Aller au contenu

Montmahoux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montmahoux
Montmahoux
Le mont Mahoux et le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Besançon
Intercommunalité Communauté de communes Loue-Lison
Maire
Mandat
Vincent Marguet
2020-2026
Code postal 25270
Code commune 25404
Démographie
Gentilé R'lavoux
Population
municipale
91 hab. (2022 en évolution de −3,19 % par rapport à 2016)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 03″ nord, 6° 02′ 06″ est
Altitude Min. 550 m
Max. 823 m
Superficie 6,52 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pontarlier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ornans
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montmahoux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montmahoux
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Voir sur la carte topographique du Doubs
Montmahoux
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Montmahoux

Montmahoux est une commune française située dans le département du Doubs, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont les R'lavoux et R'lavouses.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Monmaour en 1259 ; Castrum Montis Majoris en 1272 ; Montmajor en 1276 ; Montmahou en 1475 ; Montmaou en 1542[1].

Sur une superficie totale de 652 hectares, 203 sont couverts de forêts. Le point culminant de la commune est le Mont Mahoux, à 823 mètres. Située au cœur des montagnes du Jura, la commune est distante de 8 km d’Amancey, 40 km de Besançon, 40 km de la Suisse.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 514 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coulans », sur la commune d'Éternoz à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 259,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Montmahoux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontarlier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 54 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,3 %), forêts (37 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • 1259 : naissance du village grâce à Jean de Chalon et achèvement de la construction du château
  • 1262 : Montmahoux devient un bourg
  • 1267 : Affranchissement du bourg par Jean Ier de Chalon
  • 1268 : mort de Jean Ier de Chalon ; le château et la bourgade sont gérés par Jean Ier de Chalon-Arlay, le plus célèbre des fils de Jean l'Antique
  • 1301 : Montmahoux devient un village français
  • 1480 : Louis XI lance ses troupes sur Montmahoux, le château de Montmahoux est en partie rasé, le village est sérieusement détruit
  • 1530 : réhabilitation du village et fondation d'une église sous le vocable de saint Pons
  • 1639 : reconstruction du village au pied de la butte, le château ne consistant plus qu'en quelques masures
  • 1703 : terrible incendie qui frappe une importante partie du village

Montmahoux dans la Description de la Franche-Comté de 1552

[modifier | modifier le code]

Montmahoux et son château sont décrits par Gilbert Cousin dans sa Description de la Franche-Comté de 1552 : « A un jet de pierre de Sainte-Anne est Montmahoux, très vieux château sur une montagne élevée d'où l'on domine toute la Bourgogne avec une ville fortifiée qui porte le même nom mais dont les murailles sont à peu près en ruines. Le château même s'offre glorieusement de toutes parts à la vue des autres places fortes des deux Bourgognes, et il contemple d'un regard joyeux, plusieurs forteresses et plusieurs villages bien peuplés. Le climat y est très saint et le sol très fertile. »[14]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Montmahoux Blason
De gueules à la bande d'or, au mont de sinople chargé d'une clef d'or et sommé d'une tour donjonnée d'argent, l'ensemble brochant sur le tout, la tour ouverte et ajourée de gueules, la porte munie de deux vantaux ouverts d'or laissant sortir un loup passant d'argent brochant dextre[15].
Détails
Blason adopté à l'unanimité par délibération du Conseil municipal en date du 20 janvier 2006.

Données diverses

[modifier | modifier le code]
  • Maison commune - 1840
  • Fromagerie - 1840
  • Électrification - 1926
  • Adduction d’eau - 1974
  • En 1876 : un cantonnier, une blanchisseuse, un tisserand, une couturière, une tailleuse, un fromager, une épicerie, un menuisier, un aubergiste.
  • En 1921 : un menuisier, un cordonnier, un maçon, une scierie.

Familles existant en 1750

  • Badoz
  • Bulle
  • Dubois
  • Frachebois
  • Frelet
  • Garnier
  • Gavignet
  • Melin
  • Messin
  • Michel
  • Saillard
  • Tournier

Évolution du nom du village :

  • 1259 : Monmaour
  • 1262 : Monmaour[16] ; Montmaour[16]
  • 1267 : Monmaour[16]
  • 1272 : Castrum Montis Majoris
  • 1276 : Montmajor
  • 1294 : Montmaour[17]
  • 1475 : Montmahou
  • 1542 : Montmaou
  • 1767 : Montmahou[17]
  • 1773 : Montmahoux[18]

La situation géographique du village de Montmahoux le situe entre les aires linguistiques des variétés d’oïl et des variétés de franco-provençal. La commune a d'abord été nommée Mon(t)maour (XIIIe siècle). Le nom actuel de la commune est attestée ainsi depuis 1552 mais deux formes semblent être en alternances (Montmahou, Montmahoux) du XVe à fin XVIIIe siècle.

Le nom de lieu Montmahoux possède deux composants lexicaux :

  • fr. « mont » < lat. montem (acc. sg. de mons) (FEW 6/3, 84, MONS)[19] ;
  • afrcom. « mahou(x) » < afrcom. mahour < lat. maior (FEW 6/1, 57b, MAIOR)[20].
  1. Évolution morpho-phonétique de l'étymon lat. montem > fr. mont : réduction du système casuel latin qui fait disparaitre -em ; amuïssement du /t/ en position finale mais maintien graphique -t ; nasalisation de la voyelle /o/ qui devient /ɔ̃/ notée -on[21],[22].
  2. Évolution morpho-phonétique de l’étymon lat. maior > afrcom. mahour > afrcomt. mahou(x) : amuïssement du -i qui correspond à la consonne [j] en position intervocalique en latin ; ajout du -h pour marquer le hiatus à la suite de la disparition de la consonne ; la voyelle /o/ entravé devient /u/ notée -ou ; le -r final s'amuït ; le marqueur accentuel -x issu de la scripta franco-provençale (qui se développe en France au XVIe siècle) est ajouté en finale du terme "mahou"[23],[24],[21],[25].

L'agglutination de l'étymon lat. montem > fr. mont et de l’étymon lat. maior > afrcom. mahour > afrcomt. mahou(x) ont donné la forme Montmahou, à laquelle s'ajoute un -x en position finale par influence de la scripta franco-provençale pour donner le toponyme Montmahoux.

Le toponyme Montmahoux est donc un nom propre composé, formé d’un géomorphonyme du français mont n. m. « élévation naturelle détachée et isolée » (TLF)[26] (du lat. mons = colline > montagne) et d’un adjectif de l'ancien franc-comtois mahou(x) (au sens lat. maior > major > majeur) « plus grand, plus important » (TLF)[27],[28],[29]

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 René Boucard    
2001 En cours
(au 31 mai 2020)
Vincent Marguet[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026
UMP-LR Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2022, la commune comptait 91 habitants[Note 3], en évolution de −3,19 % par rapport à 2016 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
241218255251287270288269283
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
259264273228215202199180178
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
167161160159160147131134115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
122106957680677110294
2021 2022 - - - - - - -
9191-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Surnom de la population

[modifier | modifier le code]

R'lavoux est le nom des habitants (gentilé) de Montmahoux (Doubs). R'lavoux avait à l'origine un sens péjoratif. Cela signifiait « Celui qui relave dans les assiettes des autres ». Pas très flatteur mais cela est resté et, au fil du temps, cette connotation péjorative du nom est devenue un usage courant et a perdu tout son sens péjoratif.

R'lavoux est un mot patois qui signifie « Relaveur ». À propos de la signification de ce nom, plusieurs hypothèses sont avancées : Charles Beauquier rappelle que le r'lavou peut désigner la planche sur laquelle les femmes lavaient le linge à la fontaine. Au figuré, r'lavou se dit d'un homme qui se lave, c'est-à-dire qui laisse son bien partir à l'eau, qui se ruine. Or, beaucoup de villageois de Montmahoux étaient autrefois de condition très modeste : par conséquent, le surnom de R'lavou aurait servi à railler la pauvreté des villageois. Une autre interprétation est aussi avancée : à l'origine, les R'lavoux seraient « ceux qui relavent dans les assiettes des autres ». Cependant la seconde explication proposée par M. Beauquier semble la plus satisfaisante : le r'lavou (« relaveur ») est celui qui lave le beurre ou le fromage ; ce serait donc un sobriquet lié à l'activité laitière du village (en 1856, il y avait deux fromageries, regroupant 35 sociétaires et exportant à Lyon l'essentiel de leur production).

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
La croix monumentale.
La stèle.
  • La croix
    La croix qui trône au haut du mont a été érigée en juin 1914 en souvenir du jubilé constantinien célébré l'année précédente par l'église. C'est le comte Gabriel de Montrichard, qui, très généreusement, offrit cette imposante croix (plusieurs mètres de haut) au village. La population de Montmahoux a, quant à elle, participé à sa mise en place. Cette croix, tournée vers la majeure partie des villages du canton d’Amancey tout en les dominant, a été érigée en souvenir du jubilé constantinien de 1913. Une plaque a été apposée sur le socle de la croix. On peut y lire nettement ceci :
« IN CRUCE SALUS » (Imitation de J.-C., Liv. II, Ch. 12)
EN SOUVENIR DU JUBILE CONSTANTINIEN DE 1913 LE CANTON D’AMANCEY AU CHRIST-ROI
ERIGE EN PAR LA GENEROSITE DE Mr LE COMTE GABRIEL DE MONTRICHARD ET AVEC LA COLLABORATION DEVOUEE DE TOUTE LA POPULATION DE MONTMAHOUX
BENI SOLENNELLEMENT LE
Si cette croix a été bénie seulement le , c'est en raison de la guerre. Ce n’est qu’à partir de cette date que la croix devient un lieu de pèlerinage célébrant la Sainte-Croix, le . Ce pèlerinage disparaîtra peu à peu durant les années 1970.
  • La stèle
    Une stèle, en hommage aux morts durant la guerre, a été mise en place en haut du mont par le Souvenir français. Elle a été placée dans le même sens que la croix pour un même but : être tournée vers un maximum de villages du canton d’Amancey tout en les « dominant ». Cette stèle se présente sous la forme d'une pierre d'environ 1 m de haut avec une plaque apposée contre elle. On peut lire les inscriptions suivantes sur cette plaque :
texte = « A NOS MORTS »
auteur = LE SOUVENIR FRANÇAIS DU CANTON D'AMANCEY
  • Le mont Mahoux
    Le mont Mahoux est le symbole du village. D'un point de vue historique tout d'abord puisque c'est à son sommet que Jean de Châlon décide d'y bâtir un château fort grâce à sa position stratégique (garde des « routes du sel », panorama exceptionnel pour surveiller une vaste partie de son territoire…).
D'un point de vue touristique par ailleurs, puisque Montmahoux offre un panorama exceptionnel s'étendant jusqu’au « mont Blanc » ! D'un point de vue humain finalement, puisque cette butte est un symbole identitaire indéniable pour chacun des R’lavoux. Il est porteur d’histoires personnelles ou collectives, de légendes et autres mythes
  • L'église Saint-Point

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 4, Besançon, Cêtre, .
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Montmahoux et Éternoz », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Coulans », sur la commune d'Éternoz - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Coulans », sur la commune d'Éternoz - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontarlier », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. (en) « La Franche-Comté au milieu du XVIe siècle: ou, Description de la Haute ... : Gilbert Cousin , Gilbert Cousin de Nozeroy, Émile Monot , Société d'émulation du Jura, Société d 'émulation du Jura : Free Download, Borrow, and Streaming », sur Internet Archive (consulté le ).
  15. « Blason de Montmahoux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. a b et c Jean Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne: avec des notes historiques et généalogiques sur l'ancienne noblesse de cette province. Vol 1., Besançon, Jean Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 171 ; 172 ; 173
  17. a et b François Felix Chevalier, Mémoires historiques sur la ville et seigneurie de Poligny: avec des recherches rélatives à l'histoire du comté de Bourgogne & de ses anciens souverains, et une collection de chartes intéressantes. Vol. 1., Lons-Le-Saunier, Pierre Delhorme, (lire en ligne), p. 389 ; 163
  18. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France. Vol. 6. (Seconde édition), Paris, Antoine Boudet, (lire en ligne), p. 163
  19. (de) « Französisches Etymologisches Wörterbuch (FEW) - étymon "mons" p. 84 », sur apps.atilf.fr (consulté le ).
  20. (de) « Französisches Etymologisches Wörterbuch (FEW) - étymon "maior" p. 57 », sur apps.atilf.fr (consulté le ).
  21. a et b Annick Englebert, Introduction à la Phonétique historique du français, Louvain-la-Neuve, De Boeck Supérieur, coll. « Manuels Champs Linguistiques »,
  22. Geneviève Joly, Précis d'ancien français, Paris, Armand Colin,
  23. Christian Touratier, « Quelques problèmes de phonologie à propos de -i- », Annales littéraires de l'Université de Besançon, vol. 515 « Mélanges François Kerlouégan »,‎ , p. 623-632 (lire en ligne)
  24. (de) Artur Greive, Etymologische Untersuchungen zum Französichen "h aspiré", Heidelberg, C. Winter Universitätsverlag,
  25. Michela Russo et Dominique Stitch, « Les systèmes graphiques du francoprovençal : état des lieux et perspectives », Lengas, vol. 86,‎ (lire en ligne)
  26. « TLFi "MONT, subst. masc." », sur stella.atilf.fr (consulté le ).
  27. « TLFi "MAJEUR, -EURE, adj. et subst." », sur stella.atilf.fr (consulté le ).
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Formations non-romanes ; formations dialectales., Genève, Droz, , p. 1163
  29. François Lassus et Thierry Brossard, « Analyse systématique et microtoponymie. Les « géomorphonymes » jurassiens : combe, creux, cul, crêt, mont. », Nouvelle revue d'onomastique, vol. 17-18,‎ , p. 41-60 (lire en ligne)
  30. [PDF] Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires
  31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :