed VI of Morocco (r.1999 – present) announced the establishment of a new National Foundation for Museums (FNM), a private not-for-profit association that has since taken over management of fourteen public museums formerly administered by Morocco’s Ministry of Culture. Created by royal decree (dahir) only three months prior to the king’s ratification of a constitutional referendum in July 2011, the FNM is an important part of the current regime’s campaign to articulate a new relationship between the Moroccan state and its citizenry, one that is founded on principles of cultural pluralism and democratic participation. In this chapter, we consider the relationship between visibility and democracy in the space of the national museum and evaluate the FNM’s initial activities according to these interrelated concepts. We argue that the role the public museum might play in supporting democracy in Morocco will depend on what the national museum makes visible and, even more, who has the power to control this visibility.
L'archéologie islamique au Maroc entre le texte historique et l'enquête de terrain" in Acte du premier congrès national sur le patrimoine culturel marocain, 2018
Documentation du Patrimoine Culturel Marocain, DPCM, n°7 Revue de la Direction du Patrimoine Culturel , 2019
Ce document publié en 2019 par la Direction du patrimoine culturel du Maroc, fait partie du Fonds... more Ce document publié en 2019 par la Direction du patrimoine culturel du Maroc, fait partie du Fonds patrimonial du Service d'Art indigène dit "Fonds Prosper Ricard". Cet important fonds d’archives, témoigne en effet de l’immensité de l’œuvre scientifique et technique de Prosper Ricard qui a été le chef du Service des Arts Indigènes au Maroc de 1920 à 1935. Le document parut dans le n°7 de la série "Documentation du patrimoine culturel arocain", est un rapport inédit datant de 1908, établi par Prosper Ricard à l’époque où il occupait le poste de Directeur du Cours d’apprentissage d’Indigènes annexé à l’Ecole arabo-française d’Oran. C’est à cette époque qu’Hubert Lyautey, Commandant alors la Division d’ Oran, fit la connaissance de Prosper Ricard et fut intéressé par son travail qui lui valut une promotion au titre d’Inspecteur délégué pour l’enseignement artistique et industriel dans les écoles indigènes d’Algérie (1909-1914). Gagnant vite en notoriété, il part au Maroc en 1913 pour une mission de courte durée avant sa démobilisation sur ordre de Lyautey en mars 1915 pour un poste d’Inspecteur régional à Fès où il allait consacrer toute sa passion et son savoir-faire pour la connaissance et la revivification des arts traditionnels du Maroc. Cette expérience édifiante allait être par la suite étendue à tout l’horizon maghrébin.
Catalogue de l'exposition "Le Maroc médiéval, 2014
Deux notes présenté dans le catalogue de l'exposition sur le Maroc médiéval. la première est cons... more Deux notes présenté dans le catalogue de l'exposition sur le Maroc médiéval. la première est consacrée à la constitution des collections de musées et la deuxième s'est attelée à retracer le processes de constitution des archives des monuments historiques et des sites du Maroc.
Methodes et techniques d'inventaire du patrimoine architectural et urbain. Présentation méthodolo... more Methodes et techniques d'inventaire du patrimoine architectural et urbain. Présentation méthodologique
Note sur les résultats des fouilles de sauvetage entreprises dans le parvis situé aux abords de l... more Note sur les résultats des fouilles de sauvetage entreprises dans le parvis situé aux abords de la mosquée almohade de la Koutoubiyya à Marrakech
With its origins in the protectorate era (1912-1956), Morocco’s national museum system has strugg... more With its origins in the protectorate era (1912-1956), Morocco’s national museum system has struggled to redefine itself over the last sixty years. Inheriting over a dozen regional museums of art, ethnography, and archaeology established in accordance with the French Protectorate’s ambitious preservationist campaign in Morocco, successive cultural administrations embarked upon varying projects to renovate the country’s museums and integrate them with shifting post-independence notions of national identity and development; and yet, by the beginning of the twenty-first century little had changed in the presentation and content of Morocco’s colonial-turned-national museums. In early 2011, however, King Mohammed VI of Morocco (r.1999 – present) announced the establishment of a new National Foundation for Museums (FNM), a private not-for-profit association that has since taken over management of fourteen public museums formerly administered by Morocco’s Ministry of Culture. Created by royal decree (dahir) only three months prior to the king’s ratification of a constitutional referendum in July 2011, the FNM is an important part of the current regime’s campaign to articulate a new relationship between the Moroccan state and its citizenry, one that is founded on principles of cultural pluralism and democratic participation. In this chapter, we consider the relationship between visibility and democracy in the space of the national museum and evaluate the FNM’s initial activities according to these interrelated concepts. We argue that the role the public museum might play in supporting democracy in Morocco will depend on what the national museum makes visible and, even more, who has the power to control this visibility.
L'archéologie islamique au Maroc entre le texte historique et l'enquête de terrain" in Acte du premier congrès national sur le patrimoine culturel marocain, 2018
Documentation du Patrimoine Culturel Marocain, DPCM, n°7 Revue de la Direction du Patrimoine Culturel , 2019
Ce document publié en 2019 par la Direction du patrimoine culturel du Maroc, fait partie du Fonds... more Ce document publié en 2019 par la Direction du patrimoine culturel du Maroc, fait partie du Fonds patrimonial du Service d'Art indigène dit "Fonds Prosper Ricard". Cet important fonds d’archives, témoigne en effet de l’immensité de l’œuvre scientifique et technique de Prosper Ricard qui a été le chef du Service des Arts Indigènes au Maroc de 1920 à 1935. Le document parut dans le n°7 de la série "Documentation du patrimoine culturel arocain", est un rapport inédit datant de 1908, établi par Prosper Ricard à l’époque où il occupait le poste de Directeur du Cours d’apprentissage d’Indigènes annexé à l’Ecole arabo-française d’Oran. C’est à cette époque qu’Hubert Lyautey, Commandant alors la Division d’ Oran, fit la connaissance de Prosper Ricard et fut intéressé par son travail qui lui valut une promotion au titre d’Inspecteur délégué pour l’enseignement artistique et industriel dans les écoles indigènes d’Algérie (1909-1914). Gagnant vite en notoriété, il part au Maroc en 1913 pour une mission de courte durée avant sa démobilisation sur ordre de Lyautey en mars 1915 pour un poste d’Inspecteur régional à Fès où il allait consacrer toute sa passion et son savoir-faire pour la connaissance et la revivification des arts traditionnels du Maroc. Cette expérience édifiante allait être par la suite étendue à tout l’horizon maghrébin.
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en effet de l’immensité de l’œuvre scientifique et technique de Prosper Ricard qui a été le chef du Service des Arts Indigènes au Maroc de 1920 à 1935. Le document parut dans le n°7 de la série "Documentation du patrimoine culturel arocain", est un rapport inédit datant de 1908, établi par Prosper Ricard à l’époque où il occupait le poste de Directeur du Cours d’apprentissage d’Indigènes annexé à l’Ecole arabo-française d’Oran. C’est à cette époque qu’Hubert Lyautey, Commandant alors la Division d’ Oran, fit la connaissance de Prosper Ricard et fut intéressé par son travail qui lui valut une promotion au titre d’Inspecteur délégué pour l’enseignement artistique et industriel dans les écoles indigènes d’Algérie (1909-1914). Gagnant vite en notoriété, il part au Maroc en 1913 pour une mission de courte durée avant sa démobilisation sur ordre de Lyautey en mars 1915 pour un poste d’Inspecteur régional à Fès où il allait consacrer toute sa passion et son savoir-faire pour la connaissance et la revivification des arts traditionnels du Maroc. Cette expérience édifiante allait être par la suite étendue à tout l’horizon maghrébin.
en effet de l’immensité de l’œuvre scientifique et technique de Prosper Ricard qui a été le chef du Service des Arts Indigènes au Maroc de 1920 à 1935. Le document parut dans le n°7 de la série "Documentation du patrimoine culturel arocain", est un rapport inédit datant de 1908, établi par Prosper Ricard à l’époque où il occupait le poste de Directeur du Cours d’apprentissage d’Indigènes annexé à l’Ecole arabo-française d’Oran. C’est à cette époque qu’Hubert Lyautey, Commandant alors la Division d’ Oran, fit la connaissance de Prosper Ricard et fut intéressé par son travail qui lui valut une promotion au titre d’Inspecteur délégué pour l’enseignement artistique et industriel dans les écoles indigènes d’Algérie (1909-1914). Gagnant vite en notoriété, il part au Maroc en 1913 pour une mission de courte durée avant sa démobilisation sur ordre de Lyautey en mars 1915 pour un poste d’Inspecteur régional à Fès où il allait consacrer toute sa passion et son savoir-faire pour la connaissance et la revivification des arts traditionnels du Maroc. Cette expérience édifiante allait être par la suite étendue à tout l’horizon maghrébin.