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Beauvoir-en-Royans

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Beauvoir-en-Royans
Beauvoir-en-Royans
Monument aux morts et église de Beauvoir-en-Royans.
Blason de Beauvoir-en-Royans
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté
Maire
Mandat
Natacha Petter
2020-2026
Code postal 38160
Code commune 38036
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2021 en évolution de +7,87 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 18″ nord, 5° 20′ 20″ est
Altitude 281 m
Min. 160 m
Max. 606 m
Superficie 2,1 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud Grésivaudan
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Beauvoir-en-Royans
Géolocalisation sur la carte : France
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Beauvoir-en-Royans
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Beauvoir-en-Royans
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Beauvoir-en-Royans

Beauvoir-en-Royans est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Située sur les rebords occidentaux du massif du Vercors dans la région naturelle du Royans, la commune fait partie de la communauté de communes de Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté. Son territoire héberge les ruines du château delphinal de Beauvoir et du musée des Dauphins.

Ses habitants sont dénommés les Belvérois[1].

Géographie

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Situation et description

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Beauvoir-en-Royans est située dans le Sud-Est de la France, à mi-chemin entre les agglomérations de Grenoble et de Valence soit à 50 km de chacune de ces deux agglomérations, à proximité de la vallée de l'Isère qu'il domine, dans la région naturelle du Royans.

Communes limitrophes

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Le territoire de Beauvoir-en-Royans est bordé par quatre communes.

Communes limitrophes de Beauvoir-en-Royans
Saint-Sauveur Saint-Pierre-de-Chérennes
Beauvoir-en-Royans
Saint-Romans Presles

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chatte_sapc », sur la commune de Chatte à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

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Le principal cours d'eau de la commune est l'Isère, un des principaux affluents du Rhône. Son cours est situé à la limite occidentale du territoire de Beauvoir-en-Royans. La basse vallée aux bordures nettes où se trouve la commune porte le nom de sud-Grésivaudan.

Le ruisseau des Cormes, affluent de l'Isère, sépare le territoire de Beauvoir-en-Royans de celui de sa voisine Saint-Pierre-de-Chérennes.

Voies de communication et transport

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Voies routières

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  • L'autoroute A49 permet un accès rapide au village depuis Grenoble ou Valence, grâce à un échangeur situé à 5 km au nord-ouest du territoire communal
Sortie 9 Saint-Marcellin

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Saint-Marcellin, laquelle est desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant Valence-Ville à Genève-Cornavin, Grenoble et Chambéry-Challes-les-Eaux.

Au , Beauvoir-en-Royans est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,8 %), cultures permanentes (25,3 %), prairies (14 %), eaux continentales[Note 2] (3,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, Lieux-dits et écarts

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Beauvoir-en-Royans est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais en lisère de la zone n°3[13].

Terminologie des zones sismiques[14]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques naturels

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Forteresse ou village beau à voir, disposant d'une belle vue[réf. nécessaire].

Ruines du château de Beauvoir au XIXe siècle.

Le château de Beauvoir fut construit par Humbert II, dernier Dauphin du Viennois. Jeune souverain, rêvant à la cour de Naples où régnait avec éclat son oncle Robert de Sicile, il se fait construire le « Versailles » des Dauphins. Pour plaire à sa douce Béatrice de Hongrie, il choisit la plus belle vue d'où le nom de « Beauvoir », situé au pied des falaises calcaires du massif du Vercors, entre Grenoble et Valence. Un château composé de 1 000 fenêtres où vivaient tumultueusement plus de 2 000 personnes[15].

Humbert II, qui n'hésitait pas à se prétendre roi, y vécut une vie si dépravée qu'à l'heure de sa ruine, il revêtira l'aube de bure des dominicains. Devenu frère « Ymbert », il obtint par brigue, du roi de France, l'évêché de Paris, mais mourut en 1355 en allant quérir l'agrément du pape pour recevoir sa mitre.

Les Romains avaient déjà remarqué cette position haute qui domine la vallée de l'Isère, et y avaient construit un camp fortifié. Guigues VII, comte d'Albon, prince souverain du Viennois dont la dynastie portait depuis 1110 le surnom de Dauphin, s'approprie cette terre en 1251, lors d'un échange de fiefs avec Raymond de Béranger, seigneur de Royans, et en fait une de ses résidences préférées. Le château est habité régulièrement jusqu'en 1349, date à laquelle le dernier Dauphin cède le Dauphiné à la France. En 1561, nouvelle époque, le baron des Adrets s'y installe, et y torture ses adversaires durant les Guerres de religion. Pris, repris et dégradé par les armées catholiques et protestantes, Beauvoir tombera progressivement en ruine.

Certaines familles y ont marqué l’histoire de leur empreinte comme la grande famille des « Robert » (hommes d’armes) qui est originaire de Beauvoir, où elle a trouvé ses lettres de noblesse.

Ces Robert permettaient aux seigneurs du château de développer toute une région : l’ainé possédait la terre, le second était régisseur ou chevalier, le troisième religieux, et les autres se mariaient avec des filles de biens souvent pour faire commerce (lire les chroniques de l'abbé Fillet, ou mieux, si vous lisez l’ancien «françois» de langue d’oc, les archives de l’Isère aux archives du Dauphiné ; lire encore La petite histoire de Pont en Royans de Sylviane Chaussamy)[16].

C'est à Beauvoir que fut signé le 29 mai 1343 la charte qui faisait perdurer dans le droit écrit l'ancien statut coutumier des Escartons du Briançonnais.

Politique et administration

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Hôtel de ville de Beauvoir-en-Royans

Administration municipale

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Commune peuplée de moins de 100 habitants, le conseil municipal de Beauvoir-en-Royans est donc composé de sept membres.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Jacques Bourgeat DVD Commerçant[réf. nécessaire]
2020 En cours Natacha Petter    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

En 2021, la commune comptait 96 habitants[Note 3], en évolution de +7,87 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
242162237163174197174223184
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
192165169185173165170149147
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
145144124114114103103108130
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
746343665970737791
2021 - - - - - - - -
96--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipement culturel et sportif

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Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La communauté catholique et l'église de Beauvoir-en-Royans (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint Luc du Sud Grésivaudan, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[21].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Château de Beauvoir

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Le château delphinal construit au XIIIe siècle est démantelé sous Louis XI en 1476. Les ruines du château de Beauvoir font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 1er septembre 1922[22].

Couvent des Carmes

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Humbert II fait construire le couvent des Carmes en 1343 à proximité du château de Beauvoir où il réside fréquemment. En 1349, il cède le Dauphiné à la France, petit à petit le château tombe en ruine. Le couvent, lui, traverse les siècles, devient une ferme au XVIIIe siècle.

Restauré en 2009 par la Communauté de communes de la Bourne à l'Isère, il abrite le « Musée de la flore du Vercors » et le « Musée des Dauphins ». Les salles du bâtiment peuvent être utilisées pour des concerts, des expositions, voire louées pour des séminaires ou événements privés[23].

Château de Champeverse

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Vestiges du château de Champeverse, du Xe ou XIe siècle, qui occupait le sommet de l'éperon rocheux de Châteauvieux[24].

Patrimoine culturel

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Patrimoine gastronomique

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La raviole du Dauphiné

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Gratin de ravioles

La raviole du Dauphiné est une spécialité gastronomique commune au pays de Romans et au Royans. La raviole est composée d'une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui entoure une farce à base de comté AOC ou d'emmental français est-central de fromage blanc au lait de vache et de persil revenu au beurre.

Les ravioles peuvent se déguster pochées à l'eau ou dans un bouillon de poule, grillées à la poêle, en gratin ou en salade.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Beauvoir-en-Royans possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 17 mai 2020.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Beauvoir-en-Royans et Chatte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chatte_sapc », sur la commune de Chatte - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chatte_sapc », sur la commune de Chatte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Beauvoir-en-Royans ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  14. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  15. Site isere-annuaire.com/chateau/beauvoir.html, page sur le château de Beauvoir, consulté le 17 mai 2020.
  16. Google livre "Petite histoire de Pont-en-Royans de Sylviane Chaussamy", consulté le 17 mai 2020.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Site messes.info, page sur la paroisse Saint-Joseph-des-deux-rives, consulté le 11 juillet 2022.
  22. « Château de Beauvoir (ruines) », notice no PA00117121, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. « page d'accueil », sur le site du couvent des Carmes (consulté le ).
  24. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 669-670.

Articles connexes

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Liens externes

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