Hussigny-Godbrange
Hussigny-Godbrange est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]La commune de Hussigny-Godbrange est une commune urbaine d’environ 3 400 habitants située à l’extrémité Nord du département de Meurthe-et-Moselle, à la frontière avec le Grand-Duché du Luxembourg, sur le plateau du Pays-Haut et est également à environ 20 km de la frontière belge.
La qualité de son cadre de vie, la proximité frontalière du Luxembourg et des pôles d’emplois environnants (agglomération longovicienne, zone industrielle de Villers-la-Montagne et Grand-Duché de Luxembourg) sont des facteurs déterminants du développement de la commune.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Differdange, Rédange, Haucourt-Moulaine, Herserange, Saulnes, Thil, Tiercelet et Villers-la-Montagne.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 400 mètres d'altitude au bord de la vallée étroite de la Côte rouge qui marque la frontière avec le Luxembourg.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Cote Rouge et le ruisseau la Moulaine[2],[Carte 1].
La Moulaine, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Tiercelet et se jette dans la Chiers à Longwy, après avoir traversé six communes[3].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de la Couleuvre (0,2 ha)[Carte 1],[4].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[5].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 24 km à vol d'oiseau[8], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Hussigny-Godbrange est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hussigny-Godbrange[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[14],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), terres arables (21,5 %), zones urbanisées (8,5 %), mines, décharges et chantiers (3 %), prairies (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le territoire communal a une superficie de 1 574 hectares.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 817, alors qu'il était de 1 729 en 2015 et de 1 566 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 66,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 33,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hussigny-Godbrange en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,7 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Hussigny-Godbrange[I 2] | Meurthe-et-Moselle[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 91,8 | 88,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,5 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,8 | 9,3 | 8,2 |
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Depuis 2018, la ville a commencé une politique de rénovation des rues, notamment avec le goudron qui a récemment été refait dans la rue Gambetta de la sortie de la ville jusqu'à la mairie; mais aussi la création d'un parking dans la rue Gambetta de la rue Voltaire à la mairie[réf. nécessaire].
La création d'un rond-point est aussi à l'étude.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Hussigny-Godbrange est située à l’écart des grands axes de circulation desservant Longwy. Elle est traversée par deux routes départementales : le RD 26 qui la relie à l’est à Thil et Villerupt et à l’ouest à Herserange et Longwy : l’axe RD 26a et RD 26b qui dessert au nord, le Grand-Duché de Luxembourg et au sud la zone industrielle de Villers-la-Montagne.
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Hussigny : d’un nom de personne germanique Huso ou Usso + -ingen. A été romanisé en Hus(s)igny ou Husegny comme s’il venait de Huss-in-iacum[18]. Husingen (1249 & 1269)[19], Husegny (1270), Husengney et Husenges (1343)[20], Husegney (XVe siècle), Husingen (1487)[20], Husinghen (1531)[19].
- Godbrange : Godebranges (1404), Godebrange (1779), Godebranche (1801). En allemand : Godbringen. En luxembourgeois : Gueberéng[22],[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]Temps modernes
[modifier | modifier le code]Ancien village luxembourgeois, cédé à la Lorraine en 1602[21].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Commune indépendante jusqu'en 1810, Godbrange est aujourd'hui rattachée à la commune de Hussigny. En 1817, Hussigny, village de l'ancienne province du Barrois avait pour annexes le village de Godbrange et l'ancien ermitage de Saint-Nicolas. À cette époque il y avait environ 330 habitants répartis dans 64 maisons. Et à Godbrange, à cette époque il y avait 148 habitants répartis dans 36 maisons.
Hussigny était un des centres des mines de fer en Lorraine (bassin du minerai de fer lorrain, la minette lorraine). Une mine y est exploitée pendant un siècle, de 1878 à 1978[24].
Entre 1871 et 1918, Hussigny est aussi un village frontière avec l'Empire allemand au niveau de Rédange.
En 1878 est mise en service la gare de Hussigny-Godbrange sur la ligne de Longwy à Villerupt-Micheville. La gare ferme au service voyageurs en 1939 et au service marchandises en 1985.
La commune subit des dommages au cours de la Première Guerre mondiale.
L'extraction du minerai demandant de la main-d'œuvre, la ville comme le reste de la Lorraine allait faire appel à une forte immigration polonaise, ukrainienne et italienne. Hussigny était ainsi devenu un des centres de l'immigration italienne de la Lorraine. Autrefois on parlait ainsi de la « Basse-Italie » de Hussigny. Dans l’anglais italo-américain, Hussigny est connu comme « Little Italy » française. Jusqu'à la fin des années 1950, le dialecte romagnol y était encore pratiqué car une grande partie des habitants était originaire de Romagne, région du Centre-Nord de l'Italie.
Basse-Italie, un des quartiers d'Hussigny-Godbrange, doit son nom à sa situation dans le village ainsi qu'à la population qui y habitait. La Basse-Italie est un quartier situé en contrebas du village et à 500 m de la frontière luxembourgeoise. Après la Seconde Guerre mondiale, l'activité sidérurgique et minière du Nord-Est de la France connait une croissance spectaculaire et la main-d'œuvre étrangère s'installe en masse pour assurer en partie cette activité grandissante. Hussigny-Godbrange accueillit une forte population immigrée polonaise et surtout italienne afin d'exploiter la mine de fer du village. Cette population occupa tout un quartier près de la mine. De là apparurent dans ce quartier cafés, hôtels, maisons de mine et autres baraquements guère attirants mais c'était la seule solution pour bien des familles fraîchement arrivées et sans grandes économies. Aujourd'hui le quartier de la Basse-Italie a bien changé, certes une forte population italienne y demeure encore et cohabite avec de nouveaux immigrés Nord-Africains, Français, et bien d'autres, à l'image d'une "France ambassadrice d'un monde multiculturel".
La communauté nord-africaine était composée en grande majorité de personnes issues de la communauté chaoui d'Algérie. Ces berbèrephones viennent principalement des villes de Oranem, Ouarka et Amontan de la région des Aurès.
La crise sidérurgique avec la concurrence de minerai étranger conduira à la fermeture de la mine en 1978. Dans les années 2000, l'important réseau de galeries était devenu un lieu de distraction pour les amateurs d'exploration souterraine clandestine[24]. Cela poussa la municipalité à ouvrir la mine à des visites organisées en 2005. Une équipe de bénévoles du village a sécurisé un parcours et remis en état des engins d'extraction dont beaucoup avaient été laissés sur place à la fermeture de la mine[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Longwy, année où elle intègre le canton d'Herserange[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Villerupt
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune a adhéré en 1998 en lui transférant un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progressivement intégré d'autres communes.
La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors des élections municipales de 2014 en Meurthe-et-Moselle, la liste PCF menée par le maire sortant Laurent Righi est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 1043 suffrages exprimés. Elle est élue en totalité lors d'un scrutin où 49,23 % des électeurs se sont abstenus et 16,49 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[26].
Lors des élections municipales de 2020 en Meurthe-et-Moselle, à nouveau seule la liste DVG menée par le maire sortant Laurent Righi se présente, et obtient donc la totalité des 544 suffrages exprimés. Elle est élue en totalité lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 74,03 % des électeurs se sont abstenus et 9,48 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[27].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Deux écoles primaires :
- école Jacques-Prévert qui se situe dans la partie Godbrange,
- école Jean-de-la-Fontaine qui se situe dans la partie Hussigny.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Hussigny-Godbrange
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2022, la commune comptait 3 921 habitants[Note 7], en évolution de +11,68 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
À la suite de la crise sidérurgique (qui a également affecté l’ensemble du bassin de Longwy) et une diminution constante de sa population entre 1975 et 1990 (-381 habitants soit – 11,9 %) la commune renoue avec une croissance démographique (3076 habitants en 1999, soit + 8,8 % par rapport à 1990). Ce gain de population résulte essentiellement d’une solde migratoire positif et d’une politique de lotissement attractive associée à la proximité du Luxembourg pour l’emploi frontalier (hausse du nombre de frontaliers résidant dans la commune de 115 % entre 1990 et 2002). Depuis 1999, l’accroissement démographique se poursuit.
Godbrange
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]Hussigny-Godbrange est une ville très active et possède plus de 23 associations dont 11 sportives[Quand ?].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Présence gallo-romaine.
- Église paroissiale de la Nativité-de-la-Vierge, première église paroissiale reconstruite dans les années 1735 aux frais des religieuses de l'abbaye de Differdange au Luxembourg, collatrices de la paroisse, à l'emplacement actuel de l'hôtel de ville. Restaurée en 1884 (démolition de la flèche du clocher, établissement d'une tour et réparations diverses). Gravement endommagée au cours de la guerre 1914-1918 et devenue danger public, elle a été désaffectée par décret du et détruite en 1930-1931.
- Église paroissiale de la-Nativité-de la-Vierge, deuxième église paroissiale construite à partir de 1924, à 200 mètres de l'ancienne église qui avait été endommagée pendant la guerre 1914-1918 et menaçait la sécurité publique, avec l'intervention de la coopérative de reconstruction des églises ; première pierre de l'église posée le .
- On trouve sur le territoire communal le seul cimetière luxembourgeois en territoire français, celui de Lasauvage, une localité de la commune de Differdange[35].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Évelyne Marie France Neff, née Migliori, femme politique franco-allemande, d'origine italienne, est née à Hussigny. Évelyne Neff est une des rares françaises décorées du Bundesverdienstkreuz. Sa famille, d'origine les Migliori, était une famille de la Basse-Italie. Les Miglioris comme beaucoup d‘autres familles de la Basse-Italie de Hussigny était en fait originaire du village de Torriana de la Province de Rimini en Italie. Ce flux d’immigration en provenance de Torriana a duré à peu près de 1860 à 1925.
- Jean-Claude Bouttier, ancien boxeur et consultant télé, est le parrain du ring de boxe de la commune qui porte son nom Ring Jean-Claude-Bouttier.
- Leny Escudero, chanteur compositeur, y fut carreleur à son compte dans les années 1950[36].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | Parti au premier d'argent à une tierce ondée de gueules, accompagnée de deux pics de sable en pal, un en chef et l'autre en pointe : au deuxième de gueules aux lettres capitales H&G accolées d'or. |
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Détails |
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Hussigny-Godbrange », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- « Dossier complet : Commune de Hussigny-Godbrange (54270) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Hussigny-Godbrange » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un square de la commune porte le nom de ce maire.
- Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Hussigny-Godbrange » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Hussigny-Godbrange ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Hussigny-Godbrange » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Hussigny-Godbrange - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Hussigny-Godbrange - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Hussigny-Godbrange », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Moulaine »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hussigny-Godbrange et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Hussigny-Godbrange », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes.
- Monika Buchmüller-Pfaff - Siedlungsnamen zwischen Spätantike und frühem Mittelalter
- Burkhard Dietz, Helmut Gabel, Ulrich Tiedau - Griff nach dem Westen: die „Westforschung“ (2003)
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle, 1868.
- Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
- Luxemburger Wörterbuch, Luxemburg, P. Linden, 1950-1977
- Le Monde, "Promenade souterraine en Lorraine", 6 septembre 2008.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Hussigny-Godbrange
- « Meurthe-et-Moselle (54) - Hussigny-Godbrange », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Xavier Jacquillard, « Hussigny-Godbrange : Laurent Righi, maire depuis trente ans : En mars, deux maires du bassin de Longwy fêteront leurs 30 ans de mandat. Retour sur ces trois décennies dans un univers politique et un Pays-Haut qu’ils ont vu évoluer. Aujourd’hui, Hussigny avec Laurent Righi, communiste assumé depuis 1969 », Le Républicain lorrain, « conseiller municipal de 1977 à 1983, 5e adjoint aux finances et aux sports de 1983 à 1989 et maire depuis 1989, Laurent Righi a également été conseiller général du canton de Herserange de 1996 à 2015 ».
- « Laurent Righi: une source d'espoir », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ) « Laurent Righi, maire communiste de Hussigny-Godbrange et conseiller général du canton de Herserange [...] ».
- « Un sixième mandat de maire pour Laurent Righi », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Élection du maire à Hussigny-Godbrange : Laurent Righi laisse la place à Laurent Caramelle, Le Républicain Lorrain, 5 octobre 2024.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Hubert Gamelon, « Côté français, le repos des Luxembourgeois… », sur lequotidien.lu, (consulté le ).
- « Leny Escudero est mort », Humanité, (lire en ligne).