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Eygluy-Escoulin

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Eygluy-Escoulin
Eygluy-Escoulin
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Roland Filz
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26128
Démographie
Gentilé EYGLUY : Eyglon, Eyglonne

ESCOULIN : Escoulinois, Escoulinoise
Population
municipale
65 hab. (2021 en évolution de +6,56 % par rapport à 2015)
Densité 2,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 24″ nord, 5° 11′ 46″ est
Altitude Min. 350 m
Max. 1 342 m
Superficie 26,53 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Eygluy-Escoulin
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Eygluy-Escoulin
Liens
Site web gervanne-sye.com/eygluy-escoulin

Archive.org eygluy-escoulin.fr

Eygluy-Escoulin est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Eygluy-Escoulin est situé à 20 km au nord-est de Crest.

Géologie et relief

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Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaufort-S-Gervanne »sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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Au , Eygluy-Escoulin est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,3 %), prairies (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

  • 1191 : Aigleon (cartulaire de Durbon).
  • 1192 : Egleu (cartulaire de Léoncel, 217).
  • 1196 : Aigleun (cartulaire de Romans, 371).
  • 1199 : De Aigluno (cartulaire de Die, 46).
  • 1200 : Eigleu (cartulaire de Die, 21).
  • 1210 : Castrum de Aigliui (cartulaire de Die, 21).
  • 1218 : Aygledunum (cartulaire de Die, 3).
  • 1300 : Aigledunum (archives de la Drôme, E 1349).
  • 1332 : Eiglenum (Gall. christ., XVI, 130).
  • 1391 : Esglu (choix de docum., 213).
  • XIVe siècle : mention du prieuré d'antonins : Prioratus de Sibia (pouillé de Die).
  • 1414 : mention du prieuré d'antonins : Prior de Sybia (pouillé de Die).
  • 1421 : Esglui (Duchesne : Comtes de Valentinois, 6).
  • 1430 : Aygludinum (archives de la Drôme, E 2139).
  • 1430 : mention de la paroisse et du mandement : Parrochia de Sibiis, in mandamento Aygludiui (archives de la Drôme, E 2139).
  • 1442 : Egledunum et Egludunum (choix de docum., 267).
  • 1450 : mention de la paroisse : Cura Eygludi (Rev. de l'év. de Die).
  • 1483 : Eglaudum (terrier de Beaumont-lès-Valence).
  • 1502 : mention du mandement : Mandamentum Egludini (archives de la Drôme, fonds de Léoncel).
  • 1509 : mention de la paroisse Saint-Pierre : Ecclesia parrochialis Beati Petri Chaylarii (visite épiscopale).
  • 1516 : mention du prieuré d'antonins : Prior Sancti Petri de Sipia (rôle de décimes).
  • 1576 : mention de la paroisse Saint-Pierre : Saint-Pierre de Sippie ou Cheillard (rôle de décimes).
  • 1615 : mention de la paroisse : Scipie (rôle de décimes).
  • 1661 : Esgluy (Sibeud, notaire à Crest).
  • 1680 : mention de la paroisse Saint-Pierre : Saint-Pierre de Sepie qui est Eygluy (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1791 : Eglui (Aff. du Dauph.).
  • 1891 : Eygluy, commune du canton de Saillans.

En 1891, un hameau Escoulin est mentionné dans le Dictionnaire topographique du département de la Drôme mais il est considéré comme un hameau chef-lieu de la commune du Cheylard[13].

1971 : Eygluy-Escoulin par fusion des communes de Eygluy et de L'Escoulin.

Étymologie

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Vient de Aiglunum ou Aigledunum (chartes du XII ème siècle).

dunum : signifie lieu élevé

Aigledunum : Eygluy : Montagne de l’Aigle

L'Escoulin (le nom du hameau prend un article) vient de l'occitan escolan/escoulan, « maître d'école », du latin schola, « école ». Soit parce qu'il y avait autrefois une école dans la vallée en contrebas du château, soit parce qu'un maître d'école y habitait[14].

Antiquité : les Gallo-romains

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Eygluy est le village fortifié, devenu château-fort, perché sur le mont Eylu près du col de Véraut. Les premiers habitants connus furent des Vocontiens de race Ligure qui es soumirent au joug de Rome qui leur laissa leurs régimes politiques et cultes.

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[12] :

  • La terre ou mandement d'Eygluy qui comprenait, avec la commune de ce nom, celle d'Omblèze et des parties des communes du Chaffal et de Léoncel, est premièrement possédée par une famille de son nom.
  • Milieu du XIIIe siècle : acquise par les comtes de Valentinois.

Le 25 juin 1329, le comte de Valentinois donne une charte de franchises à ses habitants. Le droit de chasse, qui était limité aux loups et aux renards, est étendu aux autres gibiers, sangliers, biches et cerfs et autres animaux de la forêt. La chasse au lapin reste prohibée et domaine réservé du seigneur. La chasse au lièvre et à la perdrix par piège ou à la glu est aussi interdite, pouvant tuer involontairement des animaux domestiques. En contrepartie, le comte demande un demi-sol par cerf ou sanglier abattu[15]. Cette charte reconnaît le droit de bûcherage (les habitants peuvent prélever dans la forêt tout le bois dont ils ont besoin)[16].

  • Passe aux Poitiers-Saint-Vallier.
  • 1500 : vendue aux Hostun.
  • 1652 : revendue aux La Baume Pluvinel, derniers seigneurs / (L'ancien marquisat d'Eygluy appartient de 1693 à la Révolution à la famille de la Baume Pluvinel[réf. nécessaire]).

Avant 1790, Eygluy était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et sénéchaussée de Crest, formant avec le Cheylard (voir ce nom) une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré d'antonins dépendant de la commanderie de Saint-Médard de Piégros dès 1220 et supprimé au XVIe siècle[12].

De la Révolution à nos jours

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Comprise en 1790 dans le canton du Plan-de-Baix, la commune d'Eygluy fait partie du canton de Saillans depuis la réorganisation de l'an VIII[12].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 René Barnier    
mars 2008 En cours
(au 1er novembre 2014)
Roland Filz[17] SE Employé

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 65 habitants[Note 1], en évolution de +6,56 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
254220249281278262233267283
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
272282265246239180189191184
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
163156145121116100928776
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
354742574059656165
2021 - - - - - - - -
65--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune relève de l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fêtes : deuxième dimanche d'août et le dimanche suivant le 7 septembre[22].

Services et équipements

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En 1992 : sapins, lavande, vignes, caprins, ovins[22].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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chapelle de l'Escoulin sur le haut de la colline

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • Panorama du col de la Croix (745 m)[22].
  • Vallée de la Sépie[22].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Eygluy-Escoulin possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Eygluy-Escoulin et Beaufort-sur-Gervanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 137.
  13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 133.
  14. Jacques Astor : Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France (Éd. du Beffroi 2002), page 300
  15. Jean-Noël Couriol, Roger Mathieu, Montagnes drômoises, Valence/Beaufort-sur-Gervanne : FRAPNA/Histoire et patrimoine drômois, 1996, (ISBN 2-9505550-1-2), p. 112.
  16. Couriol, Mathieu, op. cit., p. 115.
  17. Eygluy-Escoulin sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 1er novembre 2014).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Eygluy-Escoulin.