Œuvres complètes de Maximilien de Robespierre/Tome 1/Madrigal
Apparence
Œuvres complètes de Maximilien de Robespierre, Texte établi par Eugène Déprez, Ernest Leroux, , Première Partie : Robespierre à Arras (p. 223).
MADRIGAL[1]
- ↑ Cette pièce, dédiée à miss Orptelia Mondlen, que Robespierre aurait rencontrée à Paris, est la seule qui ait été publiée de son vivant, encore le fut-elle à son insu ; elle parut d’abord, sans signature, dans deux recueils de poésies : le Chansonnier des grâces et Quelques vers (Paris, Royer, 1787) ; trois ans plus tard, Suleau, rédacteur de la feuille royaliste. Les Actes des Apôtres, la publia de nouveau ; elle portait cette fois, le nom de Robespierre (1790, ch. V, p. 531).
Ces vers sont encore cités par Montlosier, au tome II de ses Mémoires ; par A. Vermorel, Œuvres de Robespierre, p. 4 et 5 ; par J.-A. Paris, dans la jeunesse de Robespierre, p. 73 ; par E. Lecesne, dans Arras sous la Révolution, t. I, p. 16, en note ; par Jean Bernard, dans quelques Poésies de Robespierre, p. 20 ; par E. Hamel, Histoire de Robespierre, t. I, p. 35 ; par le Dr Karl Brunnemann, dans Maximilien Robespierre, t. I, p. 40 ; l’autographe de cette poésie fut acheté 500 francs par un amateur (Bulletin du bibliophile belge, 1856, p. 225.)
- ↑ Éd. de J.-A. Paris, point et virgule.
- ↑ Éd. de J.-A. Paris, point et virgule. — Éd. de Lecesne et de E. Hamel,
deux points.