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Laurence SUTTON, est née à Paris le 21 juin 1928 sous le nom de WEBER.
Laurence SUTTON, est née à Paris le 21 juin 1928 sous le nom de WEBER.


En 1949, elle est admise à l’école des Beaux Arts de Nantes, puis de Paris en 1950. Elle y étudie le dessin, l’architecture, la décoration. Mais sans pouvoir l’expliquer, l’enseignement qu’elle cherche n’est pas là... En 1951, elle rencontre le Statuaire [[Robert Coutin|Robert COUTIN]], restaurateur responsable de la cathédrale de Reims, disciple de [[Antoine Bourdelle|Antoine BOURDELLE]], de [[André Lhote|André LHOTE]], et ami honoré de [[Henri Focillon|Henri FOCILLON]]. Il était aussi le descendant de plusieurs générations de sculpteurs qui s’étaient transmis un enseignement remontant à l’art Roman et l’art Gothique.
En 1949, elle est admise à l’école des Beaux Arts de Nantes, puis de Paris en 1950. Elle y étudie le dessin, l’architecture, la décoration. Mais sans pouvoir l’expliquer, l’enseignement qu’elle cherche n’est pas là... En 1951, elle rencontre le Statuaire [[Robert Coutin|Robert COUTIN]], restaurateur responsable de la cathédrale de Reims, disciple de [[Antoine Bourdelle|Antoine BOURDELLE]]<ref>{{Lien web |titre=Musée BOURDELLE |url=https://www.bourdelle.paris.fr}}</ref>, de [[André Lhote|André LHOTE]]<ref>{{Lien web |titre=André LHOTE - Site officiel d'André LHOTE |url=https://andre-lhote.org}}</ref>, et ami honoré de [[Henri Focillon|Henri FOCILLON]]. Il était aussi le descendant de plusieurs générations de sculpteurs qui s’étaient transmis un enseignement remontant à l’art Roman et l’art Gothique.


Après quatre années d’études intenses et monastiques, et une année d’études aux beaux Arts de Milan, elle épouse Mel R. SABRE, citoyen américain, Lieutenant parachutiste de la [[101e division aéroportée|101ème division]] ayant participé au [[Débarquement de Normandie|débarquement de Normandie.]]
Après quatre années d’études intenses et monastiques, et une année d’études aux beaux Arts de Milan, elle épouse Mel R. SABRE, citoyen américain, Lieutenant parachutiste de la [[101e division aéroportée|101ème division]] ayant participé au [[Débarquement de Normandie|débarquement de Normandie.]]


Ils partent vivre à Monaco puis à New York... Elle s’habitue vite au rythme de cette ville et travaille comme illustratrice publicitaire pour des agences et des journaux tels que le New York Times et Newsweek. Mais elle dessine aussi pour elle pour retrouver un contact avec une autre forme d’Art. Elle fait beaucoup de portraits, de plein pied, et elle crée un univers personnalisé pour chacun de ses modèles. Elle conquit certaines personnalités célèbres de New York, et reçoit des commandes intéressantes. Au décès de son mari, elle revient en France, et est engagée par la librairie [[Hachette Livre|HACHETTE]] pour un projet à long terme de cinq années sur l’histoire des civilisations, au cotés des futurs illustrateurs de bandes dessinées, [[Jean Giraud|Jean GIRAUD]] (Moebius) et [[Jean-Claude Mézières|jean Claude MEZIÈRES]] . Puis, en 1965 elle est engagée dans des conditions et des projets similaires chez d’autres éditeurs: [[Éditions Larousse|LAROUSSE]], [[Hatier|HATIER]], [[Éditions Rombaldi|ROMBALDI]]...
Ils partent vivre à Monaco puis à New York... Elle s’habitue vite au rythme de cette ville et travaille comme illustratrice publicitaire pour des agences et des journaux tels que le New York Times et Newsweek. Mais elle dessine aussi pour elle pour retrouver un contact avec une autre forme d’Art. Elle fait beaucoup de portraits, de plein pied, et elle crée un univers personnalisé pour chacun de ses modèles. Elle conquit certaines personnalités célèbres de New York, et reçoit des commandes intéressantes. Au décès de son mari, elle revient en France, et est engagée par la librairie [[Hachette Livre|HACHETTE]] pour un projet à long terme de cinq années sur l’histoire des civilisations, au cotés des futurs illustrateurs de bandes dessinées, [[Jean Giraud|Jean GIRAUD MOEBIUS]]<ref>{{Lien web |titre=MOEBIUS |url=https://moebius.fr}}</ref> et [[Jean-Claude Mézières|jean Claude MEZIÈRES]] . Puis, en 1965 elle est engagée dans des conditions et des projets similaires chez d’autres éditeurs: [[Éditions Larousse|LAROUSSE]], [[Hatier|HATIER]], [[Éditions Rombaldi|ROMBALDI]]...


Elle est engagée comme professeur de dessin en 1970 pour une période de quatre années à la "[[Famous Artists School|FAMOUS ARTIST SCHOOL]]" à Monte Carlo.
Elle est engagée comme professeur de dessin en 1970 pour une période de quatre années à la "[[Famous Artists School|FAMOUS ARTIST SCHOOL]]" à Monte Carlo.


En 1974, pour trouver une réponse à une quête spirituelle, elle part étudier une année en Angleterre, à [[Sherborne House]], [[Cheltenham]], à la «INTERNATIONAL ACADEMY FOR CONTINUOUS EDUCATION», auprès du mathématicien, directeur de recherches industrielles, et philosophe [[John G. Bennett|John G.BENNET]].
En 1974, pour trouver une réponse à une quête spirituelle, elle part étudier une année en Angleterre, à [[Sherborne House]], [[Cheltenham]], à la «INTERNATIONAL ACADEMY FOR CONTINUOUS EDUCATION», auprès du mathématicien, directeur de recherches industrielles, et philosophe [[John G. Bennett|John G.BENNET]].<ref>{{Lien web |langue=anglais |titre=John G Bennet |url=https://www.jgbennet.org |site=The J.G Bennet Foundation}}</ref>


Elle y cherche une source d’inspiration pour une nouvelle direction dans sa vie et son travail. Puis, en voyageant beaucoup, elle dessine et peint ses impressions... L’orient l’attire, et fait de nombreux voyages dans cette direction: Turquie, Egypte, sud Saharien, Inde, Cachemire, Ladak et Nepal. Elle en rapporte de nombreux carnets de voyages, illustrés de croquis et d’aquarelles.
Elle y cherche une source d’inspiration pour une nouvelle direction dans sa vie et son travail. Puis, en voyageant beaucoup, elle dessine et peint ses impressions... L’orient l’attire, et fait de nombreux voyages dans cette direction: Turquie, Egypte, sud Saharien, Inde, Cachemire, Ladak et Nepal. Elle en rapporte de nombreux carnets de voyages, illustrés de croquis et d’aquarelles.
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Maitre d’une technique peu égalée, détentrice d’un enseignement et d’un savoir artistique à présent «oublié», elle n’a pas cherché l’exactitude photographique: son intention principale était concentrée sur les effets modulés de la lumière et de l’ombre. Son but n’était pas de représenter une anecdote des formes, mais d’exprimer sa perception d’un symbolisme universel beaucoup plus étendu. La critique internationale a salué son travail en le nommant «REALISME INSPIRÉ».
Maitre d’une technique peu égalée, détentrice d’un enseignement et d’un savoir artistique à présent «oublié», elle n’a pas cherché l’exactitude photographique: son intention principale était concentrée sur les effets modulés de la lumière et de l’ombre. Son but n’était pas de représenter une anecdote des formes, mais d’exprimer sa perception d’un symbolisme universel beaucoup plus étendu. La critique internationale a salué son travail en le nommant «REALISME INSPIRÉ».


[[Salah Stétié|SALAH STETIE]], qui cite sa peinture dans son livre "SALAH STETIE ET LES PEINTRES", parle de son oeuvre en ces mots: " L'oeuvre de Laurence SUTTON, peintre secret, porte témoignage de la présence impalpable mais réelle d'un "Hijab", d'un voile, entre ce qui est de l'ordre de la vue et celui est de l'ordre de la vision; il y a chez elle, au delà de ce qui, parfois, peut avoir l'apparence pittoresque. Mais c'est là la première inscription de l'oeuvre qui n'est pas inscription décisive, une recherche, une quête douce et mélancolique de l'essentiel, une grâce..." [[Fichier:Aux deux magots.jpg|vignette|Aux deux magots]]
[[Salah Stétié|SALAH STETIE]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=SALAH STETIE – "On n'est jamais aussi nombreux que lorsqu'on est seul" |url=https://salahstetie.net/ |consulté le=2023-11-13}}</ref>, qui cite sa peinture dans son livre "SALAH STETIE ET LES PEINTRES<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Page d'accueil du Musée Paul Valéry à Sète |url=https://museepaulvalery-sete.fr/ |site=Musée Paul Valéry |consulté le=2023-11-13}}</ref>", parle de son oeuvre en ces mots: " L'oeuvre de Laurence SUTTON, peintre secret, porte témoignage de la présence impalpable mais réelle d'un "Hijab", d'un voile, entre ce qui est de l'ordre de la vue et celui est de l'ordre de la vision; il y a chez elle, au delà de ce qui, parfois, peut avoir l'apparence pittoresque. Mais c'est là la première inscription de l'oeuvre qui n'est pas inscription décisive, une recherche, une quête douce et mélancolique de l'essentiel, une grâce..." [[Fichier:Aux deux magots.jpg|vignette|Aux deux magots]]
[[Fichier:Metro Abbesses Hile Laurence SUTTON.jpg|vignette|Metro Abesses]]
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1997 Palais Farh-el- Din Exposition personnelle Deir-el-Qamar Liban
1997 Palais Farh-el- Din Exposition personnelle Deir-el-Qamar Liban


1998 [[Royal Academy of Arts|Royal Academy of Art]] Exposition collective London England
1998 [[Royal Academy of Arts|Royal Academy of Art]] <ref>{{Lien web |langue=anglais |titre=ROYAL ACADEMY OF ARTS |url=https://www.royalacademy.org.uk}}</ref>Exposition collective London England


1999 [[Royal Academy of Arts|Royal Academy of Art]] Exposition collective London England
1999 [[Royal Academy of Arts|Royal Academy of Art]] Exposition collective London England
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Emirate News 19 mars 1994
Emirate News 19 mars 1994


[[Gulf News]] 28 mars 1994
Gulf News<ref>{{Lien web |titre=GULF NEWS |url=https://gulfnews.com}}</ref> 28 mars 1994


[[Khaleej Times]] 25 mars 1994
[[Khaleej Times]]<ref>{{Lien web |titre=Khaleej Times |url=https://www.khaleejtimes.com}}</ref> 25 mars 1994


[[Khaleej Times|Khaleej times]] 30 mars 1994
[[Khaleej Times|Khaleej times]] 30 mars 1994

=== REFERENCES ===
<references />

Version du 13 novembre 2023 à 09:53

Laurence SUTTON
Naissance
Paris, France
Décès (à 85 ans)
Carcassonne France
Nationalité Française

LAURENCE SUTTON

Laurence SUTTON

PEINTRE ILLUSTRATRICE 1928 / 2013

BIOGRAPHIE

Laurence SUTTON, est née à Paris le 21 juin 1928 sous le nom de WEBER.

En 1949, elle est admise à l’école des Beaux Arts de Nantes, puis de Paris en 1950. Elle y étudie le dessin, l’architecture, la décoration. Mais sans pouvoir l’expliquer, l’enseignement qu’elle cherche n’est pas là... En 1951, elle rencontre le Statuaire Robert COUTIN, restaurateur responsable de la cathédrale de Reims, disciple de Antoine BOURDELLE[1], de André LHOTE[2], et ami honoré de Henri FOCILLON. Il était aussi le descendant de plusieurs générations de sculpteurs qui s’étaient transmis un enseignement remontant à l’art Roman et l’art Gothique.

Après quatre années d’études intenses et monastiques, et une année d’études aux beaux Arts de Milan, elle épouse Mel R. SABRE, citoyen américain, Lieutenant parachutiste de la 101ème division ayant participé au débarquement de Normandie.

Ils partent vivre à Monaco puis à New York... Elle s’habitue vite au rythme de cette ville et travaille comme illustratrice publicitaire pour des agences et des journaux tels que le New York Times et Newsweek. Mais elle dessine aussi pour elle pour retrouver un contact avec une autre forme d’Art. Elle fait beaucoup de portraits, de plein pied, et elle crée un univers personnalisé pour chacun de ses modèles. Elle conquit certaines personnalités célèbres de New York, et reçoit des commandes intéressantes. Au décès de son mari, elle revient en France, et est engagée par la librairie HACHETTE pour un projet à long terme de cinq années sur l’histoire des civilisations, au cotés des futurs illustrateurs de bandes dessinées, Jean GIRAUD MOEBIUS[3] et jean Claude MEZIÈRES . Puis, en 1965 elle est engagée dans des conditions et des projets similaires chez d’autres éditeurs: LAROUSSE, HATIER, ROMBALDI...

Elle est engagée comme professeur de dessin en 1970 pour une période de quatre années à la "FAMOUS ARTIST SCHOOL" à Monte Carlo.

En 1974, pour trouver une réponse à une quête spirituelle, elle part étudier une année en Angleterre, à Sherborne House, Cheltenham, à la «INTERNATIONAL ACADEMY FOR CONTINUOUS EDUCATION», auprès du mathématicien, directeur de recherches industrielles, et philosophe John G.BENNET.[4]

Elle y cherche une source d’inspiration pour une nouvelle direction dans sa vie et son travail. Puis, en voyageant beaucoup, elle dessine et peint ses impressions... L’orient l’attire, et fait de nombreux voyages dans cette direction: Turquie, Egypte, sud Saharien, Inde, Cachemire, Ladak et Nepal. Elle en rapporte de nombreux carnets de voyages, illustrés de croquis et d’aquarelles.

En 1978, elle se remarie avec un sujet Britannique, Michael SUTTON, et reprend l’illustration, mais dans la publicité cette fois, où elle trouve une forme de dessin qui correspond mieux à son tempérament. Elle travaille pendant dix ans pour les principales agences de publicité parisiennes.

1988 marque un tournant déterminant dans sa carrière Artistique, car elle commence ses premières «Toiles», peintures à l’huile...

Laurence SUTTON a peint son quotidien, les toits de Paris, vu de son sixième étage mansardé du quartier latin parisien, des scènes de rues, de marché, des paysages, des touristes Américains visitant la tour Eiffel, ou le Louvre, des terrasses de café... Son inspiration, et la plupart de ses thèmes ont été puisés dans la vie quotidienne de son Paris natal.

Maitre d’une technique peu égalée, détentrice d’un enseignement et d’un savoir artistique à présent «oublié», elle n’a pas cherché l’exactitude photographique: son intention principale était concentrée sur les effets modulés de la lumière et de l’ombre. Son but n’était pas de représenter une anecdote des formes, mais d’exprimer sa perception d’un symbolisme universel beaucoup plus étendu. La critique internationale a salué son travail en le nommant «REALISME INSPIRÉ».

SALAH STETIE[5], qui cite sa peinture dans son livre "SALAH STETIE ET LES PEINTRES[6]", parle de son oeuvre en ces mots: " L'oeuvre de Laurence SUTTON, peintre secret, porte témoignage de la présence impalpable mais réelle d'un "Hijab", d'un voile, entre ce qui est de l'ordre de la vue et celui est de l'ordre de la vision; il y a chez elle, au delà de ce qui, parfois, peut avoir l'apparence pittoresque. Mais c'est là la première inscription de l'oeuvre qui n'est pas inscription décisive, une recherche, une quête douce et mélancolique de l'essentiel, une grâce..."

Fichier:Aux deux magots.jpg
Aux deux magots
Fichier:Metro Abbesses Hile Laurence SUTTON.jpg
Metro Abesses

Un article lui est consacré dans la La revue "L'originel" de Charles ANTONI.

EXPOSITIONS PERSONNELLES

1988 Galerie Herouet Exposition personnelle Paris

1989 Galerie Schlumberger exposition personnelle Santa Rosa . CA . U.S.A

1989 Left Bank Gallery exposition personnelle Santa Fe U.S.A

1989 Mac Adoo Gallery exposition collective Santa Fe U.S.A

1990 Downtown Gallery exposition collective New Orleans U.S.

1990 Hahn Gallery exposition collective Philadelphia U.S.A

1990 Galerie Carré d'Art exposition personnelle Paris

1990 Galerie Wauters exposition personnelle Paris

1991 Zenith Gallery exposition personnelle Bussum Hollande

1991 Centre Culturel exposition personnelle Avernes St Gourgon France

1991 Salon d'Automne Paris

1992 Galerie Simon CHAYE exposition personnelle Honfleur France

1992 Salon de la Figuration Critique Paris

1993 Espace Saint-Severin exposition personnelle Paris

1993 Palais Rastede exposition personnelle Rastede Allemagne

1994 Centre Culturel de SHARJAH exposition personnelle Emirats Arabes Unis

1994 Fondation Culturelle d' ABU-DHABI Emirats Arabes Unis

1995 Concours du Portrait Paul-Louis Weiler Academie des Beaux-Arts de Paris institut de France Paris

Fichier:Toits de Paris.jpg
Toits de Paris

1996 Fondation Culturelle Exposition personnelle Altrip Allemagne

1996 Majlis Gallery Exposition personnelle Beyrouth Liban

1997 Palais Farh-el- Din Exposition personnelle Deir-el-Qamar Liban

1998 Royal Academy of Art [7]Exposition collective London England

1999 Royal Academy of Art Exposition collective London England

ARTICLES DE PRESSE

Le pays d'Auge 16 juillet 1991

Le pays d'auge 18 juillet 1991

L'éveil de lisieux 18 juillet 1991

L'éveil cote normande 7 mai 1992

Le Pays d'auge 26 mai 1992

Nordwest-zeitung 2 nov 1993

Emirate News 19 mars 1994

Gulf News[8] 28 mars 1994

Khaleej Times[9] 25 mars 1994

Khaleej times 30 mars 1994

REFERENCES

  1. « Musée BOURDELLE »
  2. « André LHOTE - Site officiel d'André LHOTE »
  3. « MOEBIUS »
  4. (en) « John G Bennet », sur The J.G Bennet Foundation
  5. « SALAH STETIE – "On n'est jamais aussi nombreux que lorsqu'on est seul" » (consulté le )
  6. « Page d'accueil du Musée Paul Valéry à Sète », sur Musée Paul Valéry (consulté le )
  7. (en) « ROYAL ACADEMY OF ARTS »
  8. « GULF NEWS »
  9. « Khaleej Times »