Aller au contenu

Lanneplaà

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lanneplaà
Lanneplaà
La mairie de Lanneplaà.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Pierre Ziegler
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64312
Démographie
Population
municipale
304 hab. (2021 en évolution de −0,33 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 45″ nord, 0° 49′ 11″ ouest
Altitude Min. 70 m
Max. 207 m
Superficie 7,26 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Orthez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lanneplaà
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lanneplaà
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Lanneplaà
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Lanneplaà
Liens
Site web www.lanneplaa.fr

Lanneplaà est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Son gentilé est Lanneplanais[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Lanneplaà se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 52 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 6,0 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Ozenx-Montestrucq (3,0 km), L'Hôpital-d'Orion (3,4 km), Laà-Mondrans (4,0 km), Salles-Mongiscard (4,2 km), Orthez (5,0 km), Bérenx (5,4 km), Baigts-de-Béarn (5,8 km), Orion (5,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Lanneplaà fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Orthez, L'Hôpital-d'Orion, Ozenx-Montestrucq et Salles-Mongiscard.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lanneplaà.

La commune est drainée par le ruisseau des Moulins, l’Arriou de Mondran et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 306 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17],[Carte 2] :

  • le « château d'Orthez et bords du gave », d'une superficie de 4 300 ha, un agrosystème favorable à la présence de Chiroptères[18] ;
  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20].

Au , Lanneplaà est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones agricoles hétérogènes (42,2 %), forêts (8,6 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par les routes départementales D 23 et D 267.

Sentiers de randonnées

[modifier | modifier le code]

La commune est traversée du nord-est au sud-ouest par le sentier GR 654 ouest[7], également nommé voie de Vézelay.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lanneplaà est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lanneplaà.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 45,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[28].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009 et 2018, par la sécheresse en 1989, 2002 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1983[25].

Le tableau suivant détaille les origines du nom de la commune
Nom Siècle / Date Source Origine
Lanepla Xe siècle[29] cartulaire de Sorde[30] / Raymond
Lane-Pla et Lanne-Pla' 1172[31] cartulaire de Sorde[30] / Raymond
Laneplan 1323[29] cartulaire d'Orthez[32] / Raymond
Llaneplaa 1385[31]
Lanaplaa 1536[29] Raymond réformation de Béarn[33]
Lanaplan 1538[29] Raymond réformation de Béarn[33]
Lanneplâa fin XVIIIe siècle[31] carte de Cassini / Cassini
Lanneplaa 1793[34] Cassini
Lanneplau 1801[34] Bulletin des lois / Cassini
Lanneplàa 1863 dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[29]/ Raymond
Lanneplaà

Il a comme origine le gascon lana (provenant du gaulois landa, « lande ») et plan (« plane »)[31].

Lanneplaà indique donc une plaine de pâturages.

Paul Raymond[29] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Lanneplaà dépendait du bailliage de Larbaig et on y comptait 39 feux.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 2001 Jacques Laulhé SE Agriculteur
2001 2008 Jacques Laulhé SE Agriculteur
2008 2014 Jacques Laulhé SE Agriculteur
2014 2020 Aline Langlès SE Agricultrice
2020 2026 Pierre Ziegler SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de trois structures intercommunales[35] :

Lanneplaà accueille le siège du SIVU des villages réunis ainsi que celui du syndicat de Gréchez.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 304 habitants[Note 7], en évolution de −0,33 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
429313415455447467475476457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
430401410403384372355365330
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
338327320277263267247232221
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
220206200215241247275282321
2015 2020 2021 - - - - - -
305304304------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et polyculture).

La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]
L'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur.

L'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur[39] date de 1865. Elle est inscrite à l’inventaire général du patrimoine culturel.

L’église dédiée à saint Jacques le Majeur domine Lanneplaà et s’élève au milieu d’une végétation foisonnante.

L’édifice est restauré au XIXe siècle. Il s’inscrit donc dans le vaste mouvement initié par l’Église, visant à restaurer des églises mal entretenues ou trop petites, face à l’augmentation de la population.

C’est ainsi que de 1865 à 1866,un clocher est construit.

Clocher-porche de l’église Saint-Jacques-le-Majeur

De plus, la nef est allongée par Henri d’Arnaudat, architecte de la ville d’Orthez. Puis, ce remaniement est complété en 1887 par des travaux de peinture et de dorures décoratives. Le peintre bayonnais, Louis Decrept en est le signataire

La commune se trouve sur la via Lemovicensis (ou voie limousine ou voie de Vézelay), nom latin d'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Patrimoine militaire

[modifier | modifier le code]
Monument aux morts de Lanneplaà.

De conception originale, le monument aux morts de Lanneplaà appartient à la catégorie des stèles commémoratives.

La stèle est adossée à un pignon, et revêt globalement l’aspect d’une façade de temple à l’antique. Construite sur un socle, elle se compose d’un soubassement mouluré, de deux piliers encadrant la stèle inscrite, et d’un fronton triangulaire surmontant le tout, dans le tympan duquel est écrit : « Morts pour la France 1914-1919 ».

Le nom des soldats est gravé sur la stèle centrale, entre les deux piliers.

Équipements

[modifier | modifier le code]
Salle polyvalente + Maison pour tous de Lanneplaà.

La commune dispose :

  • d'une salle polyvalente ;
  • d'une salle communale ;
  • d'une maison pour tous ;
  • d'un terrain de jeux ;
  • d'un boulodrome.

Associations

[modifier | modifier le code]

Lanneplaà comprend 11 associations

  • Association Familles Rurales (AFR) :
    • ALSH (accueil de loisirs sans hébergement) : permettre aux enfants âgés de 4 à 14 ans de développer leur autonomie, leurs créativités, leur sens du respect pour l’environnement et d’apprendre à vivre en collectivité, au travers d’activités variées et adaptées, encadrées par une équipe pédagogique ;
  • L'envol Lanneplanais : volley-ball ;
  • Gymnastique volontaire ;
  • Mosaïk : développement du chant polyphonique ;
  • Les Robins Béarnais : pratique de l’éducation physique et des sports et plus particulièrement du tir à l’arc sous toutes ses disciplines ;
  • Cyclo Union Lanneplanais (C.U.L.) : pratique du VTT (vélo tout terrain) ;
  • Les Galipettes : pratique du baby gym, de la gymnastique plaisirs et du trampoline en loisirs ;
  • Plaisirs de vivre : réseau d’échange.
  • Association communale de chasse agréée (ACCA)
  • Comité des fêtes ;
  • Los de Candau : rassemblement de seniors autour de repas et d’activités organisées, organisation de marches destinées aux personnes âgées, groupe de danse country, organisation de séances (réservées aux membres ou publiques) destinées à la sécurité, la sûreté.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lanneplaà » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lanneplaà », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Lanneplaà ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lanneplaà et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lanneplaà et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Lanneplaà », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as et at Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Lanneplaà », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Lanneplaà et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lanneplaà », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « site Natura 2000 FR7200784 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orthez », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lanneplaà », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  29. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  30. a et b Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  31. a b c et d Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 296..
  32. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
  33. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  34. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « L’église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IA64000626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :