Fondée en 1900, Audencia se positionne parmi les meilleures Ecoles de Management européennes. Régulièrement classée dans les premiers rangs mondiaux par le Financial Times, elle est accréditée EQUIS, AACSB et AMBA. Ainsi, Audencia fait partie du cercle très fermé des Business Schools détenant cette triple accréditation dans le monde.
Première Ecole de Management en France à adhérer à l’initiative Global Compact des Nations Unies, également signataire de leurs Principles of Responsible Management Education, Audencia s’est très tôt engagée à former et guider dans leur développement de futurs managers et entrepreneurs responsables. Audencia propose des programmes en management et en communication allant du bachelor au doctorat. Elle a signé des accords avec plus de 300 institutions académiques à l’étranger, et plus de 180 entreprises nationales et internationales.
Elle accueille plus de 5100 étudiants, dispose d’un corps professoral de près de 120 enseignants-chercheurs et d’un réseau de plus de 25 000 diplômés.
L’entreprise régénératrice renforce l’autonomie des communautés, la résilience et peut améliorer l’environnement. Le modèle RIFT peut aider les PDG à conduire ce changement.
Regenerative business empowers communities, boosts resilience, and can improve the environment. The RIFT model can help CEOs drive this shift, balancing profit with purpose for lasting, net-positive impact.
Les JO de Paris avaient d’importantes ambitions en matière d’économie circulaire. Si la nomination d’un responsable allait dans le bon sens, quel bilan affiche-t-il ?
Si de plus en plus de personnes souhaitent pratiquer un investissement favorable à l’environnement, toutes les solutions proposées n’ont pas le même effet sur la biodiversité.
Bakou s’implique dans la crise néo-calédonienne au nom de la « lutte contre la colonisation ». En réalité, l’objectif est de nuire à la France, considérée comme un soutien de l’Arménie.
Sur le papier, la France a été pionnière en matière de bilan carbone. Mais qu’ont vraiment changé les lois votées ? Comment les entreprises se sont-elles approprié ces textes ?
Plutôt que de multiplier règles et procédures, la création d’une culture favorisant la poursuite du bien commun est un outil puissant pour développer la motivation et l’engagement des salariés.
Pour répondre aux nouvelles demandes des consommateurs, les industriels multiplient les promesses. Toutes ne sont pas aussi efficaces sur la perception et les intentions d’achat des futurs clients ?
Le bio est de moins en moins bien mis en valeur dans les supermarchés, et ses promesses de bienfaits pour la santé comme pour l'environnement peinent à convaincre les consommateurs.
La densité urbaine, souvent associée à la surpopulation et aux nuisances, peut aussi être appréciée pour la proximité du logement aux commerces, et aux équipements et transports en commun.
Exigeants envers eux-mêmes comme envers les entreprises qu’ils accompagnent, les investisseurs à mission restent peu nombreux mais entraînent de plus en plus d’acteurs de la finance dans leur sillage.
Parmi les jeunes entrepreneurs, certains aspirent à aller toujours plus vite pour éviter l’ennui, être efficaces ou éviter les questions existentielles. D’autres valorisent la prise de temps.
Un projet de recherche revient sur le processus de délibération au sein d’un groupe d’experts aux visions divergentes qui a posé les jalons du texte européen visant à responsabiliser la finance.
Une étude récente montre que ceux qui se lancent dans une aventure entrepreneuriale en fin de carrière apportent des innovations plus radicales (et plus rémunératrices).