Aller au contenu

La Forteresse (Isère)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Forteresse
La Forteresse (Isère)
Église de La Forteresse en février 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Bièvre Isère
Maire
Mandat
Évelyne Collet
2020-2026
Code postal 38590
Code commune 38171
Démographie
Gentilé Fortariots, Fortariotes
Population
municipale
336 hab. (2021 en évolution de +3,7 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 44″ nord, 5° 24′ 15″ est
Altitude Min. 503 m
Max. 773 m
Superficie 9,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)

Lyon
(commune de la couronne) Annonay
(commune de la couronne)

Élections
Départementales Canton de la Bièvre
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Forteresse
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Forteresse
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
La Forteresse
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
La Forteresse
Liens
Site web https://mairie-la-forteresse.fr/

La Forteresse est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Située à mi-chemin entre la plaine de la Bièvre et la vallée de l'Isère dénommée localement Sud-Grésivaudan, la petite commune, assez isolée sur la partie orientale du plateau de Chambaran, en moyenne altitude, est rattachée à la communauté de communes Bièvre Isère.

Selon un site dédié, les habitants de la commune sont dénommés les « Fortariaux ». Selon le livre Histoire des communes de l'Isère, les habitants se dénommeraient les « Fortarios » (dans sa forme patoisante)[1]. Le gentilé le plus commun reste : les « Fortariots » et les « Fortariotes ».

Géographie

[modifier | modifier le code]

Situation et description

[modifier | modifier le code]
Plan de la commune.

La Forteresse est positionnée dans la vallée du Rival, modeste torrent de montagne qui coule en direction de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, à environ 550 mètres d'altitude.

Elle est encadrée de deux cols de moyenne altitude : le col du Châtain (684 m) qui permet de joindre Morette à Tullins, et le col Lachard (695 m) qui permet de joindre Quincieu et Vinay.

Selon le livre Histoire des communes de l'Isère, publié chez Horvath, le petit village de « La Forteresse est située au creux d'une petite vallée, au centre d'une étoile routière à trois branches »[2].

La Forteresse se situe à 10 kilomètres de l'aéroport de Grenoble-Alpes-Isère[3].

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal s'étend sur la partie orientale du plateau de Chambaran, lequel est constitué d'une ossature en molasse miocène, recouverte en grande partie par un placage de terres argilo-limoneuses ou argilo-sableuses[4][source insuffisante].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Le territoire des communes de Vatilieu, Quincieu, Cras et La Forteresse forment un quadripoint au sud de cette dernière commune.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le torrent du Rival, seul cours d'eau notable de la commune, est un ruisseau s'écoulant dans un axe sud / nord-ouest sur le territoire communal. Le ruisseau du moulin, modeste cours d'eau au cours très irrégulier, est son affluent sur sa rive droite.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 218 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voie de communication et transports

[modifier | modifier le code]
Entrée de La Forteresse par la RD 154 depuis le nord

La Forteresse se présente comme un carrefour routier dans la partie orientale du plateau de Chambaran. La Forteresse est située sur la RD 154 reliant Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à Vinay par le col Lachard. Une route rejoint Tullins par le col du Châtain.

La RD 73b permet de rejoindre Saint-Paul-d'Izeaux, mais aussi Saint-Michel-de-Saint-Geoirs par d'autres routes départementales. Une petite route, étroite et pentue, rejoint le village de Plan.

En revanche, elle n'est pas desservie directement par le réseau ferré : il faut rejoindre Tullins, Rives ou Vinay pour trouver une gare SNCF. C'est ici également que se situent les échangeurs autoroutiers (A48 et A49) les plus proches.

L'aéroport Grenoble-Isère, situé à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, ne se situe qu'à une dizaine de kilomètres.

Au , La Forteresse est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46 %), zones agricoles hétérogènes (32,6 %), prairies (18,6 %), cultures permanentes (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

Le tissu urbain de la commune se présente sous la forme d'un bourg central, de taille modeste et situé au carrefour de trois routes, ainsi que de plusieurs hameaux disséminés autour ce bourg. L'ensemble essentiellement composé de terrains agricoles et de secteurs boisés se positionne sur un plateau composé de hautes collines.

Hameaux lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de La Forteresse , présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[16].

  • le Truc
  • la Rivoire
  • la Combe
  • Nautand
  • Combe Guérin
  • Chaperon
  • Valette
  • Villefranche (bourg central)
  • Feuillant
  • les Écuelles
  • les Côtes
  • Combe Tricat
  • la Girauderie
  • la Taillat
  • Chalaman
  • Chorieux
  • Chapon
  • Revolet
  • Vernay
  • Truchet
  • Bessey
  • le Mont
  • les Blaches
  • la Mignonière
  • Combe font Jean Bleu
  • Revollet des Buyères
  • Plan des Joucles
  • le Four

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de La Forteresse est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), en limite de la zone n°4, située au sud-ouest de son territoire[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de la Fortresse dérive du latin Fortitia « qui a abouti à la forme vulgaire Fortia, la "maison forte" et qui s'est altéré au fil du temps »[19].

Préhistoire et Antiquité

[modifier | modifier le code]

Durant l'Antiquité, le bas-Dauphiné est progressivement occupé par les allobroges, un peuple gaulois dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. À partir de -121, ce territoire, nommé Allobrogie, est intégré dans la province romaine du Viennois avec pour capitale la cité de Vienne qui était aussi le siège de l’ancien diocèse romain de Vienne.

Du Moyen Âge aux temps modernes

[modifier | modifier le code]
Le village de La Forteresse au début du XXe siècle

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

La commune de La Forteresse se situait, jusqu'en 1929, dans le canton de Tullins. C'est la loi no 1721 du 17 décembre 1929 qui l'a rattachée au canton de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs[20].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie de La Forteresse en février 2019

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé de onze personnes (deux femmes et neuf hommes) dont une maire, trois adjoints au maire, une conseillère municipale déléguée et six conseillers municipaux[21].

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Henry Menthaz-Berthon    
2008 En cours Évelyne Collet SE Fonctionnaire

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 336 habitants[Note 2], en évolution de +3,7 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380400438450486459481472493
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
430448436427448457426395379
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
354323323281299279277295288
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
277262250245251235284291318
2017 2021 - - - - - - -
322336-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Grenoble. Il n'existe qu'une école maternelle et élémentaire située au bourg (Villefranche) avec un effectif officiel de seize élèves pour la rentrée 2018/2019[26].

Équipements sportifs et culturels

[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition Isère-Nord, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton de la Bièvre dont fait partie la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Culte catholique

[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de La Forteresse (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Paul de Toutes Aures, avec onze autres communes de la région. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[27].

Secteur agricole

[modifier | modifier le code]

Secteur commercial et touristique

[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Maison forte médiévale de Forchieux (XIe siècle)

Château ou Maison forte de Forchieux

[modifier | modifier le code]

Ce château ou plutôt une maison forte, comprenant une tour de 25 mètres de hauteur en bon état, des murs épais composés de nombreuses meurtrières, daterait des XIIe et XIIIe siècles[28].

Durant les guerres de religion, ce site fut un poste important pour les huguenots. Depuis cet endroit, un grand nombre d'entre eux rejoignirent les leurs afin de sortir vainqueurs d'une bataille contre les troupes catholiques de La Côte-Saint-André, commandée par le seigneur de Montoison.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

La Forteresse (Isère) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants de communes de l'Isère, consulté le 22 février 2019
  2. Livre "Histoire des communes de l'Isère, tome 1, page 88 (ISBN 2-7171-0494-1).
  3. Site air affaires, page "Villes à proximité de Aéroport Grenoble Isère", consulté le 28 février 2019.
  4. Site geoglaciaire.net les paysages galaciaires, "Origine du plateau de Chambaran", consulté le 22 février 2019
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre La Forteresse et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Forteresse ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Site géoportail, page des cartes IGN
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, édition L'atelier, 2006
  20. Loi distrayant la commune de la Forteresse (département de l'Isère) du canton de Tullins pour la rattacher au canton de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs sur Gallica, dans le Bulletin des lois de la République française - Année 1929, p. 45.
  21. Site de la mairie de la forteresse, page sur le conseil municipal, consulté le 23 février 2019.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Site du ministère de l'Éducation Nationale, page sur la Forteresse, consulté le 23 février 2019
  27. Site du diocèse de Grenoble-Vienne, page sur la paroisse Saint-Paul de Toutes Aures, consultée le 23 février 2019.
  28. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 679.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :