« Armée canadienne » : différence entre les versions
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Version du 25 avril 2011 à 22:52
Commandement de la Force terrestre des Forces canadiennes | |
Emblème du Commandement de la Force terrestre Drapeau du Commandement de la Force terrestre | |
Création | |
---|---|
Pays | Canada |
Allégeance | Forces canadiennes |
Type | Commandement |
Rôle | Armée de terre |
Effectif | 39 600 |
Composée de | Secteur de l'Atlantique Secteur du Québec Secteur du Centre Secteur de l'Ouest Système de la doctrine et de l'instruction |
Commandant | Lieutenant-général Peter Devlin |
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Le Commandement de la Force terrestre des Forces canadiennes ou COMFT (en anglais : Canadian Forces Land Force Command), aussi connu sous le nom d'« Armée de terre canadienne », est la branche des Forces canadiennes (FC) responsable des opérations militaires terrestres au Canada et à l'étranger.
Il s'agit de la plus grande branche des Forces canadiennes, avec 35 500 soldats. Son principal rôle est de développer et de maintenir des forces terrestres aptes à accomplir les besoins en défense et à servir les intérêts canadiens. Le lieutenant-général Peter Devlin est le chef d'état-major de l'Armée de terre canadienne et ses quartiers généraux sont localisés avec les quartiers généraux de la Défense nationale à Ottawa en Ontario.
Le COMFT est le descendant direct de l'Armée canadienne, nom donné aux forces terrestres canadiennes de 1940 à 1968. Lors de l'unification des trois éléments en 1968, toutes les unités militaires ont été placées sous le Commandement mobile et, plus tard, sous le Commandement des forces mobiles en 1975 lors de l'assignation des unités aériennes tactiques au Commandement de la Force aérienne récemment créé. Le COMFT adopta son nom actuel en 1997 lors de la réorganisation des Forces canadiennes.
L'Armée de terre canadienne comprend six types d'unité : l'infanterie, l'artillerie, l'arme blindée, le génie de combat, le soutien au combat et les transmissions. Elle comprend des militaires de la Force régulière qui travaillent à temps plein et de la Première réserve qui travaillent à temps partiel. Les unités de l'Armée sont réparties dans quatre secteurs géographiques. Le COMFT comprend trois groupes-brigades mécanisés et dix groupes-brigades. Les unités déployées tombent sous le Commandement de la Force expéditionnaire du Canada et sont organisées en groupements tactiques formés autour de l'un des bataillons des trois régiments réguliers d'infanterie : le Princess Patricia's Canadian Light Infantry, le Royal 22e Régiment et le Royal Canadian Regiment.
Rôle
La mission du Commandement de la Force terrestre est de maintenir les forces terrestres canadiennes aptes à répondre efficacement aux besoins en défense du Canada et aux missions des Forces canadiennes[1]. Ces dernières sont de protéger la souveraineté du Canada et ses intérêts, de défendre l'Amérique du Nord en coopération avec les États-Unis et de promouvoir la paix mondiale en participant à des missions à l'étranger[2]. Au sein du COMFT, ces missions se définissent spécifiquement par la protection du Canada en effectuant de la surveillance terrestre, par l'aide aux autorités civiles en cas de besoin et par le soutien des intérêts canadiens à l'étranger en fournissant des soldats pour les déploiements[1],[3].
Le principal rôle du COMFT est en fait de développer et de maintenir des forces efficaces au combat prêtes à répondre à ces objectifs[1],[3]. L'Armée canadienne participe à des missions sous l'égide de l'Organisation des Nations unies et de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord en plus de missions d'aide humanitaire[1],[4],[5]. Par exemple, entre 2000 et 2002, le Canada a maintenu entre 3 000 et 4 000 soldats en mission à l'extérieur du Canada[6].
Structure
Le commandant de la Force terrestre est nommé le chef d'état-major de l'Armée de terre canadienne et est présentement le lieutenant-général Peter Devlin. Les quartiers généraux de la Force terrestre sont situés à même les quartiers généraux de la Défense nationale à Ottawa[7]. L'effectif de l'Armée de terre est le plus important des trois éléments des FC avec 19 500 soldats réguliers, 16 000 réservistes et 4 100 civils[8],[1],[6]. Le nombre de femmes dans l'Armée est de plus de 1 100 ; cependant, elles sont moins de 200 dans les armes de combat[6]. L'Armée comprend six types d'unité : l'infanterie, l'artillerie, l'arme blindée, le génie de combat, le soutien au combat et les transmissions[9]. Les quatre premiers sont appelés « armes de combat ».
Le COMFT est divisé en quatre secteurs géographiques : l'Atlantique, le Québec, le Centre et l'Ouest[8],[7],[10]. Le Système de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre (SDIFT) agit au même niveau que les secteurs, mais possède des unités réparties au travers le Canada et est dirigé à partir de Kingston en Ontario[7],[10]. Les secteurs sont commandés par un brigadier-général et le SDIFT est commandé par un major-général.
Le COMFT comprend trois groupes-brigades mécanisés au sein de la Force régulière et dix groupes-brigades au sein de la Première réserve, répartis dans une centaine de localités au Canada[8],[1],[7],[11]. Chaque groupe-brigade mécanisé est composé de trois bataillons d'infanterie (deux mécanisés et un léger), d'un régiment blindé, d'un régiment d'artillerie, d'un régiment de génie de combat, d'un escadron de reconnaissance et des unités de soutien au combat et logistique[8],[7]. En dehors des groupes-brigades, la Force régulière du COMFT comprend également un régiment d'appui du génie, un régiment de défense antiaérienne et un régiment de guerre électronique[7]. La Première réserve comprend 51 bataillons d'infanterie, 17 unités de reconnaissance, 17 unités d'artillerie, 12 unités du génie, 19 unités de logistique, 4 unités de renseignement et 4 unités de police militaire[7]. De plus, le COMFT a la responsabilité des Rangers canadiens qui garantissent une présence militaire dans le Nord canadien et les endroits isolés du Canada[8],[7]. Les Rangers sont divisés en 164 groupes de patrouille[7].
Un bataillon d'infanterie est divisé en compagnies qui sont commandées par un major[12]. Les compagnies sont divisées en trois pelotons ou plus qui sont commandés par un lieutenant[12]. Un peloton comprend trois sections de huit fantassins commandées par un sergent[12]. La structure du génie de combat suit sensiblement la même que celle de l'infanterie à l'exception que les régiments sont les unités opérationnelles ; il n'y a donc pas de bataillon. Dans le génie de combat, les compagnies sont appelées « escadrons » et les pelotons sont appelés « troupes ». De son côté, l'arme blindée utilise la même terminologie que le génie de combat, mais a une structure un peu différente. Les troupes blindées comprennent 16 soldats au lieu de 36 et les escadrons comprennent quatre troupes[12]. Les métiers de soutien au combat utilisent la même terminologie que l'infanterie, mais ont une structure différente et un effectif réparti autrement pour répondre spécifiquement à leurs besoins. Pour une mission, une équipe de combat est formée avec au moins une compagnie d'infanterie et un escadron de chars pour un total d'environ 250 soldats[12]. Chaque équipe de combat est commandée par un major[12]. Un groupement tactique est formé avec deux équipes de combat en plus d'artilleurs et d'ingénieurs de combat pour un total d'environ 750 soldats[12]. Le groupement tactique peut également comprendre des éléments de la Force aérienne et des éléments de soutien au combat[12]. Cependant, la structure d'un groupement tactique est flexible et est organisée en fonction de la mission à exécuter[12]. Un groupement tactique est généralement commandé par un lieutenant-colonel[12].
Les unités du COMFT sont réparties sur sept grandes bases des Forces canadiennes (BFC) : Gagetown au Nouveau-Brunswick, Valcartier au Québec, Kingston et Petawawa en Ontario, Shilo au Manitoba ainsi qu'Edmonton en Alberta[8].
Secteur de l'Atlantique
Le secteur de l'Atlantique de la Force terrestre (SAFT) est responsable des unités de l'Armée situées dans les quatre provinces maritimes à l'exception du Centre d'instruction au combat qui relève directement du SDIFT[13]. Les quartiers généraux du secteur sont situés sur la BFC Halifax en Nouvelle-Écosse. En tout, 4 unités de la Force régulière et 23 unités de la Première réserve sont sous la responsabilité du secteur de l'Atlantique pour un effectif total d'environ 7 000 employés, comprenant 2 400 réguliers, 3 100 réservistes, 700 rangers et 700 civils[13].
Unité | Type | Base |
---|---|---|
2e Bataillon du Royal Canadian Regiment | Infanterie mécanisée | BFC Gagetown |
4e Régiment de défense antiaérienne | Artillerie antiaérienne | BFC Gagetown |
4e Régiment d'appui du Génie | Génie militaire | BFC Gagetown |
Secteur du Québec
Le secteur du Québec de la Force terrestre (SQFT) est responsable des unités de l'Armée situées au Québec réparties en quatre formations principales[14]. Ses quartiers généraux sont situés à Montréal et son commandant est le brigadier-général S. Hébert qui est également le commandant de la Force opérationnelle interarmées Est et dont le territoire coïncide avec celui du secteur[14],[15]. Les unités de la Force régulière du SQFT font partie du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada basé sur la BFC Valcartier[14]. Le secteur a également la responsabilité de 24 unités de la Première réserve réparties en deux groupes-brigades[14].
Unité | Type | Base |
---|---|---|
1er Bataillon du Royal 22e Régiment | Infanterie mécanisée | BFC Valcartier |
2e Bataillon du Royal 22e Régiment | Infanterie mécanisée | Citadelle de Québec |
3e Bataillon du Royal 22e Régiment | Infanterie légère et parachutistes | BFC Valcartier |
5e Régiment d'artillerie légère du Canada | Artillerie | BFC Valcartier |
12e Régiment blindé du Canada | Blindé | BFC Valcartier |
5e Régiment du génie de combat | Génie de combat | BFC Valcartier |
Secteur du Centre
Le secteur du Centre de la Force terrestre (SCFT) est responsable des unités de l'Armée située en Ontario[16]. Le SCFT emploie 5 000 réguliers, 5 500 réservistes et 1 200 civils. Ses quartiers généraux sont situés à Toronto.
Unité | Type | Base |
---|---|---|
1er Bataillon du Royal Canadian Regiment | Infanterie mécanisée | BFC Petawawa |
3e Bataillon du Royal Canadian Regiment | Infanterie légère et parachutistes | BFC Petawawa |
2e Régiment de la Royal Canadian Horse Artillery | Artillerie | BFC Petawawa |
The Royal Canadian Dragoons | Blindé | BFC Petawawa |
2 Combat Engineer Regiment | Génie de combat | BFC Petawawa |
21e Régiment de guerre électronique | Guerre électronique | BFC Kingston |
Secteur de l'Ouest
Le secteur de l'Ouest de la Force terrestre (SOFT) est responsable des unités de l'armée situées dans l'Ouest de l'Ontario, au Manitoba, en Saskatchewan, en Alberta et en Colombie-Britannique[17]. Il comprend 1 groupe-brigade mécanisé régulier et 3 groupes-brigades de réserve[17],[18]. Le secteur comprend également 1 groupe de patrouille des rangers[18]. L'effectif du secteur comprend plus de 6 000 réguliers, 5 700 réservistes et 1 200 civils[18]. Le commandant du secteur de l'Ouest est le brigadier-général P.F. Wynnyk qui est également le commandant de la Force opérationnelle interarmées Ouest[19].
Unité | Type | Base |
---|---|---|
1er Bataillon du Princess Patricia's Canadian Light Infantry | Infanterie mécanisée | BFC Edmonton |
2e Bataillon du Princess Patricia's Canadian Light Infantry | Infanterie mécanisée | BFC Shilo |
3e Bataillon du Princess Patricia's Canadian Light Infantry | Infanterie légère et parachutistes | BFC Edmonton |
1er Régiment de la Royal Canadian Horse Artillery | Artillerie | BFC Shilo |
Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians) | Blindé | BFC Edmonton |
1 Combat Engineer Regiment | Génie de combat | BFC Edmonton |
Système de la doctrine et de l'instruction
Le Système de la doctrine et de l'instruction a pour rôle de diriger l'entraînement et l'éducation des militaires de la Force terrestre[20]. Il comprend plus de 2 500 militaires. Ses unités sont réparties sur trois bases : Kingston en Ontario, Gagetown au Nouveau-Brunswick et Wainwright en Alberta. Son quartier général est situé à Kingston. Le commandant du SDIFT est le major-général D.A. Fraser[21]. Le SDIFT comprend le Centre d'instruction au combat situé sur la BFC Gagetown qui agit au même niveau que les groupes-brigades. Celui-ci comprend les écoles des quatre armes de combat de la Force terrestre. Le SDIFT comprend également le Centre d'entraînement aux manœuvres situé sur la BFC Wainwright.
Équipement
Le Commandement de la Force terrestre possède environ 1 700 véhicules blindés et 9 400 véhicules utilitaires[6]. Les véhicules blindés incluent environ 650 VBL III (véhicule blindé léger), 110 chars Leopard 2 et 200 véhicules de reconnaissance Coyote[6],[22]. Il possède également environ 220 canons d'artillerie incluant environ 30 LG1 Mark II (obusier remorqué de 105 mm), 80 M109 (canon automoteur de 155 mm) et 100 C3 (obusier remorqué de 105 mm)[6],[23]. De plus, il a environ 90 canons et systèmes de défense antiaérienne[6].
Le principal fusil d'assaut utilisé par l'infanterie est la C7, un M16 modifié[24]. La variante C7A2 qui est présentement utilisée est la version noire et verte de la C7A1 et reprend la crosse rétractable de la carabine C8. Les armes de base d'une section d'infanterie incluent également la grenade à main, le lance-grenades M203 et la mitrailleuse légère C9[23]. Les Rangers canadiens utilisent le fusil Lee Enfield no 4 pour se protéger de la faune sauvage et pour leur subsistance.
Histoire
Avant la création de la Confédération canadienne en 1867, les unités militaires faisaient partie de l'armée française puis de l'armée britannique. En effet, le Royaume-Uni était responsable de la défense du Canada de 1763 à 1867. La Milice canadienne a été créée en 1855, mais elle n'avait qu'un rôle limité jusqu'au départ des troupes britanniques en 1867. Les premières opérations de la Milice furent de défendre le Canada contre les raids des Féniens puis lors de la Rébellion du Nord-Ouest à la fin du XIXe siècle. Le premier déploiement outremer des Canadiens a été pour la Seconde Guerre des Boers en Afrique du Sud en support à l'armée britannique. Par la suite, l'Armée canadienne a participé aux deux guerres mondiales en Europe. Le , elle devint le Commandement mobile lorsqu'elle a été unifiée avec la Marine royale canadienne et l'Aviation royale canadienne sous une même structure[25]. Plus tard, ce dernier devint le Commandement des forces mobiles lorsque les éléments d'aviation tactique ont été transférés au Commandement de la Force aérienne récemment créé. Il fut renommé en son nom actuel en 1997[26].
Symboles et traditions
Le symbole du Commandement de la Force terrestre qui est utilisé sur l'emblème et sur le drapeau national est une feuille d'érable rouge sur deux épées croisées. Selon l'Autorité héraldique du Canada, le blasonnement du symbole est « Deux épées au naturel garnies d’or passées en sautoir à une feuille d’érable de gueules, veinée d’or »[27]. Le drapeau du Commandement de la Force terrestre est blanc et porte ce symbole en son centre en plus du drapeau national au coin supérieur du côté du mât ou au « canton dextre » en termes héraldiques[27].
Les traditions des régiments de la Force terrestre tirent leurs racines de l'histoire du Canada, mais aussi de celle de l'armée britannique. En effet, plusieurs régiments ont été formés selon le modèle britannique et un système d'affiliation a été mis en place afin de mettre en avant l'histoire militaire partagée entre les deux nations. Par exemple, des traditions comme celle des honneurs de bataille et des couleurs ont été conservées par plusieurs régiments canadiens. De plus, le colonel-en-chef des régiments est la plupart du temps issu de la famille royale[28].
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Canadian Forces Land Force Command » (voir la liste des auteurs).
- Info Générale sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 15 mars 2011
- « À propos des Forces canadiennes », sur Défense nationale et des Forces canadiennes (consulté le )
- « Mission de l'Armée », sur Armée de terre canadienne (consulté le )
- « Le Canada et l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord », sur Affaires étrangères et Commerce international Canada (consulté le )
- « Le Canada au sein de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) », sur Affaires étrangères et Commerce international Canada (consulté le )
- Statistiques sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 15 mars 2011
- Structure sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 15 mars 2011
- Au sujet de l'Armée sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 12 mars 2011
- Types d'unité sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 12 mars 2011
- Lien secteur sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 14 mars 2011
- Lien brigade sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 14 mars 2011
- Formations de l'Armée de terre sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 14 mars 2011
- (en) About us sur le site du Land Force Atlantic Area, page consultée le 12 mars 2011
- SQFT sur le site du secteur du Québec de la Force terrestre, page consultée le 12 mars 2011
- Mot du commandant sur le site du secteur du Québec de la Force terrestre, page consultée le 12 mars 2011
- Au Sujet sur le site du secteur du Centre de la Force terrestre, page consultée le 12 mars 2011
- (en) LFWA - JTFW Headquarters sur le site du Land Force Western Area, page consultée le 13 mars 2011
- (en) Land Force Western Area sur le site du Land Force Western Area, page consultée le 13 mars 2011
- (en) Brigadier-General P.F. Wynnyk, OMM, CD - Commander LFWA - JTFW sur le site du Land Force Western Area, page consultée le 13 mars 2011
- Énoncé de mission sur le site du Système de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre, page consultée le 14 mars 2011
- Major-général D.A. Fraser, CMM, CSM, MSM, CD - Commandant Système de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre sur le site du Système de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre, page consultée le 14 mars 2011
- Équipement : Véhicules sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 13 mars 2011
- Équipement : Armes sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 13 mars 2011
- Fusil d’assaut C7A1 sur le site de l'Armée de terre canadienne, page consultée le 13 mars 2011
- (en) Sixty Years - The RCAF and CF Air Command 1924–1984, p. 366-367
- « Canadian Army », sur Canadiensoldiers.com (consulté le )
- « Commandement de la Force terrestre dans le Registre public des armoiries, drapeaux et insignes du Canada », sur Autorité héraldique du Canada du gouverneur général du Canada (consulté le )
- (en) « Regimental Manual of Princess Patricia's Canadian Light Infantry chapitre 1, p. 1-5/13 » [PDF], sur army.gc.ca (consulté le )
Annexes
Articles connexes
- Liste des unités de la Force terrestre des Forces canadiennes
- Liste de l'équipement de la Force terrestre des Forces canadiennes
- Histoire militaire du Canada
- Grades des Forces canadiennes
- Armée de terre
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- C.P. Stacey (trad. Bureau de traduction de l’Armée), L’Armée canadienne, 1939 - 1945, Résumé historique officiel, Ottawa, Ministère de la Défense nationale, , 404 p. (lire en ligne) [PDF]
- (en) David Jay Bercuson et Jack Granatstein, Dictionary of Canadian Military History, Oxford University Press Canada, (ISBN 0195411072)
- (en) Desmond Morton, A military history of Canada, Toronto, (ISBN 0771065140)
- (en) Larry Milberry, Sixty Years - The RCAF and CF Air Command 1924–1984, Toronto, Canav Books, , 480 p. (ISBN 0-9690703-4-9)
- (en) Mark Zuehlke, Canadian Military Atlas: Four Centuries of Conflict from New France to Kosovo, Douglas & McIntyre, (ISBN 9781553652090)