Aller au contenu

Utilisateur:Thibaud4141/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

1A

CHÂTEAUX

.[1],[2]

Cet article recense les hôtels particuliers de Blois, en région Centre-Val de Loire, en France.

Seigneurs de Vienne connus

[modifier | modifier le code]
  • 1169 : Raymond[3]
  • 1104 : Thierry[4]
  • 1119 : Henri de Vienne[5]

Une première famille, sans doute proche des comtes thibaldiens de Blois, semble avoir été installée vers le XIe siècle. Le plus ancien seigneur connu est, d'après les études récentes de l'INRAP, Raymond de Vienne, cité en 1169[3]. Des sources plus anciennes citent d'autres personnalités, dont un certain Thierry en 1104[4] et un Henri de Vienne en 1119[5].

Cette famille est rarement mentionnée dans les archives du comté : le seigneur de Vienne n'est par exemple même pas nommé dans la Coutume de Blois[6], au contraire de son procureur qui le représente[7]. Il est également possible que la seigneurie n'ait pas été transmise de manière héréditaire mais au curé de l'église Saint-Saturnin[Note 1].

Vers le début du XIIIe siècle, la seigneurie semble avoir été transmise à une branche de la maison de Montoire-Vendôme, ancienne famille rivale des comtes de Blois jouissant d'une alliance croissante comme le suggère le mariage en 1213 entre Jean III de Vendôme et Marie de Châtillon, notamment[Note 2]. Sont ainsi mentionnés comme seigneurs de Vienne :

Sommaire :

Liste des quartiers de Blois

[modifier | modifier le code]

Le présent article présente l'ensemble des subdivisions de la ville française de Blois, située dans le département du Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

La ville est découpée en X quartier officiels, regroupés en cinq ensembles[11].

Quartiers Centre

[modifier | modifier le code]

Le centre-ville concentre naturellement l'essentiel de l'histoire de la ville, durant laquelle chaque quartier s'est construit une identité.

Du fait de la géologie particulière de la ville[Note 3], le centre de Blois s'est développé autour du vallon creusé par le ruisseau de l'Arrou, et en particulier à partir de sa confluence avec la Loire.

Ville basse

[modifier | modifier le code]

Bourg-Moyen

[modifier | modifier le code]

Puits-Châtel

[modifier | modifier le code]

Saint-Nicolas

[modifier | modifier le code]

Quartier du Foix

[modifier | modifier le code]

Ville haute

[modifier | modifier le code]

Éperon du château

[modifier | modifier le code]

Quartier de la Gare

[modifier | modifier le code]

Basses Granges-Cimetière

[modifier | modifier le code]

Quartier Médicis

[modifier | modifier le code]

Quartiers Sud

[modifier | modifier le code]

Les quartiers Sud correspondent à la partie rive gauche de la ville, aussi appelée « Blois-Vienne » ou « quartier Vienne ».

Héritage d'un village indépendant jusqu'en 1606, le quartier est connu pour avoir conservé un esprit de proximité avec la ruralité et la Loire.

Le parc des expositions de Blois ainsi que le dernier port fluvial de la ville, le port de la Creusille, se trouvent d'ailleurs en Vienne.

Quartiers Est

[modifier | modifier le code]

Quartiers Nord

[modifier | modifier le code]

Quartiers Ouest

[modifier | modifier le code]

La Quinière

[modifier | modifier le code]

Les Grouëts

[modifier | modifier le code]

Saint-Georges

[modifier | modifier le code]

Édifices religieux de Blois

[modifier | modifier le code]

La ville de Blois (Loir-et-Cher, Drapeau du Centre-Val de Loire Centre-Val de Loire) possède un riche patrimoine religieux : églises, abbayes, couvents et autres congrégations religieuses. Cette liste classe les édifices religieux en fonction de la religion.

Christianisme

[modifier | modifier le code]

Culte chrétien

[modifier | modifier le code]
Image Nom Période Quartier Notes
Cathédrale Saint-Louis XVIe siècle Haut-Bourg
Église Saint-Nicolas du Foix XIIe siècle

Quartier du Foix

Culte protestant

[modifier | modifier le code]

Autres églises

[modifier | modifier le code]

Édifices aujourd'hui disparus

[modifier | modifier le code]

Projet:Blasons/Demande de blason

[modifier | modifier le code]

┌─────────────────────────────────────────────────┘

Familles manquantes

[modifier | modifier le code]
  • Bélot
  • Bergevin
  • Boësnier
  • Boucherat
  • Bourdineau
  • Charron
  • Courtin
  • Dufort
  • Druillon
  • Guyon de Montlivault
  • Herry de Maupas
  • Johanne de Lacarre de Saumery
  • Mahy
  • Mesnard
  • Petit
  • du Plessis
  • de Réméon
  • de Saveuse
  • Thierry
Blason Blasonnement :
D’or au phénix de sable posé sur un bûcher de gueules, au chef d’azur chargé de trois coquilles d’argent[12],[13].

Familles ducales et comtales

[modifier | modifier le code]
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise
Première maison d'Orléans (ducs d'Orléans)

...

Deuxième maison d'Orléans (ducs d'Orléans)

D'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel à trois pendants d'argent.

Troisième maison d'Orléans (ducs d'Orléans)

..

Maison de Blois (comtes de Blois)

D'azur à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices d'or.

Maison de Châtillon (comtes de Blois)

...

Famille de Villebresme

[modifier | modifier le code]
Famille de Villebresme
Famille de Villebrême
Image illustrative de l’article Thibaud4141/Brouillon
Armes de la famille.

Blasonnement D'or au dragon ailé de gueules membré d'azur.[14]
Branches de Groislard de Villebresme
Période XIVe siècle – XVIe siècle
Pays ou province d’origine Comté de Blois (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Villebrême, Fossé, Fougères-sur-Bièvre, etc.
Demeures château de Boissay
château de la Boissière
château de Fossé
château de Fougères-sur-Bièvre
hôtel de Villebrême (Blois)
Preuves de noblesse
Montres anoblissement par lettres patentes en 1408[15], à Blois
confirmation en 1465

La famille de Villebresme (parfois écrit Villebrême) est une ancienne famille française de noblesse originaire du comté de Blois,

Le fief principal des Villebresme se trouve en un hameau homonyme de l'actuelle commune de Villebarou (Loir-et-Cher), mais des membres de la famille ont possédé d'autres seigneuries en pays blésois.

La famille de Villebresme s'est éteinte au XVIe siècle dans les familles de Refuge, de Groislard, .

Les sources pouvant se contredire, les origines de la famille de Villebresme sont incertaines[16].

Néanmoins, à l'instar des Morvilliers, les Villebresme semblent être à l'origine une famille de marchands spécialisés dans la production et le commerce textile, en particulier de draps[17],[18]. Devenus proches de la maison d'Orléans, dont les ducs vivent au sein du château de Blois depuis 1397[Note 4],

Dès 1404, la ville de Blois plaidait contre les Villebresme pour les obliger à se déclarer bourgeois[17].

Personnalités

[modifier | modifier le code]
  • Denys de Villebresme (), épousa en 1199 Jehanne de Marigny[19]
  • Pierre Ier de Villebresme († 1335), conseiller de Philippe IV le Bel puis procureur général au Parlement de Paris [19] entre 1323 et 1325, avait épousé Jeanne de Beauvoir ou Jeanne de Beauvais, de qui il eut 1) deux enfant : Mathias et Marie[20] ou 2) trois enfants : Pierre II, Jacques et Marie[21]
  • Jean Ier de Villebresme, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, chambellan du duc ou comte(?) Charles III d'Alençon[22], fils de Jean II et de Marguerite de Refuge(?)
  • Marie de Villebresme, fille de Pierre Ier, épouse de Philippe Ier Hurault († 1364)[20], remariée en 1352(?) à Guillaume Le Jay [Anselme]
  • Michel de Villebresme († 1413), bourgeois de Blois en 1375, devint secrétaire du duc Louis Ier d'Orléans[23],[Note 4]
  • Pierre II ou III de Villebresme (???), écuyer du duc Charles d'Orléans en 1418[23], secrétaire des commandements du duc Louis Ier d'Orléans, père de : Jean, François et Macé Ier[21]
  • François Ier de Villebresme, fils de Pierre II et frère de Jean II et Macé Ier, fut trésorier du duc d'Orléans[24], chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, trésorier du duc Louis II d'Orléans[22], puis receveur et conseiller de Louis XII[25], aurait épousé Catherine du Lys[22],[26] (fille de Pierre d'Arc et nièce de Jeanne d'Arc) ; Cette alliance est remise en doute par Jules Doinel[27]
  • Marie de Villebresme, fille de François et de Catherine du Lys (elle-même fille de Pierre d'Arc, donc Marie est petite-nièce de Jeanne d'Arc[26]), épousa Jacques Le Fournier[24]
  • Jean II de Villebresme, chancelier de France en 1423 sous Charles VII (Note usurpation guerre de 100 ans)[22], maître des eaux et forêts en 1447[23]
  • Guyon de Villebresme, bourgeois de Blois en 1409[18]
  • Jean II ou III de Villebresme, fils de Guyon, élu de la ville en 1451, mort vers 1462[18]
  • Jean (IV?) de Villebresme (???), notaire et secrétaire du roi en 1497[23]
  • Jean III de Villebresme († 1490), écuyer, seigneur de Boissay, de Plissot-lèz-Beaugency et de Fougères-sur-Bièvre suite à son mariage avec Marie de Refuge, dame de Refuge[28] ; eurent 2 enfants : Jean IV et Marie[29]
  • Jean IV de Villebresme († 1528), fils de Jean III, chambellan ordinaire du duc Charles IV d'Alençon, nommé sénéchal de Rodez en 1516[30]
  • Jean (IV?) de Villebresme acquiert en 1528 le château de Roujoux, à Fresnes
  • Pierre de Villebresme, fils de Jean IV?, a fait construire en 1549 l'aile gauche du château de Roujoux, à Fresnes,[31] a eu 3 enfants: Jean (V?), Antoine, Marie
  • Macé Ier de Villebresme (???), écuyer de cuisine au service du duc Louis Ier d'Orléans, capitaine de Chambord (encore en 1499)[23],[22]
  • Marc de Villebresme, artiste contemporain de Charles d'Orléans[32]
  • Marc de Villebresme, valet de chambre du duc en 1484[33], puis conseiller et maître d'hôtel du duc Louis II d'Orléans[34]
  • Macé II de Villebresme (???), maître des eaux et forêts entre 1461 et 1478[23],[22] ; maître d'hôtel de Marie de Clèves et ambassadeur à Rome en 1517, capitaine de Chambord de 1478 à 1503, fils de Jean (Ier?) de Villebresme, petit fils de Guyon ; ami du poète Crétin[35]
  • Mathieu de Villebresme, capitaine du port de Villeneuve, proche d'Avignon en 1431[36]
  • Marie de Villebresme, fille de Macé II et cousine de François, épousa Denis de Musset en 1449[37] ou en 1478/79[38]
  • Michel de Villebresme, frère de Macé II, garde des clés de la ville de Blois, maître d'hôtel d'Anne de Beaujeu[23] (1485/1490)
  • Anne de Villebresme, première épouse de Jean d'Arc (belle-sœur de Jeanne d'Arc) : un enfant, Marguerite d'Arc[39]
  • Guillaume de Villebresme, l'Aîné (né en 1416), ??? de la duchesse Marie de Clèves, puis du duc Charles d'Orléans, puis de Charles VII, puis de Louis XI
  • Guillaume de Villebresme, le Jeune, fils du précédent, secrétaire de la duchesse d'Orléans en 1478[40]
  • Jeanne de Villebresme, épousa Jean de Bonnas, et eurent une fille, Jeanne de Bonnas, qui épousa Simon de Musset[41]
  • Jacques de Villebresme, fils de Guillaume, chapelain de Coucy
  • Guillaume de Villebresme, grenetier au grenier à sel d'Orléans[23], neveu de Guillaume de Moulins († 1503), de qui il hérita en 1503 la seigneurie du Quartier à Mont[42]
  • Pierre de Villebresme (???), prieur commendataire à Blois[23]
  • Jean II de Villebresme († ???), fils de Jean Ier
  • Isabeau de Villebresme (???), fille de Jean, dame de Saint-Lubin, a épousé Étienne Ier de Morvillier
  • Louis Ier de Villebresme († 1561), fils de Jean IV[30], maître des comptes de Blois, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, Rougemont, Boissay, Ramoulu et le Pissot, épousa Jeanne de Moulins, dame de Mons, Vaurobert et Villedy[19],[42]
  • Jeanne de Villebresme, fille de Louis Ier, épousa en 1575 Pierre Ier de Groislard[19] > Branche de Groislard[22]
  • Charles († 1573) & Louis II de Villebresme, frères de Jeanne, morts sans postérité[22],[30]
  • François Ier de Villebresme († v. 1601) frère des précédents, céda ses domaines à sa sœur Jeanne[22], avait épousé Françoise d'Échelle, dame de Marmagne[43]
  • François II de Villebresme († 1626), fils aîné de François Ier, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre[43]
  • Jacques de Villebresme, fils de François II[43]
  • Guillaume de Villebresme, fils aîné de Jacques, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, mort sans enfants[43]
  • Françoise de Villebresme, fille de Jacques[43]
  • Claude I de Villebresme, seigneur de Fougères-sur-Bièvre et de Boissay, épousa Soulaine Hurault de Saint-Denis (fille de Denis II), fils de Jean et Adrienne de Brisay[29]
  • Jacques de Villebresme, fils de Claude et Soulaine, écuyer et seigneur de Boissay, épousa Marguerite de Moulins en 1578[42]
  • Claude II de Villebresme, frère cadet du précédent, seigneur de la Mahoudière, épousa Louise de Moulins (sœur de Marguerite) en 1578[42]
  • Louis de Villebresme, seigneur de Mons en 1569[44]
  • Jean de Villebresme, archidiacre de Blois en 1470
  • Bertaut de Villebresme, ancien serviteur de duc Charles, devenu prévôt de Blois en 1461
Portrait Nom Règne Titres Notes
Jean de Morvillier
(† ???)
??? – ???

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de Magny 1854] Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel, ou Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, , 246 p. (ISBN 978-1-022-31527-3, lire en ligne Accès libre), p. 129–136.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de Saint-Allais 1815] Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, t. 3, (lire en ligne Accès libre), p. 48–49.
  • Fonds Louis de La Saussaye, dans les archives publiques municipales de Blois et du département du Loir-et-Cher, sur Culture41


Descendants de Louis

[modifier | modifier le code]

Louis avait épousé en 1828 la richissime Amélie Petit-Parreau de La Coudraye[45]. Plusieurs enfants naquirent de cette union, dont :

Famille Mahy

[modifier | modifier le code]

Famille (de) Mahy
Image illustrative de l’article Thibaud4141/Brouillon
Armes de la famille.

Blasonnement D'argent à l'aigle éployée de gueules, au chef d'azur surchargée de trois molettes d'éperon d'or[49].
Branches d'Argis (éteinte)
de l'Aubépin (éteinte)
de Chéry (éteinte)
de Chevenelles (éteinte)
de Chitenay (éteinte)
de Cormeray (éteinte)
du Coudray (éteinte)
de la Couplière (éteinte)
de Favras (éteinte)
des Montils (éteinte)
de Plainville (éteinte)
du Plessis (éteinte)
de Pontchardon (éteinte)
de Savonnières (éteinte)
Période XVe siècle – XVIIIe siècle
Pays ou province d’origine Comté de Blois (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus L'Aubépin, Chitenay, Chéry, Chevenelles, Cormeray, Favras, Savonnières, etc.
Titres obtenus seigneurs, barons, marquis
Demeures château de l'Aubépin
château de Chitenay
château de Cormeray
château de Favras de Feings
Charges Député de La Réunion
Ministre de l'Agriculture
Ministre des Colonies
Récompenses civiles ordre du Mérite agricole

La famille Mahy (parfois appelée de Mahy) est une famille française éteinte de , originaire du Blésois, puis qui s'est fixée en Sologne, à La Réunion et aux États-Unis.

Un premier Jean Mahy apparaît au tout début du XVe siècle, mentionné en 1401 comme bourgeois de Blois et receveur des finances du duc Louis Ier d'Orléans[49]. Comme d'autres familles locales[Note 5], les Mahy semblent ainsi avoir un peu profiter de la présence de la cour ducale à Blois depuis 1397, puis de l'accession au trône de Louis XII en 1498 pour entamer leur ascension sociale.

Un deuxième Jean Mahy est ensuite cité en 1566, sous Charles IX, comme figurant dans une assemblée de notables de Blois[49].

Ascension sociale

[modifier | modifier le code]

Un troisième Jean Mahy est mentionné comme échevin le siècle suivant[49]. Il est également bourgeois de Blois, écuyer, conseiller du roi et avocat général à la Chambre des comptes[12]. En 1698, il acquiert la seigneurie de Savonnières[Fief 1],[12].

En 1707, François Mahy, alors chanoine à la nouvelle cathédrale Saint-Louis de Blois, fait une donation en faveur de l'hôtel-Dieu[49].

En 1719, un Jean-Guillaume († 1747), alors greffier en chef de la Chambre des comptes de Blois, fait acquisition du château de Chitenay, situé dans la baronnie de Cormeray, qui relève du fief de Mondoubleau. De ce fait, il obtient le droit de haute, moyenne et basse justice sur un territoire réunissant les actuelles communes de Chitenay, de Cormeray, de Feings, d'Ouchamps et de Seur[49].

En 1734, Adam-François-Melchior Mahy du Plessis († 1789), alors écuyer, conseiller du roi et auditeur à la Chambre des comptes de Blois[50], acquiert la seigneurie de l'Aubépin[Fief 2],[51].

Fils de Jean-Guillaume, Guy-Guillaume († 1771) succéda à son père en 1747. Ce dernier était également conseiller du roi et receveur général des domaines du comté de Blois et du duché de Vendômois[49].

Marié en secondes noces à Thérèse Charpentier, Guy-Guillaume eut quatre fils[52]. L'aîné, Guillaume-François de Mahy (né en 1739), fut fonctionnaire du contrôle général, receveur général des domaines et bois, et choisi par Necker pour diriger le Bureau pour la refonte des traites. Le cadet, Thomas de Mahy (1744–1790), surnommé le Marquis de Favras, fut premier lieutenant du comte de Provence et frère du roi Louis XVI, le futur Louis XVIII. Le troisième, Édouard de Mahy de Chevenelles, fut officier au sein des troupes de la colonie de Saint-Domingue, dans les Antilles[52]. Le benjamin, Charles-Louis de Mahy de Chitenay, s'est engagé dans la Compagnie française des Indes orientales où il fut interprète du gouvernement français en persan et en indoustan. Dans une situation similaire au blésois François-de-Paule de La Saussaye, il est fait prisonnier de guerre en 1780 au Bengale[53].

Pendant la Révolution

[modifier | modifier le code]

En , plusieurs membres de la famille sont appelés à participer à l'assemblée de la noblesse blésoise en vue des États Généraux convoqués par Louis XIV, à Versailles. À Blois, sont notamment présents Guillaume Mahy du Coudray, Mahy d'Argis, Adam Mahy du Plessis, Louis-Timothée Mahy de Pontchardon ainsi que dame Claude-Louise Mahy en tant que veuve de César-Nicolas Texier de Russy[54].

Comme toutes les familles nobles de France, la famille perd tous ses privilèges féodaux en conséquence de la nuit du 4 août 1789.

Grand soutien de la cause royaliste lorsqu'éclate la Révolution, Thomas de Favras est soupçonné de préparer l’évasion de Louis XVI et, en conséquence, est condamné à mort par pendaison début , en faisant une des premières victimes politiques de la Révolution[Note 6]. Durant son procès, sa defense fut assurée par son frère aîné.

En 1793, Charles-Louis décide d'émigrer à Philadelphie (États-Unis), avant de revenir en France après la signature du traité d'Amiens en 1802[53].

En récompense de ses services passés, Charles-Louis reçut une rente de 600 francs accordée par Napoléon Ier[55].

La fille d'Adam de Mahy du Plessis, Marie-Madeleine († 1829), épousa Guillaume-François de La Saussaye († 1793). Le couple n'eut cependant pas de descendance[56].

Sur l'île de La Réunion

[modifier | modifier le code]

Le basculement de la Révolution dans la Terreur, à partir de 1792, incite un François de Mahy quitte Bourges et son Berry natal pour s'installer sur l'île Bourbon (actuelle île de La Réunion)[57][source insuffisante]. Il y épouse Florence Dennemont, issue d'une famille ancienne de l'île, et avec qui il eut un fils, François-Césaire. Né en 1795, François-Césaire fut d'abord officier de la milice de Bourbon puis receveur de l'enregistrement de 1819 jusqu'en 1842, avant d'être nommé maire de Saint-Pierre-de-Bourbon en 1841[57].

Né en 1830 à Saint-Pierre, son fils François Césaire est d'abord docteur en médecine avant devenir en 1870 l'un des deux députés attribués à La Réunion, lors des premières élections législatives de l'île sous la Troisième République[58],[57]. Rallié à la Gauche républicaine, il conserva son siège à l'Assemblée nationale (devenue Chambre des Députés en 1875) jusqu'à sa mort en 1906, et fut également nommé ministre de l'Agriculture en 1882 puis ministre des Colonies en 1884 ainsi qu'en 1887[57].

Généalogie simplifiée

[modifier | modifier le code]

À l'origine, la famille Mahy portait des armes « d’argent à l’aigle éployée de gueules, au chef d’azur surchargée de trois molettes d’éperon d’or »[49].

En Alsace, la famille a porté une variante « à l’aigle essorant de sable »[59].

À l'occasion de la Grande enquête sur la noblesse commandée par Louis XIV, la branche blésoise les a officialisées dans les années 1690 « d’argent au pin fruité de sinople, accompagné en pointe de deux touteaux de gueules »[58].

À Moulins, la branche cadette portait une variante de couleurs : « d’azur à l’aigle éployée d’or, au chef de sable chargé de trois étoiles d’argent »[58].

Enfin, à Thouars, le chirurgien Maître de Mahy portait « de sinople à neuf perles d’argent en orle »[60].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les noms des seigneurs connus de Vienne ne coïncident pas avec ceux des abbés de Saint-Laumer, desquels dépendait l'église Saint-Saturnin.
  2. Autre signe de leur paix, les comtes Bouchard VI de Vendôme et Guy Ier de Blois-Châtillon ont signé, sans aucune guerre préalable, un traité en 1329 fixant une frontière sans enclaves entre leurs deux comtés.
  3. Blois s'est développé sur la confluence de la Loire et du ruisseau de l'Arrou, qui a sculpté le paysage d'une ville avec deux promontoires.
  4. a et b Le comté de Blois a été acquis en 1392 par le duc Louis Ier d'Orléans, qui en prit pleinement possession en 1397 à la mort du dernier comte héréditaire de Blois, Guy II de Blois-Châtillon.
  5. Voir notamment les articles Maison Phélypeaux, Famille Hurault, Famille de Morvilliers et Famille Viart.
  6. À ce moment, Louis XVI était assigné à résidence au sein de palais des Tuileries. La famille royale ne tenta une évasion qu'en lors de la fameuse fuite de Varennes. Une fois ramené à Paris, le roi fut contraint d'accepter la monarchie constitutionnelle en .
  1. Sur le territoire de l'actuelle commune d'Ouchamps (Le Controis-en-Sologne).
  2. Sur le territoire de l'actuelle commune de Saint-Gervais-la-Forêt.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. VI, Paris, , p. 270
  2. André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, vol. XV, Bureau de la publication, (lire en ligne Accès libre), p. 270–271
  3. a et b « Faubourg de Vienne à Blois : Découverte d’un site médiéval et d’un logis Renaissance » Accès libre, sur le site de l’INRAP, (consulté en )
  4. a et b Louis-Augustin Getty Research Institute, Le Château de Chaumont dans l'histoire et les arts, Tours : A. Mame, (lire en ligne)
  5. a et b https://books.google.es/books?id=Ddo4AAAAMAAJ&q=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&dq=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&hl=es&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&ovdme=1&sa=X&ved=2ahUKEwiE7-inkKmHAxXRVKQEHaSsC00Q6AF6BAgFEAM#%20%22Vienne-lez-Blois%22
  6. Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, (ISBN 978-2-85157-036-9, lire en ligne), p. 222
  7. (la) Denis Dupont, Dionysii Pontani, Advocati Blesensis Iuris usque forensis consultissimi, in Cosuetudines Blesenses commentariorum tomi II: quorum primus à centum & viginti annis editus, iterum prodit emendatior, Apud Joannem Guignard, (lire en ligne), p. 5
  8. Dominique Barthélemy, « Les chartes de Freschines (1153–1263) et les destinées d'une coseigneurerie », Revue Mabillon, vol. 6,‎ , p. 69 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  9. https://books.google.es/books?id=Ddo4AAAAMAAJ&q=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&dq=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&hl=es&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&ovdme=1&sa=X&ved=2ahUKEwiE7-inkKmHAxXRVKQEHaSsC00Q6AF6BAgFEAM#%22Vienne-l%C3%A8s-Blois%22
  10. https://books.google.es/books?id=eK8-AQAAMAAJ&pg=PA691&lpg=PA691&dq=%22seigneur+de+Vienne+lez+Blois%22+Blois&source=bl&ots=36_qEnaSSi&sig=ACfU3U2yYE8MP8t2eqRHqxlqA2FNc8vFVg&hl=es&sa=X&ved=2ahUKEwjiyJOdnKmHAxWZVPEDHXAwDO0Q6AF6BAgPEAI#v=onepage&q=%22Vienne%20lez%20Blois%22&f=false
  11. « Carte des quartiers de Blois », sur Ville de Blois (consulté en )
  12. a b et c Louis de La Saussaye, Blois et ses environs : Guide artistique et historique dans le Blésois et le Nord de la Touraine, Blois, Chez tous les libraires, , 4e éd. (lire en ligne Accès libre), p. 393
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées d'Hozier-527
  14. de Magny 1854, p. 129.
  15. Armand de Maude, Bulletin de la Société archéologique du Vendômois, Société archéologique du Vendômois, (lire en ligne Accès libre), « Essai sur l'armorial du Vendômois », p. 122
  16. Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, (ISBN 978-2-85157-036-9, lire en ligne Accès libre), p. 228
  17. a et b Jacques Soyer et Guy Trouillard, Cartulaire de la ville de Blois (1196–1492), recueil manuscrit du XVe siècle conservé à la Bibliothèque nationale, (lire en ligne Accès limité), p. 430
  18. a b et c Jean Martellière, Les Annales fléchoises et la vallée du Loir : revue historique, archéologique, artistique et littéraire, Besnier, (lire en ligne Accès libre), « Les racines vendômoises de la maison de Musset », p. 33–35
  19. a b c et d de Magny 1854, p. 130.
  20. a et b Jules Viard, « Lettres d'État enregistrées au Parlement sous le règne de Philippe VI de Valois (1328–1350) », Annuaire-Bulletin de la Société de l'histoire de France, vol. 34, no 2,‎ , p. 201 (ISSN 0399-1350, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  21. a et b Maurice Garsonnin, Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XIV, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais (no 182), (lire en ligne Accès libre), « Marie de Villebresme appartient-elle à la famille de Jeanne d'Arc ? », p. 157
  22. a b c d e f g h et i de Magny 1854, p. 131.
  23. a b c d e f g h et i René de Maulde-La Clavière, Histoire de Louis XII, t. I, E. Leroux, , 1re éd. (lire en ligne Accès libre), p. 346–348
  24. a et b Ernest de Bouteiller et Gabriel Braux, La famille de Jeanne d'Arc : documents inédits, généalogie, lettres de Jean Hordal et de Claude du Lys à Chatherine du Lys, A. Claudin, (lire en ligne), p. 149–155
  25. Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XVII, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais, (lire en ligne Accès libre), « La famille de Jeanne d'Arc : son séjour dans l'Orléanais d'après des titres authentiques découverts récemment », p. 136
  26. a et b Gilles-André de La Roque, Traité de la noblesse et de toutes les differentes espèces, Rouen, Pierre Le Boucher & Jore Père et Fils, , 2e éd. (lire en ligne Accès libre), p. 151
  27. Jules Doinel, Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XVII, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais, (lire en ligne Accès libre), « Nouveaux documents sur Jean du Lys, neveu de Jeanne d'Arc », p. 194
  28. Storelli 1884, p. 3.
  29. a et b Philippe des Forts, Le Chateau de Villebon (Eure-et-Loir) : étude historique et archéologique, Auguste Picard, (lire en ligne Accès limité), p. 215
  30. a b et c Storelli 1884, p. 4.
  31. Patrizia Fabbri, Art et histoire, châteaux et villes de la Loire, Casa Editrice Bonechi, (ISBN 978-88-476-1864-0, lire en ligne), p. 59
  32. Francois Tissard Et Jerome Aleandre, Slatkine (lire en ligne)
  33. France Ministère de l'education nationale et des beaux-arts, Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, (lire en ligne)
  34. Archives départementales du Loiret, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Série A., nos. 1 a 1799, Imprimerie administrative de Paul Dupont, (lire en ligne)
  35. Laurence Marois, « L'Hystoire romaine de la belle Cleriende de Macé de Villebresme, à la croisée de l'épître et de l'élégie », Renaissance and Reformation / Renaissance et Réforme, vol. 34, no 4,‎ , p. 5–21 (ISSN 0034-429X, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  36. Simone Balossino, « Le long chantier du XVe siècle », dans Le pont d’Avignon : Une société de bâtisseurs (XIIeXVe siècle), Éditions Universitaires d’Avignon, coll. « Passion du patrimoine », , 181–212 p. (ISBN 978-2-35768-138-5, lire en ligne)
  37. Ernest de Bouteiller et Gabriel Braux, La famille de Jeanne d'Arc : documents inédits, généalogie, lettres de J. Hordal et de Cl. Du Lys à Ch. Du Lys, A. Claudin, (lire en ligne), p. 110
  38. de Saint-Allais 1815, p. 49.
  39. Philippe Contamine, Olivier Bouzy et Xavier Hélary, Jeanne d'Arc : Histoire et dictionnaire, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1214 p. (ISBN 978-2-221-10929-8, présentation en ligne), p. 550
  40. Léon de Laborde, Les ducs de Bourgogne : études sur les lettres, les arts et l'industrie pendant le XVe siècle et plus particulièrement dans les Pays-Bas et le duché de Bourgogne, t. III, Paris, Plon Frères, (lire en ligne Accès libre), partie 2, p. 419
  41. de Saint-Allais 1815, p. 48.
  42. a b c et d Antoine Marie : d' Hozier de Sérigny, Armorial général, ou Registres de la noblesse de France. Registre premier [-sixiéme], de l'imprimerie de Pierre Prault, imprimeur des Fermes & Droits du roy, Quay de Gêvres, au Paradis, (lire en ligne)
  43. a b c d et e Storelli 1884, p. 5.
  44. Louis de La Saussaye, Le vie et les ouvrages de Denis Papin, C. Migault, (lire en ligne), p. 19
  45. Jean-François Condette, Les recteurs d'académie en France de 1808 à 1940 : La formation d'une élite administrative au service de l'Instruction publique, Institut national de recherche pédagogique, Service d'histoire de l'éducation, (ISBN 978-2-7342-1045-0), p. 315
  46. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Péan-66
  47. a et b Louis de Magny, Armorial de la France, Paris, Aux Archives de la Noblesce, (lire en ligne), p. 14
  48. Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, t. 5, Paris, Société héraldique et généalogique de France, (lire en ligne Accès libre), p. 355–356
  49. a b c d e f g et h Lecoq 1955, chap. II.
  50. Archives départementales du Loir-et-Cher, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Loir-et-Cher. Clergé séculier, t. I, Impr. C. Migault, (lire en ligne Accès libre)
  51. Mairie de Saint-Gervais-la-Forêt, « Patrimoine » Accès libre [PDF] (consulté le )
  52. a et b Jacques-Antoine Dulaure, Histoire critique de la noblesse, depuis le commencement de la monarchie, jusqu'à nos jours, Chez Garnéry, (lire en ligne Accès libre), p. 55–56
  53. a et b Feuilles d'histoire du XVIIe au XXe siècle, t. V, Roger et F. Chernoviz, (lire en ligne), « En marge de l'affaire Favras », p. 308–309
  54. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes en 1789 et des familles anoblies ou titrées depuis le Premier Empire jusqu'à nos jours (1806–1866), t. II, Paris, E. Dentu, (lire en ligne), « Catalogue des gentilshommes de l'Orléanais, Blaisois, Beauce et Vendômois », p. 10 et 14
  55. Lecoq 1955, chap. XIV.
  56. Alonso Péan, Histoire généalogique de la maison de La Saussaye, en Orléanais, Lyon, Louis Perrin, (lire en ligne Accès libre), p. 63
  57. a b c et d Daniel Varga, « François Césaire de Mahy, un parlementaire réunionnais de premier plan sous la IIIe République le modèle d’une élite à la recherche de solutions extérieures aux problèmes de l’île », Revue historique de l'océan Indien, no 13,‎ , p. 387–400 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  58. a b et c André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, t. XXX, Bureau de la publication, (lire en ligne Accès libre), p. 402–403
  59. Charles René d'Hozier et Kevin J. Smith (révision), Armorial général de France, t. 4 : Armorial de la Généralité d'Alsace, Houston, (ISBN 978-1-716-44328-2, lire en ligne Accès libre [PDF]), p. 294
  60. André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, t. XXV, Champion, (lire en ligne Accès libre), p. 396

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Généalogie simplifiée

[modifier | modifier le code]

 
 
Jean
(† ???)
 
 
Jean II
(† ???)
 
 
Jean III
(† 1458)
 
 
Guillaume Ier
(† 1525)

famille de Moulins

famille
Hurault
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

famille Phélypeaux
Jacques Ier
(† 1550)
 
 
 
Jeanne de Moulins
(???)
 
 
 
 
 
 
 
 
Françoise Le Picard
(???)
 
 
 
 
 
Jacques II
(† 1582)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche de Beauce
 
 
branche de Bourgogne
Jacques III
(† ap.1597)
Claude
(† ???)
Raymond
(† ???)
 
 
 
 
 
 
Jacques IV
(† ???)

famille Bégon
Guillaume II
(† 1638)
 
 
 
 
Nicolas
(† 1657)
François Ier
(† 1649)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche de la Motte d'Usseaubranche de Chalvossonbranche de Pimelles
Guillaume III
(† 1706)
Jacques
(† 1699)
Claude
(† ap.1693)
François
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche Desfrants
 
 
 
 
Guillaume-Charles
(† 1753)
Louis-André
(† ???)
Henri
(† 1760)
François
(† ???)
Artus-Alexandre
(† 1699)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles-Nicolas
(† ???)
Jacques-Joseph
(† ???)
Henri-Auguste
(† 1774)
Claude-Marie
(† ???)
Louis-Alexandre-Charles
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles
(† ???)
Henri-Louis
(† ???)
Jean-Jacques-François-Catherine
(† ???)
Henri-Noël-Auguste
(† ???)
Guy-Bernard
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles-Henri
(† 1795)
Henri-François-Catherine
(† ???)
Artus-Alexandre
(† ???)
Claude-Maurice
(† ???)
 
 

Liste des seigneurs, vicomtes puis comtes de Cheverny

[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Cheverny est une ancienne seigneurie féodale du Blésois ayant eu Cheverny (actuel Loir-et-Cher) comme capitale.

Seigneurie de Cheverny

14901790

Blason
Blason de la famille Hurault, visible sur le blason moderne de la commune de Cheverny
Description de cette image, également commentée ci-après
Le château de Cheverny (XXIe siècle)
Informations générales
Statut seigneurie féodale, puis vicomté, puis comté
Capitale Cheverny (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Langue(s) francien puis français
Religion catholique
Monnaie livre tournois
Histoire et événements
1490 Création de la seigneurie de Cheverny
1577 Élévation en vicomté
1582 Élévation en comté
Principaux seigneurs de Cheverny
14901517 Jacques Ier Hurault
15641577 Jacques II Hurault
Principaux comtes de Cheverny
15821588 Jacques II Hurault
15881596 Philippe Hurault
15961648 Henri Hurault
17221755 Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
17551764 Henri-Claude d'Harcourt
17641790 Jean-Nicolas Dufort

Succédant à une seigneurie de la Grange, secondaire aux mains des sires de Saint-Denis-sur-Loire, la seigneurie de Cheverny n'est créée qu'en 1490 en faveur de Jacques Ier, avant d'être, le siècle suivant, élevée en vicomté puis rapidement en comté.

Liste des seigneurs

[modifier | modifier le code]

Première création

[modifier | modifier le code]

Seigneurie de la Grange

Seconde création (1490–1582)

[modifier | modifier le code]

Maison de Cheverny

[modifier | modifier le code]
Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jacques Ier Hurault
(14371517)
14901517 Seigneur de Vibraye, d'Huriel, de Cour-sur-Loire et du Vivier Fils de Raoul Ier Hurault de Saint-Denis, après avoir exercé de hautes fonctions sous Louis XI, Charles VIII et Louis XII, il forme plusieurs agrandissements autour du pressoir alors que sa carrière connaissait son apogée, le portant au poste de gouverneur et bailli du comté de Blois sous le règne de François Ier.
Raoul II Hurault
(† 1528)
15171528 Baron d'Huriel, Seigneur de Vibraye
Pierre de Ruthie
(† ???)
15371542 Lieutenant de la vénerie du roi
Bernard de Ruthie
(† ???)
15421551 Abbé de Pontlevoy
Diane de Poitiers
(14991566)
15511564
Jacques II Hurault
(v.15141588)
15641582

Liste des comtes

[modifier | modifier le code]

Maison de Cheverny (1582–1755)

[modifier | modifier le code]
Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jacques II Hurault
(v.15141588)
15821588 En 1577, les terres sont érigées en vicomté, puis, en 1582, en comté[a 1].
Philippe Hurault
(15281599)
15881596 Comte de Limours, Seigneur de Gallardon, de Montrichard, d'Esclimont et d'Auneau
Henri Hurault
(15751648)
15961648
Cécile-Élisabeth Hurault
(† 1695)
16481695
Louis de Clermont de Montglas
(16451722)
16951722
Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
(17021761)
17221755

Maison d'Harcourt (1755–1764)

[modifier | modifier le code]
Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Henri-Claude d'Harcourt
(17041769)
17551764 Fils du maréchal Henri d'Harcourt

Famille Dufort (1764–1790)

[modifier | modifier le code]
Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jean-Nicolas Dufort de Cheverny
(17311802)
17641790

Généalogie simplifiée (v.1510–1755)

[modifier | modifier le code]
 
 
Jacques Ier Hurault
 
 
 
 
 
 
 
 
Raoul II HuraultPhiliberte de Goux
 
René II de Clermont
 
Françoise d'Amboise
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jacques II HuraultPhilippe HuraultThomas de ClermontAntoine de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
Henri HuraultHardouin de ClermontLouis Ier de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
Cécile-Élisabeth Hurault
 
 
 
François de Paule de ClermontLouis II de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
 
 
Louis de Clermont de MontglasLouis III de Clermont d'Amboise
 
 
Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
 
 

Continuité

[modifier | modifier le code]

Le décret de l'Assemblée nationale du 12 novembre 1789 décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne », mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) que le comté de Cheverny devient formellement « commune de Cheverny ». Elle est rattachée au département du Loir-et-Cher.

Depuis, l'administration de la commune est assurée par le maire de Cheverny.

Quant au château, il est resté privé à travers les descendants de la famille Hurault, qui le possèdent toujours de nos jours[Note 1]. Il est aujourd'hui ouvert au public.

Références

[modifier | modifier le code]
Comté d'Orléans

vers 500 – 987

Informations générales
Statut Féodalité (comté)
Capitale Orléans
Langue(s) Ancien français (officiel de facto)
Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique)
Religion Christianisme
Histoire et événements
vers 500 Conquête de la Gaule par Clovis. Création du comté
987 Rattachement au domaine de la Couronne

Comtes d'Orléans

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.

Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.

Du Ier au Ve siècles, l'Orléanais dépendait de l'oppidum carnute de Cenabum (actuelle Orléans), au sein de la province de la Gaule lyonnaise, et était administré par un consul de l'Empire romain.

Rattachement au domaine royal

[modifier | modifier le code]

Continuité

[modifier | modifier le code]

Géographie

[modifier | modifier le code]

Frontières

[modifier | modifier le code]

Références

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]


________________________________

Boulevards d'enceinte

[modifier | modifier le code]

Boulevards d'enceinte de Blois
Carte

Autres noms D 201 - D 202 - D 203 - D 766 - D 951
Historique
Ouverture entre 1970 et 1998 (par tronçons)
Caractéristiques
Longueur 6,5 km
Largeur 20 m
Direction Nord – Ouest – Sud
Extrémité Nord rond-point des Mardeaux
Villebarou
Intersections
Extrémité Sud pont Charles-de-Gaulle
Vineuil
Ceinture périphérique Blois
Réseau rocade de Blois
Territoires traversés
Région Centre-Val de Loire
Villes principales Blois
Exploitation
Gestionnaire Conseil départemental de Loir-et-Cher

À Blois (Loir-et-Cher), les boulevards d'enceinte désigne l'ensemble des voies servant au contournement de l'agglomération blésoise par l'Ouest, en complément de la voie rapide existant à l'Est.

Tracé schématisé

[modifier | modifier le code]
Extérieur Intérieur
D 957
vers Blois-2, Fossé et Vendôme



rond-point des
Mardeaux
D 957
vers voie rapide


rue de la Garbotière



rond-point
des Garbotières
rue des Mardeaux


vers Blois-centre
(par av. de Vendôme)
vers Blois-Nord
(par rue Latham)
vers Blois-Nord
(par rue Michel Bégon)
D 201 (fin)
D 32

vers Saint-Sulpice-de-Pommeray
rue B. Duguesclin
rue J.-B. Charcot
vers Blois-Nord
(par av. de l'Europe)
vers la Pinçonnière



rond-point de la Pinçonnière
rue Montesquieu


D 766
vers Valencisse
(par forêt de Blois)

rond-point
des Allées
rue de la Quinière


rue Cabochon



rond-point
Médicis
vers Blois-Nord
(par rue Fénelon)


vers Blois-centre et la gare[Note 2]
D 952
vers les Grouëts et Tours
(par Veuzain-sur-Loire)
D 952
vers Blois-centre
(par quai du Foix)
pont François-Mitterrand
sur la Loire
D 751
vers Chailles et Tours (par Candé-sur-Beuvron)

rond-point
Boncour
vers Blois-Vienne
(par quai Villebois-Mareuil)

vers ZAC des Grands Champs


rond-point
Brucker
vers l'Aggl'eau
D 956a
vers Saint-Gervais-la-Forêt

rond-point
Wilson
D 956a
vers Blois-Vienne
(par av. Wilson)
vers Blois-Vienne
(par la Creusille)
D 956
Voie rapide vers Saint-Gervais-la-Forêt et Vineuil
D 956
Voie rapide vers Blois-Nord et la Chaussée-Saint-Victor
D 951
vers Muides-sur-Loire et Orléans

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. D'autres descendants de la famille Hurault possèdent par ailleurs le château de Saint-Denis-sur-Loire.
  2. Il s'agit d'un double carrefour, les rues étant à sens unique près de la gare.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Références

[modifier | modifier le code]

Quartier Saint-Jean
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Ville Blois
Code postal 41000
Démographie
Gentilé blésois
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 01″ nord, 1° 17′ 17″ est
Transport
Bus 1 ligne semi-régulière (S13)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Quartier Saint-Jean

Le quartier Saint-Jean, à Blois (Loir-et-Cher), se situe à l'est du centre-ville, sur la rive droite de la Loire.

Le quartier tient son nom actuel du prieuré Saint-Jean-en-Grève, situé à son extrémité depuis le X siècle[A 1].

Au Moyen Âge, il s'agissait du Bas-Bourg, en opposition au Haut-Bourg Saint-Jean construit en haut du coteau, bien que les deux bourgs n'étaient alors reliés que par un chemin sinueux[A 1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

Le quartier Saint-Jean s'est développé sur la rive droite du fleuve, à la sortie est de la ville médiévale de Blois. De nos jours, le quartier est ainsi directement relié au centre-ville (du côté du Puits-Châtel) mais reste relativement isolé du Haut-Bourg par le coteau du val de Loire, de La Chaussée-Saint-Victor par la RD 956, et de Blois-Vienne par le fleuve.

  • Le Commissariat,
  • Le Mail (anciennement Le Port),
  • Le Prieuré,
  • Les Tuileries,
  • Sanitas.

Antiquité et Moyen Âge

[modifier | modifier le code]

Au début du XIe siècle, le prieuré Saint-Jean-en-Grève, dépendant de l'abbaye de Pontlevoy, a élu domicile à l'entrée est de Blois, sur un ancien chemin rejoignant la route de Paris à La Chaussée-Saint-Victor[A 1],[B 1].

Renaissance et Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

Après la Révolution

[modifier | modifier le code]

Tout comme Vienne sur la rive gauche, Saint-Jean a beaucoup souffert des crues successives aux XVIIIe et XIXe siècle. La levée des Tillières, pourtant rehaussée en 1785, est détruite après l'inondation de 1789[A 2]. Après celles de 1846 et 1856 (la plus terrible), les Blésois ont construit une nouvelle digue à l'ouest des anciennes fortifications, aujourd'hui appelée levée des Tillières, reliée à la levée des Tuileries en bords de Loire[1].

Entre 1910 et 1933, le quartier est relié au centre-ville par la ligne du tramway électrique de Blois (TEB) qui longer la rive droite jusqu'à l'abattoir des Grouëts[2].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

L'activité viticole

[modifier | modifier le code]

Les Grouëts ont compté trois édifices religieux[3] :

Patrimoine architectural

[modifier | modifier le code]

Relation avec Blois

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  1. a b et c Partie II, chap. II (« Faubourgs et banlieue de la ville »), p. 351.
  2. Partie II, chap. V-5 (« Crues de la Loire »), p. 421.
  1. Partie III, chap. XII (« Établissements monastiques »), p. 430–432.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Mariette Signolet, « Petit ruisseau deviendra grand », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne Accès limité)
  2. Michel Lomba, « La belle époque des tramways de Blois », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne Accès limité).
  3. « Le site des clochers de la France : Blois » Accès libre, sur lafrancedesclochers.com (consulté en )


Duché d'Orléans

13441375

Informations générales
Statut Féodalité (Duché)
Capitale Orléans
Langue(s) Ancien français (officiel de facto)
Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique)
Religion Christianisme
Histoire et événements
1344 Élévation en duché.
1498 Rattachement au domaine de la Couronne

Comtes d'Orléans

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.

Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.

Rattachement au domaine royal

[modifier | modifier le code]

Continuité

[modifier | modifier le code]

Géographie

[modifier | modifier le code]

Frontières

[modifier | modifier le code]

Références

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]


Les communes ayant perdu leur statut de commune indépendante[Note 1] sont surlignées en gris.

Les noms révolutionnaires encore en vigueur de nos jours pour des communes indépendantes ou chefs-lieux sont quant à eux indiqués en gras.

Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Châtillon-sur-Chalaronne Châtillon-les-Dombes
Ferney-Voltaire Ferney Définitif depuis 1878[1].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chézy-sur-Marne Chézy-l'Abbaye[2]
Licy-Clignon Licy-les-Moines Définitif depuis 1889[3].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chantelle Chantelle-le-Château
Le Montet Le Montet-aux-Moines[4]
Valigny Valigny-le-Monial Définitif depuis [3].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Balnot-sur-Laignes Balnot-le-Châtel
Champ-sur-Barse Le Champ-au-Roy
Fontaine-les-Grès Fontaine-Saint-Georges Inchangé depuis 1859.
Jully-sur-Sarce Jully-le-Châtel
La Loge-aux-Chèvres La Loge-Mesgrigny
La Villeneuve-au-Chêne La Villeneuve-Mesgrigny[5]
Mussy-sur-Seine Mussy-l'Évêque[6]
Poivres Poivre-Sainte-Suzanne
Pont-sur-Seine Pont-le-Roi
Thennelières Paillot[7]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Pezens Voisins
Rieux-Minervois Rieux-Mérinville
Villeneuve-Minervois Villeneuve-les-Chanoines
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Fontenay-le-Pesnel Saint-Aubin-de-Fontenay
Tilly-sur-Seulles Tilly-d'Orceau[8]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Vic-sur-Cère Vic
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Dun-sur-Auron Dun-le-Roi
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Aisey-sur-Seine Aisey-le-Duc[9]
Labergement-lès-Seurre Labergement-le-Duc[9]
Marcilly-lès-Mont-Serein Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean[9] Réunie à Marcilly-Ogny en 1849.
Source-Seine (devenue Saint-Germain-Source-Seine en 1875) Saint-Germain-la-Feuille Intégrée en 2009 à l'actuelle Source-Seine.
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Saint-Gilles-les-Bois Saint-Gilles-le-Vicomte
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Boussac-Bourg[10] Boussac-les-Églises
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bois-Normand-près-Lyre Bois-Normand
Le Gros-Theil Saint-Georges-du-Theil
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Berchères-les-Pierres Berchères-l'Évêque
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
L'Union Saint-Jean-de-Kyrié-Éleyson[Note 2]
Escanecrabe Saint-Sabin-d'Escanecrabe
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Ambès Saint-Jacques-d'Ambès[11]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Mas-de-Londres Château-de-Londres
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
La Châtre-Langlin La Châtre-le-Vicomte
Luçay-le-Libre Luçay (ou Luçay-le-Captif)
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Neuilly-le-Brignon Neuilly-le-Noble
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chatte Chaste
La Tronche Saint-Ferjus
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Montoire (devenue Montoire-sur-le-Loir en 1891) Querhoent Montoire était le nom traditionnel avant 1743[12].
Molineuf Saint-Secondin Définitif depuis 1913[3], intégrée à Valencisse en 2016[13].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bellevue-la-Montagne Saint-Just-près-Chomelis
Cohade Saint-Ferréol-de Cohade
Lavoûte-sur-Loire La Voûte-de-Polignac[14]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Batilly-sur-Loire (devenue Batilly-en-Puisaye en 1919) Batilly
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Laussou Boynet
Pompogne Sainte-Pompogne
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bassurels Saint-Martin-de-Campselade[15]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Varennes-sur-Loire Varennes-sur-Montsoreau Définitif depuis 1892.
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Cerisy-la-Forêt Cerisy-l'Abbaye[16]
Lozon Saint-Louet-sur-Lozon Définitif depuis 1832, intégrée depuis 2016 à Marigny-Le-Lozon.
  1. Élie Le Royer, « Décret du Président de la République française n°6148 du 23 novembre 1878 », Bulletin des lois de la République française, no 426,‎ , p. 72 (lire en ligne, consulté le )
  2. EHESS-Cassini fournit Chézy-sur-Marne comme nom révolutionnaire mais ne fournit pas de nom antérieur ; Noms révolutionnaires des communes de France, p. 2 fournit Chézy-l'Abbaye.
  3. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  4. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 3. Non avéré sur la base Ehess-Cassini.
  5. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 40337.
  6. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 24467.
  7. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 37362.
  8. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 11. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  9. a b et c Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  10. EHESS-Cassini et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 19 donnent Boussac-le-Bourg ; après contrôle dans les archives départementales, ce nom n'est pas avéré.
  11. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 27. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  12. « Histoire des communes : Montoire-sur-le-Loir - CRGPG », sur www.perche-gouet.net (consulté le ).
  13. Arrêté n°41-2015-12-14-002 portant création de la commune nouvelle de Valencisse, dans le Recueil des actes administratifs n°41-2015-12-007, publié le par la Préfecture du Loir-et-Cher (lire en ligne Accès libre), pp. 46 à 50 [PDF]
  14. Nom originel mentionné seulement sur Noms révolutionnaires des communes de France, p. 37 tandis qu'Ehess-Cassini fait état du nom de Lavoute, consulté le 21 juillet 2012.
  15. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 39 ; Ehess-Cassini donne le nom de Martin-de-Champzelade.
  16. Cerisy-la-Forêt sur le site des Archives départementales de la Manche et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 40, consultés le 25 juillet 2012.


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n’a été trouvée