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Saint-Priest-sous-Aixe

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Saint-Priest-sous-Aixe
Saint-Priest-sous-Aixe
Le clocher de l'église de Saint-Priest-sous-Aixe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Vienne
Maire
Mandat
Philippe Barry
2020-2026
Code postal 87700
Code commune 87177
Démographie
Population
municipale
1 786 hab. (2021 en évolution de +5,18 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 05″ nord, 1° 06′ 03″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 383 m
Superficie 23,15 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Aixe-sur-Vienne
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aixe-sur-Vienne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saintpriestsousaixe.com

Saint-Priest-Sous-Aixe (Sent Préch d'Aissa en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Les rubans de développement durable, distinction nationale, lui ont été décernés en 2011 et en 2013 en raison des nombreuses actions en faveur du développement durable régulièrement conduites.

Située à 15 km à l'ouest de Limoges, sa superficie est de 24 km2, son nombre d'habitants est de 1786 et sa densité est de 72 hab./km2. Le nombre de naissances en 2014 a été de 24.

C'est une commune à la fois rurale avec des exploitations agricoles d'élevage, périurbaine (troisième couronne de Limoges) et possédant un patrimoine naturel riche (forêt publique des Loges de 180 ha et 6 km de rivage de la Vienne). Saint-Priest est un village dynamique grâce à son tissu associatif dense, sa zone d’activités économiques et son offre de santé diversifiée. Son groupe scolaire (maternelles et primaires) compte 215 enfants en 2015.

Géographie

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Situation de la commune de Saint-Priest-sous-Aixe en Haute-Vienne.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 021 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 12,09 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Priest-sous-Aixe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aixe-sur-Vienne[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,9 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), prairies (20,7 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 4] (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Priest-sous-Aixe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et le Grand Rieux. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vienne d'Aixe à Saillat », approuvé le [18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Priest-sous-Aixe.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 33,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Priest-sous-Aixe est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

En occitan, la commune est appelée Sent Préch d'Aissa.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Georges Dumas (résistant) aida la famille Guterbaum qui avait trouvé refuge dans une ferme de Saint-Priest-sous-Aixe[24].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 1989 Francis Boluda    
1989 2001 Guy Combeau    
2001 juin 2015[25] Philippe Barry PS Conseiller départemental depuis 2015
16 juin 2015 mai 2020 Philippe Nauleau[26]    
mai 2020 En cours Philippe Barry PS Conseiller départemental, président de la communauté de communes Val de Vienne
Président de l'association des maires de la Haute-Vienne depuis octobre 2022

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[27].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 1 786 habitants[Note 7], en évolution de +5,18 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1131 0751 6381 0421 1731 1831 1961 2351 217
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1951 0471 0651 0461 1731 2371 2191 2371 275
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2941 2361 2721 0971 056988955866910
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8509159621 2141 3921 4731 5751 5891 653
2017 2021 - - - - - - -
1 7461 786-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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La commune présente une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Aixe-sur-Vienne comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Priest-sous-Aixe et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Aixe-sur-Vienne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Priest-sous-Aixe ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Priest-sous-Aixe », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. http://www.ajpn.org/departement-Haute-Vienne-87.html
  25. [1]
  26. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  27. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 123, lire en ligne sur Gallica
    « Saint-Jean-de-Treim »
    .
  33. « Eglise paroissiale Saint-Priest », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. La ZNIEFF 740006179 ”Vallée de la Vienne du moulin de la Mie au Daumail” sur le site INPN [2]