Vron
Vron | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | CC Ponthieu-Marquenterre | ||||
Maire Mandat |
Patrick Soubry 2020-2026 |
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Code postal | 80120 | ||||
Code commune | 80815 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vronais, Vronaises | ||||
Population municipale |
832 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 50″ nord, 1° 45′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 68 m |
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Superficie | 20,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Rue | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-de-vron.com | ||||
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Vron est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Depuis le , la commune fait partie du Parc naturel régional de la Baie de Somme Picardie Maritime.
La commune fait partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Vron est un village picard du Ponthieu situé à vol d'oiseau, à 7,8 km au nord-est de Rue[3], à 16,6 km au sud de Montreuil-sur-Mer[4], à 23,9 km au nord d'Abbeville[5] et à 60,6 km au nord-ouest d'Amiens[6].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes:
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal de Pende[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Authie ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Authie. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Canche Et Authie[7].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 24 km à vol d'oiseau[10], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,1 %), forêts (7,7 %), cultures permanentes (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), prairies (1,8 %), zones humides intérieures (0,1 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 456, alors qu'il était de 428 en 2014 et de 425 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 75,1 % étaient des résidences principales, 15,4 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vron en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15,4 %) supérieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,6 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Vron[I 2] | Somme[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 75,1 | 83,2 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 15,4 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,5 | 8,5 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Vron est desservi par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001), aisément accessible par l'autoroute A 16. Rue, le chef-lieu de canton est à 10 km, le chef-lieu d'arrondissement, Abbeville, se trouve à 25 km par la l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).
En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[18].
Énergie
[modifier | modifier le code]En 2018-2019, dix jeunes agriculteurs regroupés dans Vert Énergies ont envisagé l'installation d'un méthaniseur pour traiter les effluents de leurs exploitations. Ce projet, situé le long de l'ex-RN1 (actuelle RD 1001), à 900 mètres des premières habitations et à 650 mètres du coin de la première pâture, a fait l'objet d'un vote défavorable du conseil municipal du , craignant les nuisances[19].
En , le maire annonce l'abandon du projet[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Virrum (Gall. Christ.) en 1100, Vron (1160) donné par Alexandre, pape dans un cartulaire de Valloires et Verrow en 1218 (charte du comté de Ponthieu) sont des formes du nom donné à la localité. Suivront Verons en 1620 et Verderon en 1300 (reconnaissance de fief à l'abbaye de Corbie par Jean de Picquigny)[21].
Le nom de Vron est obscur, ce qui explique sans doute pourquoi Albert Dauzat, Charles Rostaing et Ernest Nègre n'ont pas étudié ce toponyme.
En revanche, le nom de la commune d'Avesnes, absorbée par Vron, appartient à toute une série toponymique, bien étudiée par les spécialistes. Il est mentionné sous la forme Avisnis dès 844[22]. Il s'agit d'un appellatif d'origine germanique, avisna / afisna signifiant « pâturage »[23],[24], commun dans le Nord, la Picardie, la Normandie, l'Île-de-France et l'ancien comté du Maine. Cf. Avesnes, Avernes et Authevernes. Ernest Nègre a voulu voir un bas latin avenesna qui a donné le mot d'oïl avesnesne « lieu propice à l'avoine », mot rarement attesté, ce qui contredit les formes anciennes de tous les Avesnes qui possèdent parfois des attestations remontant jusqu'au VIIIe siècle (toujours du type Avisnis), où n'apparaît jamais la forme *Avenesna. En outre, le sens de « pâturage » est clairement attesté, par exemple Les Avesnes (Seine-Maritime, Communes patures nommées les Avesnes dans le fief de Montérolier 1455).
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité et haut Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Une nécropole contenant des sépultures de l'époque romaine jusqu'au VIe siècle a été découverte. Une analyse plus précise du matériel archéologique des tombes et morphologique des squelettes a mis en évidence, selon l'archéologue et anthropologue Luc Buchet, un groupe d'individus du IVe siècle-Ve siècle formant un ensemble homogène qui se distingue morphologiquement des indigènes et se rapproche, par contre, des populations germaniques du Nord. Ils sont à l'origine du cimetière vers 370-375, dans la zone du litus Saxonicum. L'inhumation est pratiquée dans 92 % des cas, parfois avec des armes typiquement germaniques. Ensuite, vers 435-445, les inhumations se déplacent vers l'est avec alignement par rangées et on note pour la seconde moitié du Ve et le début du VIe siècle « une forte influence anglo-saxonne qui n'apparaît plus par la suite ». Le matériel archéologique saxon découvert dans ce secteur, la toponymie et les textes convergent pour confirmer l'installation de foederati saxons au service de Rome et leurs familles. Les travaux d'anthropologie de Blondiaux ont montré que les défunts provenaient de Basse-Saxe[25],[26].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Une congrégation de moines cisterciens s'établit à l'emplacement de l'actuelle ferme de Balance, jusqu'à ce qu'en 1137 le comte Guy II de Ponthieu les sollicite pour établir l'abbaye de Valloires. En 1158, ils s'installent définitivement dans ce monastère au bord de l'Authie[27].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]La faïencerie
[modifier | modifier le code]Vron fut le siège d'une faïencerie importante de la fin du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle : en 1798, Louis Marie Verlingue, d'origine flamande, fonde une faïencerie à Vron puis devint maire de la commune. À sa mort en 1810, son gendre, Jean-François Delahodde, continua la fabrication de faïence jusqu'à sa mort en 1840. Sa veuve, avec l'aide de son ouvrier-peintre Stroffe, poursuivit la production jusqu'en 1850, année de la disparition de la fabrique. Les différents peintres et dessinateurs ont été formés, pour la plupart, dans les faïenceries du Nord et du Pas-de-Calais[28],[29]. Le musée Boucher-de-Perthes d'Abbeville conserve une collection de faïences de Vron.
La râperie
[modifier | modifier le code]Une râperie dépendant d'une sucrerie proche basée à Rue, les Sucreries du Marquenterre exista à Vron au XIXe siècle[30].
Électeurs en 1849
[modifier | modifier le code]1849 : comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel.
- Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des électeurs :
Barbier | Bernard | Leroy | Petit | Sueur | Vasseur |
1 | 4 | 1 | 7 | 26 | 2 |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Rue[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 55 communes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la Communauté de communes Authie-Maye, créée fin 2007.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]À la rentrée de , le regroupement pédagogique concentré porté par la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, baptisé École des Horizons, regroupe les 128 élèves de Vron, Villers-sur-Authie, Nampont, Bernay-en-Ponthieu et Arry dans trois classes de maternelle et trois classes élémentaires. Un accueil périscolaire est organisé dès 7 h 30 et jusqu'à 18 h 30. La nouvelle structure a coûté 5,3 millions d'euros[38], malgré l'opposition de certaines des communes concernées, qui contestaient la fermeture de leurs écoles[39].
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Le village s'est doté d'une agence postale communale qui remplace l'ancien bureau de poste[40].
Santé
[modifier | modifier le code]Confrontée au départ à la retraite du praticien historique de la commune, la commune a aménagé en 2016 deux cabinets médicaux dans l'ancien logement du bureau de poste, permettant l'installation de deux doctoresses.
Le village dispose également d'un cabinet infirmier et d'une pharmacie[41].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2021, la commune comptait 832 habitants[Note 2], en évolution de −0,95 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Vron depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1831 avec 1 370 habitants.
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 419 hommes pour 417 femmes, soit un taux de 50,12 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La dixième édition de la Vronaise, une course de VTT, un trail, du vélo-famille, une marche et du trek & bike a réuni 1 152 sportifs en 2019[47],[48].
Économie
[modifier | modifier le code]La commune abrite plusieurs vergers, dont le Domaine de Moismont surtout orientés vers la production de pommes et poires[49].
Une unité de fabrication de desserts (pâtisseries, viennoiseries) du groupe Pasquier est implantée à Vron[50], ainsi que France Toner, distributeur d'encres pour imprimantes[51].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château d'Avesnes (XVIIIe siècle) et son parc[52],[53].
- Chapelle du château d'Avesnes.
- Église Saint-André (nef du XIXe siècle).
- Le bois des embuscades ou bois Périot. Entre autres, un carrosse chargé de vingt mille deniers royaux est pillé en 1719 (ou 1720). Les malfrats finiront exécutés et rompus sur la place d'Abbeville[54].
- Réplique de la grotte de Lourdes, rue de la Grotte. Un maçon la construit au début du XXe siècle sur une propriété privée. Elle passe ensuite en propriété communale[55].
- Monument aux morts du sculpteur Emmanuel Fontaine.
- Ruines du moulin : deux pans de murs envahis par la végétation, visibles en montant la côte.
-
Saint-André.
-
Bibliothèque et ancienne école des filles.
-
Ancienne école des garçons.
-
Panneau d'informations.
-
La grotte de Lourdes reconstituée.
-
Monument aux morts, près de l'église.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur à trois chevrons d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sophie Ryckeboer-Charrier (1964-), footballeuse internationale née à Vron.
- Gaston Caudron (1884 -1959), pionnier de l'aviation, décédé à Vron.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Accueil », sur mairie-de-vron.com (consulté le )
- « Dossier complet : Commune de Vron (80815) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Vron », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Vron » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Vron » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Vron ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Vron » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Vron - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Vron - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
- Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d'art et d'histoire» », Courrier picard, (lire en ligne)
- « Orthodromie entre Vron et Rue », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Vron et Montreuil-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Vron et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Vron et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
- « SAGE Authie », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vron et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
- Magali Mustioli-Herce, « Le projet de méthanisation crée l'émoi à Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Matthieu Herault et Claude Cailly, « Quatre raisons qui expliquent l'échec du projet de méthaniseur à Vron : Des élus parties prenantes. Une histoire d'hommes. Une veille d'élections municipales et un farouche opposant au projet. Les porteurs du projet de méthaniseur ont finalement décidé de faire machine arrière », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Mémoires de la société des antiquaires de Picardie, archives départementales de la Somme, Amiens, 1878, tome 2, p. 410 Lire en ligne sur le site des archives départementales, vue 208/267..
- Ernest Nègre Toponymie générale de la France (Lire en ligne)
- Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en Duitsland (vóór 1226), Deel I, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Nederlandistiek, 1960, p. 86 (lire en ligne) [1]
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard, p. 35 Avesnes-en-Bray et Avesnes-en-Val.
- Luc Buchet, « La recherche des structures sociales et des conditions de vie par l'étude des squelettes » in Les hommes du Moyen Âge, Dossier de l'archéologie no 208, p. 62.
- C. Seillier, La Présence germanique en Gaule du Nord au Bas-Empire, Revue du Nord, 1995, no 77.
- Site de la mairie.
- « Faience et faienceries de Vron », sur bookine.net via Wikiwix (consulté le ).
- Alexandra Mauviel, « L'avocat amiénois Philippe d'Hellencourt se passionne pour la faïencerie de Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Notice no IA00076641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- La révolution dans la Somme. Conventionnels, jacobins et soldats, Robert Legrand, 1988, p. 232, 233
- "Le Courrier picard", édition d'Abbeville, 26 mars 2017
- Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 3 avril 2014, p. 12..
- Claude Cailly, « Vron, élection sans surprise de Patrick Soubry », Le Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
- Claude Cailly, « Patrick Soubry présente la liste « Agir ensemble pour l'avenir de Vron » Les membres de la liste « Agir ensemble pour l'avenir de Vron ». », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Johann Rauch, « Vron : Retour en grâce pour Patrick Soubry : Exit les turbulences de la fin du mandat précédent, Patrick Soubry retrouve son siège de maire autour d'une équipe partiellement renouvelée », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Pour rappel du premier tour de scrutin des municipales, le premier tour a placé en tête des suffrages le maire sortant avec 66.5 % des suffrages (251 voix). Chacun des autres candidats soutenant le maire sortant ont réuni entre 57.29 % et 66.3 % des votes, face à un groupe dont aucun membre n'a été élu (Abstention 35.2 %) ».
- « Première rentrée au tout nouveau regroupement pédagogique concentré de Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Alexandra Mauviel, « Ponthieu-Marquenterre: la sectorisation gagne la partie : La requête des 14 communes s'opposant au vote de la sectorisation scolaire, portée par l'intercommunalité, a été rejetée par le tribunal administratif », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Magali Mustioli-Herce, « Braquage à l'agence postale communale de Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Claude Cailly, « VRON Un nouveau cabinet médical depuis le 1er décembre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vron (80815) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
- Johann Rauch, « La 11e Vronnaise reportée en 2021 : La 11e édition de la Vronnaise est reportée en 2021, plus d'un millier de déçus… », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
- Site de la Vronaise
- Vincent Beny, « A Vron, les enfants plantent des arbres fruitiers pour les futures générations d'élèves : L'école Des horizons de Vron s'est associée au domaine de Moismont pour découvrir le monde des vergers. Ils ont planté sept arbres fruitiers pour les futures générations d'élèves », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Je respecte une charte nationale qui s'appelle Les vergers écoresponsables ».
- « Le site du groupe ».
- Alexandra Mauviel, « Patron de France Toner, une PME installée à Vron, Jérôme de France veut « favoriser le pouvoir d'achat » : Le chef d'entreprise a fait de l'inflation un argument commercial pour vendre en ligne ses cartouches d'encre. Pour preuve, la dernière campagne publicitaire dans laquelle France Toner n'hésite pas à citer un poids lourd du marché mondial : Epson », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Parc du château d'Avesnes », notice no IA80000783, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jardin d'agrément du château Avesnes », notice no IA80000703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Gérard Devismes, Histoires insolites de Picardie maritime, La Vague verte, 2008.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 24.