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Saint-Créac (Hautes-Pyrénées)

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Saint-Créac
Saint-Créac (Hautes-Pyrénées)
Vue du village de Saint-Créac.
Blason de Saint-Créac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Gilbert Graveleine
2020-2026
Code postal 65100
Code commune 65386
Démographie
Gentilé Saint-Créacais
Population
municipale
102 hab. (2022 en évolution de +6,25 % par rapport à 2016)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 03′ 36″ nord, 0° 01′ 27″ ouest
Altitude Min. 416 m
Max. 825 m
Superficie 2,2 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Lourdes
(banlieue)
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lourdes-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Créac
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Saint-Créac
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
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Saint-Créac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Saint-Créac

Saint-Créac est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Nès. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Créac est une commune rurale qui compte 102 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 237 habitants en 1836. Elle est dans l'agglomération de Lourdes et fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes. Ses habitants sont appelés les Saint-Créacais ou Saint-Créacaises.

Géographie

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Localisation

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Carte

La commune de Saint-Créac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 21 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 9 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture, et à 4 km de Lourdes[3], bureau centralisateur du canton de Lourdes-2 dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lourdes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Lugagnan (1,1 km), Ger (1,3 km), Ousté (1,5 km), Berbérust-Lias (1,5 km), Viger (2,0 km), Juncalas (2,2 km), Aspin-en-Lavedan (2,5 km), Jarret (2,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Créac fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans la vallée de Castelloubon qui regroupe douze communes[5],[6].

Saint-Créac est limitrophe de neuf autres communes dont Sère-Lanso au nord-est par un simple quadripoint.

Carte de la commune de Saint-Créac et des proches communes.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Nès, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Nès, d'une longueur totale de 15,7 km, prend sa source dans la commune de Beaucens et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Lugagnan, après avoir traversé 7 communes[10].

Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Saint-Créac.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[11].


Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] :

  • le « pic du Jer » (467 ha), couvrant 4 communes du département[13] ;
  • le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » (961 ha), couvrant 12 communes du département[14],
  • le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » (260 ha), couvrant 35 communes du département[15] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] : les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[16].

Une croix.

Au , Saint-Créac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lourdes[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,5 %), forêts (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,2 %)[17].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Vue du hameau d'Antalos.

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 64[I 6].
Parmi ces logements, 66,1 % sont des résidences principales, 30,8 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par la route départementale D 26.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Créac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Nès. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2011, 2021 et 2022 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2015[21],[18].

Saint-Créac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Créac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 1,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 50 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999, 2015 et 2021[18].

Risque technologique

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Extrait de la carte de Cassini situant Saint-Créac à l'est de Lourdes.
Rue du village.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[27] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • De Sant Criac, De Sent Criag (v. 1050-1070, cartulaire de Bigorre) ;
  • de Sancto Criaco, latin (1309, livre vert de Bénac) ;
  • Sanctum Criag, De Sancto Criac, latin et gascon (1313, Debita regi Navarre) ;
  • Sent Criag, Sen Criag, Sent Criac (1338, livre vert Bénac) ;
  • de Sancto Creaco, latin (1379, procuration Tarbes) ;
  • Sent Criach, Sen Criac (1384, livre vert Bénac ; 1403, ibid.) ;
  • parroisse de St Criacantalos et Justous, parroisse de St Criacantalos (1737-1787, registres paroissiaux) ;
  • Communauté de Saint-Créac, Antalos et Justous (1789, cahier de doléances) ;
  • St Creat (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

Nom occitan : Sent Criac.
Étymologie : De Sanctus Cyriacus.

Cadastre napoléonien de Saint-Créac

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Le plan cadastral napoléonien de Saint-Créac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[28].

Politique et administration

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La mairie en 2016.
Le foyer rural en 2016.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1995 mars 2001 Denis Argentière    
mars 2001 mars 2020 Jean Michel Duclos    
mars 2020 en cours Gilbert Graveleine    

Rattachements administratifs et électoraux

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Historique administratif

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Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Estrema de Castelloubon, canton de Juncalas puis de Castelloubon et Batsouriguère (1790), de Lourdes (1802), Lourdes-Est (1973). Antalos et Justous, toutes deux communes dans la première répartition de 1790, la première est rattachée à Saint-Créac au cours de la même année, tandis que la seconde est rattachée à Saint-Créac entre 1791 et 1801, probablement en 1792[29].

Intercommunalité

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Saint-Créac appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32]. En 2022, la commune comptait 102 habitants[Note 7], en évolution de +6,25 % par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192173138192206237214210199
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
203210215203223212209228205
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
208211204174153126140117135
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
140129104115117115969196
2018 2022 - - - - - - -
98102-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,1 % 10,7 % 8 %
Département[I 8] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 50 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lourdes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 2 emplois en 2018, contre 4 en 2013 et 5 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 36, soit un indicateur de concentration d'emploi de 5,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,2 %[I 11].

Sur ces 36 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 6 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 94,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Cyriaque en 2016.
L'église de la Toussaint en 2016.
Le lavoir de Saint-Créac en 2016.
Le monument aux morts de la Vallée de Castelloubon.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'azur à deux burèles ondées d'argent, à la croix latine d'or mouvant de la première.
Commentaires : Blason officiel vérifié auprès de la mairie.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lourdes comprend une ville-centre et douze communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Créac » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Lourdes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lourdes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Saint-Créac
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Créac » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Créac » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Créac et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Créac et Argelès-Gazost », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Créac et Lourdes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Saint-Créac », sur villorama.com (consulté le ).
  5. « Castelloubon - vie des douze villages », sur patrimoine-castelloubon.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Saint-Créac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
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  11. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
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  13. « ZNIEFF le « pic du Jer » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « pied du massif de Hautacam entre Argelès et St-Créac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Créac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  26. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  28. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Saint-Créac
  29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  30. « Liste des juridictions compétentes pour Saint-Créac (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.