Utilisateur:Thibaud4141/Brouillon
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[modifier | modifier le code]Cet article recense les hôtels particuliers de Blois, en région Centre-Val de Loire, en France.
Seigneurs de Vienne connus
[modifier | modifier le code]Une première famille, sans doute proche des comtes thibaldiens de Blois, semble avoir été installée vers le XIe siècle. Le plus ancien seigneur connu est, d'après les études récentes de l'INRAP, Raymond de Vienne, cité en 1169[3]. Des sources plus anciennes citent d'autres personnalités, dont un certain Thierry en 1104[4] et un Henri de Vienne en 1119[5].
Cette famille est rarement mentionnée dans les archives du comté : le seigneur de Vienne n'est par exemple même pas nommé dans la Coutume de Blois[6], au contraire de son procureur qui le représente[7]. Il est également possible que la seigneurie n'ait pas été transmise de manière héréditaire mais au curé de l'église Saint-Saturnin[Note 1].
Vers le début du XIIIe siècle, la seigneurie semble avoir été transmise à une branche de la maison de Montoire-Vendôme, ancienne famille rivale des comtes de Blois jouissant d'une alliance croissante comme le suggère le mariage en 1213 entre Jean III de Vendôme et Marie de Châtillon, notamment[Note 2]. Sont ainsi mentionnés comme seigneurs de Vienne :
- vers 1250 : Jean de Vendôme[8], seigneur de Saint-Laurent-des-Mortiers, chevalier et fils du comte Jean IV de Vendôme ;
- 1312 : Geoffroy de Vendôme[9] ;
- 1326 : Pierre de Vendôme[10].
Liste des quartiers de Blois
[modifier | modifier le code]Le présent article présente l'ensemble des subdivisions de la ville française de Blois, située dans le département du Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.
La ville est découpée en X quartier officiels, regroupés en cinq ensembles[11].
Quartiers Centre
[modifier | modifier le code]Le centre-ville concentre naturellement l'essentiel de l'histoire de la ville, durant laquelle chaque quartier s'est construit une identité.
Du fait de la géologie particulière de la ville[Note 3], le centre de Blois s'est développé autour du vallon creusé par le ruisseau de l'Arrou, et en particulier à partir de sa confluence avec la Loire.
Ville basse
[modifier | modifier le code]Bourg-Moyen
[modifier | modifier le code]Puits-Châtel
[modifier | modifier le code]Saint-Nicolas
[modifier | modifier le code]Quartier du Foix
[modifier | modifier le code]Saint-Jean
[modifier | modifier le code]Ville haute
[modifier | modifier le code]Éperon du château
[modifier | modifier le code]Quartier de la Gare
[modifier | modifier le code]Haut-Bourg
[modifier | modifier le code]Bourg-Neuf
[modifier | modifier le code]Basses Granges-Cimetière
[modifier | modifier le code]Quartier Médicis
[modifier | modifier le code]Quartiers Sud
[modifier | modifier le code]Les quartiers Sud correspondent à la partie rive gauche de la ville, aussi appelée « Blois-Vienne » ou « quartier Vienne ».
Héritage d'un village indépendant jusqu'en 1606, le quartier est connu pour avoir conservé un esprit de proximité avec la ruralité et la Loire.
Le parc des expositions de Blois ainsi que le dernier port fluvial de la ville, le port de la Creusille, se trouvent d'ailleurs en Vienne.
Quartiers Est
[modifier | modifier le code]Quartiers Nord
[modifier | modifier le code]Quartiers Ouest
[modifier | modifier le code]Cabochon
[modifier | modifier le code]La Quinière
[modifier | modifier le code]La Saulas
[modifier | modifier le code]Les Grouëts
[modifier | modifier le code]Saint-Georges
[modifier | modifier le code]Édifices religieux de Blois
[modifier | modifier le code]La ville de Blois (Loir-et-Cher, Centre-Val de Loire) possède un riche patrimoine religieux : églises, abbayes, couvents et autres congrégations religieuses. Cette liste classe les édifices religieux en fonction de la religion.
Christianisme
[modifier | modifier le code]Culte chrétien
[modifier | modifier le code]Image | Nom | Période | Quartier | Notes |
---|---|---|---|---|
Cathédrale Saint-Louis | XVIe siècle | Haut-Bourg | ||
Église Saint-Nicolas du Foix | XIIe siècle |
Culte protestant
[modifier | modifier le code]Autres églises
[modifier | modifier le code]Islam
[modifier | modifier le code]Judaïsme
[modifier | modifier le code]Édifices aujourd'hui disparus
[modifier | modifier le code]- Abbaye de Bourg-Moyen (détruite en 1940),
- Abbatiale Saint-Gervais (détruite en 1273),
- Chapelle Sainte-Constance (détruite vers 1500),
- Chapelle Saint-Fiacre du pont médiéval (détruite en 1716),
- Chapelle Saint-Georges-de-la-Forêt (),
- Collégiale Saint-Jacques (détruite vers 1700),
- Collégiale Saint-Sauveur (détruite en 1793).
- Église Saint-Honoré (détruite en 1792),
- Église Saint-Lubin (disparue en 1114),
- Église Saint-Martin-aux-Choux (détruite en 1791),
- Ancienne église Saint-Nicolas du Foix (détruite en 1792),
- Église Saint-Pierre du Foix (détruite vers 1360),
- Prieuré Saint-Jean-en-Grève (détruit vers 1792),
- Prieuré Saint-Lazare ().
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Projet:Blasons/Demande de blason
[modifier | modifier le code]- Villebresme cf Famille du Drac
- De Moulins de Rochefort
┌─────────────────────────────────────────────────┘
Familles manquantes
[modifier | modifier le code]- Bélot
- Bergevin
- Boësnier
- Boucherat
- Bourdineau
- Charron
- Courtin
- Dufort
- Druillon
- Guyon de Montlivault
- Herry de Maupas
- Johanne de Lacarre de Saumery
- Mahy
- Mesnard
- Petit
- du Plessis
- de Réméon
- de Saveuse
- Thierry
Blasonnement : |
Familles ducales et comtales
[modifier | modifier le code]Blason | Nom de la famille, blasonnement et devise |
---|---|
Première maison d'Orléans (ducs d'Orléans)
... | |
Deuxième maison d'Orléans (ducs d'Orléans)
D'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel à trois pendants d'argent. | |
Troisième maison d'Orléans (ducs d'Orléans)
.. | |
Maison de Blois (comtes de Blois)
D'azur à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices d'or. | |
Maison de Châtillon (comtes de Blois)
... |
Famille de Villebresme
[modifier | modifier le code]Famille de Villebresme Famille de Villebrême | ||
Armes de la famille. | ||
Blasonnement | D'or au dragon ailé de gueules membré d'azur.[14] | |
---|---|---|
Branches | de Groislard de Villebresme | |
Période | XIVe siècle – XVIe siècle | |
Pays ou province d’origine | Comté de Blois ( Orléanais) | |
Allégeance | Royaume de France | |
Fiefs tenus | Villebrême, Fossé, Fougères-sur-Bièvre, etc. | |
Demeures | château de Boissay château de la Boissière château de Fossé château de Fougères-sur-Bièvre hôtel de Villebrême (Blois) |
|
Preuves de noblesse | ||
Montres | anoblissement par lettres patentes en 1408[15], à Blois confirmation en 1465 |
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La famille de Villebresme (parfois écrit Villebrême) est une ancienne famille française de noblesse originaire du comté de Blois,
Le fief principal des Villebresme se trouve en un hameau homonyme de l'actuelle commune de Villebarou (Loir-et-Cher), mais des membres de la famille ont possédé d'autres seigneuries en pays blésois.
La famille de Villebresme s'est éteinte au XVIe siècle dans les familles de Refuge, de Groislard, .
Histoire
[modifier | modifier le code]Origines
[modifier | modifier le code]Les sources pouvant se contredire, les origines de la famille de Villebresme sont incertaines[16].
Néanmoins, à l'instar des Morvilliers, les Villebresme semblent être à l'origine une famille de marchands spécialisés dans la production et le commerce textile, en particulier de draps[17],[18]. Devenus proches de la maison d'Orléans, dont les ducs vivent au sein du château de Blois depuis 1397[Note 4],
Dès 1404, la ville de Blois plaidait contre les Villebresme pour les obliger à se déclarer bourgeois[17].
Personnalités
[modifier | modifier le code]- Denys de Villebresme (), épousa en 1199 Jehanne de Marigny[19]
- Pierre Ier de Villebresme († 1335), conseiller de Philippe IV le Bel puis procureur général au Parlement de Paris [19] entre 1323 et 1325, avait épousé Jeanne de Beauvoir ou Jeanne de Beauvais, de qui il eut 1) deux enfant : Mathias et Marie[20] ou 2) trois enfants : Pierre II, Jacques et Marie[21]
- Jean Ier de Villebresme, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, chambellan du duc ou comte(?) Charles III d'Alençon[22], fils de Jean II et de Marguerite de Refuge(?)
- Marie de Villebresme, fille de Pierre Ier, épouse de Philippe Ier Hurault († 1364)[20], remariée en 1352(?) à Guillaume Le Jay [Anselme]
- Michel de Villebresme († 1413), bourgeois de Blois en 1375, devint secrétaire du duc Louis Ier d'Orléans[23],[Note 4]
- Pierre II ou III de Villebresme (???), écuyer du duc Charles d'Orléans en 1418[23], secrétaire des commandements du duc Louis Ier d'Orléans, père de : Jean, François et Macé Ier[21]
- François Ier de Villebresme, fils de Pierre II et frère de Jean II et Macé Ier, fut trésorier du duc d'Orléans[24], chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, trésorier du duc Louis II d'Orléans[22], puis receveur et conseiller de Louis XII[25], aurait épousé Catherine du Lys[22],[26] (fille de Pierre d'Arc et nièce de Jeanne d'Arc) ; Cette alliance est remise en doute par Jules Doinel[27]
- Marie de Villebresme, fille de François et de Catherine du Lys (elle-même fille de Pierre d'Arc, donc Marie est petite-nièce de Jeanne d'Arc[26]), épousa Jacques Le Fournier[24]
- Jean II de Villebresme, chancelier de France en 1423 sous Charles VII (Note usurpation guerre de 100 ans)[22], maître des eaux et forêts en 1447[23]
- Guyon de Villebresme, bourgeois de Blois en 1409[18]
- Jean II ou III de Villebresme, fils de Guyon, élu de la ville en 1451, mort vers 1462[18]
- Jean (IV?) de Villebresme (???), notaire et secrétaire du roi en 1497[23]
- Jean III de Villebresme († 1490), écuyer, seigneur de Boissay, de Plissot-lèz-Beaugency et de Fougères-sur-Bièvre suite à son mariage avec Marie de Refuge, dame de Refuge[28] ; eurent 2 enfants : Jean IV et Marie[29]
- Jean IV de Villebresme († 1528), fils de Jean III, chambellan ordinaire du duc Charles IV d'Alençon, nommé sénéchal de Rodez en 1516[30]
- Jean (IV?) de Villebresme acquiert en 1528 le château de Roujoux, à Fresnes
- Pierre de Villebresme, fils de Jean IV?, a fait construire en 1549 l'aile gauche du château de Roujoux, à Fresnes,[31] a eu 3 enfants: Jean (V?), Antoine, Marie
- Macé Ier de Villebresme (???), écuyer de cuisine au service du duc Louis Ier d'Orléans, capitaine de Chambord (encore en 1499)[23],[22]
- Marc de Villebresme, artiste contemporain de Charles d'Orléans[32]
- Marc de Villebresme, valet de chambre du duc en 1484[33], puis conseiller et maître d'hôtel du duc Louis II d'Orléans[34]
- Macé II de Villebresme (???), maître des eaux et forêts entre 1461 et 1478[23],[22] ; maître d'hôtel de Marie de Clèves et ambassadeur à Rome en 1517, capitaine de Chambord de 1478 à 1503, fils de Jean (Ier?) de Villebresme, petit fils de Guyon ; ami du poète Crétin[35]
- Mathieu de Villebresme, capitaine du port de Villeneuve, proche d'Avignon en 1431[36]
- Marie de Villebresme, fille de Macé II et cousine de François, épousa Denis de Musset en 1449[37] ou en 1478/79[38]
- Michel de Villebresme, frère de Macé II, garde des clés de la ville de Blois, maître d'hôtel d'Anne de Beaujeu[23] (1485/1490)
- Anne de Villebresme, première épouse de Jean d'Arc (belle-sœur de Jeanne d'Arc) : un enfant, Marguerite d'Arc[39]
- Guillaume de Villebresme, l'Aîné (né en 1416), ??? de la duchesse Marie de Clèves, puis du duc Charles d'Orléans, puis de Charles VII, puis de Louis XI
- Guillaume de Villebresme, le Jeune, fils du précédent, secrétaire de la duchesse d'Orléans en 1478[40]
- Jeanne de Villebresme, épousa Jean de Bonnas, et eurent une fille, Jeanne de Bonnas, qui épousa Simon de Musset[41]
- Jacques de Villebresme, fils de Guillaume, chapelain de Coucy
- Guillaume de Villebresme, grenetier au grenier à sel d'Orléans[23], neveu de Guillaume de Moulins († 1503), de qui il hérita en 1503 la seigneurie du Quartier à Mont[42]
- Pierre de Villebresme (???), prieur commendataire à Blois[23]
- Jean II de Villebresme († ???), fils de Jean Ier
- Isabeau de Villebresme (???), fille de Jean, dame de Saint-Lubin, a épousé Étienne Ier de Morvillier
- Louis Ier de Villebresme († 1561), fils de Jean IV[30], maître des comptes de Blois, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, Rougemont, Boissay, Ramoulu et le Pissot, épousa Jeanne de Moulins, dame de Mons, Vaurobert et Villedy[19],[42]
- Jeanne de Villebresme, fille de Louis Ier, épousa en 1575 Pierre Ier de Groislard[19] > Branche de Groislard[22]
- Charles († 1573) & Louis II de Villebresme, frères de Jeanne, morts sans postérité[22],[30]
- François Ier de Villebresme († v. 1601) frère des précédents, céda ses domaines à sa sœur Jeanne[22], avait épousé Françoise d'Échelle, dame de Marmagne[43]
- François II de Villebresme († 1626), fils aîné de François Ier, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre[43]
- Jacques de Villebresme, fils de François II[43]
- Guillaume de Villebresme, fils aîné de Jacques, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, mort sans enfants[43]
- Françoise de Villebresme, fille de Jacques[43]
- Claude I de Villebresme, seigneur de Fougères-sur-Bièvre et de Boissay, épousa Soulaine Hurault de Saint-Denis (fille de Denis II), fils de Jean et Adrienne de Brisay[29]
- Jacques de Villebresme, fils de Claude et Soulaine, écuyer et seigneur de Boissay, épousa Marguerite de Moulins en 1578[42]
- Claude II de Villebresme, frère cadet du précédent, seigneur de la Mahoudière, épousa Louise de Moulins (sœur de Marguerite) en 1578[42]
- Louis de Villebresme, seigneur de Mons en 1569[44]
- Jean de Villebresme, archidiacre de Blois en 1470
- Bertaut de Villebresme, ancien serviteur de duc Charles, devenu prévôt de Blois en 1461
Portrait | Nom | Règne | Titres | Notes |
---|---|---|---|---|
Jean de Morvillier († ???) |
??? – ??? |
N&R
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- [de Magny 1854] Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel, ou Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, , 246 p. (ISBN 978-1-022-31527-3, lire en ligne ), p. 129–136.
- [de Saint-Allais 1815] Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, t. 3, (lire en ligne ), p. 48–49.
- Fonds Louis de La Saussaye, dans les archives publiques municipales de Blois et du département du Loir-et-Cher, sur Culture41
Descendants de Louis
[modifier | modifier le code]Louis avait épousé en 1828 la richissime Amélie Petit-Parreau de La Coudraye[45]. Plusieurs enfants naquirent de cette union, dont :
- Olivier Nicolas Louis (1832–1899)[46], fut maire de Cormeray[47], et père de :
- Olivier Nicolas Louis (1862–1939)[47]
- Françoise-de-Paule (1862 ou 1875–1945)
- Jean François-de-Paule Amédée Renaud (1834–)[46], fut conseiller à la Préfecture à Lyon, père de :
- Marguerite de La Saussaye (–), mariée au marquis Étienne de Villaines[48],
- Édith (–)
-
Blason originel de la famille (jusqu'en 1598).
-
Blason des descendants du premier mariage de Jean Ier de La Saussaye, avec la laie des Morvilliers (de 1513 à 1622).
-
Blason des descendants du second mariage de Jean Ier, avec la tête de léopard des Baillon (de 1538 à 1660).
-
Blason officialisé en 1660.
Famille Mahy
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Famille (de) Mahy | ||
Armes de la famille. | ||
Blasonnement | D'argent à l'aigle éployée de gueules, au chef d'azur surchargée de trois molettes d'éperon d'or[49]. | |
---|---|---|
Branches | d'Argis (éteinte) de l'Aubépin (éteinte) de Chéry (éteinte) de Chevenelles (éteinte) de Chitenay (éteinte) de Cormeray (éteinte) du Coudray (éteinte) de la Couplière (éteinte) de Favras (éteinte) des Montils (éteinte) de Plainville (éteinte) du Plessis (éteinte) de Pontchardon (éteinte) de Savonnières (éteinte) |
|
Période | XVe siècle – XVIIIe siècle | |
Pays ou province d’origine | Comté de Blois ( Orléanais) | |
Allégeance | Royaume de France | |
Fiefs tenus | L'Aubépin, Chitenay, Chéry, Chevenelles, Cormeray, Favras, Savonnières, etc. | |
Titres obtenus | seigneurs, barons, marquis | |
Demeures | château de l'Aubépin château de Chitenay château de Cormeray château de Favras de Feings |
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Charges | Député de La Réunion Ministre de l'Agriculture Ministre des Colonies |
|
Récompenses civiles | ordre du Mérite agricole | |
modifier |
La famille Mahy (parfois appelée de Mahy) est une famille française éteinte de , originaire du Blésois, puis qui s'est fixée en Sologne, à La Réunion et aux États-Unis.
Origines
[modifier | modifier le code]Un premier Jean Mahy apparaît au tout début du XVe siècle, mentionné en 1401 comme bourgeois de Blois et receveur des finances du duc Louis Ier d'Orléans[49]. Comme d'autres familles locales[Note 5], les Mahy semblent ainsi avoir un peu profiter de la présence de la cour ducale à Blois depuis 1397, puis de l'accession au trône de Louis XII en 1498 pour entamer leur ascension sociale.
Un deuxième Jean Mahy est ensuite cité en 1566, sous Charles IX, comme figurant dans une assemblée de notables de Blois[49].
Ascension sociale
[modifier | modifier le code]Un troisième Jean Mahy est mentionné comme échevin le siècle suivant[49]. Il est également bourgeois de Blois, écuyer, conseiller du roi et avocat général à la Chambre des comptes[12]. En 1698, il acquiert la seigneurie de Savonnières[Fief 1],[12].
En 1707, François Mahy, alors chanoine à la nouvelle cathédrale Saint-Louis de Blois, fait une donation en faveur de l'hôtel-Dieu[49].
En 1719, un Jean-Guillaume († 1747), alors greffier en chef de la Chambre des comptes de Blois, fait acquisition du château de Chitenay, situé dans la baronnie de Cormeray, qui relève du fief de Mondoubleau. De ce fait, il obtient le droit de haute, moyenne et basse justice sur un territoire réunissant les actuelles communes de Chitenay, de Cormeray, de Feings, d'Ouchamps et de Seur[49].
En 1734, Adam-François-Melchior Mahy du Plessis († 1789), alors écuyer, conseiller du roi et auditeur à la Chambre des comptes de Blois[50], acquiert la seigneurie de l'Aubépin[Fief 2],[51].
Fils de Jean-Guillaume, Guy-Guillaume († 1771) succéda à son père en 1747. Ce dernier était également conseiller du roi et receveur général des domaines du comté de Blois et du duché de Vendômois[49].
Marié en secondes noces à Thérèse Charpentier, Guy-Guillaume eut quatre fils[52]. L'aîné, Guillaume-François de Mahy (né en 1739), fut fonctionnaire du contrôle général, receveur général des domaines et bois, et choisi par Necker pour diriger le Bureau pour la refonte des traites. Le cadet, Thomas de Mahy (1744–1790), surnommé le Marquis de Favras, fut premier lieutenant du comte de Provence et frère du roi Louis XVI, le futur Louis XVIII. Le troisième, Édouard de Mahy de Chevenelles, fut officier au sein des troupes de la colonie de Saint-Domingue, dans les Antilles[52]. Le benjamin, Charles-Louis de Mahy de Chitenay, s'est engagé dans la Compagnie française des Indes orientales où il fut interprète du gouvernement français en persan et en indoustan. Dans une situation similaire au blésois François-de-Paule de La Saussaye, il est fait prisonnier de guerre en 1780 au Bengale[53].
Pendant la Révolution
[modifier | modifier le code]En , plusieurs membres de la famille sont appelés à participer à l'assemblée de la noblesse blésoise en vue des États Généraux convoqués par Louis XIV, à Versailles. À Blois, sont notamment présents Guillaume Mahy du Coudray, Mahy d'Argis, Adam Mahy du Plessis, Louis-Timothée Mahy de Pontchardon ainsi que dame Claude-Louise Mahy en tant que veuve de César-Nicolas Texier de Russy[54].
Comme toutes les familles nobles de France, la famille perd tous ses privilèges féodaux en conséquence de la nuit du 4 août 1789.
Grand soutien de la cause royaliste lorsqu'éclate la Révolution, Thomas de Favras est soupçonné de préparer l’évasion de Louis XVI et, en conséquence, est condamné à mort par pendaison début , en faisant une des premières victimes politiques de la Révolution[Note 6]. Durant son procès, sa defense fut assurée par son frère aîné.
En 1793, Charles-Louis décide d'émigrer à Philadelphie (États-Unis), avant de revenir en France après la signature du traité d'Amiens en 1802[53].
En récompense de ses services passés, Charles-Louis reçut une rente de 600 francs accordée par Napoléon Ier[55].
La fille d'Adam de Mahy du Plessis, Marie-Madeleine († 1829), épousa Guillaume-François de La Saussaye († 1793). Le couple n'eut cependant pas de descendance[56].
Sur l'île de La Réunion
[modifier | modifier le code]Le basculement de la Révolution dans la Terreur, à partir de 1792, incite un François de Mahy quitte Bourges et son Berry natal pour s'installer sur l'île Bourbon (actuelle île de La Réunion)[57][source insuffisante]. Il y épouse Florence Dennemont, issue d'une famille ancienne de l'île, et avec qui il eut un fils, François-Césaire. Né en 1795, François-Césaire fut d'abord officier de la milice de Bourbon puis receveur de l'enregistrement de 1819 jusqu'en 1842, avant d'être nommé maire de Saint-Pierre-de-Bourbon en 1841[57].
Né en 1830 à Saint-Pierre, son fils François Césaire est d'abord docteur en médecine avant devenir en 1870 l'un des deux députés attribués à La Réunion, lors des premières élections législatives de l'île sous la Troisième République[58],[57]. Rallié à la Gauche républicaine, il conserva son siège à l'Assemblée nationale (devenue Chambre des Députés en 1875) jusqu'à sa mort en 1906, et fut également nommé ministre de l'Agriculture en 1882 puis ministre des Colonies en 1884 ainsi qu'en 1887[57].
Généalogie simplifiée
[modifier | modifier le code]Armoiries
[modifier | modifier le code]À l'origine, la famille Mahy portait des armes « d’argent à l’aigle éployée de gueules, au chef d’azur surchargée de trois molettes d’éperon d’or »[49].
En Alsace, la famille a porté une variante « à l’aigle essorant de sable »[59].
À l'occasion de la Grande enquête sur la noblesse commandée par Louis XIV, la branche blésoise les a officialisées dans les années 1690 « d’argent au pin fruité de sinople, accompagné en pointe de deux touteaux de gueules »[58].
À Moulins, la branche cadette portait une variante de couleurs : « d’azur à l’aigle éployée d’or, au chef de sable chargé de trois étoiles d’argent »[58].
Enfin, à Thouars, le chirurgien Maître de Mahy portait « de sinople à neuf perles d’argent en orle »[60].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les noms des seigneurs connus de Vienne ne coïncident pas avec ceux des abbés de Saint-Laumer, desquels dépendait l'église Saint-Saturnin.
- Autre signe de leur paix, les comtes Bouchard VI de Vendôme et Guy Ier de Blois-Châtillon ont signé, sans aucune guerre préalable, un traité en 1329 fixant une frontière sans enclaves entre leurs deux comtés.
- Blois s'est développé sur la confluence de la Loire et du ruisseau de l'Arrou, qui a sculpté le paysage d'une ville avec deux promontoires.
- Le comté de Blois a été acquis en 1392 par le duc Louis Ier d'Orléans, qui en prit pleinement possession en 1397 à la mort du dernier comte héréditaire de Blois, Guy II de Blois-Châtillon.
- Voir notamment les articles Maison Phélypeaux, Famille Hurault, Famille de Morvilliers et Famille Viart.
- À ce moment, Louis XVI était assigné à résidence au sein de palais des Tuileries. La famille royale ne tenta une évasion qu'en lors de la fameuse fuite de Varennes. Une fois ramené à Paris, le roi fut contraint d'accepter la monarchie constitutionnelle en .
Fiefs
[modifier | modifier le code]- Sur le territoire de l'actuelle commune d'Ouchamps (Le Controis-en-Sologne).
- Sur le territoire de l'actuelle commune de Saint-Gervais-la-Forêt.
Références
[modifier | modifier le code]- Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. VI, Paris, , p. 270
- André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, vol. XV, Bureau de la publication, (lire en ligne ), p. 270–271
- « Faubourg de Vienne à Blois : Découverte d’un site médiéval et d’un logis Renaissance » , sur le site de l’INRAP, (consulté en )
- Louis-Augustin Getty Research Institute, Le Château de Chaumont dans l'histoire et les arts, Tours : A. Mame, (lire en ligne)
- https://books.google.es/books?id=Ddo4AAAAMAAJ&q=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&dq=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&hl=es&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&ovdme=1&sa=X&ved=2ahUKEwiE7-inkKmHAxXRVKQEHaSsC00Q6AF6BAgFEAM#%20%22Vienne-lez-Blois%22
- Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, (ISBN 978-2-85157-036-9, lire en ligne), p. 222
- (la) Denis Dupont, Dionysii Pontani, Advocati Blesensis Iuris usque forensis consultissimi, in Cosuetudines Blesenses commentariorum tomi II: quorum primus à centum & viginti annis editus, iterum prodit emendatior, Apud Joannem Guignard, (lire en ligne), p. 5
- Dominique Barthélemy, « Les chartes de Freschines (1153–1263) et les destinées d'une coseigneurerie », Revue Mabillon, vol. 6, , p. 69 (lire en ligne [PDF])
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- Erreur de référence : Balise
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesd'Hozier-527
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesPéan-66
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- André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, t. XXX, Bureau de la publication, (lire en ligne ), p. 402–403
- Charles René d'Hozier et Kevin J. Smith (révision), Armorial général de France, t. 4 : Armorial de la Généralité d'Alsace, Houston, (ISBN 978-1-716-44328-2, lire en ligne [PDF]), p. 294
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Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- [Lecoq 1955] Marcel Lecoq, La conspiration du marquis de Favras (1789–1790), FeniXX, (ISBN 978-2-307-27971-6, lire en ligne).
Généalogie simplifiée
[modifier | modifier le code]
Jean († ???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jean II († ???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jean III († 1458) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Guillaume Ier († 1525) | famille de Moulins | famille Hurault | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
famille Phélypeaux | Jacques Ier († 1550) | Jeanne de Moulins (???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Françoise Le Picard (???) | Jacques II († 1582) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
branche de Beauce | branche de Bourgogne | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jacques III († ap.1597) | Claude († ???) | Raymond († ???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jacques IV († ???) | famille Bégon | Guillaume II († 1638) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Nicolas († 1657) | François Ier († 1649) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
branche de la Motte d'Usseau | branche de Chalvosson | branche de Pimelles | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Guillaume III († 1706) | Jacques († 1699) | Claude († ap.1693) | François († ???) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
branche Desfrants | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Guillaume-Charles († 1753) | Louis-André († ???) | Henri († 1760) | François († ???) | Artus-Alexandre († 1699) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Charles-Nicolas († ???) | Jacques-Joseph († ???) | Henri-Auguste († 1774) | Claude-Marie († ???) | Louis-Alexandre-Charles († ???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Charles († ???) | Henri-Louis († ???) | Jean-Jacques-François-Catherine († ???) | Henri-Noël-Auguste († ???) | Guy-Bernard († ???) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Charles-Henri († 1795) | Henri-François-Catherine († ???) | Artus-Alexandre († ???) | Claude-Maurice († ???) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Liste des seigneurs, vicomtes puis comtes de Cheverny
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Cheverny est une ancienne seigneurie féodale du Blésois ayant eu Cheverny (actuel Loir-et-Cher) comme capitale.
Blason de la famille Hurault, visible sur le blason moderne de la commune de Cheverny |
|
Statut | seigneurie féodale, puis vicomté, puis comté |
---|---|
Capitale | Cheverny ( Orléanais) |
Langue(s) | francien puis français |
Religion | catholique |
Monnaie | livre tournois |
1490 | Création de la seigneurie de Cheverny |
---|---|
1577 | Élévation en vicomté |
1582 | Élévation en comté |
1490 – 1517 | Jacques Ier Hurault |
---|---|
1564 – 1577 | Jacques II Hurault |
1582 – 1588 | Jacques II Hurault |
---|---|
1588 – 1596 | Philippe Hurault |
1596 – 1648 | Henri Hurault |
1722 – 1755 | Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise |
1755 – 1764 | Henri-Claude d'Harcourt |
1764 – 1790 | Jean-Nicolas Dufort |
Succédant à une seigneurie de la Grange, secondaire aux mains des sires de Saint-Denis-sur-Loire, la seigneurie de Cheverny n'est créée qu'en 1490 en faveur de Jacques Ier, avant d'être, le siècle suivant, élevée en vicomté puis rapidement en comté.
Liste des seigneurs
[modifier | modifier le code]Première création
[modifier | modifier le code]Seigneurie de la Grange
Seconde création (1490–1582)
[modifier | modifier le code]Maison de Cheverny
[modifier | modifier le code]Portrait | Seigneur | Période | Autres titres | Notes |
---|---|---|---|---|
Jacques Ier Hurault (1437–1517) |
1490 – 1517 | Seigneur de Vibraye, d'Huriel, de Cour-sur-Loire et du Vivier | Fils de Raoul Ier Hurault de Saint-Denis, après avoir exercé de hautes fonctions sous Louis XI, Charles VIII et Louis XII, il forme plusieurs agrandissements autour du pressoir alors que sa carrière connaissait son apogée, le portant au poste de gouverneur et bailli du comté de Blois sous le règne de François Ier. | |
Raoul II Hurault († 1528) |
1517 – 1528 | Baron d'Huriel, Seigneur de Vibraye | ||
Pierre de Ruthie († ???) |
1537 – 1542 | Lieutenant de la vénerie du roi | ||
Bernard de Ruthie († ???) |
1542 – 1551 | Abbé de Pontlevoy | ||
Diane de Poitiers (1499–1566) |
1551 – 1564 | |||
Jacques II Hurault (v.1514–1588) |
1564 – 1582 |
Liste des comtes
[modifier | modifier le code]Maison de Cheverny (1582–1755)
[modifier | modifier le code]Portrait | Seigneur | Période | Autres titres | Notes |
---|---|---|---|---|
Jacques II Hurault (v.1514–1588) |
1582 – 1588 | En 1577, les terres sont érigées en vicomté, puis, en 1582, en comté[a 1]. | ||
Philippe Hurault (1528–1599) |
1588 – 1596 | Comte de Limours, Seigneur de Gallardon, de Montrichard, d'Esclimont et d'Auneau | ||
Henri Hurault (1575–1648) |
1596 – 1648 | |||
Cécile-Élisabeth Hurault († 1695) |
1648 – 1695 | |||
Louis de Clermont de Montglas (1645–1722) |
1695 – 1722 | |||
Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise (1702–1761) |
1722 – 1755 |
Maison d'Harcourt (1755–1764)
[modifier | modifier le code]Portrait | Seigneur | Période | Autres titres | Notes |
---|---|---|---|---|
Henri-Claude d'Harcourt (1704–1769) |
1755 – 1764 | Fils du maréchal Henri d'Harcourt |
Famille Dufort (1764–1790)
[modifier | modifier le code]Portrait | Seigneur | Période | Autres titres | Notes |
---|---|---|---|---|
Jean-Nicolas Dufort de Cheverny (1731–1802) |
1764 – 1790 |
Généalogie simplifiée (v.1510–1755)
[modifier | modifier le code]Continuité
[modifier | modifier le code]Le décret de l'Assemblée nationale du 12 novembre 1789 décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne », mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) que le comté de Cheverny devient formellement « commune de Cheverny ». Elle est rattachée au département du Loir-et-Cher.
Depuis, l'administration de la commune est assurée par le maire de Cheverny.
Quant au château, il est resté privé à travers les descendants de la famille Hurault, qui le possèdent toujours de nos jours[Note 1]. Il est aujourd'hui ouvert au public.
Références
[modifier | modifier le code]1
[modifier | modifier le code]Statut | Féodalité (comté) |
---|---|
Capitale | Orléans |
Langue(s) |
Ancien français (officiel de facto) Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique) |
Religion | Christianisme |
vers 500 | Conquête de la Gaule par Clovis. Création du comté |
---|---|
987 | Rattachement au domaine de la Couronne |
Entités précédentes :
Entités suivantes :
Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.
Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Du Ier au Ve siècles, l'Orléanais dépendait de l'oppidum carnute de Cenabum (actuelle Orléans), au sein de la province de la Gaule lyonnaise, et était administré par un consul de l'Empire romain.
Le comté
[modifier | modifier le code]Rattachement au domaine royal
[modifier | modifier le code]Continuité
[modifier | modifier le code]Géographie
[modifier | modifier le code]Frontières
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Portail d'Orléans
- Portail des régions et territoires de France
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- Portail de la Renaissance
- Portail du XVIIe siècle
- Portail du XVIIIe siècle
________________________________
Boulevards d'enceinte
[modifier | modifier le code]
Boulevards d'enceinte de Blois | |
Autres noms | D 201 - D 202 - D 203 - D 766 - D 951 |
---|---|
Historique | |
Ouverture | entre 1970 et 1998 (par tronçons) |
Caractéristiques | |
Longueur | 6,5 km |
Largeur | 20 m |
Direction | Nord – Ouest – Sud |
Extrémité Nord | rond-point des Mardeaux Villebarou |
Intersections | |
Extrémité Sud | pont Charles-de-Gaulle Vineuil |
Ceinture périphérique | Blois |
Réseau | rocade de Blois |
Territoires traversés | |
Région | Centre-Val de Loire |
Villes principales | Blois |
Exploitation | |
Gestionnaire | Conseil départemental de Loir-et-Cher |
modifier |
À Blois (Loir-et-Cher), les boulevards d'enceinte désigne l'ensemble des voies servant au contournement de l'agglomération blésoise par l'Ouest, en complément de la voie rapide existant à l'Est.
Histoire
[modifier | modifier le code]Tracé schématisé
[modifier | modifier le code]Extérieur | Intérieur | |
---|---|---|
D 957 vers Blois-2, Fossé et Vendôme |
⇆ ⇆ rond-point des Mardeaux |
D 957 vers voie rapide |
⇵ | ||
rue de la Garbotière |
⇆ ⇆ rond-point des Garbotières |
rue des Mardeaux |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-centre (par av. de Vendôme) | |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-Nord (par rue Latham) | |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-Nord (par rue Michel Bégon) | |
⇵ | ||
D 201 (fin) → D 32 vers Saint-Sulpice-de-Pommeray |
⇆ | |
⇵ | ||
rue B. Duguesclin |
⇆ ⇆ | rue J.-B. Charcot |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-Nord (par av. de l'Europe) | |
⇵ | ||
vers la Pinçonnière |
⇆ ⇆ rond-point de la Pinçonnière |
rue Montesquieu |
⇵ | ||
D 766 vers Valencisse (par forêt de Blois) |
⇆ ⇆ rond-point des Allées |
rue de la Quinière |
⇵ | ||
rue Cabochon |
⇆ ⇆ rond-point Médicis |
vers Blois-Nord (par rue Fénelon) |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-centre et la gare[Note 2] | |
⇵ | ||
D 952 vers les Grouëts et Tours (par Veuzain-sur-Loire) |
⇆ ⇆ | D 952 vers Blois-centre (par quai du Foix) |
⇵ | ||
pont François-Mitterrand sur la Loire | ||
⇵ | ||
D 751 vers Chailles et Tours (par Candé-sur-Beuvron) |
⇆ ⇆ rond-point Boncour |
vers Blois-Vienne (par quai Villebois-Mareuil) |
⇵ | ||
vers ZAC des Grands Champs |
⇆ rond-point Brucker |
|
⇵ | ||
vers l'Aggl'eau |
⇆ | |
⇵ | ||
D 956a vers Saint-Gervais-la-Forêt |
⇆ ⇆ rond-point Wilson |
D 956a vers Blois-Vienne (par av. Wilson) |
⇵ | ||
⇆ | vers Blois-Vienne (par la Creusille) | |
⇵ | ||
D 956 Voie rapide vers Saint-Gervais-la-Forêt et Vineuil |
⇆ ⇆ | D 956 Voie rapide vers Blois-Nord et la Chaussée-Saint-Victor |
⇵ | ||
D 951 vers Muides-sur-Loire et Orléans | ||
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- D'autres descendants de la famille Hurault possèdent par ailleurs le château de Saint-Denis-sur-Loire.
- Il s'agit d'un double carrefour, les rues étant à sens unique près de la gare.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Louis-Catherine Bergevin et Alexandre Dupré, Histoire de Blois, Volume 1, Blois, Chez tous les libraires, , 679 p. (ISBN 978-1-160-10666-5, lire en ligne) :
- Louis-Catherine Bergevin et Alexandre Dupré, Histoire de Blois, Volume 2, Blois, Chez tous les libraires, , 660 p. (ISBN 978-1-273-86178-9, lire en ligne) :
Références
[modifier | modifier le code]Au
[modifier | modifier le code]
Quartier Saint-Jean | ||
Administration | ||
---|---|---|
Pays | France | |
Région | Centre-Val de Loire | |
Département | Loir-et-Cher | |
Ville | Blois | |
Code postal | 41000 | |
Démographie | ||
Gentilé | blésois | |
Géographie | ||
Coordonnées | 47° 33′ 01″ nord, 1° 17′ 17″ est | |
Transport | ||
Bus | 1 ligne semi-régulière (S13) | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
| ||
modifier |
Le quartier Saint-Jean, à Blois (Loir-et-Cher), se situe à l'est du centre-ville, sur la rive droite de la Loire.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le quartier tient son nom actuel du prieuré Saint-Jean-en-Grève, situé à son extrémité depuis le X siècle[A 1].
Au Moyen Âge, il s'agissait du Bas-Bourg, en opposition au Haut-Bourg Saint-Jean construit en haut du coteau, bien que les deux bourgs n'étaient alors reliés que par un chemin sinueux[A 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Le quartier Saint-Jean s'est développé sur la rive droite du fleuve, à la sortie est de la ville médiévale de Blois. De nos jours, le quartier est ainsi directement relié au centre-ville (du côté du Puits-Châtel) mais reste relativement isolé du Haut-Bourg par le coteau du val de Loire, de La Chaussée-Saint-Victor par la RD 956, et de Blois-Vienne par le fleuve.
Lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Le Commissariat,
- Le Mail (anciennement Le Port),
- Le Prieuré,
- Les Tuileries,
- Sanitas.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité et Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au début du XIe siècle, le prieuré Saint-Jean-en-Grève, dépendant de l'abbaye de Pontlevoy, a élu domicile à l'entrée est de Blois, sur un ancien chemin rejoignant la route de Paris à La Chaussée-Saint-Victor[A 1],[B 1].
Renaissance et Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Après la Révolution
[modifier | modifier le code]Tout comme Vienne sur la rive gauche, Saint-Jean a beaucoup souffert des crues successives aux XVIIIe et XIXe siècle. La levée des Tillières, pourtant rehaussée en 1785, est détruite après l'inondation de 1789[A 2]. Après celles de 1846 et 1856 (la plus terrible), les Blésois ont construit une nouvelle digue à l'ouest des anciennes fortifications, aujourd'hui appelée levée des Tillières, reliée à la levée des Tuileries en bords de Loire[1].
Entre 1910 et 1933, le quartier est relié au centre-ville par la ligne ② du tramway électrique de Blois (TEB) qui longer la rive droite jusqu'à l'abattoir des Grouëts[2].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]L'activité viticole
[modifier | modifier le code]Culte
[modifier | modifier le code]Les Grouëts ont compté trois édifices religieux[3] :
- l'église Notre-Dame-des-Grouëts (XIXe siècle),
- la chapelle Notre-Dame-de-Villeneuve (XIIIe siècle),
- la chapelle Saint-Georges-de-la-Forêt (disparue à la Révolution).
Patrimoine architectural
[modifier | modifier le code]Relation avec Blois
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Louis-Catherine Bergevin et Alexandre Dupré, Histoire de Blois, Volume 1, Blois, Chez tous les libraires, , 679 p. (ISBN 978-1-160-10666-5, lire en ligne) :
- Partie II, chap. II (« Faubourgs et banlieue de la ville »), p. 351.
- Partie II, chap. V-5 (« Crues de la Loire »), p. 421.
- Louis-Catherine Bergevin et Alexandre Dupré, Histoire de Blois, Volume 2, Blois, Chez tous les libraires, , 660 p. (ISBN 978-1-273-86178-9, lire en ligne) :
- Partie III, chap. XII (« Établissements monastiques »), p. 430–432.
Références
[modifier | modifier le code]- Mariette Signolet, « Petit ruisseau deviendra grand », La Nouvelle République, (lire en ligne )
- Michel Lomba, « La belle époque des tramways de Blois », La Nouvelle République, (lire en ligne ).
- « Le site des clochers de la France : Blois » , sur lafrancedesclochers.com (consulté en )
Statut | Féodalité (Duché) |
---|---|
Capitale | Orléans |
Langue(s) |
Ancien français (officiel de facto) Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique) |
Religion | Christianisme |
1344 | Élévation en duché. |
---|---|
1498 | Rattachement au domaine de la Couronne |
Entités précédentes :
Entités suivantes :
Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.
Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le comté
[modifier | modifier le code]Rattachement au domaine royal
[modifier | modifier le code]Continuité
[modifier | modifier le code]Géographie
[modifier | modifier le code]Frontières
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Portail d'Orléans
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- Portail de la Renaissance
- Portail du XVIIe siècle
- Portail du XVIIIe siècle
Les communes ayant perdu leur statut de commune indépendante[Note 1] sont surlignées en gris.
Les noms révolutionnaires encore en vigueur de nos jours pour des communes indépendantes ou chefs-lieux sont quant à eux indiqués en gras.
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Châtillon-sur-Chalaronne | Châtillon-les-Dombes | |
Ferney-Voltaire | Ferney | Définitif depuis 1878[1]. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Chézy-sur-Marne | Chézy-l'Abbaye[2] | |
Licy-Clignon | Licy-les-Moines | Définitif depuis 1889[3]. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Chantelle | Chantelle-le-Château | |
Le Montet | Le Montet-aux-Moines[4] | |
Valigny | Valigny-le-Monial | Définitif depuis [3]. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Balnot-sur-Laignes | Balnot-le-Châtel | |
Champ-sur-Barse | Le Champ-au-Roy | |
Fontaine-les-Grès | Fontaine-Saint-Georges | Inchangé depuis 1859. |
Jully-sur-Sarce | Jully-le-Châtel | |
La Loge-aux-Chèvres | La Loge-Mesgrigny | |
La Villeneuve-au-Chêne | La Villeneuve-Mesgrigny[5] | |
Mussy-sur-Seine | Mussy-l'Évêque[6] | |
Poivres | Poivre-Sainte-Suzanne | |
Pont-sur-Seine | Pont-le-Roi | |
Thennelières | Paillot[7] |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Pezens | Voisins | |
Rieux-Minervois | Rieux-Mérinville | |
Villeneuve-Minervois | Villeneuve-les-Chanoines |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Fontenay-le-Pesnel | Saint-Aubin-de-Fontenay | |
Tilly-sur-Seulles | Tilly-d'Orceau[8] |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Vic-sur-Cère | Vic |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Dun-sur-Auron | Dun-le-Roi |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Aisey-sur-Seine | Aisey-le-Duc[9] | |
Labergement-lès-Seurre | Labergement-le-Duc[9] | |
Marcilly-lès-Mont-Serein | Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean[9] | Réunie à Marcilly-Ogny en 1849. |
Source-Seine (devenue Saint-Germain-Source-Seine en 1875) | Saint-Germain-la-Feuille | Intégrée en 2009 à l'actuelle Source-Seine. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Saint-Gilles-les-Bois | Saint-Gilles-le-Vicomte |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Boussac-Bourg[10] | Boussac-les-Églises |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Bois-Normand-près-Lyre | Bois-Normand | |
Le Gros-Theil | Saint-Georges-du-Theil |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Berchères-les-Pierres | Berchères-l'Évêque |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
L'Union | Saint-Jean-de-Kyrié-Éleyson[Note 2] | |
Escanecrabe | Saint-Sabin-d'Escanecrabe |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Ambès | Saint-Jacques-d'Ambès[11] |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Mas-de-Londres | Château-de-Londres |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
La Châtre-Langlin | La Châtre-le-Vicomte | |
Luçay-le-Libre | Luçay (ou Luçay-le-Captif) |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Neuilly-le-Brignon | Neuilly-le-Noble |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Chatte | Chaste | |
La Tronche | Saint-Ferjus |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Montoire (devenue Montoire-sur-le-Loir en 1891) | Querhoent | Montoire était le nom traditionnel avant 1743[12]. |
Molineuf | Saint-Secondin | Définitif depuis 1913[3], intégrée à Valencisse en 2016[13]. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Bellevue-la-Montagne | Saint-Just-près-Chomelis | |
Cohade | Saint-Ferréol-de Cohade | |
Lavoûte-sur-Loire | La Voûte-de-Polignac[14] |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Batilly-sur-Loire (devenue Batilly-en-Puisaye en 1919) | Batilly |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Laussou | Boynet | |
Pompogne | Sainte-Pompogne |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Bassurels | Saint-Martin-de-Campselade[15] |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Varennes-sur-Loire | Varennes-sur-Montsoreau | Définitif depuis 1892. |
Commune | Nom pré-révolutionnaire | Note |
---|---|---|
Cerisy-la-Forêt | Cerisy-l'Abbaye[16] | |
Lozon | Saint-Louet-sur-Lozon | Définitif depuis 1832, intégrée depuis 2016 à Marigny-Le-Lozon. |
- Élie Le Royer, « Décret du Président de la République française n°6148 du 23 novembre 1878 », Bulletin des lois de la République française, no 426, , p. 72 (lire en ligne, consulté le )
- EHESS-Cassini fournit Chézy-sur-Marne comme nom révolutionnaire mais ne fournit pas de nom antérieur ; Noms révolutionnaires des communes de France, p. 2 fournit Chézy-l'Abbaye.
- Erreur de référence : Balise
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesCassini
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 3. Non avéré sur la base Ehess-Cassini.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 40337.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 24467.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 37362.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 11. Non avéré sur Ehess-Cassini.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur Ehess-Cassini.
- EHESS-Cassini et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 19 donnent Boussac-le-Bourg ; après contrôle dans les archives départementales, ce nom n'est pas avéré.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 27. Non avéré sur Ehess-Cassini.
- « Histoire des communes : Montoire-sur-le-Loir - CRGPG », sur www.perche-gouet.net (consulté le ).
- Arrêté n°41-2015-12-14-002 portant création de la commune nouvelle de Valencisse, dans le Recueil des actes administratifs n°41-2015-12-007, publié le par la Préfecture du Loir-et-Cher (lire en ligne ), pp. 46 à 50 [PDF]
- Nom originel mentionné seulement sur Noms révolutionnaires des communes de France, p. 37 tandis qu'Ehess-Cassini fait état du nom de Lavoute, consulté le 21 juillet 2012.
- Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 39 ; Ehess-Cassini donne le nom de Martin-de-Champzelade.
- Cerisy-la-Forêt sur le site des Archives départementales de la Manche et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 40, consultés le 25 juillet 2012.
- Blancher-Le Bourhis, p. 7
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