Peyrusse-Grande
Peyrusse-Grande | |||||
Hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Auch | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes d'Artagnan en Fézensac | ||||
Maire Mandat |
William Villeneuve 2020-2026 |
||||
Code postal | 32320 | ||||
Code commune | 32315 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Peyrussais, Peyrussaise | ||||
Population municipale |
150 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 38′ 00″ nord, 0° 12′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 151 m Max. 269 m |
||||
Superficie | 25,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Fezensac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
modifier |
Peyrusse-Grande est une commune française située dans le centre du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Douze, l'Auzoue, la Guiroue et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Peyrusse-Grande est une commune rurale qui compte 150 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 250 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Peyrussais ou Peyrussaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Mamet, classée en 1972.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Peyrusse-Grande est une commune située à l'ouest d'Auch et à l'est de Nogaro, à 9 km au sud de Lupiac, dans le pays de d'Artagnan.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Bassoues, Callian, Cazaux-d'Anglès, Gazax-et-Baccarisse, Lupiac, Peyrusse-Vieille et Saint-Pierre-d'Aubézies.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Peyrusse-Grande se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est pour partie dans le bassin de l'Adour et pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Douze, l'Auzoue, la Guiroue, la Lauzette, la Lesque, le ruisseau d'Ayris, le ruisseau de Coumau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 31 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Douze, d'une longueur totale de 123,5 km, prend sa source dans la commune de Gazax-et-Baccarisse et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le sud. Elle traverse la commune et se jette dans la Midouze à Mont-de-Marsan, après avoir traversé 34 communes[5].
L'Auzoue, d'une longueur totale de 74,3 km, prend sa source dans la commune de Mascaras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Réaup-Lisse, après avoir traversé 19 communes[6].
La Guiroue, d'une longueur totale de 26,3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Christaud et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Osse à Vic-Fezensac, après avoir traversé 11 communes[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 835,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3 | 3,3 | 5,6 | 7,6 | 10,9 | 14,1 | 16,1 | 16,2 | 13,4 | 10,5 | 6,4 | 4 | 9,3 |
Température moyenne (°C) | 6,2 | 7,1 | 10 | 12,3 | 15,8 | 19,3 | 21,4 | 21,7 | 18,6 | 14,8 | 9,8 | 7,2 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,5 | 10,9 | 14,5 | 16,9 | 20,8 | 24,5 | 26,8 | 27,3 | 23,9 | 19 | 13,2 | 10,4 | 18,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,5 18.01.1987 |
−10,1 08.02.12 |
−7,3 01.03.05 |
−2,6 12.04.1986 |
1,3 05.05.19 |
6,8 07.06.1986 |
9 04.07.1990 |
7 11.08.01 |
4 18.09.01 |
−1,7 25.10.03 |
−4,6 16.11.07 |
−7,8 29.12.1996 |
−10,5 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,7 04.01.22 |
24,6 24.02.1990 |
28 21.03.1990 |
28,2 30.04.05 |
32,9 30.05.01 |
40,8 18.06.22 |
40,4 20.07.1989 |
40,8 24.08.23 |
38,2 16.09.1987 |
32,4 01.10.23 |
25,3 01.11.20 |
22,9 17.12.1987 |
40,8 2023 |
Précipitations (mm) | 76,8 | 59,8 | 67 | 83,1 | 86,3 | 64,1 | 54,8 | 55,5 | 60 | 64,2 | 89,1 | 74,4 | 835,1 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[13] : le « lac de Saint-Jean et forêt de Peyrusse-Grande » (243 ha), couvrant 4 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : « la Douze et milieux annexes » (11 575 ha), couvrant 29 communes dont 26 dans le Gers et trois dans les Landes[15].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Peyrusse-Grande est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,9 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), forêts (14 %), terres arables (7,8 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Peyrusse-Grande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 124 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 124 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2003, 2009 et 2020. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Peirussa Grana en gascon
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2021, la commune comptait 150 habitants[Note 4], en évolution de −9,09 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 76 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 150 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 370 €[I 5] (20 820 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,5 % | 5,6 % | 2,7 % |
Département[I 8] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 78 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (75,7 % ayant un emploi et 2,7 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 55 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,3 %[I 11].
Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 72,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 13 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]17 établissements[Note 7] sont implantés à Peyrusse-Grande au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,4 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 17 entreprises implantées à Peyrusse-Grande), contre 27,7 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 40 | 32 | 31 | 27 |
SAU[Note 9] (ha) | 1 622 | 1 498 | 1 807 | 1 647 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 32 en 2000 puis à 31 en 2010[28] et enfin à 27 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 32 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[29],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 622 ha en 1988 à 1 647 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 41 à 61 ha[28].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Prieuré de Saint-Mamet
[modifier | modifier le code]Le prieuré de Saint-Mamet est un exemple de ces fondations monastiques qui se multiplièrent au cours du XIe siècle : Saint-Mont, Saint-Sever, Maubourguet… La Gascogne, jusqu'alors pauvre et longtemps fermée sur elle-même va se transformer rapidement. L'église du prieuré de Saint-Mamet est un des témoins de ce développement du XIe siècle.
Le prieuré de Peyrusse-Grande n'apparait pas explicitement dans les textes avant 1115. Il est cité comme étant une possession du prieuré clunisien de Saint-Orens d'Auch.
Église de Saint-Mamet
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Mamet[30], est un édifice de style clunisien construit à partir du XIe siècle, et modifié aux XVIe, XVIIe et XIXe siècles.
L'église est caractérisée par un roman archaïque qui pourrait tromper l'amateur d'art ou le touriste sur son ancienneté.
La partie la plus ancienne est le chœur profond avec une abside voûtée en cul-de-four, les deux chapelles latérales parallèles avec leurs absides, une partie du transept et les piliers de la nef. Un étage a été placé au-dessus du chœur. La nef a été élargie de deux bas-côtés plafonnés au XVIe – XVIIe siècle.
Son chevet très élevé possède des arcatures ornées de pierres losangées et dans les contreforts, d'étroites fenêtres, aujourd'hui bouchées, dont les piédroits et les bases portent de riches sculptures. Le chevet est plat à l'extérieur, mais semi-circulaire à l'intérieur. Il est cloisonné et renferme une abside et deux absidioles aux dimensions et de profondeur très inégales.
La décoration intérieure de l'église de Saint-Mamet est aussi riche qu'à l'extérieur avec des arcades et des chapiteaux sculptés aux thèmes archaïques : oiseaux buvant dans un vase.. À noter l'importance accordée au décor d'entrelacs si rare en Gascogne : tresses, cercles noués, nœuds à deux pointes, épannelages cubiques, palmettes.. Ce décor s'observe sur les encadrements de fenêtres, sur les impostes du chœur, sur les tailloirs ou les corbeilles des chapiteaux de l'abside.
L'impression d'archaïsme de l'édifice est donnée par le chœur cloisonné, par le chevet renforcé extérieurement, par les décors des arcatures ou des pilastres, par les fenêtres ouvertes dans les contreforts, par la présence autrefois de salles en étage au-dessus du chœur sans communication avec l'intérieur de l'église, par la nature des divers appareils utilisés pour sa construction et enfin par les sculptures comme le chrisme très fruste qui surmonte le portail.
L'église a été classée monument historique le [31].
Site de Comort
[modifier | modifier le code]La motte de plan quadrangulaire, entourée de fossés talutés, présente un logis avec des murs de 1,2 mètre d'épaisseur. Ont peut le dater de la fin du XIIIe ou au XIVe siècle d'après ses caractéristiques architecturales. Son premier niveau, bâti à l'est de la motte à l'emplacement des fossés, est souterrain et aveugle. Il se présente sous la forme d'une pièce voûtée en berceau de 7,10 sur 6,90 mètres et d'une hauteur de 4,50 mètres. On y accédait par un escalier situé dans l'angle sud-ouest du bâtiment, quant à l'aération elle était assurée par une baie percée au centre du mur méridional. Ce niveau devait probablement servir d'espace de stockage[32].
-
L'entrée du village.
-
Le monument aux morts.
-
Une croix monumentale.
-
Un pigeonnier.
-
Maisons.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)
- Marcel Durliat, L'église de Peyrusse-Grande dans Congrès Archéologique de France, Gascogne, 1970 (pages 43 à 54 )
- Abbé Jean Cabanot, Gascogne Romane dans la collection La nuit des temps, 1978, Les éditions du Zodiaque.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Peyrusse-Grande » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Peyrusse-Grande ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Peyrusse-Grande » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Peyrusse-Grande » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Peyrusse-Grande » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Peyrusse-Grande » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Peyrusse-Grande », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Douze »
- Sandre, « l'Auzoue »
- Sandre, « la Guiroue »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France commune de Mauroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France commune de Peyrusse-Grande) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyrusse-Grande », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « lac de Saint-Jean et forêt de Peyrusse-Grande » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « la Douze et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Peyrusse-Grande », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyrusse-Grande », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Peyrusse-Grande
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Peyrusse-Grande - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- Notice no PA00094891, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. L'église Saint-Mamet
- « Eglise Saint-Mamet », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 336.